Démons au cube
Comment cela avait-il pu dégénérer aussi vite ? Avant même de l’avoir vu venir Ulysse me rendait mon coup avec une violence bien plus accrue que je ne l’aurais pensé, tant et si bien que je le regardais légèrement choquée. Bien sûre il nous était arriver d’échanger quelques coups inoffensifs comme ma petite claque de tout à l’heure mais jamais encore il ne m’avait frappé avec une telle force.
Et les reproches jamais encore il ne m’avait pas parler sur ce ton, même pas lorsque nous étions petits et que j’avais sans le vouloir casser son jouet préféré.
Et puis Taylor avait enchaîné et je me retrouvais pris entre deux feux. D’un côté il y avait Taylor que je voulais réconforter et de l’autre il y avait Ulysse, mon cousin, celui qui était mon meilleur ami qui venait de me blesser et de blesser son amie.
C’était la raison pour laquelle je restais seule d’ordinaire, pour ne pas avoir à choisir un camp. Et si d’ordinaire je choisissais la famille, c’était trop dur. Son comportement m’avait blessé. Et même si j’aimais mon cousin, il venait de me blesser. Autant physiquement qu’émotionnellement.
Autant l’un que l’autre pleurait, mais c’est Taylor qui partit la première. Lui, adoptait toujours la même posture du paon fier de lui, de ses mots et de ses actes. Je ne dis rien de plus que ce que j’avais dit, me contentant de me relever pour enlever la neige de mon pantalon.
Il pouvait me lancer son regard noir aussi longtemps qu’il le voulait cela ne changeait rien. D’un simple regard je lui fit comprendre qu’avec ses actes et ses mots, il m’avait blessé et que cette fois, cette fois je ne me rangerais pas de son côté comme c’était si souvent le cas depuis que nous étions petits.
Non cette fois j’abandonnais ; je ramassais l’écharpe de Taylor tomber au sol durant la bataille avant de me diriger vers les portes, il fallait maintenant retrouver Taylor et même si ça faisait mal…abandonner Ulysse. C’est sans doute pour ça que je lui lançais un dernier regard empli de tristesse avant de rentrer dans le couloir, direction Taylor.
Et les reproches jamais encore il ne m’avait pas parler sur ce ton, même pas lorsque nous étions petits et que j’avais sans le vouloir casser son jouet préféré.
Et puis Taylor avait enchaîné et je me retrouvais pris entre deux feux. D’un côté il y avait Taylor que je voulais réconforter et de l’autre il y avait Ulysse, mon cousin, celui qui était mon meilleur ami qui venait de me blesser et de blesser son amie.
C’était la raison pour laquelle je restais seule d’ordinaire, pour ne pas avoir à choisir un camp. Et si d’ordinaire je choisissais la famille, c’était trop dur. Son comportement m’avait blessé. Et même si j’aimais mon cousin, il venait de me blesser. Autant physiquement qu’émotionnellement.
Autant l’un que l’autre pleurait, mais c’est Taylor qui partit la première. Lui, adoptait toujours la même posture du paon fier de lui, de ses mots et de ses actes. Je ne dis rien de plus que ce que j’avais dit, me contentant de me relever pour enlever la neige de mon pantalon.
Il pouvait me lancer son regard noir aussi longtemps qu’il le voulait cela ne changeait rien. D’un simple regard je lui fit comprendre qu’avec ses actes et ses mots, il m’avait blessé et que cette fois, cette fois je ne me rangerais pas de son côté comme c’était si souvent le cas depuis que nous étions petits.
Non cette fois j’abandonnais ; je ramassais l’écharpe de Taylor tomber au sol durant la bataille avant de me diriger vers les portes, il fallait maintenant retrouver Taylor et même si ça faisait mal…abandonner Ulysse. C’est sans doute pour ça que je lui lançais un dernier regard empli de tristesse avant de rentrer dans le couloir, direction Taylor.
Να είστε δίκαιοι αν θέλετε να είναι δικό σας.
Soyez juste si vous voulez qu'on le soit envers vous.
Démons au cube
Ce fut Taylor qui parla en première. Des larmes dévalaient ses joues, et elle avait l'air à la fois si dégoûtée et si en colère que j'en fus vexé. Elle recula même de quelques pas, comme si j'étais atteint de la pire maladie au monde. Et, en cet instant douloureux, je crois que j'étais atteint de la pire maladie que la terre pouvait porter : la colère. J'étais horriblement furieux, si énervé que j'aurais put être capable de fracasser le truc le plus lourd qui me tomberait sous la main sur la tête de Taylor. Je serrais les poings, me retenant de ne pas couper la parole à celle que j'avais cru gentille. Elle débita de longues phrases qui allèrent droit au coeur, me blessant sauvagement comme seuls les amis les plus proches savent le faire.
