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28 juil. 2017, 21:22
De nouvelles rencontres  Libre 
- Salut, Marion. Je suis Théo, le frère de Mia dit il en lui tendant la main.

Marion resta pétrifiée mais lui serra la main chaleureusement car elle trouvait le garçon plutôt sympathique. Elle vit Mia lui adresser un signe d'encouragement et la brunette sourit. Tout à coup, elle vit les parents de son amie arrivés serrer la blondinette dans leurs bras. La jeune fille trouva cette scène de retrouvailles attendrisante. Mia se détacha de l'etreinte de sa mère et la fit avancer devant ses parents.

- Papa, Maman, je vous présente Marion, mon amie à Gryffondor. Marion, je te présente mes parents, Caroline et Matthew.


Dit la première année. Marion rougit une fois de plus et ne savait pas à quoi d'attendre. Elle prit donc le choix de dire :

- Bonjour, Monsieur, Madame Anderson, je dis contente de vous rencontrer. Avec Mia, nous vous avons s chercher bien un quart d'heure.


La brunette se demanda d'où venait cette idée saugrenue de leurs dire quelque chose comme ça. Encore, elle n'avait pas fait de l'humour comme sa tante. * J'ai évité le pire* ce dit elle car les parents ne semblait pas dérangés par ses paroles et la jeune fille en fut soulagée. Théo et Mia semblait l'encourager mais pour l'instant, elle attendait la réaction des parents de son amie. Elle commença à se détendre car * je pense qu'ils seront aussi gentils que leurs enfants* se rassura psychologiquement Marion. La jeune fille regarda autour d'elle et vit que la gare avait retrouvé sa tranquilité de l'après midi et elle vit qu'un veau soleil iluminait la gare. La brunette remonta son sac à dos sur son épaule droite et sortit un mouchoir de sa poche de blouson car la jeune fille avait attrapée un rume en se promenant dans les couloirs la nuit. Cela lui plaisait les balades nocturnes, elle bavardait avec certains tableau et ça la detendait avant les examens de fin d'année.

21 août 2017, 12:43
De nouvelles rencontres  Libre 
Mia vit Marion rougir et elle essaya d'afficher un sourire encourageant sur son visage. Inutile de la stresser encore plus. D'ailleurs, Mia trouvait qu'elle s'en sortait plutôt bien parce que si ça avait été elle, elle se serait sûrement déjà enfui en courant quoique peut-être que ses jambes l'aurait lâchée avant ! Elle entendit Marion tenter de se reprendre avant de dire :

- Bonjour, Monsieur, Madame Anderson, je suis contente de vous rencontrer. Avec Mia, nous vous avons chercher bien un quart d'heure.


Mia sourit à la jeune fille et un coup d'œil à son frère lui permit de voir qu'il affichait le même sourire encourageant qu'elle, ce qui rassura quelque Mia, consciente que son frère pouvait être quelque peu bourru et direct ou encore sarcastique. Elle se reconcentra sur la conversation en entendant la douce voix de sa mère :

- Ravie de te rencontrer Marion. Tu peux nous appeler par nos prénoms, tu sais. Nous aussi nous avons chercher Mia. Mais cette gare est bondée ! Et puis, d'ailleurs...

Mia vit sa mère lui lancer un regard noir et Mia déglutit, se demandant ce qu'elle avait fait de mal pour recevoir ce regard de mort, littéralement. Sa mère reprit la parole et au ton froid, non glacial, et mortel de sa mère, Mia comprit qu'elle avait fait une très très grosse bêtise.

- AMELIA ! Déjà tu aurais pu nous envoyer plus de lettres que trois ou quatre entre Noël et la fin de l'année. Ensuite, tu as un téléphone portable. A quoi te sert-il s'il est éteint ? Enfin, tu aurais du nous dire que tu étais avec une amie, comme ça on aurait chercher deux filles, pas une.

Mia était soufflée. Personne ne l'appelait jamais, au grand jamais, Amélia et cela donnait ainsi une bonne idée de l'état d'esprit de sa mère : elle était plus que furieuse. Mia se contenta donc de baisser la tête plutôt que de chercher à argumenter. Dans ses cas-là, il valait mieux laisser sa mère décanter avant de tenter de lui parler. Mais sa mère reprit la parole, cette fois un regard doux et une voix douce dirigée vers Marion :

- Pardon, pour cette scène à laquelle tu viens d'assister. Mais ma fille semble avoir oubliée qu'elle avait une famille.

Mia faillit répliquer quelque chose mais son frère lui prit l'épaule et secoua la tête pour la retenir. Mia soupira. Elle ne voulait pas que sa mère pense cela, seulement, le sentiment d'indépendance et de liberté qu'on avait à Poudlard la rendait tellement heureuse qu'elle n'avait pas envie de devoir tout raconter dans des lettres longues de plusieurs parchemins. Mais elle s'avait aussi qu'elle avait déconner. Elle sortit donc de l'étreinte de son frère avant de rejoindre son père pour lui murmurer :

- Pas en public Papa. Ok, je l'ai mérité mais c'est pas juste pour Marion.

