@Ernest Stevens
Le: 25 mars.
Temps au dehors : pluie

Julie sortit dehors malgré la pluie et le vent, Julie sortit dans le parc. Elle se promenait dans l'herbe détrempé. Au bout d'un long moment elle finit paar s'arréter sous un arbre, pour être à l'abri de la pluie battante. Qui sortirait en ce temps, personne. Julie ce sentait bien seule et malgré le froid elle resta debout dans le froid et sous la pluie, ici s'était le pays de la solitude. Il n'y avait pas un chat dehors. Au loin Julie entendait le tambourinement de la pluie sur la surface lisse du lac. Son regard se perdait à l'orizon. Au bout d'un court moment une larme coula, puis une autre, jusqu'a ce que c'est joue soit innondées de ses propre larmes. Julie pleurai à cause du chagrin d'amour qui la tourmentait depuis novembre, la personne que Julie aimait était aller avec une autre. Julie savait que c'était normal, et qu'elle ne pourrait rien n'y faire mais malgré elle, elle continuai à ésperer, c'était surement ça qui la faisait le plus souffrir. Ne sachant plus quoi faire, elle décida de chanter une chanson en français, c'était l'une des seules qu'elle connaissait par coeur, malgré son fort accent la chanson restait très belle. Cette chanson était "ce qu'on était" De Pierre Garnier. A la fin de la chanson, Julie se mit à réecouter la musique de la pluie sur le lac.

Si la plupart des élèves préféraient rester bien à l’abri des remparts et du château lorsque le ciel menaçait, Ernest lui se précipitait à l’extérieur. C’est qu’il n’y avait jamais trop d’occasion pour s’entraîner aux sortilèges et que la pluie c’était encore le moyen le plus fiable pour pratiquer Umbrella. L’adolescent n’avait plus de mal à faire apparaître l’ombrelle invisible au-dessus de sa tête et il maîtrisait les bases. À présent, ce qu’il voulait s’était s’exercer à jouer avec la taille et la résistance de son parapluie magique. Tout comme il l’avait fait avec le sortilège Lumos, il tenait à savoir combien de temps il serait capable de maintenir le sort actif.

Le petit brun aperçu une silhouette près d’un arbre. Quelle idée de rester sous la pluie comme ça ? Enfin chacun faisait ce qu’il voulait. Lui était bien dehors malgré les intempéries. Il aurait passé son chemin. Il le passait toujours. Ernest était un adolescent timide et pas du genre à prendre des initiatives pour rencontrer ou faire la conversation à d’autres élèves. Il fut néanmoins interloqué par le son de la voix de la jeune fille qui s’éleva à travers le bruit des gouttes qui battaient le sol. Ernest ne comprenait pas les paroles. C’était probablement une autre langue. Et le petit brun était toujours interpellé par les choses qu’il ne connaissait pas.

Il s’arrêta donc à quelques mètres de la jeune fille et la fixa. Quand leurs regards se croisèrent, il rougit légèrement et baissa les yeux, pris en flagrant délit.

“Pardon… je… j’voulais pas te fixer comme ça… c’est… c’était quoi que tu chantais ?”

@Julie Spark