"La pitié que tu as pour moi me fait vomir. Je te croyais mon ami, lorsqu’en réalité, tu es rien qu’un pauvre type qui n’en a rien à faire des sentiments. Je trouvais que tu avais l’air d’être quelqu’un de bien, mais quand je t’entends, j’ai l’impression que tu me désignes comme un boulet que tu as à trainer. Dès lors, si je te semble pittoresque comme ce que tu prétends, autant que tu restes avec ta jolie petite Serpentard et que tu dégages de mon champ de vision ; et ne compte plus jamais sur moi pour t’aider à remonter tes notes désolantes ; le poids démissionne."
J'eus l'impression que mon monde s'écroulait tout entier. Je savais que Taylor m'en voulait pour une raison tordue et mystérieuse pour moi, mais je ne pensais pas que sa colère la pousserait à me hurler de telles paroles au visage, avec comme seul prétexte que j'avais fait le mort quelques secondes. Je ne comprenais plus rien à ce qui se passait, si ce n'est que je venais de perdre mon amie la plus chère. Je serrais ma mâchoire, ma colère retombant rapidement, et étant remplacée par une sorte de vide à la place qu'avait occupée Taylor avant cette dispute. Je me sentais anéanti, incapable de penser quoi que e soit.
Lorsque je vis qu'elle commençait à partir, je pris conscience qu'il ne fallait pas qu'elle ait le dernier mot. Je voulais lui faire autant de mal qu'elle m'en avait fait. Je voulais qu'elle souffre comme je souffrais.
"Tu sais quoi, Taylor ?" hurlais-je au dos de la jeune fille. "Tu es la personne la plus tordue et la plus illogique que je connaisse ! Oui, je n'ai plus pitié de toi parce que je ne comprends même pas pourquoi t'as pleuré !"
Athéna commença à suivre Taylor, comme un chien suit sa maîtresse. Alors que je pensais qu'elle était de mon côté, elle me tournait le dos. Je sentis toute ma rage se gonfler dans ma poitrine, et je criais à l'adresse des deux filles :
"De toute façon, vous êtes bêtes et incompréhensibles ! Et je ne te permets pas d'appeler Alaska comme ça, parce qu'elle, au moins, elle est gentille et pas aussi pleurnicharde que toi !"
Aussitôt que j'eus dit ça, je m'effondrais dans la neige, pantelant. J'avais froid, j'avais faim, j'avais mal. Mes habits et mes cheveux étaient trempés, mais je m'en fichais. Je voulais me transformer en glaçon et mourir, comme ça, Taylor pleurerait ma mort et regretterait que ses dernières paroles envers moi aient été des reproches et des cris.
Dernier post pour moi !
"La pitié que tu as pour moi me fait vomir. Je te croyais mon ami, lorsqu’en réalité, tu es rien qu’un pauvre type qui n’en a rien à faire des sentiments. Je trouvais que tu avais l’air d’être quelqu’un de bien, mais quand je t’entends, j’ai l’impression que tu me désignes comme un boulet que tu as à trainer. Dès lors, si je te semble pittoresque comme ce que tu prétends, autant que tu restes avec ta jolie petite Serpentard et que tu dégages de mon champ de vision ; et ne compte plus jamais sur moi pour t’aider à remonter tes notes désolantes ; le poids démissionne."
J'eus l'impression que mon monde s'écroulait tout entier. Je savais que Taylor m'en voulait pour une raison tordue et mystérieuse pour moi, mais je ne pensais pas que sa colère la pousserait à me hurler de telles paroles au visage, avec comme seul prétexte que j'avais fait le mort quelques secondes. Je ne comprenais plus rien à ce qui se passait, si ce n'est que je venais de perdre mon amie la plus chère. Je serrais ma mâchoire, ma colère retombant rapidement, et étant remplacée par une sorte de vide à la place qu'avait occupée Taylor avant cette dispute. Je me sentais anéanti, incapable de penser quoi que e soit.
Lorsque je vis qu'elle commençait à partir, je pris conscience qu'il ne fallait pas qu'elle ait le dernier mot. Je voulais lui faire autant de mal qu'elle m'en avait fait. Je voulais qu'elle souffre comme je souffrais.
