Achats de dernière minute
Phœbe avait déjà entamé sa énième année à Poudlard, et aller au Chemin de Traverse était devenu une formalité pour les vacances d'été précédant la rentrée. Mais ce n'était pas la période dans laquelle elle se trouvait, et faire des achats durant les vacances scolaires était bien moins commune activité, mais l'adolescente n'avait pas prévu de devoir réapprovisionner sa réserve d'ingrédients pour les cours de potions qui étaient de plus en plus prenants, bien qu'elle n'en soit pas gênée.
L'allée était presque déserte d'élèves de Poudlard, ce qui donnait une atmosphère plutôt glauque bien différente de l'agitation de juillet ou même d'août, à laquelle la petite Swan était accoutumée. Cependant le calme lui plaisait et la Serpentard goûtait avec plaisir à la sensation de liberté procurée par cette quasi-solitude... qui n'allait pas tarder. En effet, elle vit une autre étudiante apparaître au détour d'un croisement, et cette dernière n'était pas facile à manquer, dans le passage désert. Les pieds posés déjà sur le porche d'accueil de l’apothicaire, la jeune sorcière hésita, et décida de l'attendre afin de savoir ce qu'elle pouvait bien faire là à cette période.
Attendant que la fillette arrive à son niveau, Phœbe commençait à la discerner de manière de plus en plus distincte et crut y reconnaître une nouvelle de la répartition qui datait de quelques semaines déjà. Sûrement pas une Serpentard, en tout cas, mais elle ferait bien de l'interroger.
« Bonjour, qu'est-ce qui t'amènes ici, ne devrais-tu pas être accompagné de tes parents? »
Cette remarque avait été faite avec un léger froncement de sourcils, l'adolescente étant intriguée par la présence de la première année à cet endroit précisément, et seule.
Éternelle nouvelle Lune
Sombre Ciel
L'allée était presque déserte d'élèves de Poudlard, ce qui donnait une atmosphère plutôt glauque bien différente de l'agitation de juillet ou même d'août, à laquelle la petite Swan était accoutumée. