Qu'est-ce qu'il a des drôles de questions ! Ça ne lui tentait pas de répondre mais elle aimait cette histoire d'animaux, ça la passionait ! Elle ne s'empêcha pas de lui répondre pour dire :
-Le suricate. Parce-qu'il est comme moi, rapide et curieux, vif d'esprit et tout. Et puis pourquoi je te parle ?
Fit-elle désorientée. Elle n'avait pas envie d'être gentil avec ce méchant garçon et de lui obéir. Elle devait sortir. Elle tenta le tout pour le tout et courut le plus vite possible vers la porte, les larmes aux yeux. en pleurant, elle lui lança :
-Pourquoi t'es méchant avec moiiiii ? Je t'ai rien fais !
Elle changa d'idée Et alla vers une cabine de toilette, la ferma la porte de toutes ses forces. La peur était plus que présente en ce moment, tout la rendait littéralement folle et elle ne voulait pas qu'il ne lui arrive rien de mal à cause d'un idiot bien plus qu'idiot. Elle se répetait peut-être un peu mais elle en avait vachement marre.

Elle se mit alors à chialer de plus belle, plus que fachée de ne pas bien pouvoir contre attaquer. Elle avait perdu une partie de sa confiance en soi et n'espèrait plus qu'une seule chose :
Qu'il la laisse tranquille une bonne fois pour toutes. Mais bon, qui savait ce qu'il s'en allait faire ? En tout cas, ça n'était surtout pas elle !
-238 mots-, @Redose Omniak, pas grave !

Allons bon un suricate ? Sérieux ?
Rapide, curieux, vif d'esprit, que de qualités attribué à un si pathétique animal, si elle avait su faire le guet comme lui on en serait pas là bahaha.

Croisant les bras, je me surprend à me dire, mais qu'est-ce que c'est minable, qu'est-ce que c'est drôle et ridicule en observant cette bouffonne fan de suricate fuir vers la porte en gueulant et en pleurant une question insensée
Si il y'avait une raison pour être méchant je doute qu'il y'aurait autant de criminels, de délinquants, de racailles et de voyous. Si il y'avait ne serait-ce qu'une définition universelle à la méchanceté je doute qu'il y'aurait eu autant de guerres par le passé.

Quelle question idiote, quelle serdaigle idiote.

Elle a même pas les tripes d'essayer d'atteindre la porte, pfft, nul. Remarque. J'avais prévu de la chopper par le colback, la robe, n'importe quoi à ma portée pour la balancer devant dès qu'elle serait passé à mon niveau, ça aurait été drôle, je serais parti avant qu'elle tape une crise.

Je l'entends pleurer de l'autre côté de la porte de la cabine.
C'est drôle, marchant en rond les mains dans le dos le sourire aux lèvres, j'ai un nouveau défi à me soumettre, la faire sortir de cette cabine de son gré.

- Moi méchant ? Je ne me souviens pas avoir lever la main sur toi pourtant... Tu t'emportes vite pour une serdy, n'es-tu pas censée être curieuse de ce que tu m'as dit ? Alors pourquoi se fermer autant à la conversation ? Un suricate c'est un drôle de choix par exemple, et si tu m'en disais plus ?

J'aime ce petit jeu, il est marrant !

@Fiona McGaw-Boyer

Toujours à l'intérieur de la cabine, elle se mit à geindre, à gémir. Mais de quoi il se mêlait lui, pourquoi essayait il de faire mal aux gens ? Elle était sûrement pas sa première "victime" ! Lui tout ce qu'il faisait, c'était arriver à un endroit pas rapport, regarder si il y avait des gens, des jeunes, au mieux et essayer de les faire paniquer, de les rendre totalement fous. Qu'allait elle faire han ? Quoi ?

Je ne peux plus continuer comme ça, à être là dans une journée complète, dans ma petite cabine, avec un gars qui m'intimide comme ça. Je veux m'en aller ! Pourquoi ne me laisse t'il pas ? C'est un con, un... un... un pervers ! Un agresseur, je sais pas, je veux juste qu'il arrête, qu'il me lâche, qu'il me laisse partir ! S'il vous plait, quelqu'un... pensa t'elle, comme ça, pendant une ou deux minutes, désespèrant à moitié. Tout ce qu'elle voulait, rendue là, c'était que ce garçon parte. Qu'un prof arrive, qu'on la laisse vivre sa vie. Sur cette pensée, à ce moment ci, elle voulait fuir poudlard, personne n'avait été plus méchant dans sa vie, son histoire moldue.