"Tu sais quoi, Taylor ?" hurlais-je au dos de la jeune fille. "Tu es la personne la plus tordue et la plus illogique que je connaisse ! Oui, je n'ai plus pitié de toi parce que je ne comprends même pas pourquoi t'as pleuré !"
Athéna commença à suivre Taylor, comme un chien suit sa maîtresse. Alors que je pensais qu'elle était de mon côté, elle me tournait le dos. Je sentis toute ma rage se gonfler dans ma poitrine, et je criais à l'adresse des deux filles :
"De toute façon, vous êtes bêtes et incompréhensibles ! Et je ne te permets pas d'appeler Alaska comme ça, parce qu'elle, au moins, elle est gentille et pas aussi pleurnicharde que toi !"
Aussitôt que j'eus dit ça, je m'effondrais dans la neige, pantelant. J'avais froid, j'avais faim, j'avais mal. Mes habits et mes cheveux étaient trempés, mais je m'en fichais. Je voulais me transformer en glaçon et mourir, comme ça, Taylor pleurerait ma mort et regretterait que ses dernières paroles envers moi aient été des reproches et des cris.
Dernier post pour moi !
Dernière modification par Ulysse Mage le 10 sept. 2019, 18:32, modifié 1 fois.
Un génie sommeille en moi. Malheureusement, il dort tout le temps !
"He was an angel craving chaos. He was a demon seeking peace."
Démons au cube
Ceci est ma dernière réponse pour ce RP.
L’écoutais-je encore tandis que je me dirigeais vers les inqualifiables couloirs de cet infâme château ? Certainement, mais je n’allais plus lui répondre. Il ne me connaissait pas, et il ne me maîtrisera plus jamais ! Ce mec, un abruti amoureux, et le fait qu’il puisse rester avec elle en me reléguant au rang d’objet de consolation et de préceptrice pour ces notes horribles ne paraissaient plus avoir d’importance pour moi. Lui, non plus, d’ailleurs. Je le haïssais, et qu’il crée de sa propre vie un enfer pourrait m’être jouissif.
Notre attachement était terminé. La valeur de cette dernière venait d’être réduite à néant et j’y semblais impassible, je ne désirais plus le voir devant moi, je ne souhaitais même plus être ami avec ce…
Crétin... Abruti...
Il n’avait plus d’impact sur mon histoire, sur mes ressentiments : de toute manière, que contrôlait-il de mon existence ? Que connaissait-il de moi ? Rien ! Parce qu’il n’avait aucunement le droit de savoir pourquoi j’avais pleuré, pourquoi je maîtrisais le fait d’avoir perdu une amie, MA Roxane ? Et l’abandonner n’avait pas le même impact, n’avait plus de réelle conséquence sur ma propre personnalité. J’aurais dû suivre mes pensées et me méfier, me défier des sympathies trop faciles, trop simplistes, trop jolie-jolie. Et pour cela, rien ne durait concrètement. Il s’était joué de moi, surtout dès le moment où cette Serpentard avait débarqué dans sa vie. Je n’avais pas d’importance sauf quand cette soi-disant gentille Alaska voulait passer du temps avec ses camarades. Là, j’existais ! À ce moment-là, j’étais la supposée meilleure amie ! Mais que tout cela pût aller en enfer ! Qu’est-ce que je pouvais en avoir à faire ?
Ce mec, cet idiot d'Ulysse... C'est un véritable tueur...
Ma colère ne pourrait pas se calmer avant un petit moment, et ce, même si tous les souvenirs tristes de ma vie pouvaient me revenir. Ce genre de comportement, rigolo dramatique, il pouvait se le garder, ce n’était guère pour moi ; et je me fichais de ce qu’il pouvait ressentir en cet instant. Il était mort pour moi !
Mort comme l’était ma véritable camarade, Roxane. Mort comme un pantin dans la neige, comme un mammouth dans les glaciers. Mort comme une âme en enfer ! Je me fichais ainsi de tout ce qui le reliait à moi ; notre rencontre, notre amitié, sa propre personne. Il devenait ainsi qu’un simple souvenir oublié, celui que je ne verrais plus jamais, car effacé de ma vision, effacé de ces personnes qui avaient de l’importance pour moi. L’amitié entre nous était ainsi terminée, brisée, et je m’en sortirais toujours.
Un tueur mort comme n'importe lequel d'entre eux...
