Solaris se baladait dans le grand Hyde Park, à la recherche d’un bon coin où se mettre. Son sac pendouillait à côté d’elle, contenant le parchemin et la plume dont elle avait besoin pour dessiner l’ampleur de la vue qui s’étendait autour d’elle. Que de verdure ! Ça lui faisait beaucoup de bien de pouvoir sortir un peu. Elle aurait aimé que Uybeposze l’accompagne, mais elle savait que c’était impossible, une chouette n’était pas un chat, elle ne pouvait pas l’emporter partout. A la place, la Bleu et Bronze laissait son oiseau voler librement, c’était bien mieux pour elles-deux. Et puis, ici, c’était grouillant de personne, elle trouverait bien quelqu’un avec qui bavarder. Un bel arbre attira son attention : voilà le coin qu’il lui fallait ! Toute contente, elle s’approcha de l’arbre en sautillant et s’assit en tailleur, le dos appuyé contre le tronc rugueux de l’arbre. Impatiente de commencer à dessiner, elle sortit son parchemin et sa plume et commença à dessiner. Avec un peu de chance, elle pourrait dessiner un oiseau perché sur une branche, si elle était rapide. Son regard se promena sur son vaste modèle, pour mémoriser tous les détails qui s’affichait sous ses yeux et se précipiter pour ensuite tout dessiner sur son croquis pratiquement vierge. Chez elle, chez les moldus, elle avait des crayons de couleurs ou même des feutres pour colorier son œuvre. La première année regrettait de ne pas en avoir pris à Poudlard, mais elle pouvait toujours leurs envoyer un hibou en demandant de les lui envoyer. En attendant, elle devait faire avec ce qu’elle avait sous la main, c’est-à-dire sa plume avec laquelle elle faisait énergiquement des traits qui prenait peu à peu forme. Ici, un arbre, là de l’herbe et un peu partout, des buissons. On entendait le grat-gratte que faisait sa plume, laissant derrière elle une traînée d’encre sur la feuille. A court d’idée, Solaris se gratta pensivement la tête, en quête d’inspiration. Soudain, une idée de génie lui traversa la tête comme un éclair. Elle remit ses affaires dans son sac et son sac dans son dos et grimpa sur l’arbre. Elle choisit une grosse branche qui lui paraissait résistante et s’assit dessus, les jambes replié pour offrir un appui pour son croquis. Avec un peu de chance, l’inspiration lui viendrait. Au bout de quelques minutes, elle se demanda si ce serait bien de redescendre, puis se décida pour profiter encore un peu de la superbe vue qui s’étalait sous ses yeux. Puis, sentant le vertige venir à elle, Solaris tenta de redescendre de l'arbre, ce qui ne fut pas une mince affaire. la première année aimait bien grimper eu arbres, mais n'était franchement pas douée pour la descente. Au bout d'efforts, la bleu et bronze atteignit enfin le sol et souris intérieurement, heureuse que ce soit finit. Elle repris sa position de départ, un large sourire dessiner sue sa bouche.

Emilia put enfin respirer de l’air frais, ce n’est pas qu’elle étouffait à Poudlard, mais elle ne se sentait pas encore comme chez elle… Elle le savait déjà avant d’y aller qu’elle ne s’intègrerait pas dès les deux premières semaines. Elle avait donc demandé l’autorisation d’aller à Londres, pour faire quelques courses. Ce n’était pas vraiment un mensonge vu qu’elle venait de sortir d’une librairie moldue où elle y avait acheté un bon petit stock de livres. Elle adorait les livres fantastiques des moldus, ils faisaient de leur mieux pour essayer d’imaginer une chose qui n’existe pas dans leur monde. Ils ne se doutaient pas du tout que toutes leurs histoires pourraient être réelles. Elle avait aussi pris des livres de sciences fiction, comme la sélection. Elle était totalement amoureuse du deuxième personnage principal, le prince Maxon ! Après avoir acheté quelques sandwichs pour le déjeuner, la première année se dirigea vers Hyde Park pour pouvoir y bouquiner tranquillement. Elle avait l’habitude de faire ça en Corée mais là-bas, elle lisait des mangas, des fois en coréens ou alors en anglais. Quand elle arriva dans le parc, elle respira un bon coup comme elle en avait l’habitude. La jeune fille trouva une place à côté d’un arbre. Elle s'assit et commença la lecture d’un de ses romans. Environ vers une heure de l’après-midi, un groupe de jeunes arriva et commença à l’embêter. *Que me veulent-ils ?* se demanda-t-elle. Elle aurait voulu qu’on la laisse tranquille pour une fois qu’elle pouvait bouquiner des livres normaux sans entendre d’autres élèves se moquer, ou ricaner. Elle ne put s’empêcher de leur crier : «Mais fichez moi la paix ! Je ne vous ai rien demandé !», puis partie dans la direction opposé pour s’enfoncer un peu plus dans le parc car elle ne voulait vraiment pas rentrer. Elle était de nouveau à la recherche d’un lieu paisible où elle ne serait pas déranger. Elle chercha pendant 15 minutes l’endroit parfait mais sans succès. Tout à coup, elle vit une fille assise avec une plume et un parchemin contre un arbre, elle lui était familière, *Mais oui ! Je l’ai déjà aperçu plusieurs fois dans les couloirs de Poudlard !* se rappela-t-elle d’un coup. Sans s’en rendre compte, elle se retrouva derrière la demoiselle. Elle jeta un coup d’œil à son parchemin. Elle vit une magnifique représentation du paysage environnant. Sans s’en rendre compte, elle dit à haute voix : «Wouah ! C’est super joli ! T’as un don pour le dessin, c’est sûr !»
La jeune fille se retourna dans un sursaut, les yeux grands ouverts de surprise. Sans la laisser réagir, Emilia lui tendit la main et dit : « Je suis Emilia GARNIER, première année, en Gryffondor ! »

