Cela fait seulement quelques jours que j'ai commencé les cours à Poudlard, et je ne suis vraiment pas déçu. Le cours que j'attendait le plus impatiemment est celui d'astronomie, et lors du premier cours la semaine dernière, j'ai senti que cette matière me plairait tout du long de mon apprentissage.

Étant actuellement assis près du feu de la cheminée située au milieu de mon dortoir, je m'ennuie profondément. Je n'ai rien envie de faire d'autres que d'aller regarder les étoiles.
Après quelques minutes de réflexion, je me lève de ma chaude place près du feu et me prépare au grand froid ayant maintenant recouvert Poudlard depuis quelques jours (écharpe chaude, gants en laine et cape d'hiver sont de mise).

Je décide alors de monter à la tour d'astronomie pour chercher un bon endroit où regarder les astres de la nuit. Ce soir, je reviendrai une ou deux heures avant le couvre-feu dans l'espoir que les étoiles seront visibles à ce moment là.

Arrivé devant la porte de la salle, je la pousse doucement et entre précautionneusement dans le froid. La température est déjà si basse, alors que nous sommes en milieu d'après-midi ! J'aurais intérêt à bien me couvrir ce soir, si je ne veux pas tomber malade !
Retenant mon écharpe qui s'affolait face au vent, je grimpe au pont d'observation à l'étage afin de dénicher le meilleur point de vue possible. Pour y arriver, je navigue entre les tables, les sièges et les instruments d'observation, prenant garde à ne rien bousculer au passage. Tout ces outils d'astronomie sont aussi impressionnants que dans mon souvenir. Je ressens alors à ce moment précis, une immense excitation à l'idée d'apprendre à observer et analyser le ciel nocturne avec plus de détails et de précision.

Le bord de la tour atteinte, ce que je vis me coupa le souffle : un paysage d'un blanc immaculé s'offrit à moi. Des flocons voltigeants dans tous les sens faisaient ressembler ce panorama idyllique, à une boule à neige. Je me perdis alors dans mes pensées, envoûté par ce que je voyais.

L'ambiance de la salle commune poufsoufflienne, bien qu'agréable, m'étouffait en ce dimanche après-midi. Etant arrivée depuis peu, je ne connaissais presque personne : tant qu'a être seule, autant aller dans un endroit tranquille et calme où je pourrais réfléchir et lire en paix. Je me levai d'un des épais canapés, allai chercher un vieux roman que j'avais commencé il y a quelques jours et passa par la porte de la salle.

Déambulant dans les couloirs, croisants de multiples visages, la majorité inconnus et certains découverts lors des cours de la semaine écoulée, je réflechissais. Où aller ? A la bibliothèque ? Je risquai de croiser certaines personnes que je n'avais pas envie de croiser. Le parc ? Il faisait froid et je n'avais pas enfiler ma cape. Une idée me vint soudain : la tour d'astronomie. Pendant le cours, cette semaine, j'y avais sentie une bonne énergie. L'endroit était sûrement paisible en cet après-midi frais.

Je montai les escaliers qui y menait, et pris le temps d'observer ce qui étais autour de moi. Cette école était si fascinante ; on sentait que dans chacune de ses pierres, chacun de ses tableaux était ancrée une histoire. Arrivant à la porte de la salle, je l'ouvrai et une bourrasque me fouetta la figure. Oh, je ne m'étais pas attendue à une telle fraîcheur ! J'aurais dû emporter ma cape, et même mon écharpe ... J'allais finir avec une angine ! Mais je me sentais bien ici, et décidai de rester. Alors que je refermai la porte et me retournai vers la rembarde, j'aperçu une silhouette au bord de la tour. Ne sachant pas vraiment comment réagir, je décidai de toussoter pour m'annonçer, et dit :

- Euh, salut ?

