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29 déc. 2016, 23:56
Table de J. Crimspeak et E. Garnier
Emilia mit sa main sur l'épaule de Jonathan et tout deux se mirent à bouger au rythme de la musique. Les premiers pas furent laborieux. Après plusieurs choques pieds écrasés, leurs mouvement ressemblèrent de plus en plus à une danse. Jonathan était troublé, il essayait tant bien que mal de regarder sa cavalière dans les yeux mais sa timidité refaisait surface, et il était trop concentré sur ses pieds. De temps en tant il croisait pourtant le regard de la jeune blonde et son visage s'éclairait tout à coup. Il suffisait d'un regard pour enlever toute sa nervosité. Quand la musique s'arrêta, malgré des pieds endoloris, Jonathan était heureux de ce moment passé avec sa cavalière. Il ne regretta point les efforts qu'il avait du faire pour venir danser sur la piste. Emilia fit une petite révérence pour marquer la fin de la danse, ce que Jonathan imita aussitôt pour ne pas laisser la jeune fille seule dans son geste.

« Merci d'avoir accepter de danser avec moi même si je suis certaine que tu n'en avaittres pas autant envie que tu le prétends. Je te remercie de tes efforts. »

Jonathan fut troublé par cette remarque. Elle avait donc remarqué la réticence éprouvé par le Gryffondor à l'idée de danser. Alors qu'ils allaient tout les deux retourner tranquillement à leur table, sa partenaire attrapa tout doucement la sa main. Il fut surpris par ce geste inattendu. Mais il l'apprécia néanmoins. La jeune fille venait de faire ce que Jonathan voulait faire depuis leur danse. Il serra à son tour la main de la jeune fille, d'une façon spontané. Ils croisèrent sur leur retour, un ami de Jonathan qui vu les deux premières années main dans la main. Ce garçon fut d'abord choqué car connaissant Jonathan et sa timidité légendaire il ne s'y attendait pas du tout, puis lui donna "discrètement" un petit coup de coude avec un regard ambigu. Jonathan rougis de plus belle et regarda Emilia qui avait vu ce petit signe. Afin d'éviter toute gêne entre eux, Jonathan avança sans répondre à son camarade. De retour à la table , Jonathan fut contraint de lâcher la main de la jeune fille pour s'assoir. Deux elfes arrivèrent alors devant eux sans qu'ils aient le temps de s'échanger un seul mot pour prendre leurs commande. Jonathan avait la tête ailleurs et cette demande un peu subite le dérangeais. Il regarda rapidement le menu et choisi la première option de chaque choix. Après la commande passé, les elfes partirent et Jonathan se retrouva en tête à tête avec Emilia. Il fallait dire quelque chose. Donc Jonathan se lança.

-" Franchement, je t'avoue qu'au départ je ne voulais pas danser, mais je suis très heureux que tu me l'ai proposé. Et je trouve qu'à deux nous dansons plutôt bien."

Après un instant de réflexion et en ayant mis sa timidité de côté, Jonathan trouva le courage de parler de ce qui venait de se produire.

-" Je suis désolé pour le geste bisar de mon pote tout à l'heure. C'était un peu embarrassant"

Il laissa trainer les derniers mot de sa phrase pour voir la réaction de sa cavalière

Jo’ Family
Mon cœur appartient à Eider. Esmée <3. Jonois.
Gryffondor du mois de Mars, Champion de Poudlard de Bavboule, Don Juan 2017.
30 déc. 2016, 18:29
Table de J. Crimspeak et E. Garnier
Emilia qui avait doucement mis sa main dans celle de son cavalier fut heureuse qu'il ne l'a rejette pas mais au contraire la lui serre en retour. Elle n'avait put s'empêcher d'esquisser un léger sourire mais surtout n'avait pas pu empêcher ses joues de virer un peu vers le rosé.

Ils se dirigeaient vers leur table, quand un garçon était en train de les regarder d'un air surpris. La jeune fille ne comprenait pas pourquoi il les regardait ainsi mais la raison fut plus ou moins évidente. Il faisait des sortes d'aller retours entre Jonathan et leurs mains toujours l'une dans l'autre. Ils s'était ensuite dirait vers eux, et avait légèrement bousculé en donnant un petit coup de coude.

C'est là que Jonathan regarda Emilia en rougissant. La jeune fille commença à rougir encore plus, elle avait même la vague impression que ses joues pouvaient exploser à n'importe quel moment.

Son cavalier ne fit aucune remarque sur son ami -d'apres ce qu'elle venait de voir- et ils continuaient à marcher main dans la main. Arrivés à leur table, ils se lâcherent les mains pour pouvoir s'assoir. Quand Jonathan avait enlève sa main de celle de la première année, elle éprouva une sorte de vide. La main de son cavalier dégageait une chaleur qui avait disparu au même moment que son origine.

À peine, ils s'asseyaient que deux elfes de maison venaient pour prendre note de ce que les deux enfants voudraient manger pour le dîner. Elle n'avait pas vraiment eu le temps de regarder ce qu'elle voulait manger, elle décida donc de choisir ce qui lui frapperait à l'oeil. Elle opta donc pour du saumon fumé en entrée et de la mousse framboise en dessert, tandis que Jonathan pris le premier choix de chaque catégorie -a savoir du Foie Gras et un tiramisu.

Quand les elfes termineront de noter et repartirent, elle se retrouva en face de Jonathan. Elle ne savait pas vraiment ce qu'elle pourrait dire et était contente que ce soit lui qui engage la conversation :


« Franchement, je t'avoue qu'au départ je ne voulais pas danser, mais je suis très heureux que tu me l'ai proposé. Et je trouve qu'à deux nous dansons plutôt bien. »

*J'avais vu juste !* avait-elle tout de suite pensé. Me jeune homme ne voulait donc pas vraiment danser ce qui montra une nouvelle fois à quel point il faisait des efforts pour que la soirée se passe bien même très bien et il avait aussi dit que sa demande de danser lui avait fait plaisir, alors, maintenant, elle ne savait plus quoi dire à part peut être ke fait qu'elle était heureuse. Sur le dernier point qu'il avait mentionné, il avait vu juste. Il fallait avouer qu'au début de leur danse -si l'on pouvait appeler ça comme ça-, ils étaient assez mauvais, pour ne pas dire très, mais quand ils avaient commencé à savoir ce que chacun devait faire, ils se débrouillaient plutôt bien.