-ARRÊTE, T'ARRÊTES OK ?! LÂCHE MOI ! VA T'EN, FOUS LE CAMP ! POURQUOI TU T'ENTÊTES À ME FAIRE CH*ER ? PART, REVIENS PAS, JE SAIS PAS DE QUOI TU TE MÊLES EN ME NIAISANT ! PART, PART, PART ! VA T'EN IDIOT elle commença à pleurer, VA T'ENNN !

@Redose Omniak, désolé pour cet énorme retard !

BAHAHAHA Arrête.. Ouin ouin, t'arrêtes ok ? Ouin, ouin, ouin. Elle se prend pour qui pour me donner des ordres celle là non mais oh.
C'est pas une petite peste, encore moins de serdaigle, qui va me donner des ordres.
Pour la peine ça va empirer petite peste.

Pourquoi je m'entêtes ? Avant y'avait pas de raison mais maintenant c'est une affaire personnelle. Pour qui elle se prend pour me donner des ordres cette folle. Hein ? Hein ?
Pfff, quelle minable... Chiale si t'as que tes larmes pour pleurer.
Bat-toi si t'oses, les larmes sont une mauvaise arme de survie.
Ta faiblesse n'est pas excusable par ton âge, cette faiblesse inexcusable et toute cette mascarade me fait... Gerber.

- T'as gagné, je m'en vais, désolé... Dis-je d'un air mélimélodrrramatique !

Puis je partais appuyant mes pas comme si j'étais triste et en colère... Mais à la différence de toi. Je ne suis pas faible. Et c'est à pas de loups, aussi inaudibles que peuvent être les morts que je revenais me cacher contre la première cabine de sorte à ce que l'on puisse pas me voir dans l'obscurité ni dans le miroir... Je devrais garder cet emplacement pour plus tard. Je le note dans ma tête.

Plus qu'à attendre qu'elle vienne pour lui bondir dessus tel une brebis égarée.

La jeune fille, toujours en pleurs, réfléchissais dans sa cabine
Il est idiot. Il pourrait me traiter de bébé, je dirais la même chose de lui. C'est un sale connard, ras le bol de voir sa gueule. J'ai pas peur. J'ai eue peur. Maintenant je veux rentrer dans ma chambre, je suis exaspérée. Mais voyons donc, pourquoi moi ? Pourquoi depuis ma première année primaire, on s'acharne sur moi ? Je suis pas une idiote, contrairement à ce que les gens pensent. Mon QI dépasse celui de la plupart des gens et ça me donne envie de tous leur foutre une raclée de malade. Dont lui.

Lui, c'est tout ce que je trouve à dire, c'est son seul pronom à l'instant. Donc j'entais au point de dire que luiiii ne partirait jamais, non, impossible. Avec sa tête de noeud, c'est clair il est resté et a fait à semblant. On sait jamais mais. Ma baguette, depuis le début, était dans la poche de mon sweat shirt et je l'avais pas remarqué. Quelle idiote je fais, j'aurais pu m'en servir ! En vrai, il me quitte plus ce bâton. Je devrais lui donner un nom. Je vais attendre. Je vais attendre de connaitre le nom du deuxième idiot de cette salle et somme toute, il s'appellera comme ça. Monsieur peut pas garder son identité secrète pour longtemps parce que je suis pas idiote.

Fiona prit son courage à deux mains, sortit sa baguette de sa poche et réfléchit deix fois avant de sortir. Si le mec était là, il s'attendrait à ce que je sorte et que je fasse l'ignorante ! Je dois juste penser à un sort, me cacher ou encore à faire comme si j'ignorais tout... J'ai un plan en fait...

Fiona se coucha au sol, malgré la non hygiènité*. Elle avait une vue sur tout les toilettes abandonnées, dont un coin sombre. Le garçon devait être là. Si non, elle lançerait un sort pour rien et ça ne ferait que l'épuiser. Au sol, ma baguette se pointa vers le "trou noir". J'inspira profondément et...

-MUCUS AD NAUSEAM !!

Elle avait réussi les étapes ! Restait à voir si le mec était vraiment là...

