20 Octobre 2042

Ariana entra avec enthousiasme dans le magasin de baguette magique, Chez Ollivander. La pièce était silencieuse, le bruit de la clochette de la porte résonnait dans la salle. Un bureau était positionné à l’entrée avec plusieurs boîtes plus longues que larges entassé dessus. Deux couloirs vides se tenait plus loin derrière le bureau. Pendant un instant, Ariana pensait qu’ils étaient également vide, mais en observant mieux, elle remarqua que les murs étaient en fait des étagères où étaient posées ces mêmes boîtes, si serrées que l’on pourrait croire que c'était seulement le papier-peint. Elle remarqua également que c'était de même pour tous les murs de la boutiques, mais son attention fut soudain détourné : là où se tenait il y a quelques secondes un couloir entièrement vide (mis à part les boîtes), se tenait un homme, tenant une boîte de couleur bleue marine et s’approchant du bureau, comme s’il s’attendait à l'arrivée d’Ariana. Il s’arrêta et dit :
– Bonjour, Miss Anailys.
Elle ne put s'empêcher d'être stupéfaite : comment connaissait-il son nom ? Elle n'était jamais entrée dans cette boutique et n’avait jamais vue cette homme. Il était plutôt vieux et ridé, il avait un regard qui n'était pas très encourageant et anxieux en permanence. Ariana ne sut quoi dire et avait oubliée de lui répondre.
– Vous avez le même visage que votre père, même traît, je dirais même… Même caractère.
Même caractère ? Mr Ollivander ne connaissait même pas Ariana. Ou était-ce peut-être son regard stupéfait, sa réaction ou le fait qu’elle n’avait pas répondu. Étrangement, on aurait dit qu’il lisait dans ses pensées.
– Votre père était venu également seul. Il était très enthousiaste.
Ariana l’écoutait sans rien dire, son père ne lui avait jamais parlé de lui lorsqu’il était petit. D’ailleurs, il ne lui avait jamais réellement parlé. Elle aurait aimé en savoir plus mais en même temps, avait hâte d’avoir sa baguette. Mr Ollivander continua de parler, Ariana se demandait s’il ne lisait pas réellement dans ses pensées.
– Il paraissait interloqué au fait que je me rappelle de ses parents. Mais je me rappelle de chacunes des baguettes que j’ai vendue. dit-il, tout en observant les boîtes qui se tenait sur son bureau, après quelques hésitations, finit par prendre celle qu’il avait au départ dans les mains et l’une des autres qui étaient entassés. Il ouvrit la boîte qui était de couleur noir et poussiéreuse. À l’intérieur était déposé un tissus qu’il enleva et pris délicatement la baguette qui se trouvait en dessous. Il la tendit à Ariana qui la pris aussitôt, et secoua d’un geste vif. La lampe qui éclatait le bureau se cassa alors en un bruit fort. Horrifiée, Ariana resta sans bouger, la baguette à la main, le cœur battant par peur de la réaction de Ollivander. Celui-ci dit simplement :
– Non, non, donnez moi…
Ariana lui donna alors la baguette d’une main tremblante. Ollivander ouvrit alors la deuxième boîte, une autre baguette, plus grande était posée dedans. Lorsqu’il la lui donna, Ariana sentit comme une brise d’air frais passer sur elle, un sentiment de bien-être que la baguette lui transmis.
– Parfais ! Bois de châtaignier, 32,2 cm, plume de phénix. Flexible et pratique pour les duellistes.
Ariana sourit alors, paya, dit au revoir et sortit avec sa baguette, n’arrivant pas a croire qu’elle était maintenant à elle.

Kirsty sortit de chez Fleury&Bott, toute joyeuse. Sa mère et sa sœur la suivait de près. Son père et son frère était partit voir les accessoires de quidditch. Kirsty n'avait jamais été aussi heureuse de faire des achats (car d'habitude, faire du shopping, ça la déprimait plus qu'autre chose !) Toutes trois rentrèrent dans une boutique sobre et mystérieuse du nom de "Olivander". La jeune blonde savait qu'elle allait achetée sa baguette, comme tous les jeunes sorciers en âge d'aller a Poudlard.
La pièce était vide, sombre et des étagères montaient jusqu'au plafond, remplies de baguettes qui n'avaient jamais été sorties. La poussière c'était accumulée sur les boites. Quand la famille Panglewood rentra dans la petite boutique, une clochette sonna leur arrivée. Un vieil homme courbé rentra alors de l'arrière-boutique.
- Bonjours, fit-il d'une voix enrouée.
- Bonjours, répondirent a l'unisson les trois filles de la famille Panglewood.
La mère de Kirsty montra alors la jeune fille du doigt et dit :
- C'est pour ma fille.
Le vieil homme hocha la tête, prit un mètre et mesura la distance entre le nez les le front, la longueur de son bras. Kirsty, tandis que Mr. Olivander prenait ses mesures, stressait. Et si aucune baguette ne lui allait ? Et si on se rendait compte que je n'était pas une sorcière ? Mr. Olivander se releva au bout de cinq minutes, et prit une boite. il me tendit la baguette qu'elle contenait. Je l'essayais, rien ne se produisit. Mon stress augmenta d'un cran.
J'essayais encore deux baguettes, mais aucune ne marcha. Enfin, il sortit une baguette, et quand je l'eus en main, elle brilla. Elle faisait 24,9 cm en bois de châtaignier et ventricule de dragon. J'étais tellement contente ! Nous repartîmes vers le magasin de farce et attrape, Farce pour sorciers facétieux.
- C'est super ! En plus, elle est super jolie ! m'exclamai-je.