Elle n'eut même pas le temps de répondre qu'il ajouta :


« Je suis désolé pour le geste bisar de mon pote tout à l'heure. C'était un peu embarrassant »

Sans s'en rendre compte, elle recommença à rougir malgré elle, elle croisait ses doigts pour que Jonathan ne le remarque pas. Elle ne saurait dire pourquoi elle rougissait là tout de suite, mais c'était ainsi et elle n'y pouvait rien. Rien qu'en pensant à la scène qui datait de quelques minutes, elle comprenait que ça pouvait être gênant. Elle n'avait pas vraiment fait attention si ses amies l'avaient vu main dans la main avec son cavalier, elle étaient pratiquement certaine que quelqu'un l'avait vu mais ça ne l'a dérangeait bizarrement pas vraiment. C'était comme si sa timidité, qui s'était déjà un peu envolée depuis son arrivée à Poudlard, disparaissait à quelques moment quand elle était avec Jonathan mais réapparaissait malgré tout. À cet instant, elle avait refait surface, mais elle essaya tout de même de la mettre de côté et de répondre ce qu'elle pensait réellement, même si c'était plus facile à dire qu'à faire...

« Je suis d'accord avec toi, on était assez bon vers la fin, je suis sûre qu'avec un peu d'entraînement, on pourrait danser aussi bien que Miss Loewy et Monsieur Flynch ! Ne t'inquiète pas ce n'est pas ta faute après tout. J'avoue c'était un peu embarrassant mais j'étais contente de tenir ta main... »

Après sa dernière phrase, elle rougit une nouvelle fois avec un sourire timide... Elle avait aussi baissé la tête... Elle était déjà assez gênée de lui avoir avouer ce qu'elle avait ressenti en lui tendant la main...

Reducio
Petite precision, à ce moment la soirée de monsieur Flynch et Miss Loewy n'est pas encore parti en cacahouètes... :D

Rapides comme le vent et féroces comme le lion.
Griffes et crocs, Griffes et cœurs, Gryff vainqueurs !
03 janv. 2017, 21:59
Table de J. Crimspeak et E. Garnier
Emilia était parti dans ces pensées suite à la phrase du jeune garçon. Jonathan n'arrivait pas à savoir ce qu'elle pensait et cela l'énervait au plus au point. Il était plutôt observateur et plus petit s'était passionné pour les petits tic et mimiques du corps qui trahissent les émotions. Enfin, passionné est un bien grand mot, il était fan des séries moldus Mentalist et Lie to Me mais ça n'allait pas vraiment plus loin. Mais s'était quand même suffisant pour déceler les émotions majeurs de l'être humain. Et à ce moment précis, Jonathan ne savait pas ce qui se passait dans la tête de sa cavalière. Il faut dire que ça phrase avait pour but de la déstabiliser un petit peu. Il trouvait que la soirée était plutôt surprenante et riche en émotion pour lui mais les deux danseurs amateurs restaient trop réservés. Vu la réaction d'Emilia et la petite couleur rouge qui apparaissait peu à peu sur ses joues, son petit stratagème avait obtenue le résultat escompté.

« Je suis d'accord avec toi, on était assez bon vers la fin, je suis sûre qu'avec un peu d'entraînement, on pourrait danser aussi bien que Miss Loewy et Monsieur Flynch ! Ne t'inquiète pas ce n'est pas ta faute après tout. J'avoue c'était un peu embarrassant mais j'étais contente de tenir ta main... »

Jonathan n'avait pas vraiment porté attention à la première phrase. Ses deux professeurs étaient bien meilleurs qu'eux et ils leur vaudraient des mois voir des années pour obtenir un tel niveau. Mais la dernière phrase choqua Jonathan, dans le bon sens du terme. Alors Il n'était pas le seul à avoir apprécié ce moment, malgré l'intervention de son camarade. Il deviendra un tout petit peu tendu, et il rougit. C'était surement l'un des meilleurs moments de la soirée. En fait il y en avait tellement qu'il n'arrivait plus à les classer par ordre de préférence. Mais il ne fallait pas stagner sur ce moment. Si ils passent la soirée à parler de cela, le bal deviendrait vite long.

" Je dois dire que tu m'as surpris mais j'ai ado....

Alors qu'il finissait sa phrase, les entrées arrivèrent déjà sur la table. Alors que Jonathan s'attendait à voir revenir les elfes avec une assiette dans chaque mains, les plats étaient en train de voler et d'arriver toutes seul pour se poser doucement devant les deux premières années. Jonathan n'en revenait pas, malgré tout ce qu'il avait vu durant ses quatre mois passé à Poudlard. Il avait pourtant vu des choses bien plus impressionnantes et était lui même capable de faire la même chose, mais sur le moment il ne s'y attendait pas. Les assiettes étaient magnifiques, du fois gras pour lui et du saumon fumée pour Emilia. Jonathan n'attendait plus qu'une chose, commencer à déguster ce plat. On aurait dit que le Fois gras appelé le jeune garçon pour qu'il le mange. Il regarda sa cavalière et comme d'un commun accord ils commencèrent tout les deux à manger.

" Je trouve cela super bon. C'est la première fois que je suis sans ma famille, au début j'étais triste et ils me manquaient mais depuis qu'on est rentré dans la salle, je ne ressent que de la joie. Tu fais quoi d'habitude à Noël?

Jo’ Family
Mon cœur appartient à Eider. Esmée <3. Jonois.
Gryffondor du mois de Mars, Champion de Poudlard de Bavboule, Don Juan 2017.
04 janv. 2017, 17:50
Table de J. Crimspeak et E. Garnier
Emilia n’en revenait toujours pas, elle ne savait pas où est-ce qu’elle avait trouvé le courage de lui avouer qu’elle avait beaucoup aimé lui tenir la main. Elle n’osait même pas le regardait, ses joues toutes rouges et son regard rivé sur ses chaussures. Jonathan n’avait pas tout de suite répondu, peut-être parce qu’il était pris au dépourvu par ses paroles, et qu’il ne savait pas quoi répondre pour dire à la fillette que ce n’était pas réciproque.

