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19 janv. 2021, 18:46
 +   privé  Souvenirs d’enfance
Rivers Robinson-Scott & @Pau Ouma-Decley
Privé
Par un matin ensoleillé

C’etait un beau matin printanier, au mois d’avril.
Ce matin, Rivers n’avait pas fait grand chose et rien d’important n’etait prévu avant le déjeuner.
Nous étions un samedi matin, à 10h.
Rivers s’etait lève il y’a une heure et demie, était descendu à la grande salle pour petit déjeuner, puis, était remonté à la salle commune des Serdaigle. Il s’etait alors posé dans le petit salon et avait empreinté un magazine sorcier pour se divertir. Il aimait passer du temps dans cette pièce qui lui rappelait le salon de ses grands-parents paternels, des sorcier, ou des dizaines et des dizaines de revus étaient empilés un peu partout. Sur les chaises, au sol, sur les accoudoirs des fauteuils, sur la table basse. C’etait une atmosphère que Rivers retrouvait ici. Et dans plusieurs autres pièces du château. Comme la grande salle, qui lui faisait pensé à la salle à manger de ses grands-parents ou s’installait un brouhaha chaque fois qu’un repas familial se passait dans cette pièce.
Il retrouvait aussi dans les dortoirs des garçons la grande chambre où il dormait avec ses cousins, cousines ainsi que ses frères et sœurs lorsqu’ils passaient sur leurs étés là-bas.
Le parc, lui faisait pensé au jardin de la maison, où ils pêchaient dans l’étang, et le bois, ou des grandes parties de cache cache ils étaient organisés, au printemps, en automne, en été ou en hiver. Peut importe la saison.
Après avoir lu une bonne demie-heure, Rivers s’en était allé pour rejoindre la salle d’etude où il avait prévu de s’avancer un peu pour la semaine suivante.
Il se trouvait donc dans les couloirs au deuxième étage, en compagnie de son devoir de botanique et d’histoire de la magie.
Rivers appréciait ses deux matières, et tout particulièrement l’histoire de la magie.
Dans le couloir, les rayons de soleil rentrait, illuminant la pièce et réchauffant la pierre au mur et au sol.
Quelques élèves se trouvaient dans le couloir en même temps que Rivers. Quatres élèves, plus précisément.
Deux se tenaient debout devant une des grandes fenêtres qui donnaient sur le parc, discutant de je ne sais quoi.
Les deux autres marchaient en direction de l’escalier.
Rivers arriva devant une grande porte en bois. Elle était immense, mais pas autant que celle de la grande salle. Celle-ci étant de loin la plus grande que Rivers n’ait jamais vu de sa vie entière.
Il poussa la porte, de toute ses forces, et celle-ci s’ouvrit tout en grinçant.
Rivers fut surpris de la pièce dans laquelle il venait d’entree. Elle n’avait rien d’une salle d’etude pour travailler.
Il y avait de grandes flaques d’eau au sol et des morceaux de vers un peu partout. Devant Rivers, des robinets fuyaient et au mur de droite, des cabines de toilettes en bois touts abîmés. Il n’etait pas dans la salle d’etude mais dans les toilettes abandonnées. Il y était déjà venu, vers le début de l’annee. Et c’est la qu’ils y avait rencontré Louise Foster.

a tout @Pau Ouma-Decley et désolé pour le retard


!Aigle de bronze dans la chorale de Serdaigle!
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R.R.S.

21 janv. 2021, 16:40
 +   privé  Souvenirs d’enfance
Marcher, marcher et encore marcher. Belle activité en soit.
Enfin, peut être pas la préférée de Pau. Mais à un certain niveau, elle l’appréciait.

On était samedi, 10h, mois d’avril. Une heure parfaite.

Pau s’était levée à 8h30 ce matin pour aller marcher dans le parc. Elle avait enfilé son manteau et son écharpe, parée à affronter le froid. Elle avait eut une soudaine envie de marcher, de laisser celui-ci lui glacer ses pensées turbulentes.

Le froid ambiant lui avait engourdit les pensées, ce qui n’était au final pas une sensation désagréable. Aujourd’hui, Pau se retournait la tête, se posant milles questions. Alors mettre fin à ces incessantes interrogations pour un moment, même court, n’était pas de refus.