Au bout de quelques instants, Solaris, assise contre son arbre, se rendit compte qu’elle avait faim. Elle se le va et alla acheter un sandwich ainsi qu’une bouteille d’eau dans chez une boulangerie moldue. Une fois sortie de la boutique, elle retourna s’assoir contre son arbre en dévorant à pleines dents son sandwich. Elle continua un peu son dessin, mais il n’y avait plus grand-chose à faire, son œuvre était presque terminée. Elle but dans sa bouteille tout en songent à ce qu’elle pourrait faire après. Son dessin étant terminé, elle se demandait ce qu’elle pourrait faire pour s’occuper. Peut-être visiter le parc. Après tout, elle n’avait pas encore pris le temps de totalement visiter le parc. Mais il y avait sûrement d’autres choses à faire, peut-être même des choses plus intéressantes. Elle sirota pensivement son eau, cherchant dans son esprit autre chose à faire. Visiter le parc, c’était un peu banal comme occupation. Solaris avait besoin d’un truc où elle pouvait se dépenser. Après avoir dessiné calmement, la première année devait se trouver une occupation distrayante. Peut-être pas sportif, mais au moins distrayante. Alors qu’elle optait pour se pendre à un arbre, une voix s’éleva dans son dos.

«Wouah ! C’est super joli ! T’as un don pour le dessin, c’est sûr !»

Elle sursauta, surprise. Puis elle réalisa qu’elle avait toujours le parchemin sur ses genoux. La fille qui venait de parler devait avoir aperçu son croquis, et l’vait visiblement apprécier. C’était bizarre pour elle, que quelqu’un lui dise ça, comme ça. Elle savait qu’elle savait bien dessiner, mais, jusqu’à maintenant, personne ne lui avait dit comme ça, et ça lui faisait bizarre. Elle se retourna pour voir qui avait parler, les yeux rond comme des soucoupes, sous l’effet de la surprise. Elle n’eût pas le temps de placer un mot lorsque la Gryffondore enchaîna :

« Je suis Emilia GARNIER, première année, en Gryffondor ! »

Quelques peu étourdie par cette spontanée présentation de la part de sa camarade, elle serra la main de la gryffonne. Maintenant qu’elle y repenssait, Solaris se souvenait l’avoir déjà croisée dans les couloirs et en classe, sans avoir prêté grande attention à cette fillette blonde. La Serdaigle prépara mentalement une réponse pour ne pas dire de bêtises, tout ne songent aux endroits où elle avait vu cette Emilia. Une fois sortie de ses pensées, Solaris répondit en toute hâte à Emilia.

« Bonjour ! Je m’appelle Solaris Wiallsonew, première année à Serdaigle. » Elle marque un temps de peuse avant d’enchaîner :

« Tu fais quoi dans le parc ? Moi, comme tu vois, je dessine. » Puis elle ajouta en pouffant : « Apparrement, tu aimes bien mon dessin ! »

Elle eût soudain peur que la blondinette ne le prenne mal, mais elle était sûre que sa camarade de classe ne le prendrait pas mal. Il sufisait juste qu’elle ait un peu d’humour, elle devait bien en avoir, non ? Solaris sorti de ses pensées et regarda la Gryffondor en attendant sa réponse.