« Je dois dire que tu m'as surpris mais j'ai ado.... »

Comme elle avait encore la tête vers le bas, elle l’a leva instinctivement dès qu’il avait pris la parole. La première année remarqua que ses joues avaient, elle aussi, rougit.

Il n’avait pas terminé de parler qu’il fut coupé. Leurs entrées venaient d’être servis sans que personnes ne les apportent. Pour un moldu, ce fait aurait pu paraitre étrange ou bizarre mais pour un sorcier ayant étudié à Poudlard, cela n’avait rien d’étrange, même si contre toute attente, la jeune fille avait pensé que les elfes de maison apporteraient les plats de la même façon qu’ils étaient venus pour prendre leur commande. Cependant, pour les elfes de maison, c’était beaucoup plus simple de faire parvenir les succulents plats de la même façon qu’ils le faisaient pour habituellement.
Emilia se retrouva donc devant du saumon fumé qui lui donnait de l’eau à la bouche rien qu’en regardant son assiette. Elle jeta un coup d’œil à son cavalier, comme pour lui demander s’ils pouvaient commencer à manger. Elle venait de voir qu’il avait fait de même et dans un signe d’approbation commun, ils commencèrent à manger ce qu’ils avaient devant eux.

Tandis qu’elle prit sa fourchette pour commencer à déguster son plat, Emilia repensait à ce qu’avait dit le garçon avant qu’il ne soit coupé par l’arrivée des entrées. Il disait qu’elle l’avait surpris en lui affirmant qu’elle avait apprécié son geste, mais elle s’était aussi surpris elle-même. Depuis pas longtemps, elle avait essayé de changer un peu, d’essayer de mettre sa timidité de coté de peur qu’elle lui empêche de faire beaucoup de chose. Si on lui avait dit, à son arrivée à l’école, que lors du bal de Noël, sa timidité disparaitrait pour dire des choses assez embarrassantes.

Elle était un peu déçue que l’arrivée de leur diner, lui coupe la parole, elle aurait bien voulu savoir ce qu’il pensait. Elle essaya de se concentrer donc sur le moment présent plutôt que d’avoir des remords parce qu’elle n’arrêtait pas de chercher à savoir ce qu’il avait pu dire si il n’avait pas été coupé, mais elle savait de toutes manières, que même si elle passait des heures à y réfléchir, elle ne connaitra pas les pensées de son cavalier. Elle jetait des petits regards assez discret, en espérant évidement que Jonathan ne le remarque est essaya de se concentrer sur son plat, qu’elle trouvait d’ailleurs succulent. Son cavalier prit la parole avant qu’ils ne terminent de manger :

« Je trouve cela super bon. C'est la première fois que je suis sans ma famille, au début j'étais triste et ils me manquaient mais depuis qu'on est rentré dans la salle, je ne ressens que de la joie. Tu fais quoi d'habitude à Noël ? »

Emilia laissa passée la première phrase, elle savait très bien que la nourriture était bonne et elle était certaine que le garçon le savait aussi. Elle trouva cependant dans la suite, un autre point commun, appris aujourd’hui –en plus de ceux qu’elle connaissait déjà depuis leur première rencontre-, ils étaient tous d’abord pas très bon danseurs, mais étaient aussi pour la première fois loin de leur famille.

La jeune fille éprouvait des fois de la tristesse et un petit manque de compagnie à qui se confier, elle avait il n’y a pas longtemps, trouvé refuge auprès de leur professeur de défenses contre les forces du mal, mais sa mère et son père lui manquaient énormément. Elle avait pratiquement oublié qu’elle était très loin de son premier chez elle –même si il était à égalité avec poudlard, dans son cœur- depuis quelques semaines. Elle avait enfin à participer aux conversation le soir et le week-ends avec les autres gryffondor en salle commune, la plupart de ses rencontres étaient amicales et ne s’était pas vraiment faite d’ennemi, mis à part, peut-être d’une fille à serdaigle, on pouvait dire que leur première rencontre en cours de potions, où elle avait dû travaille ensemble n’était pas fameux. Cependant, elle trouvait que le début de l’année scolaire partait plutôt bien, malgré quelques chutes de temps en temps dans les devoirs.

Elle reporta rapidement attention à ses paroles, il venait de dire que le depuis qu’il était rentré dans la salle de bal, il ne ressentait que de la joie ! Ses propos enlevèrent tout de suite ses peurs sur ce qu’il voulait dire avant le début du repas. Elle se rappela donc que son partenaire lui avait posé une question et il attendait probablement sa réponse. Ce qu’elle faisait d’habitude pour Noël.. C’était assez simple, elle faisait tous les ans la même chose, ce qui ne la dérangeait pas du tout. Elle se revoyait assise à une table ronde, entre ses parents, en train de manger le magnifique qu’avait voulu préparer son père, un rôti de porc accompagné de pomme de terre et de riz. La plupart du temps, ils ne mangeaient pas de dessert vu qu’ils avaient tellement mangé qu’ils ne pouvaient plus rien avaler. Elle répondit enfin à son camarade :


« Je suis très contente de passer la soirée avec toi ! Tous les Noël précédents, après avoir mangé, je passais la soirée avec mes parents devant la cheminée à se raconter des histoires qu’on venait juste d’inventer. Elles étaient un peu… Comment dire ? Bizarre. Et qu’est-ce que tu fais d’habitude ? »


Reducio
Je viens de remarqué que tu mettais du touge foncé et non du rouge tout court, désolée de ne jamais avoir mis la bonne couleur, mais à partir de maintenant, je en me tromperait pas (ou du moins j'essaierai) ! ;)

Reducio
Edit D'Esmée la préfète la plus gentille du monde :
J'ai arrangé tes précédents posts Emilia. Les dialogues de Jonathan sont maintenant tous en rouge foncé ;)