Il était mort, tandis que je renaissais pour une seconde fois créant encore plus de méfiance pour ces hommes, pour ces individus qu’on ne connaissait qu’à peine. Mort, voilà tout ce que ce démon était à présent.
Un Démon. Ulysse fils de Gaziel, le démon.
Sixième année RP
L’écoutais-je encore tandis que je me dirigeais vers les inqualifiables couloirs de cet infâme château ? Certainement, mais je n’allais plus lui répondre. Il ne me connaissait pas, et il ne me maîtrisera plus jamais ! Ce mec, un abruti amoureux, et le fait qu’il puisse rester avec elle en me reléguant au rang d’objet de consolation et de préceptrice pour ces notes horribles ne paraissaient plus avoir d’importance pour moi. Lui, non plus, d’ailleurs. Je le haïssais, et qu’il crée de sa propre vie un enfer pourrait m’être jouissif.
Notre attachement était terminé. La valeur de cette dernière venait d’être réduite à néant et j’y semblais impassible, je ne désirais plus le voir devant moi, je ne souhaitais même plus être ami avec ce…
Crétin... Abruti...
Il n’avait plus d’impact sur mon histoire, sur mes ressentiments : de toute manière, que contrôlait-il de mon existence ? Que connaissait-il de moi ? Rien ! Parce qu’il n’avait aucunement le droit de savoir pourquoi j’avais pleuré, pourquoi je maîtrisais le fait d’avoir perdu une amie, MA Roxane ? Et l’abandonner n’avait pas le même impact, n’avait plus de réelle conséquence sur ma propre personnalité. J’aurais dû suivre mes pensées et me méfier, me défier des sympathies trop faciles, trop simplistes, trop jolie-jolie. Et pour cela, rien ne durait concrètement. Il s’était joué de moi, surtout dès le moment où cette Serpentard avait débarqué dans sa vie. Je n’avais pas d’importance sauf quand cette soi-disant gentille Alaska voulait passer du temps avec ses camarades. Là, j’existais ! À ce moment-là, j’étais la supposée meilleure amie ! Mais que tout cela pût aller en enfer ! Qu’est-ce que je pouvais en avoir à faire ?
Ce mec, cet idiot d'Ulysse... C'est un véritable tueur...
Ma colère ne pourrait pas se calmer avant un petit moment, et ce, même si tous les souvenirs tristes de ma vie pouvaient me revenir. Ce genre de comportement, rigolo dramatique, il pouvait se le garder, ce n’était guère pour moi ; et je me fichais de ce qu’il pouvait ressentir en cet instant. Il était mort pour moi !
Mort comme l’était ma véritable camarade, Roxane. Mort comme un pantin dans la neige, comme un mammouth dans les glaciers. Mort comme une âme en enfer ! Je me fichais ainsi de tout ce qui le reliait à moi ; notre rencontre, notre amitié, sa propre personne. Il devenait ainsi qu’un simple souvenir oublié, celui que je ne verrais plus jamais, car effacé de ma vision, effacé de ces personnes qui avaient de l’importance pour moi. L’amitié entre nous était ainsi terminée, brisée, et je m’en sortirais toujours.
Un tueur mort comme n'importe lequel d'entre eux...
Il était mort, tandis que je renaissais pour une seconde fois créant encore plus de méfiance pour ces hommes, pour ces individus qu’on ne connaissait qu’à peine. Mort, voilà tout ce que ce démon était à présent.
Un Démon. Ulysse fils de Gaziel, le démon.
Sixième année RP
Démons au cube
Ceci est mon dernier poste pour ce rp et j'ai bien entendu l'autorisation de Taylor pour ses actions et pour l'entraîner dans les cuisines
Να είστε δίκαιοι αν θέλετε να είναι δικό σας.
Soyez juste si vous voulez qu'on le soit envers vous.
Il criait, grand bien lui fasse au final… J’avais presque eu envie de m’attarder sur cette Alaska mais Taylor passait avant, et il avait besoin de se calmer. Et quelque part moi aussi, si je ne voulais pas m’énerver contre lui et faire comme nos mères : des années de séparation sans nouvelles.
Retrouver la furie à travers les couloirs n’était pas choses aisées, il fallait suivre une piste déjà froide en priant pour ne pas la perdre définitivement de vue. Et peut-être apaiser les tensions, apaiser la colère et la tristesse de Taylor.