Je vis mon père hocher la tête et filler vers ma mère, lui murmurer quelque chose avant qu'elle ne se calme et se tourne vers Marion, un sourire sur le visage :


- Encore désolée. On peut te déposer quelque part ? Ou tes parents viennent te chercher ?

Mia soupira de soulagement et la jeune blonde se rapprocha de Marion pour lui murmurer :

- Désolé pour cela. On ne se dispute presque jamais mais je ne l'avais pas volé celle-là.

"Le premier ennemi à combattre est à l'intérieur de soi. Souvent c’est le seul." Christine Orban
Griff et Croc, Griff en cœur, Griff Vainqueurs
Gryffindor Girls power A.B

22 août 2017, 21:04
De nouvelles rencontres  Libre 
- Ravie de te rencontrer Marion. Tu peux nous appeler par nos prénoms, tu sais. Nous aussi nous avons chercher Mia. Mais cette gare est bondée ! Et puis, d'ailleurs...

Marion était soulagée de la réponse de la mère de Mia car elle avait eut peur d'être un peu insolente ou quelque chose du genre. Son visage crispé se détendit petit à petit et vit que beaucoup de gens courait. * C'est pour avoir leur train surement * se dit la jeune américaine en regardant autour d'elle. Cette dernière n'était peut être pas bavarde et très discrète mais elle était observatrice. La Gryffondor semblait encore perdue dans ses pensée quand le ton de Caroline Anderson monta d'un cran. La troisième année sentit que quelque chose allait éclater et ne sut plus ou se mettre. Elle regarda la femme qui commença à dire :

- AMELIA ! Déjà tu aurais pu nous envoyer plus de lettres que trois ou quatre entre Noël et la fin de l'année. Ensuite, tu as un téléphone portable. A quoi te sert-il s'il est éteint ? Enfin, tu aurais du nous dire que tu étais avec une amie, comme ça on aurait chercher deux filles, pas une.

La brunette était de plus en plus mal à l'aise, elle aurait bien voulu disparaitre sous terre mais resta immobile, regardant la scène. Personne ne lui avait jamais dit cela. Elle n'envoyait un hibou à ses parents que pour leur souhaiter un joyeux Noël, sinon, c'était tout. La rouge et or se sentait de trop dans cette scène. Elle était dans une scène de famille et commença à se tordre les doigts comme elle le fait à chaque fois qu'elle est mal à l'aise ou stressée par un examen. Caroline se radoucit et se tourna vers Marion.

- Pardon, pour cette scène à laquelle tu viens d'assister. Mais ma fille semble avoir oubliée qu'elle avait une famille.

" Ce.. Ce n'est rien "


Balbutia la jeune fille tant bien que mal. Elle rougit une fois de plus mais moins qu'au début. La dernière phrase de la dame la fit quand même réfléchir.
* ma fille semble avoir oubliée qu'elle avait une famille. Je ne pense pas que ce soit vrai mais bon, je n'ai rien à faire dans cette discutions. Je plaint Mia car je pense qu'elle doit être aussi mal à l'aise que moi je sois dans cette situation * pensa la brunette et regarda la porte vitrée de la grande gare, le soleil commençait à se coucher.

- Pas en public Papa. Ok, je l'ai mérité mais c'est pas juste pour Marion.

La jeune sorcière entendit son amie parler à son père. Elle remercia la blondinette silencieusement. après tout, elle était sure que si Mia se retrouvait dans une des disputes qu'elle avait avec ses parents, elle voudrait disparaitre dix pieds sous terre. La mère de la première année semblait vraiment désolée se qui toucha l'américaine.

- Encore désolée. On peut te déposer quelque part ? Ou tes parents viennent te chercher ?


" Mes parents ne viennent pas me chercher,
* comme d'hab' * pensa Marion en répondant à Caroline. Mia m'avait proposé, c'est très gentils de votre part, merci beaucoup. J'habite dans un appartement près de l'Académie d'Islighton. A la base, j'habite à San Francisco mais comme mes parents étaient anglais et son allés à poudlard, j'y vais aussi. "

Fit Marion en développant un petit peu pour la conversation. Les parents de son amie avaient l'air très gentils et la troisième année en fut heureuse.


" Ou est ce que vous habitez? "

Demanda la brunette pour engager la conversation avec la famille de Mia.

- Désolé pour cela. On ne se dispute presque jamais mais je ne l'avais pas volé celle-là.

" Ce n'est pas grave "

Répondit Marion à la blondinette pour la rassurer. Elle ne regarda autour d'elle et la gare s'était vidée à une vitesse hallucinante. Et elle n'avait put à zigzaguer dans tout les sens pour ne pas se faire pousser par des hommes et femmes pressés. La jeune fille ne savait pas quoi rajouter.

" Dans quel domaine vous travaillez? "


Demanda la troisième année aux parents de Mia. Elle voulait savoir et faire bonne impression face à Caroline et Mattew Anderson.