Rapides comme le vent et féroces comme le lion.
Griffes et crocs, Griffes et cœurs, Gryff vainqueurs !
08 janv. 2017, 01:01
Table de J. Crimspeak et E. Garnier
Un ange passa juste après la question de Jonathan, c'est comme si sa partenaire était ailleurs. Elle était surement dans ses pensées, car cette question avait fait ressurgir chez le jeune garçon un tas de souvenir, donc probablement qu'il en était de même pour Emilia. Jonathan se revoyait déjà avec toutes sa famille devant le sapin en train de déballer les cadeaux. Chez lui Noël se fêtait avec un grand nombre de personne. Il se rappela des tables de 20 personnes où il mangeait avec ses cousins, cousines et grands-parents. Cette réunion ne valait pas le bal de Poudlard et toutes ces festivités mais l'ambiance était quand même agréable. Mais il ne fallait pas être nostalgique, cela ne ferait que gâcher la soirée et surtout, c'était la première qu'il passait en tête à tête avec Emilia donc elle valait bien les Noël précédents.
Sa cavalière sembla émerger de ses pensées et revenir dans le monde réel puisqu'elle répondit à Jonathan.


« Je suis très contente de passer la soirée avec toi ! Tous les Noël précédents, après avoir mangé, je passais la soirée avec mes parents devant la cheminée à se raconter des histoires qu’on venait juste d’inventer. Elles étaient un peu… Comment dire ? Bizarre. Et qu’est-ce que tu fais d’habitude ? »


Cette réponse perturba un peu Jonathan parce qu'Emilia n'avait pas du tout les mêmes habitudes que lui. Mais d'un autre côté c'était en fait une très bonne chose. Depuis leur premières rencontre, les deux premières années se ressemblaient beaucoup dans leur passé, leurs goûts, et leurs habitudes. S'en était presque effrayant. Mais cette différence plaisait à Jonathan.
Il eut envie de dire que lui, ses soirées se déroulaient plutôt devant la télé que la cheminé mais il se retint. Peu être n'avait elle pas la télé ou alors elle détestait cela. Il eut peur qu'Emilia pense qu'il se moquait d'elle ce qui n'aurait pas été totalement faux. Mais pas totalement vrai non plus, car le jeune garçon enviait un peut sa partenaire pour la complicité qu'elle avait avec ses parents.
Mais trêve d'hypothèse futile, il fallait maintenant répondre.

"C'est trop mignon comme soirée. Tu devais bien rigoler, mais je suis sur que si tu regarde certains couples ou certains danseur, tu rigolera autant."

Jonathan fit un sourire à sa partenaire.
Il avait essayer de détourner un peu sa réponse pour éviter de dire la phrase à laquelle il avait pensé.

"Moi je passe Noël avec toute ma famille soit environ 20 personnes en comptant mes cousins. C'est plutôt sympa mais ça vaut pas un Bal comme celui ci."

Une fois finie, les assiettes repartirent comme elles étaient arrivées, et de nouvelles assiettes contenant le plats firent leur apparition sur la table.

" Je m'y ferai jamais à ses tours de magie." Fit-il en rigolant " La dernière fois, pour m'entrainer j'ai essayer de lancer un Wingardium Leviosa dans le dortoir sur des chaussettes. Au début cela à marcher puis quand j'ai entendu la porte s'ouvrir,j'ai paniqué et j'ai du faire un geste avec ma baguette du coup toutes les chaussettes sont passées par la fenêtre. Depuis je fais croire à tous mes camarades qu'un petit monstre vient voler les chaussettes la nuit."

Reducio
Edit D'Esmée, ta tendre marraine et ton gourou :
Bah pourquoi tu changes de couleur !? Emilia avait pourtant réussi pour une fois LOL. Enfin bon du coup je t'ai remis en rouge foncé ^^

Jo’ Family
Mon cœur appartient à Eider. Esmée <3. Jonois.
Gryffondor du mois de Mars, Champion de Poudlard de Bavboule, Don Juan 2017.
10 janv. 2017, 18:43
Table de J. Crimspeak et E. Garnier
Elle venait tout juste de lui expliquer ses soirées de Noël quand elle était chez ses parents. Son cavalier commenta d’ailleurs ses coutumes.

« C'est trop mignon comme soirée. Tu devais bien rigoler, mais je suis sur que si tu regarde certains couples ou certains danseur, tu rigolera autant. »


C’est vrai que depuis le début de la soirée, Emilia était focalisée sur son déroulement aux cotés de Jonathan et ne s’était jamais demander comment les autres faisaient. Elle regarda autour d’elle est vit un très beau spectacle. Toutes ces personnes qui avaient voulues rester pour les fêtes pour pouvoir les passer avec une personne en particulier, d’autres qui ne savaient probablement pas à qui demander, avaient pu s’inscrire au cavalier mystère pour faire de nouvelles rencontres. Elle n’était pas familière à cet environnement. Le fait qui différait de ce dont elle avait l’habitude était ce sentiment d’une gigantesque famille, et cette famille était Poudlard. Certes, il y avait des hauts et des bas, comme dans une famille. Ceci, la jeune fille ne le savait que grâce à des livres qu’elle avait lus. Elle n’avait pas de grande famille, les seules personnes qu’elle connaissait était son père, sa mère et sa grand-mère, plus non. Elle avait déjà entendu son père parler de ses parents ou sa grand-mère lui parlait de son grand-père. Il était tous trois morts –ses deux grands-pères ainsi que sa grand-mère paternelle. Elle était en train de penser à ses grands-parents qui étaient morts, elle se demandait *Est-ce que si ils étaient encore vivants, aurais-je pu fêter Noël avec eux tous les ans, autour d’un bon festin, comme une grande, belle et heureuse famille* Ce n’était pas qu’elle ne trouvait pas sa famille heureuse, loin de là, mais dès qu’elle pensait à cet alternative, elle était un peu triste.

