Personnage non inscrit dans la chronologie Note moyenne demandée : E

Aisance à l'écrit : 2/3 Aisance à l'oral : 5

Épreuve Écrite
Woh. C'est tout ce qui me vient à l'esprit quand je pénètre dans la grande salle aménagée pour les examens. Aujourd'hui, je passe la partie théorie en histoire de la magie, clairement une des matière que j'aime le moins, cependant à part une pointe d'appréhension, je me sens plutôt bien. Disons que j'ai fait le maximum et qu'objectivement, je suis prête pour l'épreuve. A l'inverse des matières à baguette par exemple, en HdlM si on ne connaît pas le cours théorique, on ne peut rien faire, aucun moyen de se rattraper.

Le point positif est que ça m'oblige à bien apprendre le cours, une fois cette étape fastidieuse passée, la matière devient déjà plus intéressante. Grâce à cela, j'ai travaillé mes cours bien comme il faut tout au long de l'année et mes révisions ont été efficaces, enfin ça, on va le savoir tout de suite. Le seul bémol, c'est qu'à l'écrit, j'ai parfois du mal à être claire, à comprendre ce qu'on attend de moi et le résultat n'est pas très bien organisé, j'ai souvent tendance à partir dans tous les sens. Ce n'est pas un problème qui se règle en un claquement de doigts, mais j'ai été attentive cette année en cours, pas de là à beaucoup participer ni faire des recherches poussées, mais suffisamment pour atteindre un niveau qui me satisfasse.

C'est parti. J'ouvre le parchemin et parcours le sujet, il y a un QCM ce qui est une bonne nouvelle et quelques questions. Je commence par l'exercice le plus simple avant de passer aux questions. Dans l'ensemble, je m'en tire bien, pour les questions qui me posent problème, j'écris ce que je peux et j'y reviens plus tard. Pendant toute l'épreuve, je reste concentrée sur mon travail. Quand je sors à la fin de l'heure, j'ai le poignet en compote et l'esprit encore focus sur l'examen, mais je suis contente. Je suis confiante sur environ vingt-cinq questions, la création de Poudlard, c'est bien, mais machine qui ne s'entend pas avec sa fille et l'autre qui était le fils du cousin du roi, pff… Je décide de penser à autre chose et de profiter de temps que j'ai avant l'examen suivant pour me détendre.


Epreuve orale


Je me sens plutôt bien avant l'épreuve orale d'Histoire de la magie, le format et le côté ludique m'attirent plus. J'aime bien ce genre d'activité, je trouve ça drôle et puis change des fois où il faut juste réciter le cours. Ça nous permet de développer une vision et une analyse personnelle, personnellement je retiens mieux les connaissances qu'on voit dans ce cadre par rapport au cours classique.

Quand Miss Lydon nous explique le déroulement, un petit sourire se dessine sur mon visage. Sourire qui se transforme en grimace quand je découvre mon sujet et surtout, le point de vue. Salazar Serpentard qui veut interdire l'école au né-moldu. Pourquoi a-t-il fallu que je tombe sur ce point de vue discriminant ? Je commence à rassembler mes arguments, concentré, je compte bien réussir cette épreuve et démonter cette rhétorique ridicule. Tout de suite, j'ai plus de facilité à organiser mes idées qu'à l'écrit, quand vient l'heure de passer à l'oral, je suis prête, mais un peu stressée avant de commencer.

"Bonjour, j'incarne Salazar Serpentard et je pense qu'il ne faut pas que les né-moldu puissent étudier à Poudlard, ce que je vais dire n'est absolument pas mon avis personnel. Premièrement, les sorciers sont peu nombreux, par rapport aux moldus, c'est pour cela que nous avons besoin d'un maximum de personnes puissantes ! Or, il est évident que la puissance magique vient de notre ascendance donc il ne faudrait pas diminuer nos pouvoirs en intégrant des gens plus faibles."

Je fais une pause, je me prends au jeu, j'espère que mon message est compréhensible. Qui aurait cru qu'imiter un sans-pur arriéré serait aussi drôle.

"Ensuite, les né-moldu n'ont pas notre culture, ils ont la culture moldue, une famille moldue, des réflexes moldus... A part leurs faibles capacités magiques, mais ça, ce n'est pas si important, ce sont des moldus ! Les intégrer dans notre école, c'est nous mettre en danger en informant des moldus de notre existence et courir le risque que ces enfants brisent le secret magique et nous trahissent ! En cas de conflit, leur loyauté ira vers ceux qui les ont vu grandir, pas à nous. Ils ne feront pas les efforts pour s'intégrer et nous rejoindre puisque nous sommes fon-da-men-ta-le-ment différents. Nous devons rester entre nous !

Enfin, s'ils ne sont pas à Poudlard, et plus tard dans notre monde, ça fait plus de place pour nous les vrais sorciers, moins de concurrence. De cette manière, ils ne nous volerons pas la place qui nous revient de droit !"