@Zaël Wood

Ce paysage, d'un blanc pur, me rappellait l'hiver dernier où, avec mon frère et ma sœur, nous avions organisés un concours du plus beau bonhomme de neige, qui s'était très vite transformé en bataille de boules de neige. Lorsque nous étions rentrés à la maison, nous étions trempés de la tête au pieds, frigorifiés, mais souriants et enthousiastes. Nous nous étions ensuite réchauffés devant un bon bol de chocolat chaud, ce qui ne nous avait pas empêchés, mon frère et moi, de tomber malades.

Penché à la balustrade, le fil de mes pensées et de mes souvenirs continuait à défiler dans ma tête, lorsqu'une voix se fit entendre dans mon dos :

- Euh, salut ?

Surpris, je me retourna vivement, et aperçu alors une fille assez petite, en train de me regarder avec ses grands yeux en amandes. Sur le coup, je ne savais pas trop quoi dire. Je restai donc muet et immobile pendant un instant, avant de briser le silence :

- Oh, bonjour !

Même si elle était plus petite que moi, j'étais un peu intimidé à l'idée de lui parler. Cela ne faisait qu'une semaine que nous étions entrés à Poudlard et j'avais un peu de mal à me sentir à l'aise avec les autres. J'hésitai donc encore un moment avant de me lancer à nouveau :

- Qui es-tu ?

Je remarqua alors qu'elle ne portait pas d'écharpe, ni même de cape. Un frisson me parcouru l'échine.
Elle n'a pas froid ? Que lui arrive-t-il pour qu'elle vienne ici si peu couverte ? Elle se sent mal ?

- Tout va bien ? Tu n'a pas froid ? Tu ne devrais pas rester ici, tu vas tomber malade ! lui demandais-je alors.

Le garçon se retourna d'un coup. J'espèrais ne pas lui avoir fait peur, ce n'était pas mon but. Il lança alors :

- Oh, bonjour !

Puis il continua, quelques secondes plus tard:

- Qui es-tu ?

Comme d'habitude, mon esprit tournait à plein régime. Que répondre à cette question ? Qui étais-je vraiment ? Puis, je me dis qu'il attendait sûrement une réponse simple, comme tous le monde en attendrait. Il n'y avait vraiment que moi pour me demander s'il fallait donner toute une réponse philosophique à cette question.

- Je suis Léanne, je suis en première année, dit-je calmement. A Poufsouffle ! rajoutais-je avec un brin de fierté. Et toi c'est ... ?

Je ressentais toujours une grande fierté et une grande tendresse quand je parlais de ma maison. J'avais beau y être depuis quelques jours seulement, je m'y sentais déjà assez bien, même si je n'étais pas encore très intégrée parmi les élèves de Poufsouffle, ou même de ma promotion. Après tout, me faire des amis n'avaient jamais été mon point fort.

- Tout va bien ? Tu n'a pas froid ? Tu ne devrais pas rester ici, tu vas tomber malade ! demanda le garçon qui me faisait face.

- Oui oui, ça va c'est juste que ... j'avais envie d'être un peu seule. Mais ne t'inquiète pas, tu peux rester hein ! rajouta-t-elle précipitemment, ne voulant pas le vexer.

Je continuai :

- J'ai un peu froid, mais tu sais, je suis résistante ! Je suis très rarement malade, et puis, j'adore regarder les étoiles, dis-je en regardant en direction du ciel. C'est tellement beau !

Un peu gênée, je continuai à regarder les étoiles. Avait-il réellement besoin de savoir que j'étais résistante et peu souvent malade ? Je ne pense pas, mais je m'étais un peu laissée emporter dans la conversation.

Me souvenant du premier cours d'astronomie, j'essayai de reconnaître quelques-unes des constellations principales que l'on pouvait aperçevoir en cette saison. Apparemment, l'astronomie ne serait pas mon point fort, car je n'en reconnus aucune.

- Je suis Léanne, je suis en première année, répondit-elle d'un ton calme. À Poufsouffle ! Et toi c'est ... ?