Cependant, Jonathan lui remit les pieds sur terre quand il annonça à son tour, ce qu’il faisait lui pour les fêtes, habituellement :

« Moi je passe Noël avec toute ma famille soit environ 20 personnes en comptant mes cousins. C'est plutôt sympa mais ça vaut pas un Bal comme celui-ci. »

Tout ce que la première année entendit était sa mention sur toute sa famille. Elle l’enviait un peu, non, elle n’était pas jalouse, loin de là, elle était contente pour lui, ça elle en était certaine. Elle aurait cependant voulu pouvoir, un jour assister à un évènement aussi grandiose, tel était le mot, comme le bal qui avait lui ce soir. Elle était d’ailleurs très reconnaissante envers Jonathan d’avoir bien voulu aller avec elle au bal. Elle avait au début bien décidée de rester en salle commune, mais il fallait dire que par la suite, elle avait changé d’avis, mais comme on dit : il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis.

Elle n’eut pas le temps de parler que les assiettes qui étaient à présent vite disparurent pour être remplacé par deux nouvelles assiettes. Il y avait de la dinde rôti avec des pommes de terre et des haricots. La jeune releva sa tête de son assiette et voulu répondre à son cavalier mais celui-ci la devança :


« Je m'y ferai jamais à ses tours de magie. » Avait-il dit en rigolant « La dernière fois, pour m'entrainer j'ai essayer de lancer un Wingardium Leviosa dans le dortoir sur des chaussettes. Au début cela à marcher puis quand j'ai entendu la porte s'ouvrir,j'ai paniqué et j'ai du faire un geste avec ma baguette du coup toutes les chaussettes sont passées par la fenêtre. Depuis je fais croire à tous mes camarades qu'un petit monstre vient voler les chaussettes la nuit »

La jeune fille n’avait pu s’empêcher de rire, non seulement parce que le fait d’avoir fait voler ses chaussettes par la fenêtre mais aussi parce qu’il ne disait pas la total vérité, ou du moins c’est ce qui lui semblait. Une fois, en salle commune, Esmée était descendu des dortoirs toute affolée, elle disait s’être fait volé son doudou, les autres filles avaient d’ailleurs –si elle s’en rappelait bien- accuser Duncan de l’avoir volé, et il semble –elle était encore une fois pas sûre- que Duncan avait prétendu que c’était Jonathan probablement à cause du coup des chaussettes volantes.
La fillette explosa de nouveau de rire en essayant de parler malgré son fou rire :


« Pourtant il me semblait que tu étais le voleur de chaussettes ! » et ajouta après avoir essayé de reprendre sa respiration normale « D’ailleurs, il me semble que je ne trouve plus mes chaussettes ! »

En ayant dit sa dernière phrase, elle lui tira la langue et recommença à rire. Elle s’arrêta tout à coup et regarde son partenaire. Elle venait de se rendre compte que peut-être qu’elle l’avait blessé. Hors ce n’était pas du tout ses intentions.
Elle ferma instinctivement ses yeux, et ne répétait sans cesse dans sa tête
*Pitié qu’il ne l’a pas mal prit… Pitié qu’il ne l’a pas mal prit… Pitié qu’il ne l’a pas mal prit… Pitié qu’il ne l’a pas mal prit…*

Reducio
Précédemment, il est mentionné que la grand-mère d’Emilia lui a parlé de son grand-père, qui selon elle est morte, mais ce ne sont que des balivernes. Son grand-père paternel n’aimait pas les sorciers, il ne les aime pas du tout. C’est pourquoi, pour le bien de notre petite Emilia, celle-ci ne connait pas son existence.

Rapides comme le vent et féroces comme le lion.
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11 janv. 2017, 16:16
Table de J. Crimspeak et E. Garnier
Jonathan avait réussir à détendre l'atmosphère. Ca phrase venait de faire rire sa cavalière. Son rire était en train d'illuminer la salle. Personne ne pouvaient rester indifférentes au rire de la jeune fille. Depuis le début de la soirée, Jonathan essayait d'obtenir un tel résultat. Déjà parce que cela s'annonçait bien pour le reste du Bal mais également parce que femme qui rit....

« Pourtant il me semblait que tu étais le voleur de chaussettes ! »

C'est vrai que Duncan avait parlé de tous cela dans la salle commune. Avec lui il n'y avait aucune chance que ce petit détail reste secret. Jonathan avait en effet volé une paire de chaussette à Audric pour compenser la perte des chaussettes. Mais le première année avait voulu cacher son acte un petit peu "hors la loi". Mais il semblerai qu'Emilia était au courant de tout. Même si elle savait pour cela, il était impossible qu'elle sache pour le doudou de sa marraine adoré. C'était bien une blague mais au bout d'une heure, Jonathan avait totalement oublié l'endroit où il avait caché cette pelluge. Rien qu'en n'y repensant il ne put s'empêcher de rire à son tour.

« D’ailleurs, il me semble que je ne trouve plus mes chaussettes ! »

Jonathan ne compris pas vraiment cette phrase. Est ce qu'Emilia le prenait pour un psychopathe, fétichiste des chaussettes. Peut être qu'il fallait absolument changer de sujet pour pas qu'elle ne se fasse de fausses idées. Mais à priori, ce n'était pas le cas puisqu'elle lui tira la langue et continua à rire. Puis brusquement elle s'arrêta et ferma les yeux. Jonathan ne savait pas du tout comment il fallait réagir. Sa cavalière venait de changer soudainement d'attitude et maintenant elle attendait les yeux fermés. Mais malgré l'étrangeté de la situation, Jonathan ne parvint pas à répondre directement. En effet, le jeune garçon avait les yeux rivés sur la fille face à lui. Maintenant qu'elle avait les yeux fermés, il n'avait pas à avoir honte de la regarder et surtout il n'y avait aucun risque qu'elle ne s'en rende compte. Emilia était toujours aussi pétillante qu'à son arrivé au début de la soirée. Il avait quand même de la chance d'être assis aujourd'hui en face d'elle.
Il fallait maintenant répondre, on aurait dit qu'Emilia stressait un peu pour la prochaine phrase que pourrai dire Jonathan.

"Désolé mais à mon avis, voler tes chaussettes ne me serait pas très utile. Quand t'as dit cela, je me suis imaginé un type reniflant les chaussettes d'autres personnes"

Il a dit cela en rigolant. Dire cela n'était pas très malin, si elle le prenait déjà pour un psychopathe cela ne ferait qu'augmenter sa peur.
*Qu'est ce que je peut être stupide et maladroit.* Il essaya de se rattraper mais il ne fit que s'enfoncer.

