Tu pris toi aussi une Plume, pour pouvoir te mettre à l'ouvrage. Tu avais une idée précise d'un mot à marquer sur une table.


Fis tu en mimant chacune des possibilités en riant. *Bon en vrai on pourrait vraiment se faire punir mais bon* Elizabeth se mit elle aussi à écrire une phrase, alors tu fis de même.


Tu commenças donc à graver ton message, mais c'était long, fastidieux et fatiguant, mais tu tenais à le faire, si bien qu'en moins de 10 minutes ce fut bouclé. Elizabeth te posa ensuite une série de petites questions, auxquelles tu répondis.


Annonças tu d'un ton détaché, suivi d'une révérence afin d'accentuer le ridicule de ta façon de parler. Tu aimais décidément bien cette petite Jaune. Comparée à la plupart des gens de sa maison, elle était dix fois meilleures, plus amusantes, authentique, gentille, une personne formidable en somme

Sa coéquipière était décidément très intelligente: écrire tel des hommes pour ne pas se faire démasquer, une technique digne des plus grands espions, n'est ce pas ? La jeune fille se présenta comme une Serpentard au nom d'Erza, en deuxième année. Iratus nota son nom intérieurement, et regarda leur "chef d'oeuvre".
- Là, le prof va bien être mis en garde ! Personne ne va mourir aujourd'hui, grâce à nous chère coéquipière ! lança t-il en bombant le torse.
Il était content que sa curiosité ait pris le dessus, il s'était bien amusé cet après-midi, et ne regrettait en aucun cas ses actions. Il jeta un coup d'oeil à sa montre puis proposa à Erza:
- Pour fêter notre réussite, on devrait aller manger un truc avant de retourner dans nos maisons respectifs... Ou plutôt, on devrait se grouiller de déguerpir en vitesse, avant que le prof n'arrive et nous crame ici.
Il balaya une dernière fois du regard la salle avant d'attraper le bras de la Serpentard et de se diriger vers la sortie sans attendre de réponse de sa part. Iratus ouvrit discrètement la porte et passa la tête à travers le cadre afin de scruter les environs: personne dans les couloirs du premier étage. Ils en avaient de la chance. Il sortit à pas de loup de la salle, toujours la main accrocher à la deuxième année, et referma l'antre des objets dangereux. Il continua son chemin en direction des escaliers comme si de rien n'était, et lâcha la verte et argent avant de lui dire:
- On recommencer quand tu veux à sauver les gens.
Ou du moins, c'est ce qu'il pensait avoir fait.

@Erza McGowan badabum, c'est la fin pour moiii, merci

Le professeur, qui avait dû s’absenter pour aller chercher quelques ouvrages à la bibliothèque, remontait à présent le couloir menant à sa salle de cours et à son bureau. Croisant au passage deux élèves en haut de l’escalier, qu’il prit le temps de saluer d’un petit mouvement de tête, il rejoignit finalement son lieu de travail. En arrivant, Owen constata avec stupeur que toutes les portes étaient ouvertes… il aurait donc oublié de les fermer ? Ce n’était pourtant pas dans ses habitudes de ne pas les verrouiller lorsqu’il quittait la pièce… Mais en y réfléchissant bien, il n’avait effectivement pas le souvenir de s’en être occupé en partant. Il s’avança alors d’un pas rapide vers son bureau afin de s’assurer que rien n’y avait été pris.

Quelle ne fut pas sa surprise en voyant ses objets moldus de collection éparpillés sur le sol, démantelés même pour certains et… jetés dans la poubelle ? Horrifié, le jeune professeur courut jusqu’à son bureau sur lequel il put y lire une gravure. Owen se prit la tête entre les mains. Abassourdi. Il n’en revenait pas. Il se pinça le dessus de la main pour vérifier qu’il ne rêvait pas avant de reprendre pied. La chose était faite, il y aurait des réparations et il y avait très certainement de la casse aussi mais… pour l’instant il n’avait plus qu’une chose en tête : trouver les coupables. *Ils ne doivent pas être bien loin… la gravure est fraiche et puis je ne me suis pas absenté très longtemps* songea-t-il toujours la tête entre les mains, assit sur son fauteuil, coudes appuyés sur le bureau. C’est alors qu’il se souvint avoir croisé deux élèves en venant. Et seulement deux. Ni une ni deux, l’irlandais se leva et se mit à courir dans le couloir dans l’espoir de les rattraper avant qu’ils ne changent de direction. Il ne se donna de nouveau pas la peine de fermer la porte. Au point où il en était de toute façon…

*Bingo !* s’écria-t-il dans sa tête en les voyant toujours dans l’escalier. Il ralentit alors son allure et vint se placer en travers de leur chemin.