Pourtant, comment apaiser quelqu’un quand on était soi-même si en colère ? Ulysse m’avait déçue, au plus haut point. Et ces derniers mots hurler à son encontre, en pleine cours quand tout le monde pouvait voir et entendre, une pleurnicharde, Taylor ? Je n’en avais pas l’impression. Les deux filles bêtes et incompréhensibles. Bêtes ? Certainement pas, Je l’avais déjà fait remarquer à s=mon cousin plusieurs fois. Incompréhensible ? Qui l’était le plus ? Elles ou lui qui n’avait pas su voir que derrière les larmes de Taylor se cachait sans aucun doute quelque chose de plus profond ? Et si je ne l’avais pas remarqué de suite, prise par la panique qu’un simple acte avait pu engendrer, j’étais maintenant certains que derrière ces larmes, Taylor cachait quelque chose de beaucoup plus profond.
Je la rattrapais, essoufflée de lui avoir couru après alors même qu’elle s’apprêtait à rentrer dans l’imposante bibliothèque.
J’ai cru que je ne te rattraperais jamais -dis-je avec un petit sourire en tentant de retrouver ma respiration. Mais dès que ce fût fait, je me mis sur la pointe des pieds pour enrouler son écharpe autour de son cou, ce n’était pas parfait et cela lui cacher une partie du visage notamment sa bouche ne laissant apparaître que son nez et ses yeux mais c’était mieux que rien.
Elle avait l’air triste, et je ne sais trop pourquoi, le fait qu’elle soit triste me rendait triste, papa disait que c’était souvent le cas parce que je savais faire preuve d’empathie et que cela me rendait humaine. Alors c’était sans doute quelque chose de bien non ?
La prenant dans mes bras pour lui remonter un peu le moral, je finis par la lâcher au bout de quelques secondes.
« Je crois que tu as plus besoin d’un bon chocolat chaud que de t’enfermer dans les livres »
Elle ne répondit pas par des paroles, juste un sourire alors que je l’entraînais dans les cuisines. De Valak le démon, il ne restait qu’un ange, un ange pleureur et triste dont je me devais de remonter le moral
Retrouver la furie à travers les couloirs n’était pas choses aisées, il fallait suivre une piste déjà froide en priant pour ne pas la perdre définitivement de vue. Et peut-être apaiser les tensions, apaiser la colère et la tristesse de Taylor.
Pourtant, comment apaiser quelqu’un quand on était soi-même si en colère ? Ulysse m’avait déçue, au plus haut point. Et ces derniers mots hurler à son encontre, en pleine cours quand tout le monde pouvait voir et entendre, une pleurnicharde, Taylor ? Je n’en avais pas l’impression. Les deux filles bêtes et incompréhensibles. Bêtes ? Certainement pas, Je l’avais déjà fait remarquer à s=mon cousin plusieurs fois. Incompréhensible ? Qui l’était le plus ? Elles ou lui qui n’avait pas su voir que derrière les larmes de Taylor se cachait sans aucun doute quelque chose de plus profond ? Et si je ne l’avais pas remarqué de suite, prise par la panique qu’un simple acte avait pu engendrer, j’étais maintenant certains que derrière ces larmes, Taylor cachait quelque chose de beaucoup plus profond.
Je la rattrapais, essoufflée de lui avoir couru après alors même qu’elle s’apprêtait à rentrer dans l’imposante bibliothèque.
J’ai cru que je ne te rattraperais jamais -dis-je avec un petit sourire en tentant de retrouver ma respiration. Mais dès que ce fût fait, je me mis sur la pointe des pieds pour enrouler son écharpe autour de son cou, ce n’était pas parfait et cela lui cacher une partie du visage notamment sa bouche ne laissant apparaître que son nez et ses yeux mais c’était mieux que rien.
Elle avait l’air triste, et je ne sais trop pourquoi, le fait qu’elle soit triste me rendait triste, papa disait que c’était souvent le cas parce que je savais faire preuve d’empathie et que cela me rendait humaine. Alors c’était sans doute quelque chose de bien non ?
La prenant dans mes bras pour lui remonter un peu le moral, je finis par la lâcher au bout de quelques secondes.
« Je crois que tu as plus besoin d’un bon chocolat chaud que de t’enfermer dans les livres »
Elle ne répondit pas par des paroles, juste un sourire alors que je l’entraînais dans les cuisines. De Valak le démon, il ne restait qu’un ange, un ange pleureur et triste dont je me devais de remonter le moral
Να είστε δίκαιοι αν θέλετε να είναι δικό σας.
Soyez juste si vous voulez qu'on le soit envers vous.