Mucus ad nauseam ? Tss, cette peste est plus maligne que je ne le pensais, j'ai été touché et mon nez se mit évidemment à couler abondamment. Elle a réussit son coup, félicitations petite chouineuse, je vais te montrer ce que c'est que d'attaquer par dessous le trou. Elle se croit protégée derrière sa porte de bois que je pourrais sans doute péter en quelques coups de pieds cette porte... Elle m'énerve, elle m'énerve... J'ai beau laisser la morve couler au sol et ne pas avoir ce réflexe qu'ont les autres étrangement de renifler en mode "sniff sniff" toutes les deux secondes, j'ai beau être discret au point que l'on ne puisse pas m'entendre renifler, que l'on ne puisse entendre que des gouttes tomber au sol, pour autant, cet "avantage de discrétion" ne m'est plus d'aucune utilité.

- La morveuse chouineuse baveuse décide de se rebeller à ce que je vois... Très bien, dans ce cas... J'avais prévu de simplement te faire peur mais désormais... C'est devenu personnel. Mal à parler avec toute cette morve. Ca va pas finir par se dissiper elle n'est qu'en première année et ce sort n'est pas bien dangereux.

Ramassant mon sac je pris toutes ces feuilles vierges que je vole, récupère au sol de temps en temps, tout ces emballages vides. Toutes ces feuilles dans mon sac faisaient un sacré poids et même si à la base je fais ça pour me muscler, là elles vont me servir à tout autre chose. Je vais te faire regretter. Microbe.

Je finis par glisser toutes ces feuilles sous la porte de la cabine de l'autre écervelée, mon nez coule encore, ça me gêne tellement... Pas. Je préfère respirer par le nez c'est vrai mais par la bouche c'est plus efficace, à part pour parler je m'en tape que mon nez coule, ça mouille un peu mais je m'en tape, je ne m'essuies pas et je ne renifle pas, c'est inutile.

Baguette à la main.
- Incendio. Profite de l'enfer.
Adossé contre la porte de tout mon poids, les bras croisés.

La directrice avait quitté tardivement la Grande-Salle. Ou plutôt, elle avait fait un détour par les cuisines une fois le repas terminé à la demande des elfes de maison. Une fascinante histoire de matériel à renouveler. Elina devrait prévoir un budget et le remplacement de certains ustensiles une fois qu'elle aurait regagné son bureau, un parchemin avec ses notes sous le bras.

Alors qu'elle venait d'atteindre le second étage et prévoyait de poursuivre sa route, un détail la retint. Une odeur bien spécifique qui n'avait rien à faire là, mais qu'elle pourrait reconnaître n'importe où. Ladite odeur guida ses pas jusqu'au toilettes abandonnées. Dernier lieu où elle aurait pensé atterrir étant donné la proximité de point d'eau. Elle sortit sa baguette pour intervenir rapidement une fois l'origine de l'odeur identifiée et poussa la porte des toilettes pour y trouver une scène particulière. En l'occurrence, un élève au nez dégoulinant de manière peu ragoutante fermement adossé à la porte d'une cabine d'où semblait provenir l'odeur et d'ici, même de la fumée. L'attitude de l'élève semblait invalider la possibilité d'un accident qui aurait normalement dû causer un peu plus d'émoi chez lui quand bien même il avait sa baguette à la main.

« Que se passe-t'il ici ? »

Le visage fermé de la directrice et son ton ne permettait pas de douter de son intention d'avoir des réponses dans les secondes à venir.
Il n'y a pas de fumée sans feu et le feu appelle Elina...

Mon sang ne fit qu'un tour un seul, glacé.
Elina Montmort a k a the giga boss final de Poudlard, aucune chance de la vaincre c'est pas une élève, aucune chance de la mener en bateau c'est pas Candide, aucune chance de fuir. En bref, je suis dans la bouse jusqu'au cou, remarque, l'autre l'a cherché et ce sera sa parole contre la mienne... Hmmm, comment s'en sortir de cette situation... Ne pas mentir est la meilleure des idées, ça évitera de décéder, de toute façon j'allais pas laisser l'autre gamine brûler j'aurais ouvert la porte et puis c'est un petit feu donc ça devrait aller. Rigide comme un bâton je me décolle vite de la porte et me mets face à Elina, impassible, le nez toujours coulant à flot j'essayer d'aligner des phrases aussi bien que mal même si un peu de morve arrivait dans ma bouche pendant que je parle, en temps normal je m'en tape mais la j'essuie avec ma manche pour la forme parce que, c'est Montmort quoi. Regardant le sol pour éviter tout contact visuel, je suis intimidé c'est vrai.

- J'ai joué un peu avec une élève, elle s'est enfermée dans une cabine et au moment où je partais elle m'a lancé un sortilège de crotte de nez, j'ai donc voulu lui faire peur en allumant un feu à ses pieds. Ca me fait paraître pour le méchant ? Peu importe je le suis après tout mais il faut que j'explique qu'elle risque rien.