"Ce n'est bien sur pas mon cas, euhh, je ne fais pas ça"

*De pire en pire*. Il fallait repartir et parler d'autre chose. Mais le garçon commençait à bégayer et rougir à cause du stresse. Il ne voulait absolument pas qu'Emilia est peur de lui. Cette fille lui plaisait et comme d'habitude il était en train de tout gâcher. Reprenant un minimum de sérieux, il enchaina.

"Je suis désolé pour ce moment gênant, j'allais dire que ça arrive pas d'habitude mais en fait si."

Ses joues devinrent de nouveaux très rouge, mais bizarrement, à ce moment là, la gêne était agréable. Jonathan avait l'impressionnant que quand il était avec Emilia, il pouvait absolument tout dire sans qu'elle ne le juge.

Reducio
Chère en tendre marraine, ce post est pour toi ;) Et désolé pour ton doudou ^^

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Mon cœur appartient à Eider. Esmée <3. Jonois.
Gryffondor du mois de Mars, Champion de Poudlard de Bavboule, Don Juan 2017.
14 janv. 2017, 09:39
Table de J. Crimspeak et E. Garnier
Emilia avait fermé les yeux, elle avait peur que son cavalier prenne malle fait qu’elle l’accuse d’avoir volé ses chaussettes. Pourquoi elle avait fermé ses yeux ? Elle n’en savait rien, de plus son changement radicale de comportement pouvait paraitre un peu étrange, elle avait cependant aucune envie de rouvrir ses yeux, elle ne voulait pas vraiment voir probablement le visage de Jonathan la regardant comme pour lui dire qu’elle était méchante ou encore irrespectueuse. Plus elle pensait à la réaction négative que pouvait adopter son cavalier, toutes ses pensées s’encombraient dans sa tête. Elle ne savait même plus ce qu’elle devait penser de toute cette situation.

Elle attendait que son partenaire réagisse, elle ne saurait dire depuis combien de temps le silence régnait sur leur table, elle n’entendait même plus le brouhaha dans la salle et entendit patiemment et impatiemment, à la fois, ce qui lui procurait une émotion assez étrange, qu’elle n’avait jamais ressenti. Elle eut l’impression que cela faisait depuis déjà plusieurs heures que les deux premières années ne parlaient pas, mais s’était probablement son imagination qui lui jouait des tours. Elle se demanda même si Jonathan s’était levé de table et avait préféré passer sa soirée avec quelqu’un d’autre qui lui serait de meilleure compagnie qu’elle. Rien qu’en y pensa, elle eut un petit pincement au cœur, mais il disparut dès qu’elle entendit sa voix. Elle sursauta mais fut heureuse de le savoir encore assis en face d’elle.


« Désolé mais à mon avis, voler tes chaussettes ne me serait pas très utile. Quand t'as dit cela, je me suis imaginé un type reniflant les chaussettes d'autres personnes »

Quand il avait prononcé sa première phrase, elle se rendit compte que sa réplique était débile, elle ne savait toujours pas comment elle avait pu sortir cette phrase de sa bouche, mais fut contente qu’il change un peu de sujet. Elle était un peu gênée de l’avoir traité de voleur de chaussette, alors qu’il ne l’était pas –du moins c’est ce qu’elle pensait.

La suite de ses paroles fut assez drôle et remit aussitôt la blondinette en confiance. Elle avait accompagné son partenaire dans son rire, qu’elle trouvait d’ailleurs assez agréable à entendre. Décidément, cette soirée était très riche en émotions, jamais elle n’avait vécu autant de choses en une seule soirée qui n’était d’ailleurs pas encore terminé. Elle n’eut même pas le temps de penser à ce qu’elle pouvait répondre, qu’il ajouta :


« Ce n'est bien sur pas mon cas, euhh, je ne fais pas ça »

Elle ne put s’empêcher de glousser à nouveau, le pauvre, il donnait l’impression de ne plus savoir comment réagir mais ajouta tout de même :

« Je suis désolé pour ce moment gênant, j'allais dire que ça arrive pas d'habitude mais en fait si. »

Elle croyait, si il lui disait qu’il ne faisait pas ça, mais elle gloussa de plus belle, ça n’avait rien de méchant bien au contraire, elle le trouvait trop mignon, il fallait avouer qu’elle avait un petit faible pour lui –un petit grand. Elle ne pouvait tout de même pas s’empêcher de rigoler. Elle espérait encore une fois qu’il ne le prenne pas mal.

Le fait que Jonathan parle de moments embarrassants lui rappela quelque chose d’encore plus embarrassant.


« Je me rappelle de ce jour, à la cantine, une de mes copines avait raconté une blague et j’avais pas pu m’empêcher de rire… Mais à ce moment-là, j’étais en train de boire du lait, et j’ai cru que j’allais m’étouffer. Tout le monde avait arrêté de manger et me regardait. C’était assez gênant d’être au centre de l’attention mais je pense que le pire dans tout ça, c’était le fait que j’avais le nez qui coulez, mais qui coulait de lait…. »

Elle avait pensé cela quand elle se rendit compte qu’elle avait parlé à haute voix. Elle se plaque vite la main devant la bouche, elle était roue de honte d’avoir raconté ça devant Jonathan. Elle avait une nouvelle fois très très peur que le jeune homme ne la prenne pour une folle.

Elle essaya de dire quelque chose mais aucun mot ne sortait de sa bouche, elle en était bien heureuse, elle savait déjà d’avance que ce qu’elle allait dire n’allait qu’accroitre le dégout fort probable de son cavalier.