La fille avait apprécié le paysage reposant qu’offrait la neige recouvrant tout. Elle avait été seule, mais pour une fois, heureuse de l’être. A cette heure ci, personne n’était dehors. Elle avait donc pu profiter pleinement de la vue du château endormie, du lac gelé et du parterre de neige.
Son souffle était visible tant il faisait froid. Il sortait de sa bouche pour monter vers le ciel.

Pau avait eut une sensation d’apaisement. Elle avait aimé le blanc environnant.
La fillette s’était donc allongée dans la neige. Les jambes ouvertes, les bras allongés sur les côtés. Son manteau la protégeant de l’humidité de la neige jusqu’aux cuisses. Elle n’avait pas mis sa capuche, par conséquent ses cheveux avaient été en contact avec la froide neige. Ils s’étaient doucement.

Pau avait regardé le ciel. C’était un matin d’hiver, à 8h30, par conséquent le soleil se levait doucement. La nuit était encore un peu présente. Les étoiles, elles, avaient par contre disparu. La blondinette avait admiré cette immensité qui l’entourait. Elle s’était sentie bien, là.
Elle avait fermé les yeux quelques instants. Heureuse et apaisée.

Elle les avait rouvert et s’était relevée. Dans ses cheveux, quelques bouts de neige n’avaient pas fondu. Elle épousseta son manteau dans le but de faire tomber la neige accroché. Ses genoux et ses mollets, eux, étaient mouillés.
En faisant le tour du lac, l’enfant se dit qu’il était déjà 9h30 et qu’elle devait rentrer pour prendre son petit déjeuner. Elle repartit donc en direction du château.

Là, elle prit son petit déjeuner rapidement et repartit rapidement à la recherche des toilettes. Elle traversait les couloirs, scrutant la moindre pièce.

Sa quête la mena vers un lieu qu’elle prit d’abord pour les toilettes.

Elle y pénétra. A première vue, c’était des toilettes, certes, mais en piteux état.

Le sol était humide, la peinture tombait en lambeau, certains robinets gouttaient. Le bruit de l’eau s’écrasant sur le lavabo résonnait dans la pièce. C’était sûrement des toilettes abandonnés. Pau n’était jamais entrée là.

Au milieu des toilettes, elle vit un enfant. Un garçon blond. Pourquoi était-il là?

La fillette s’était à moitié perdue, même si elle savait se repérer dans ce château. Elle avait cherché des toilettes, et elle en avait trouvé... des abandonnés.

Et puis soudain, elle reconnut le garçon. Elle l’avait déjà vu. C’était celui qu’elle avait croisé dans la volière. Ce jour où tout deux avaient reçu un drôle de hibou. C’était un extraordinaire hasard que de se retrouver tout les deux ici.

Eh! Mais c’est Rivers! Tu te souviens de moi? Pau! On s’est vus à la volière!

Commença-t-elle.

Elle attendit la réponse de Rivers avec un grand sourire.