Quand, j'ai fini mon discours, je me sens fatiguée, mais contente, j'espère que c'était suffisamment équilibré, je ne voulais pas tomber dans l’excès. Finalement, l'examen l'histoire de la magie s'est bien déroulé.

Votre personnage n'étant pas inscrit dans la chronologie, les réactions indiquées plus bas et les gains de PR induits ne seront officiellement pris en compte qu'une fois votre personnage entré dans la chronologie et après une révision selon l'année que vous aurez visée. N'hésitez pas à me contacter en cas de problème ou lorsque votre inscription à la chronologie aura été acceptée !
Note épreuve écrite : E (15,75/20)
Note épreuve orale : A (13/20)
Moyenne sur le bulletin : E (14,38/20)

Votre travail régulier paie, malgré quelques petites erreurs restants dans vos interventions et vos copie. Votre professeure a globalement une bonne opinion de vous et vous encourage à poursuivre vos efforts. Vous pourrez prétendre à un gain de +3 PR !

Personnage inscrit dans la chronologie Note maximum demandée : Acceptable

Aisance à l'écrit : 3 Aisance à l'oral : 4

Epreuve Ecrite

Si je compte le nombre de fois où j'ai ouvert mon manuel d'Histoire de la Magie, cela doit se compter sur les doigts d'une main. Si je ne compte pas les fois où il fallait l'ouvrir en cours. Je ne mise que sur ce que j'ai pu retenir lorsque j'étais vissé sur ma chaise. J'ai une bonne mémoire, mais aucune idée de si les réponses me viendront lors du test. Je me revois encore en cours, écoutant seulement quand les sujets étaient intéressants. Bon, les Fondateurs, ça l'était, mais le reste... Ah, si ! J'ai écouté les cours les plus récents sur le secret à ne pas briser. Tellement agaçant que je ne pouvais qu'écouter. Tout élément est bon à prendre pour m'offusquer contre ce monde après magique, après tout.

Je ne sais tellement pas à quoi m'attendre que je viens presque sereinement à cet examen. Cette matière me rappelle les cours d'histoire dans ma vie d'avant. Il n'y a qu'à blablater, comme lors des devoirs et des contrôles durant l'année. Venir, écrire le minimum et repartir. Toutefois, je sais que seul un sujet les fondateurs m'arrangera pour viser une très bonne note. Le reste, ce sera à la chance.

En fixant la feuille d'examen devant moi, je soupire de voir autant de questions. Je saisis ma plume, coche, rédige, efface et réécris tout ce qui me vient par la tête. Le poing droite soutenant ma tête, la main gauche écrivant sans grande conviction les réponses qui surviennent dans mon esprit à mesure que j'avance, je me dis qu'après tout, peut-être que j'en aurai entre quinze et vingt de correctes. Ce n'est pas siiii horrible, finalement. Ecouter en cours me sert visiblement plus qu'ouvrir un manuel.

Epreuve Pratique

Me voilà dans le même groupe que Narcisse et Sunday. Pour une fois, je suis plutôt heureux que ce Poufsouffle soit avec moi. Je compte sur lui pour parler. Je regarde le sujet du petit papier pioché et je désespère déjà. Je souffle, lève les yeux au ciel et me demande bien pourquoi on doit parler de ce sujet qui n’en est pas un. En plus, je me tape les pires arguments à donner. Je me souviens qu’en cours, je n’étais déjà pas bien emballé, mais je peux facilement ressortir ceux donnés par Miss Lydon en exemple.

Je laisse mes amis parler en premier, je souris à Sunday qui a l’air aussi à l’aise que moi et parle en dernier. Les mains dans les poches, je récite de manière très peu convaincante les arguments retenus. Je n’aime pas le sujet et cela se sent sûrement. Ma voix est monocorde, je sais que je n’aide pas les deux autres à se motiver à débattre, mais l’exercice m’ennuie. Je hoche la tête aux arguments des autres, je m’immisce dans le débat de manière furtive en rappelant quelques arguments qui ne résonnent pas toujours forcément avec ceux des autres, mais on ne pourra au moins pas dire que je n’ai pas parlé. Certes, ce n’est pas très enjoué et je pourrais m’impliquer davantage, mais je crois que je n’en ai pas envie.

Lorsque vient un des commentaires de Narcisse, étant de son avis - d’un avis qu’on ne m’a pas demandé finalement - je m’écrire haut et fort.

— Ah voilà, moi, je suis d’accord. C’est ça que j’aimerais dire !

Je retourne au débat, reprends ma place initiale et termine l’exercice en récitant les derniers arguments attendus de moi.

Note épreuve écrite : A (12/20)
Note épreuve orale : A (11,75/20)

Si votre spontanéité a intérieurement amusée votre professeure, on ne peut pas dire que le niveau de votre implication/investissement dans sa matière l'enchante. Vous ne gagnez aucun PR !