La jeune fille sursauta, se retourna. Elle regardait Emilia de la tête au pied. Emilia se dit alors *Je n'aurai peut-être pas dû venir lui parler comme ça. Je lui ai probablement fait peur…* mais sa réponse pouvait faire penser que c'était tout le contraire, car elle dit avec assurance en serrant sa main :

« Bonjour ! Je m’appelle Solaris Wiallsonew, première année à Serdaigle. »

Elle marqua un temps de pause avant d’enchaîner :

« Tu fais quoi dans le parc ? Moi, comme tu vois, je dessine. » Puis elle ajouta en pouffant : « Apparemment, tu aimes bien mon dessin ! »

Après qu'elle secondes de réfléxion, la gryffondor répondit en tapotant son sac à bandoulières, un geste qu'elle regretta tout de suite :

« Je suis venue lire des livres. »

Elle espérait que la serdaigle ne lui demandera pas de lui montrer les livres qu'elle était en train de bouquiner, elle avait un peu peur de sa réaction, peur qu’elle se moquait d’elle. Après avoir fait une pause de quelques secondes, elle enchaina en rigolant :

« Effectivement, je vois ça ! Tu dessines vraiment bien. Tu as de la chance, je n'ai jamais été bonne en dessin. Je préfère lire »

Elle dut s'arrêter de parler car on put entendre le gargouillis d'un ventre, c'était apparemment le sien. La première année n'avait toujours pas mangé son déjeuner. Elle mourrait de faim mais vu qu'elle était tellement aspiré par son livre puis par la discussion avec l'élevé qu’elle avait rencontré ici, elle oublia qu’elle devait manger avant que ses maux de tête lui revienne. Comme elle se sentit un peu gênée. Elle sortit ses sandwichs et en proposa à sa camarade, tout en lui en tendant un :

« Tu en veux ? Mon père dit que les sandwichs de cette boutique sont délicieux. Vu que je n'aie jamais vraiment été à Londres, je ne sais pas vraiment s’ils sont bons. J'en ai un au jambon et un fromage, lequel veux-tu ? »

Elle avait rassembler tout son courage pour lui demander cela, elle avait perdu toute son assurance dès que sa nouvelle amie la regardait. En plus, elle ne voulait pas paraitre trop malpolie.

Solaris guetta la réponse d’Emilia, en espérant qu’elle plutôt positive et humouristique. Peut-être qu’elle en demandait trop… Maintenant, c’était trop tard pour faire marche arrière, elle n’avait plus qu’à attendre la réaction de la Gryffondore, en espérant qu’elle n’allait pas passer pour une folle devant sa camarade. Emilia avait l’air de s’accorder quelques temps de réfléxions, sûrement pour ne pas dire n’importe quoi. Les pensées de Solaris allait et venait sur différent sujet. Elle essayait, malgré tout, d’écouter d’une oreille la future réponse de sa camarade. Une petite brise soufflait dans les arbres et faisait tinter leurs feuilles dans un doux bruissement. Solaris adorait la nature, en particulier le bruit que les arbres faisaient dans ce genre de situation, où le vent n’en faisait qu’à sa tête. Elle entendait le gazouillis des quelques oiseaux qui chantait dans les arbres. Une voix la sortie nette de ses pensées, et elle reconnut la voix d’Emilia, celle avec qui elle était en train de dialoguer quelques temps plus tôt. Un conversation fort intéressante, par ailleurs…

« Je suis venue lire des livres. »

Elle avait lâché ça en tapotant son sac qu’elle portait en bandoulière. Voilà ce que faisait Emilia dans le parc. Solaris se souvenait de la question qu’elle lui avait posée avant de recevoir la réponse de sa part. Sa réponse lui sautait aux yeux, maintenant, puisqu’elle voyait le sac de la Gryfonne qui, visiblement, semblait contenir les livres qu’elle s’apprêtait à lire. Des assez gros livres, apparemment.

« Effectivement, je vois ça ! Tu dessines vraiment bien. Tu as de la chance, je n'ai jamais été bonne en dessin. Je préfère lire » Enchaîna-t-elle en rigolant. Solaris fût Soulagée de constater qu’Emilia avait de l’humour. Au moins, elle ne passerait pas pour une folle. Elle se prépara à répondre et remua les lèvres en formulant les mots qu’elle voulait dire.

« Moi aussi j’adore lire. Tiens d’ailleurs, je crois que j’ai apporté Une Etude Rouge… » Elle fouilla dans son sac pour y dénicher un gros livre rouge qu’elle montra posément à la Gryffondore. «C’est un livre moldu », précisa-t-elle pour ne pas inquiéter sa nouvelle amie, qui n’vait sûrement jamais vu ce livre. « Tu sais, moi, pour dessiner, j’ai commencé avec des bonhommes-patates ! » dit-elle en rigolant à son tour. Elle voulait détendre l’atmosphère, comme l’avait fait Emilia, et pour rester dans l’humour. Soudain, un gargouillement se fit entendre. C’était le ventre de la Gryffondore, qui criait famine. Solaris sourit, consciente que ça aurait pût lui arriver. Emilia devait se sentir gênée, et Solaris la comprenait. Elle était dans une situation délicate, mais Solaris était sûr que la blondinette allait s’en sortir.