Inscrite dans la chrono
« Il est grand temps de rallumer les étoiles » G. Apollinaire
2045/46 : 4e année RP
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24 janv. 2021, 12:57
 +   privé  Souvenirs d’enfance
Il poussa la porte, de toute ses forces, et celle-ci s’ouvrit tout en grinçant.
Rivers fut surpris de la pièce dans laquelle il venait d’entree. Elle n’avait rien d’une salle d’etude pour travailler.
Il y avait de grandes flaques d’eau au sol et des morceaux de vers un peu partout. Devant Rivers, des robinets fuyaient et au mur de droite, des cabines de toilettes en bois touts abîmés. Il n’etait pas dans la salle d’etude mais dans les toilettes abandonnées. Il y était déjà venu, vers le début de l’annee. Et c’est la qu’il y avait rencontré Louise Foster.
Il avança lentement dans la pièce. Il marcha accidentellement dans une flaque d’eau qu’il n’avait pas vu et cela mouilla ses chaussures. Il grogna en sentant l’eau lui traverser les chaussures, puis les chaussettes, et venir ensuite mouiller et refroidir le bout de ses orteils. Visiblement, ses chaussures n’etaient pas très étanches. Au contraire, elles faisaient comme les éponges, absorbant toute l’eau aux alentours.
Il marchait donc dans les toilettes quand il arriva devant une fenêtre.
Elle n’etait pas très grande, mais elle était visiblement et sûrement la seule des toilettes abandonnées. La fenêtre était fermée, et de vieux volets poussiéreux la recouvrait.
Rivers prit la poignée de la fenêtre et la tourna pour l’ouvrir. Il eut beaucoup de mal à l’ouvrir. Celle-ci avait du rester fermée pendant très long temps. Il souleva ensuite le petit loquet qui gardait les volets fermés, puis il les poussa. Il y eut un grand courant d’air frais dans la pièce. Le soleil entra dans les toilettes et réchauffa celle-ci. Cette pièce, qui était avant humide et sombre, était maintenant rayonnante et agreable. Elle ne ressemblait plus à une vieille pièce abandonnée. On aurait dit qu’elle revivait. Rivers regarda par la fenêtre et il fut émerveillé par ce qu’il vit. Il y avait la un tableau, digne des plus grands peintres. Le parc du château, couvert de neige. Une neige si blanche, comme il n’en avait jamais vu. Le haut de chaque toits du château était recouvert d’une couverture de neige. Il n’avait jamais pris le temps d’observer le château ni le parc. Mais ce fut d’une courte durée. Il entendit la porte s’ouvrir et quelqu’un entra. Il avait peur que ce soit un professeur qui soit entré et qu’il le gronde car il n’etait Pas sûr qu’il ai le droit d’etre ici. Mais il fut rassuré, lorsqu’il se retourna, et qu’il appercu que c’etait une jeune fille qui était entrée.
Il la regarda, il avait l’impression de l’avoir déjà vu. Elle aussi le regarda, puis lui dit:
Eh! Mais c’est Rivers! Tu te souviens de moi? Pau! On s’est vus à la volière!

Mais oui, c’etait Pau, la fille qu’il avait rencontré à l’an volière lorsque ses parents lui avait annoncé la grande nouvelle. Il se souvenait maintenant.
Il lui repondit donc:
Ah, mais oui, je m’en souviens maintenant. Ton visage me disais quelque chose. D’ailleurs, tu as de la neige sur tes cheuveux. Tu ne serais pas allé dans le parc ce matin?

@Pau Ouma-Decley


!Aigle de bronze dans la chorale de Serdaigle!
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R.R.S.

06 févr. 2021, 12:08
 +   privé  Souvenirs d’enfance
Un moment, Pau avait eu peur que le garçon l'ait oublié. Mais elle s'était fait de fausses frayeurs. Il l'avait reconnue et lui avait même dit qu'elle avait de la neige dans les cheveux.
*Oups, je croyais que tout avais fondu...*
Elle prit ses cheveux par la main pour les regarder. En effet, il restait encore un peu de neige la dedans. Elle rougit légèrement quand il lui devina qu'elle était allée dans le parc ce matin, mais sa peau reprit rapidement sa couleur habituelle. Il n'avait rien deviné. La fille les remit derrière sa tête et répondit à Rivers:

- En effet... Je suis bien allée dans le parc ce matin. D'ailleurs, il n'y avait personne. C'était joli, le sol blanc. J'aime bien sortir le matin. J'ai l'impression que sentir le vent gicler mon visage, le froid me geler les mains et mes joues qui rougissent à cause de ça me montre que je suis toujours vivante. Tu sais, comme si on me disait: " tu sens le vent, alors tu es vivante."
La fille se rendit compte qu'elle s'était emporté dans les détails, Rivers devait avoir décroché depuis longtemps. Elle revint à la réalité et dit: J'suis bizarre hein?