- Il est évident qu'elle ne risquait rien, c'est un petit feu... Elle peut se tenir sur les toilettes et de toute façon je l'aurais laissé sortir et j'aurais pu éteindre le petit feu...

Toquant à la porte pour m'adresser à la personne dans la cabine.

- C'est bon arrête de jouer sors c'est madame la directrice.

Prise dans son piège et son piège étant doté de feu, Fiona, qui est proprio de l'eau n'était pas dans son élément. La jeune fille ne savait plus quoi faire. Elle ne souhaitait que contrer l'intimidation qui avait eu lieu envers elle. Durant toute sa maternelle, on l'avait harcelé. Elle avait faillit avoir un faible choc post Traumatique mais cela n'avait pas eu lieu avec chance. Cette fois, le feu lui fera peur. Pour toujours.

Elle avait lancée un sortilège de morve et elle se retrouvait à flamber. D'ailleurs, son pied, il avait prit en feu. Un cas sérieux pour cette fois. Le livre était toujours sur le comptoir de la salle de bain mais le feu rongeait mon pantalon. Bientôt, ce fut ma peau. Je cria de douleur avec les larmes venant avec. Soufflant sur le feu, il ne faisait que monter et mes mes vêtements -qu'une partie- était partis en cendres. Pourquoi moi ? Pourquoi toujours moi ?

Quelqu'un était là. Mon coeur battit encore plus fort. Quasiment impossible mais... Oui. La voix féminine -sur laquelle je ne portais pas attention à cause de ma jambe- demanda la raison. Le con partit pour une tirade à propos d'un cris et je me contenta de quelques gémissements. Je m'étais fracturée deux fois le même genoux et déboitée quatre fois la même épaule. Les brûlures ne sont pas invisibles sur mes mains mon dos et mon pieds ; jet de douche trop chaud, moi tentant de me cuire des ramens et piler sur un fer à friser. Ça c'était pire mais ça ressemblait à ma routine. C'est ça les grandes familles...[/i] À elle de répliquer.

-JE SUIS AU FEU AIDEZ MOIIIIIII ! IL VOULAIT PAS JOUER J'AVAIS PEUR IL M'A FAIT MAL C'EST DE L'AUTO DÉFENSE QUELQU'UN PEUT M'ÉTEINDREEEEEEEEEEEE ?

Dans sa cabine, elle ne pouvait plus rien. Elle embarqua sur une espèce de boite et manqua de tomber alors que le bout de plastique -voir bois- tombait et finit par se retrouver à peine plus loins que le feu, en haut du mur de bois séparant les cabines. Le feu rongeait non seulement mes baskets mais les murs à présent. La vision de la directrice me fit avoir un regard De honte, bizarrement. Tout ce cirque n'était pas de la comédie mais la directrice était là...

Mais ? "Je suis au feu" ? C'est quoi cette... Bon, j'ai pas la patience de lui expliquer qu'elle n'est pas au feu et qu'il est minuscule tellement minuscule que même moi je n'en ai pas peur, non, elle essaye juste de me mettre dans la bouse. Tss.

- Non mais arrête ta comédie, alohomora.

Ouvrant violemment la cabine, je peux quoi de toute façon je suis énervé que ça se déroule comme ça et encore plus énervé qu'elle joue ainsi la comédie, non mais sérieux quoi elle aurait pu sauter sur le feu minuscule pour l'éteindre, l'étouffer avec sa cape, monter sur les toilettes, OUVRIR LA PORTE OU GRIMPER. Tss...

- Extinguo, t'as finis ta comédie ? C'est bon ?

Le feu éteint je lui pris le poignet prêt à la ramener violemment hors de la cabine mais... Comment dire... Devant la directrice c'est pas le top, je soupire et en ressort, je tend alors mon bout de bois pointe vers moi à la directrice. Je sais d'ores et déjà ce qui va se passer d'autant qu'avec sa petite comédie "gnegne je suis au feu aidez moi" ça la fait passé pour la plus grande victime alors qu'au final je lui ai juste fait un peu peur, je l'ai même rassuré en me délestant de ma baguette et elle agit comme si je l'avais mise en feu, ça m'enrage qu'on puisse ainsi se moquer des gens qui prennent réellement feu... La prochaine fois... Je.. J'arrive même pas à penser droit avec toute cette morve.

Je posterais plus avant que Montmort ai posté désolé, fallait bien rectifier le tir