Rapides comme le vent et féroces comme le lion.
Griffes et crocs, Griffes et cœurs, Gryff vainqueurs !
15 janv. 2017, 01:25
Table de J. Crimspeak et E. Garnier
Jonathan ne savait plus où se mettre. Il avait envie de se lever et partir avant d'aggraver encore plus les choses. Pourquoi fallait-il toujours qu'il se mette dans une situation gênante quand il s'adressait à une fille. Cela avait commencé avec sa meilleure amie d'enfance. Alors âgé d'à peine 4 ans ils étaient devenus amis après que Jonathan se soit retrouvé dans le bureau du directeur de son école après s'être battu. Enfin battu, plutôt s'être fait écraser par son adversaire. Prise de pitié, Valentine (le nom de la jeune bonde qui a coloré toute son enfance), l'avait attendu à la sorti du bureau et était la seul à avoir soutenu Jonathan. Il sut dès cet instant qu'elle deviendrait la personne la plus importante de sa vie.
Tout cela pour dire que Jonathan avait une sorte de malédiction concernant toute les fille importante de sa vie, il devait toujours raconter ou faire quelque chose de gênant. Mais bizarrement Emilia gloussait, elle riait presque après les paroles du Gryffondor. Cela détendit tout de suite Jonathan, il riait presque avec sa partenaire. Les voir tous les deux comme cela le fit penser aux couples qu'il apercevait à chaque fois qu'il allait au restaurant avec ses parents. Il y avait toujours un coin dans la salle où des tables de deux personnes étaient disposé de sorte que les couples puissent être à l'abris du bruit créé par le famille. Jonathan se souvenait parfaitement de cet endroit, il revoyait l'attitude des personnes qui y mangeaient, on pouvait voir le bonheur dans leurs yeux et presque l'amour dans leur attitude. Le premier année s'imaginait à la place de ces personnes, en tête à tête avec une fille. A l'époque il ne savait pas encore qu'elle fille serait en face de lui quand ce serai à son tour d'être en couple. Il ne connaissait que Valentine mais jamais il n'y aurait jamais eu entre eux plus que de l'amitié. C'était la première fois avec que Jonathan dinais avec quelqu'un comme un couple. *Un couple* Ces deux petits mots résonnaient dans la tête du jeune sorcier. Pour la première fois il se voyait avec Emilia comme un couple, et cette vision ne lui déplaisait pas. *Oulala mon esprit est un peu trop rapide la, chaque chose en son temps*.
Il fallait qu'il se concentre sur le repas et sa cavalière plutôt que de rêver au futur qui risque de ne pas se réaliser. Elle venait d'ailleurs de répondre.

« Je me rappelle de ce jour, à la cantine, une de mes copines avait raconté une blague et j’avais pas pu m’empêcher de rire… Mais à ce moment-là, j’étais en train de boire du lait, et j’ai cru que j’allais m’étouffer. Tout le monde avait arrêté de manger et me regardait. C’était assez gênant d’être au centre de l’attention mais je pense que le pire dans tout ça, c’était le fait que j’avais le nez qui coulez, mais qui coulait de lait…. »

Jonathan explosa de rire. Comparé à ce qui c'était passé quelques secondes plus tôt, Emilia battait tous les records en matière de gêne. Jonathan avait d'abord cru que sa cavalière disait cela comme une sorte de solidarité dans la ridicule. Mais lorsqu'elle mis sa main sur sa bouche pour s'empêcher d'en dire plus il comprit que ce n'était pas du tout intentionnel, ce qui rendait l'acte dotant plus drôle. Le jeune sorcier eut du mal à s'en remettre, entre deux éclats de rire il regardait sa partenaire qui était bouche bée. Toute la classe, le standing et le chic de la soirée venaient de voler en éclats. Le Gryffondor préférait largement rire, même si c'était sur des sujet un peu sale, que passer la soirée assis sur la chaise à regarder l'autre dans le blanc des yeux comme si on avait un balais et tout l'attirail de ménage dans les fesses. Il ne savait pas si Emilia était de son avis mais il était sur d'une chose, jamais il n'aurait put rêver meilleure cavalière pour le bal. Jonathan ne pensait pas passer un aussi bon moment et ne voulait surtout qu'il se termine.
C'est à cet instant que les desserts arrivèrent sur leur table. Jonathan se retrouvait alors avec un magnifique Tiramisu juste devant lui, pas le Tiramisu moldu tout petit, écrasé, où tu as l'impression que le cuisinier s'est battu avec le chocolat juste au-dessus de l'assiette et qu'il a perdu.Celui ci était à l'image de Poudlard et du monde dans lequel Jonathan était plongé depuis 4 mois: Magique et magnifique. C'est presque comme si le chocolat crier au jeune garçon: "Je suis bon, tu as envie de me manger. J'ai été fait juste pour toi et ce moment. Vas y, arrête de me faire attendre. Aller!!! Prend ta fourchette et mange moi!"
Jonathan ne pouvait pas manger tout de suite sans répondre à sa cavalière. Surtout que raconter ce moment l'avais mis mal à l'aise donc il ne pouvait pas la laisser dans un tel état. Elle était tellement plus belle quand elle rigolait.

"Ca devait être tellement drôle. Je suis déçu d'avoir raté cela. Ca m'est aussi arrivé avec de l'eau." Après un instant. " Tu sais, tu n'as pas à être gêné avec moi. Je trouve cela plus drôle que ridicule." Il regarda son dessert avec un sourire "Je sais pas toi mais mon Tiramisu m'appelle, je ne peux décemment pas le laisser dans cet état."

Jonathan commença à manger. Et à la grande surprise de son palais, le Tiramisu avait raison, il était vraiment délicieux. Il regarda Emilia de temps à autre, il avait du mal à faire deux choses à la fois, c'était un homme après tout, ce concentrer sur sa cavalière et son dessert était trop compliqué pour lui. Après avoir fini son Tiramisu, il repris la parole.

"Ce repas était super je suis vraiment heureux d'être venu au Bal avec toi." Il s'arrêta. Ca ne pouvait pas déjà être terminé, ils ne pouvaient pas partir maintenant, il restait trop de chose à faire et puis la soirée est tellement bien. Ca ne peut pas être déjà fini. Jonathan ne voulait pas quitter sa cavalière, il fallait qu'il trouve quelque chose pour qu'elle reste. "Tu ne veux pas que l'on reste un peu ici, j'ai l'impression que la plupart des autres personnes n'ont pas fini de manger. En fait.....j'aimerais beaucoup que tu restes avec moi. Je ne veux pas que la soirée s'arrête." Le jeune garçon n'en revenait pas, il n'avait jamais été aussi rouge de toute sa vie mais si elle acceptait cela en valait largement la peine.