- Excusez-moi toutes les deux, pouvez-vous me suivre s’il vous plaît ? demanda-t-il aux deux demoiselles. Plus qu’une question c’était une obligation. Il ne leur laisserait pas le choix que de venir avec lui jusqu’à son bureau. Si coupables elles étaient elles passeraient un mauvais quart d’heure mais si jamais ce n’était pas elles… peut-être auraient-elles une idée de qui aurait pu faire ce coup là. Dans tous les cas, les deux jeunes lui seraient utiles.

@Elizabeth Merrow et @Erza McGowan, pas de chance ! C’était presque le crime parfait !

Elizabeth avait un enthousiasme qui était très contagieux. Elle me donnait envie de sourire, d'enchaîner bêtises sur bêtises, pour m'amuser comme je venais de le faire. Revenant peu à peu à la réalité, je jette un coup d'œil sur la pièce, pour vérifier que nous n'avons pas laissé traîner quoi que ce soit qui puisse nous incriminer. Je ne voudrais pas que ma nouvelle amie se fasse punir par ma faute... La Jaune me propose d'aller manger dans la Grande Salle, et je saute sur l'occasion. J'ai toujours faim, et je n'ai pas envie de quitter tout de suite la Poufsouffle.

— Trop bonne idée ! En plus je meurs de faim perso. Je sors la première, je vérifie qu'il n'y a personne, puis je te fais signe pour que tu me suives ok.

Sur ces mots, je m'approche silencieusement de la porte, passe furtivement la tête en dehors, vérifie de chaque côté qu'aucun adulte ne passe dans ce couloir du premier étage puis je fais signe à la Jaune de me suivre. Alors que nous commençons à nous diriger vers les escaliers, Mr Locke paraît et passe à côté de nous. Je reste impassible, avant de glisser discrètement à Elizabeth :

— Surtout, ne courrons pas, sinon il va se douter de quelque chose. Et puis, si il nous interroge, on donne un faux nom hein !

Mon acolyte est très débrouillarde, je n'en doute pas, mais je préfère m'assurer du bon déroulé du plan. Les escaliers sont presque sous nos pieds lorsque le professeur d'Étude des Moldus se plante devant nous. Présentant mon plus beau sourire, j'aquiesce lorsqu'il nous demande de le suivre. Pas question de me trahir. Et je ne laisserai pas Jon plus Elizabeth se trahir. Faisant demi-tour, je me prépare à retourner dans le bureau... *Tu t'appelles Scary Limpson*. C'est certain, c'est la pire chose à faire que de prendre le nom de ma cousine comme mensonge, mais c'est la première chose qui m'es venue à l'esprit, et je n'ai pas vraiment le temps d'y réfléchir plus en détail de toute manière.

Pile au moment où Iratus comptait repartir tranquillement après avoir effectuer un chef-d'oeuvre il vit Mr Locke passer près d'Erza et lui. Prendre ses jambes à son cou allait être un signe qu'ils étaient coupables, et il en était hors de question. Heureusement pour lui, Erza paraissait être sur la même longueur d'ondes que lui, et il se détendit tout en marchant tranquillement, jusqu'à ce qu'il entendit le tant attendu appel de l'homme qui les arrêta devant les escaliers. Iratus suivit donc les consignes d'Erza, et se maudit intérieurement tout en réfléchissant: comment devrait-il s'appeler ? Il ne pouvait pas coller sa bêtise sur la tête de quelqu'un d'autre ! Et puis zut, il y réfléchirait plus tard, là il fallait qu'il réponde le plus tranquillement possible à Mr Locke. Et cela ne devait pas être très compliqué vu qu'il sentait la présence de Ratio qui le calmait d'une certaine manière. Iratus sourit légèrement au professeur tout en ajoutant une pointe d'interrogation sur son visage: il devait avoir l'air surpris d'une telle demande.
- Bonjour Mister ! répondit-il en le regardant le plus normalement du monde. On peut vous aider ?
C'était courant pour les professeurs de demander de l'aide aux élèves pour différentes tâches même si en général cela était affiché sur un panneau. Il suffisait de penser qu'il avait une urgence et le tour était jouer. Il suffisait aussi qu'Erza le suive dans le déroulement de son plan, mais il ne s'inquiétait pas trop.