L'information principale ne passa pas tout de suite par mon cerveau. Celui-ci était coincé sur "Elle n'a pas froid ? Que lui arrive-t-il pour qu'elle vienne ici si peu couverte ? Elle se sent mal ? Comment fait-elle pour ne pas mourir de frigorification ??"

Je la questionnait donc là-dessus, sans prendre en compte ce qu'elle venait de dire :

- Tout va bien ? Tu n'a pas froid ? Tu ne devrais pas rester ici, tu vas tomber malade !

J'espérais ne pas en faire trop, mais je ne pouvais m'empêcher de m'inquiéter. J'avais l'impression de sentir le froid sur la peau de mon cou et des mes mains, comme si je n'avais ni écharpe, ni gants, comme elle.

- Oui oui, ça va c'est juste que ... j'avais envie d'être un peu seule. Mais ne t'inquiète pas, tu peux rester hein ! me dit-elle. J'ai un peu froid, mais tu sais, je suis résistante ! Je suis très rarement malade, et puis, j'adore regarder les étoiles.

Je n'étais pas convaincu, mais elle regarda le ciel avant de continuer :
- C'est tellement beau !

À ce moment là, ma passion repris le dessus sur ma préoccupation et j'en oublia même complètement la température extérieur.

- Tu as raison, c'est magnifique ! On dirait un autre monde, comme si on était le public d'un spectacle qui évoluait totalement indifféremment de nous. En fait, c'est un peu ce qui se passe... En tout cas, j'aimerai vivre indéfiniment pour pouvoir regarder le ciel jusqu'à la fin de l'univers ! S'il a une fin... Tu crois que l'univers aura une fin ? C'est vraiment dommage que le soleil se lève, on ne voit plus les autres astres après.

Je me tus abruptement, continuant de réfléchir à tout ça dans ma tête.

Puis, revenant à la réalité, je redemanda à la jeune fille toujours devant moi :

- Qui es-tu ?

Le garçon ne répondit pas à ma question. Peut-être était-il ailleurs, ou qu'il n'avait pas entendu. Tant pis, je lui reposerais plus tard.

Il me regardait avec un air inquiet. Pourtant, je lui avais indiqué que je n'avais pas trop froid ! Après avoir entendu ma réponse, il s'exclama avec passion :

- Tu as raison, c'est magnifique ! On dirait un autre monde, comme si on était le public d'un spectacle qui évoluait totalement indifféremment de nous. En fait, c'est un peu ce qui se passe... En tout cas, j'aimerai vivre indéfiniment pour pouvoir regarder le ciel jusqu'à la fin de l'univers ! S'il a une fin... Tu crois que l'univers aura une fin ? C'est vraiment dommage que le soleil se lève, on ne voit plus les autres astres après.

Je réfléchis à sa question.

- Oui, peut importe ce qui nous arrive dans notre vie, les étoiles seront toujours là ... Pour moi, c'est un point de repère. Je sais que chaque nuit où je sortirais les regarder, elles seront là. Comme à attendre qu'on vienne apprécier leur beauté intemporelle, avant que le Soleil ne les remplace. A répandre leur lumière dans la noirceur de la nuit.

Je m'arrêtai quelques instants, pour réfléchir à ce qu'il avait dit. L'univers aura-t-il une fin ?

- Je crois que l'univers aura une fin. Enfin, du moins, du point de vue scientifique, ajoutais-je. Mais à la fin, il restera bien quelque chose ? Nous ne pouvons pas savoir ce que réserve l'avenir, mais ... je pense que s'il doit rester une chose à la fin, ce sera les étoiles.

Je regardai le garçon en face de moi. J'aurais aimer pouvoir associer un nom à son visage. Il semblait en pleine réflexion, puis me regarda et redemanda :

- Qui es-tu ?

N'avait-il pas entendu la première fois, comme j'en avais émis l'hypothèse ? Avais-je parler trop vite, ou pas assez fort ? D'une voix mal assurée, je lui répondis :

- Je suis ... Léanne ? Je suis en première année, à Poufsouffle. Et ... toi ? Qui es-tu ? demandais-je en le regardant dans les yeux.

