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31 août 2019, 19:40
Réponds moi...  PV-G.K 
Elisabeth était de plus en plus perplexe: Elle, énervée? C'était quoi ces bêtises, elle n'était jamais énervée. En réalité elle était très heureuse d'avoir rencontré sa correspondante anonyme, elle attendait ça depuis si longtemps (Bon quelques jours en vérité mais cela représentait une éternité pour la jeune fille qui n'était vraiment pas patiente lorsqu'il le fallait!). Elle sourit à Geneva:

-Eh bien non, il se trouve que je ne suis pas toi et que je ne suis pas énervée, loin de là, je suis même heureuse de t'avoir rencontrée! Et je serais encore plus heureuse si on pouvait apprendre à se connaître alors c'est avec plaisir que j'accepte ce repas avec toi! Mais dis moi comment as tu découvert mon mot pour la première fois?

Elle sourit en imaginant diverse façons par lesquelles l'autre Serdaigle aurait pu découvrir son mot avant de se rendre compte qu'elles étaient toutes aussi farfelues les unes que les autres, sa camarde n'avait surement pas lancé accio mot anonyme dans le couloir pour le trouver. Elle avait simplement du tomber dessus par hasard, le ramasser, le lire et enfin y répondre. Cela semblait plus logique mais bon, la jolie Serdaigle aimait s'inventer des histoires et elle avait là une occasion parfaite, elle repris la parole:

-Du coup on se donne rendez vous ce midi? A la table des Serdaigle? Je t'attendrais!

3 année RP à la rentrée, 1ère devoir, rien ne change de ce côté!XD
Vava en commun avec Geneva, le meilleur elfe de maison du monde!<3
"Harpie un jour, harpie toujours" (Cole & Hestia)
02 sept. 2019, 13:03
Réponds moi...  PV-G.K 
Elisabeth avait l'air de plus en plus étonnée par les dires de Geneva. Étonnée, car elle ne pensait pas du tout comme la jeune première année, ce qui avait le don de l'étonner, elle aussi. Les mots de la brune réconfortèrent un peu la fillette, qui souleva les épaules aux paroles de la jeune fille. 

« Je sais pas... Je l'ai vu par terre, ton mot, et je l'ai pris. Comme personne n'avait l'air de le chercher, je l'ai lu, et... C'est ainsi que notre petit jeu a commencé ! », expliqua la jeune fille. 

L'enfant vit ensuite sa camarade sourire. Elle avait l'air heureuse. Tant mieux pour elle. Bien sûr, Geneva l'était, elle avait toujours rêvé de rencontrer sa correspondante anonyme et inconnue, mais en même temps, cette discussion étonnante aurait pu durant plus longtemps... Tellement plus longtemps. Et, la Serdaigle s'en voulait. Alors, elle baissa les yeux et regarda les chaussures des deux jeunes filles, noires. Puis, après quelques secondes, tandis qu'Elisabeth reprit la parole, la fillette releva les yeux. Elle écouta les quelques mots que dit son interlocutrice, puis, répondit, essayant de sourire sans vraiment réussir :

« Je veux bien. On se retrouve donc au repas, tout à l'heure ? » 

Geneva fit un sourire à sa camarade, puis, après une demi seconde, la fillette prit sa camarade dans ses bras, et fit une étreinte à sa camarade. Elle se détacha d'elle après un petit moment, puis, après un "à toute à l'heure", et un petit signe de la main à la seconde année, puis partit en direction de son cours, tout en regardant sa camarade, à présent dans son dos, jusqu'à ce que la foule l'eut avaler, et qu'elle eut tourner le coin du couloir. Une fois assise à sa table, la jeune fille regarda distraitement au loin. À un moment, elle baissa les yeux sur son parchemin pour prendre des notes, et entraperçu son pendentif. Elle eut un moment d'arrêt. 
Alors, ce que sa mère lui avait raconté était vrai ? Le trèfle attaché autour de son cou avait une feuille, celle en haut à gauche, qui était devenu violette. La pierre brillait de reflets argenté au soleil. Impressionnée, la fillette ne quitta pas le bijou des yeux pendant tout le cours.

Il fallait absolument qu'elle en parle à Elisabeth, sa première rencontre importante dans Poudlard, et à sa mère, par lettre ! 

Dernier post pour moi, si tu veux en faire un de plus, libre à toi ;) On fait la suite à la table des Serdaigle ?

Deuxième année RP
“Je n'avouerai jamais que certaines de mes propres émotions m'effraient”, Lomepal