je suis absolument honteuse... dire que j'avais laissé ce superbe RP dans un coin... Veuillez m'excuser de mon horrible retard

prête à mentir camarade


@Erza McGowan et @Owen Locke

Lorsqu’Owen demanda au deux élèves qu’il venait de rattraper de le suivre, sans toutefois leur donner la raison, la réaction ou plutôt la non-réaction de la Serpentard le laissa confus. Avait-elle quelque chose à se reprocher pour ne pas avoir l’air ne serait-ce qu’étonné de se faire interpeller ainsi au beau milieu du couloir par l’un de ses professeurs ? S’y attendait-elle ? Ou avait-elle simplement l’habitude ? Perplexe, l’irlandais ne fit cependant aucune remarque à ce propos, préférant laisser planer le doute et voir comment elle réagirai à l’entrée de son bureau. A la réaction de surprise beaucoup plus naturelle, presque forcée ? du Poufsouffle, il s’efforca de sourire tout en réfléchissant à une réponse.

- Vous ne pourriez pas tomber mieux, avanca-t-il sans toutefois donner plus de détail et en se dirigeant d’un pas rapide vers sa salle de classe puis son bureau, s’assurant tout de même que les deux élèves suivaient. Puis lorsqu’il fut arrivé devant, il y fit entrer la gryffondor et la poufsouffle avant de refermer la porte derrière eux, leur laissant par la même occasion le temps de découvrir l’empleur des dégats. C’est vous qui avez fait ça ? demanda-t-il ensuite de but en blanc en les regardant droit dans les yeux, d’un regard triste et sévère. Je vous déconseille dans tous les cas fortement de mentir, je le saurai et ça ne ferait qu’aggraver les choses. Alors ? relança-t-il bras croisés, prêt à déceler toute tentative d’esquive ou de mensonge dans leur réponse.

Par la barbe de Merlin ! Bien sûr, il fallait qu'il se pointe maintenant, enfin surtout, qu'il nous interpelle. Je lui tends mon plus beau sourire pour qu'il n'y voit que du feu. Elizabeth prend les devants, et je vais la suivre. Si on part chacune dans une direction différente, on peut être sûre que tout tombera à l'eau. La salle de retenue sera notre nouvelle salle commune et on deviendra la bête noire de tout Poudlard. Mes notes sont déjà en dent de scie, en fonction de ce qui me plait ou non, et me faire prendre me fera descendre encore plus bas. Maman sera mise au courant, et c'est clair que ça ira mal pour moi. J'ai réussi à intercepter toutes les lettres concernant les cours séchés, mon attitude mais ça, ça ne passera pas. Je recevrai sans doute une beuglante, et même si ça ne me fera ni chaud ni froid, je préfèrerai éviter. Poudlard, même si on ne peut pas dire que j'y sois heureuse, me permet d'échapper à la maison. Je vis ma vie dans mon coin, sans être embêtée par quiconque. Finalement, je me suis décidée à arrêter de chercher à renouer contact avec Fred. Il ne veut plus de moi ? Très bien, je vais m'en sortir toute seule. Maintenant, c'est à moi, la grande, d'aider ma nouvelle amie.

— Je crois que votre porte de salle était ouverte, quelqu'un est entré à l'intérieur ?

C'est risqué. Mais Eliz' a proposé son aide, nous sommes innocentées. Et puis, même s'il ne le saura pas, on ne fera que ranger ce qu'on a sorti.