Je me sentais un peu perdue, à cet instant précis.

@Zaël Wood

- Qui es-tu ?, questionnais-je la jeune fille.

Bizarrement, j'avais une impression de déjà vu, comme si j'avais déjà formulé cette question à la même personne, au même endroit. D'une voix peu confiante, elle répondit à ma question :

- Je suis ... Léanne ? Je suis en première année, à Poufsouffle. Et ... toi ? Qui es-tu ?
- Oh ! Vraiment ? m'exclamais-je. Alors on est de la même maison ! Je suis Zaël, de Poufsouffle, en première année aussi., dis-je tout fier.

Au début de l'année, lors de la cérémonie de répartition, ma future maison m'importait peu. Mais mes camarades Pouffys m'avaient peu à peu transmis cette fierté quant à leur appartenance à Poufsouffle. Je me rendais maintenant compte de la joie et de l'honneur qu'ils ressentaient (et que je ressentait aussi).

Après encore quelque secondes de réflexion, je me remis à penser à ce que j'étais venu faire ici. Je commença à repartir vers ma recherche de point d'observation, puis me figea en me rappelant de la présence de Léanne. Quel idiot je suis ! J'ai failli l'oublier !
Je revins alors sur mes pas, l'observa un instant, puis l'invectiva à rentrer au chaud :

- Tu m'a dit que tu n'allais pas tomber malade, mais je m'inquiète quand même. Tu devrais rentrer et trouver un autre endroit chaud. Ou alors aller chercher de quoi te couvrir. Tu veux que je t'aide à trouver un endroit calme ? Le château est grand, on va bien trouver.

Tout en me balançant de gauche à droite, je réfléchissais à une salle ou un endroit, calme et peu peuplé que je pourrait lui conseiller.

- Oh ! Vraiment ? me répondit-il. Alors on est de la même maison ! Je suis Zaël, de Poufsouffle, en première année aussi.

Ah, un Poufsouffle ! Je ne connaissais pas encore grand monde dans ma maison, alors j'étais heureuse de savoir qu'il y était. De plus, un en première année. J'étais encore très timide avec les élèves plus vieux que moi ; ils m'intimidaient. Et ce garçon semblait gentil.

Alors que je regardais l'horizon et fixai mon regard sur une constellation à la forme assez intriguante, Zaël commença à partir vers l'autre bout de la tour, vers un télescope. Je me retournai pour le suivre du regard, et quelques secondes après il se ravisa et revint vers moi. Il me dit alors :

- Tu m'a dit que tu n'allais pas tomber malade, mais je m'inquiète quand même. Tu devrais rentrer et trouver un autre endroit chaud. Ou alors aller chercher de quoi te couvrir. Tu veux que je t'aide à trouver un endroit calme ? Le château est grand, on va bien trouver.

- C'est vrai tu as raison, il fait quand même ... un peu froid, répondis-je en frissonnant. Je devrais rentrer.

Je réfléchis à sa proposition. Je me sentais plutôt bien ici, mais je commençai vraiment à sentir le froid sur ma peau et j'imaginai déjà ma voix enrouée le lendemain matin. Alors l'idée d'aller au chaud, à l'intérieur du château n'était pas une mauvaise idée.

- Oui, je veux bien. C'est le premier endroit auquel j'ai pensé la tour d'astronomie, et le seul d'ailleurs ... Je ne connais pas bien le château. Alors si tu as des endroits à me conseiller, je suis preneuse, dis-je en souriant.

Je ramenai ma robe d'uniforme devant moi et en croisai les pans pour essayer de me protéger du vente.

@Zaël Wood

- Oui, je veux bien. C'est le premier endroit auquel j'ai pensé la tour d'astronomie, et le seul d'ailleurs ... Je ne connais pas bien le château. Alors si tu as des endroits à me conseiller, je suis preneuse, me répondit Léanne.