Reducio
Désolé à certains moment ça part en cacahouète, surtout quand je fais parler un tiramisu, mais je commence à être fatigué. J'espère que c'est bien quand même. ^^

Jo’ Family
Mon cœur appartient à Eider. Esmée <3. Jonois.
Gryffondor du mois de Mars, Champion de Poudlard de Bavboule, Don Juan 2017.
15 janv. 2017, 23:14
Table de J. Crimspeak et E. Garnier
Emilia venait de dire quelque chose de très embarrassant. *Mais comment j’ai pu être aussi bête et penser à voix haute * se demandait-elle. C’était la première fois –il lui semble- qu’elle avait pensé à haute voix, et il fallait que ce soit en face de lui. Celui-ci avait d’ailleurs commencé à rigoler à son tour, ce geste détendit légèrement la jeune fille, au moins il n’était pas parti en courant. Cependant, cette réaction laissa légèrement la jeune fille perplexe. Riait-il parce qu’il trouvait cela drôle ou parce qu’il l’a prenait tout de même pour une folle, mais pas suffisant pour s’enfuir de la salle pour avoir le plus grand espace entre lui et cette jeune sorcière dont il manquait probablement une case. Elle accrochait quand même espoir sur la première alternative.

Pendant que son cavalier essayait de reprendre sa respiration avec beaucoup de peine, les plats, qui étaient à présent vides, furent remplacés par des les dessert. La mousse à la framboise qui avait été proposée dans le menu de la soirée se trouvait devant la jeune fille.

Bien qu’elle ait toujours vécu, dans sa maison, entourée de magie, ce fut la première fois qu’elle vit ce qu’elle voyait à ce moment. Une bouche et des yeux était plus ou moins creusés dans la mousse qui quelques instants auparavant paraissait tout à fait normale. Cette nouvelle version du dessert fit un peu peur, sur le moment, à la blondinette, mais ce sentiment de peur fut remplacé par un sentiment d’admiration. Être en admiration devant une mousse à la framboise devait paraitre un peu étrange, mais ce sentiment d’émerveillement s’agrandit quand sa bouche s’étira pour laissait entendre une voix que l’on pouvait bel bien imaginer pour une innocente framboise :


« Avoue que tu as l’eau à la bouche rien qu’en me regardant, rien d’étonnant d’ailleurs, j’ai une magnifique odeur, ainsi que ma couleur qui doit probablement t’éblouir. Si tu veux connaître mon gout, tu n’as cas prendre ta cuillère et tu pourras me savourer. »

Elle se concentra à peine sur les paroles de son dessert, et elle sentait aussi le regard de Jonathan sur elle, mais elle n’osait pas le regarder dans les yeux, elle avait bien trop honte pour cela. Il commença cependant à parler ce qui fit tout de suite –par réflexe- lever sa tête pour regarder son cavalier, presque dans les yeux.

« Ca devait être tellement drôle. Je suis déçu d'avoir raté cela. Ca m'est aussi arrivé avec de l'eau. » Après un instant. « Tu sais, tu n'as pas à être gêné avec moi. Je trouve cela plus drôle que ridicule. » Jonathan regarda son dessert en souriant « Je sais pas toi mais mon Tiramisu m'appelle, je ne peux décemment pas le laisser dans cet état. »

Sa première remarque fit rougir Emilia à la fois de honte et de gêne –deux sentiments bien différent. Elle fut alors convaincue que c’était sa première hypothèse qui était la bonne, et elle en était bien heureuse. La suite lui donna l’impression que le garçon pouvait lire dans ses pensées. Peut-être était-ce aussi parce qu’ils se ressemblaient tellement qu’il connaissait un peu son système de réflexion et réaction, ce qui n’était pas si étonnant que ça d’ailleurs. Les deux enfants se ressemblaient un peu trop, toutes ces ressemblances faisaient presque peur. Il avait aussi dit qu’il trouvait la situation embarrassante dont elle n’avait pas fait exprès de parler plus drôle que ridicule. Trouvait-il qu’elle ressemblait à un clown ? Elle n’en savait rien, et elle laissa cette question en suspens, vu que son cavalier se jeta littéralement sur son dessert. Elle fit d’ailleurs de même. Quand sa mousse à la framboise avait parlé, elle avait eu raison, elle était exquise.
Quand les deux enfants avaient terminés leur repas, Jonathan fut une nouvelle fois le premier à prendre la parole.


« Ce repas était super je suis vraiment heureux d'être venu au Bal avec toi. »

Il s’arrêta et Emilia devina qu’ils devaient penser la même chose, cette soirée ne pouvait pas déjà être terminée. C’était impossible. Elle cherchait une excuse pour rester plus longtemps avec son cavalier, mais celui-ci la devança une nouvelle fois.

« Tu ne veux pas que l'on reste un peu ici, j'ai l'impression que la plupart des autres personnes n'ont pas fini de manger. En fait.....j'aimerais beaucoup que tu restes avec moi. Je ne veux pas que la soirée s'arrête. »

Elle fut tellement heureuse, et encore plus quand elle vit que Jonathan avait rougit, elle rougit d’ailleurs à son tour en esquissant un petit sourire. Elle était tellement contente qu’il veuille rester encore un peu avec elle et bien entendu, la première année n’avait pas du tout envie de partir, pas encore. Si elle pouvait faire vœu qui se réaliserait à la minute, ce serait rendre cette soirée interminable. Avant de sortir du dortoir des filles, elle aurait probablement souhaité de faire de cette soirée une soirée inoubliable, mais ce point-là s’était déjà réalisé.

Le garçon devait attendre sa réponse qui d’ailleurs ne se fit pas longtemps attendre :


« Moi non plus, tu ne voudrais pas plutôt faire un tour du château ou alors du parc ? Je n’ai pas très envie non plus que la soirée s’arrête maintenant… »

Elle était un peu gênée de sa demande, et attendait son avis sur cette petite virée nocturne après le bal.

Reducio
Vu que t'es parti dans quelques délires (avec le tiramisu), j'ai fait un peu la même chose. (J'ai bien aimé ton dessert qui parle ! :D

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