« Tu en veux ? Mon père dit que les sandwichs de cette boutique sont délicieux. Vu que je n'aie jamais vraiment été à Londres, je ne sais pas vraiment s’ils sont bons. J'en ai un au jambon et un fromage, lequel veux-tu ? » Dit la blonde en lui proposant deux sandwich. Comme elle n’avait plus faim, elle déclina poliment l’offre :

« Non merci, tu peux les garder !J'ai déjà manger. Mais merci quand même. Au fait, tu lis quoi?» Et elle sourit pour accompagner ses paroles. Elle attendis posément la réponse de son amie. La première année ne voulait pas la gênée. Elle demandait à tout le monde ce qu'ils lisaient, et elle ne réfléchissait même plus. Et la Gryffondore n'avait pas vraiment l'air gênée, ce qui la rassura. Elle espérait avoir fait bonne impression.

Emilia lui avait expliqué quel était venu au parc pour lire des livres tout en tapotant son sac en bandoulière rouge, puis lui avait dit en rigolant :

« Effectivement, je vois ça ! Tu dessines vraiment bien. Tu as de la chance, je n'ai jamais été bonne en dessin. Je préfère lire »

Solaris lui répondit :

« Moi aussi j’adore lire. Tiens d’ailleurs, je crois que j’ai apporté Une Etude Rouge… »

Après lui avoir donné le titre d’un livre moldu dont la première année avait déjà entendu parler par ses camarades en Corée. Emilia regardait la Serdaigle avec étonnement ce qui avait dut lui faire croire qu’elle ne connaissait rien à littérature moldue car celle-ci précisa :

«C’est un livre moldu »

La jeune gryffondore commença à rigoler intérieurement et afficha un grand sourire, Solaris avait surement cru qu’elle ne connaissait rien aux moldu, elle ne pouvait pas savoir qu’Emilia était une sang-mêlé comme on disait dans le début de années 2000, où il y avait une sorte de discrimination, mais c’était encore pire qu’avec les enfants nés de familles moldus… Mais avant même qu’elle eut le temps de réagir sa nouvelle amie lui dit :

« Tu sais, moi, pour dessiner, j’ai commencé avec des bonhommes-patates ! »

Effectivement quand elle habitait en Australie, elle faisait des cours de dessin avec d’autres enfants de son âge, le prof était super cool, mais elle n’a jamais vraiment été douée, puis elle faisait aussi de l’athlétisme à côté et plus tard, il fallait faire un choix, elle a préféré choisir sport, elle était bien plus douée dans cet art-là ! La blondinette lui expliqua :

« Oui, c’est un roman policier si je me rappelle bien, mais ce n’est pas mon style de livres préférés, je préfère les livres fantastiques ou de science-fiction, mon sac est d’ailleurs rempli de livres moldus ! », puis enchaina avec un grand sourire dessiner sur le visage « Quand j’étais plus jeune, je faisais des cours de dessin et en même temps, j’étais dans un club de courses à pied, mais je préférais courir à dessiner ! »

Après quelques minutes, le ventre de la première année commença à gargouiller, elle était un gênée, donc pour le cacher et faire oublier ce moment embarrassant à la serdaigle, elle proposa des sandwichs, un au jambon et l'autre au fromage qu’elle avait acheté dans un des magasins que lui avait conseillé son père vu que c’était la deuxième fois qu’elle se promenait à Londres. Après lui avoir de partager son repas, Solaris déclina très gentillement :

« Non merci, tu peux les garder ! J'ai déjà mangé. Mais merci quand même. Au fait, tu lis quoi?»

Quand son amie termina de parler, elle pensa *mais c'est vrai, c'est normal qu'elle ait déjà mangé il est presque trois heures !* Par contre si elle ne voulait pas en mangeant, elle ne pouvait s'empêcher de manger elle-même car comme l'avait bien fait comprendre son ventre, elle avait très faim. En temps normal, la fillette se serait privée de nourriture, mais ici c'était une exception ! Elle se permit de déballer son sandwich avant de répondre à Solaris. Elle le mit dans sa bouche, craqua dedans à pleine dents, d'ailleurs, heureusement qu'elle ne mangeait pas en la présence de la reine d'Angleterre, qui ne devait pas être très loin... Sans s'en rendre compte la gryffone lui répondit la bouche pleine :

« Oh c'est pas grave ! Il y a en aura plus pour moi ! J'étais en train de lire un livre qui s'appelle la fée, c'est vraiment trop bien !! Tu devrais vraiment le lire ! »

Elle commença à pouffer et remarqua qu'elle avait parlé la bouche pleine, elle baissa légèrement la tête et s'excusa alors avec empressement :

« Je suis désolée, j'avais tellement faim et puis j'avais envie de te répondre le plus vite possible, voici la preuve que je ne peux pas faire plusieurs choses en même temps. Je suis vraiment désolée, je sais que ce n'est pas très poli de pas part... »