Je me mis à réfléchir, tout en la regardant tenter de se protéger du froid et du vent avec son uniforme. Jetant un regard vers le ciel, je remarquai que les étoiles étaient de mieux en mieux visibles, de plus en plus scintillantes. Elles me faisaient penser à des joyaux. La nuit prenait maintenant complétemment le dessus sur le jour.

- Je t'avoue que je ne connais pas très bien le château non plus. Je n'ai aucune idée d'endroits calmes où se poser. En revanche, je pense que l'on peut trouver ici de quoi te couvrir...

Regardant autour de moi, j'aperçus un petit placard dans un coin et m'y dirigea. Je l'ouvrit en espérant ne rien abîmer, et après un peu de fouille, je trouva mon bonheur. Une sorte de châle, ou de plaid, qui ferait très bien l'office d'une cape chaude. Je revins vers Léanne et lui exposa ma trouvaille.

- Regarde ! Je savais bien que je pourrais trouver quelque chose ! C'est à toi de choisir, dis-je en enlevant mon écharpe et en la lui tendant aussi. Soit tu prends ça, et on reste ici, soit rentre et on tente de te trouver un espace chaud. Que veux-tu faire ?

Me rendant compte que j'avais changé d'avis assez brusquement, je tentait de m'expliquer :

- En fait, je suis venu ici pour regarder les étoiles ce soir. J'ai lu sur le calendrier astronomique que cette nuit était propice à leur observation. Je pense donc revenir ici, même si on va d'abord te chercher un endroit où te poser. Excuse-moi de changer d'avis si vite, je ne suis pas sûr de ce que je fais.
Il faut aussi que tu prennes en compte le risque que l'on soit surpris par le professeur d'astronomie. Je n'ai aucune idée si nous avons le droit d'être ici. Je ne sais pas s'il le tolère ou non. Nous n'avons résolu que le problème du froid, pas de l'autorisation. C'est à toi de choisir, si tu veux rester.

@Léanne Schwabb
Et voici la carte d'observation dont parle Zaël, si tu veux

Grelottant, j'écoutai Zaël me dire qu'il ne connaissait pas bien le château non plus. Cela nous faisait donc un point commun. Je souris quand il proposa de trouver quelque chose pour me couvrir. Il était vraiment gentil. Il se dirigea alors vers un petit placard, l'ouvrit, et après une petite minute, en sortir un morceau de tissu chaud, qu'il me tendit.

- Merci, murmurais-je avec un sourire.

Je m'enveloppai dedans et sentit rapidement mon corps se réchauffer. C'était agréable de ne plus sentir le vent fouetter mon cou et refroidir tout mon être. Il me tendit également son écharpe, que j'acceptai avec joie. Il me demanda alors ce que je souhaitais faire. Jettant un regard au ciel, je vis que la nuit était bien tombée et que les étoiles étincellaient.

- J'aimerais rester ici, si ça ne te dérange pas. Les étoiles sont si belles ...

Je plongeai mon regard dans l'immensité du ciel étoilé, tout en écoutant Zaël expliquer. Je ne savais pas que cette nuit était particulière, que les étoiles étaient plus facile à observer ce soir précisément. Je ne connaissais pas non plus l'existence du calendrier astronomique. J'avais toujours aprécié regarder les étoiles, mais n'en connaissait que peu sur le sujet. Lorsqu'il évoqua le fait d'être surpris par le professeur d'astronomie, je me raidis. Ici, j'avais envie d'être l'élève modèle. Je l'avais toujours été, et j'aimais profondément respecter les règles. Mais ... c'était tellement beau ! J'avais envie de rester des heures à observer les constellations. Et puis, maintenant, je n'avais plus froid.

- On peut rester un peu ? C'est si beau ! m'exclamais-je, les yeux pétillants.

@Zaël Wood - excuse-moi de mon retard de réponse j'ai eu quelques soucis personnels et je n'ai pas pu répondre auparavant