Elle s’était un peu emporté et avait fait marcher sa langue. Elle se demandait comment il réagirait. Mais elle espérait qu'il comprendrait.
La fillette avait les mains mouillés à cause de la neige qu'elle avait touché sur ses cheveux.
Ce matin, elle avait apprécié aller dans la neige. Le contact du froid sur sa peau lui avait montré que, un jour de plus, elle était vivante. Il lui avait montré que si elle pouvait ressentir le vent, elle avait survécu.
Et puis, observer le parc vide était agréable. Il était recouvert d'un grand manteau blanc qui le rendait encore plus attirant. C'était véritablement apaisant de regarder le parc silencieux. S'asseoir au milieu de la neige blanche et laisser le temps passer, la neige s'engouffrer dans son cou, le vent giflant ses joues et le froid les faire rougir, s'était très agréable.
C'est pour cela que Pau aimait beaucoup l'hiver. Parce qu'il apportait la neige, mais aussi la vie. Bien sur, pendant ces trois mois, la nature mourrait, mais pour renaître de plus belle. Au sens de Pau, l'hiver était fait pour lui montrer qu'elle vivait.
Mais elle aimait aussi les autres saisons. Le printemps, par exemple, était signe de renaissance. Après être morte sous l'hiver, la nature revenait encore plus belle que l'année précédente. A chaque printemps, on observait des fleurs dont le parfum était plus doux, dont les pétales étaient plus soyeux. Le vert des arbres réapparaissait encore plus majestueux.
Mais l'hiver avait quand même une place à part dans le cœur de Pau.

@Rivers Robinson-Scott parodn pour ce retard!

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19 août 2021, 23:16
 +   privé  Souvenirs d’enfance
Pau attrapa se cheveux et remarqua qu’elle avait effectivement de la neige dans les cheveux. Puis elle rougit après que Rivers lui ai demandé si elle s’était rendu au parc du château le matin même. Mais Rivers ne savait pas vraiment si c’était pour cette raison qu’elle avait rougit ou si c’était les courants d’air qui lui faisaient froids au visage.
Elle acquiesça ensuite, elle s’était belle et bien rendu au parc ce matin, puis elle fit un long monologue sur le plaisir qu’elle avait eu d’être aller dans le froid au petit matin lorsqu’il n’y avait encore personne.
Le long monologue de Pau n’était pas vraiment du goût de Rivers qui décrocha vite mais il trouva cependant cela remarquable de sa part. Jamais il ne serait capable de décrire ces impressions sur quoi que ce soit aussi bien qu’elle ne l’avait fait.
Mais cela faisait t’il de lui un mauvais garcon.
Le long monologue de cette charmante Pau lui fit penser à son grand père maternel, un vieux moldu grognon qui sortait souvent de long monologue au milieu du repas, ce qui désespérait complètement Rivers et ne l’encourageait pas à plus aimer ses grands parents maternelles.
Rivers ne détestait pas ses grands parents maternelles, loin de là. Il n’avait juste absolument aucuns affinités, il ne portait pas vraiment d’affections à leur égard et c’était réciproque. Toutes les personnes de la famille de sa mère sont des moldus sans exception, ce qui fait que quand il se rend chez ses grands parents, il se sent un peu discriminé. Et puis, il trouve les moldus autres que ses frères et sa mère ennuyants. Ils n’ont pas de magie dans leur vie.

Rivers, qui était replongé dans ses souvenirs d’enfance fut vite ramené à la réalité lorsque Pau conclut:
J'suis bizarre hein?

Rivers réfléchit longuement à cette question posé, elle l’inspirait. Finalement est ce que être bizarre est une mauvaise chose, n’est ce pas mieux d’être différent des autres voir un peu bizarre plutôt que d’être comme tout le monde. Rivers n’avait pas la réponse.
Comme il ne voulait pas risquer de la blesser si jamais elle trouvait ça mal d’être bizarre, il lui repondit simplement mais sûrement
Non, tu n’es pas bizarre, peut être que tu n’es pas exactement comme tout le monde, mais c’est normal, personne n’est pareil, tout le monde est différent dans le bon sens du therme, et heureusement.

Rivers hésita un peu, puis il ajouta
D’ailleurs, je ne sais pas toi, mais je me souviens de ce jour comme si c’était hier, il faut dire que c’était un jour important pour moi, je sais pas si tu t’en souvient.

Effectivement, ce jour précis avait vraiment chamboulé Rivers. Il avait ressentit un sentiment extrêmement puissant mais n’arrivait toujours pas à mettre de mots dessus.

Rivers remarqua qu’il était très loin de Pau comme il était à la fenêtre au fond de la pièce et elle devant la porte d’entrée et que par conséquent ils étaient obligés de parler forts tous deux pour se faire entendre, il décida donc de s’approcher un peu de Pau et arriva à environ 1 mètre devant elle.

A toi @Pau Ouma-Decley


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R.R.S.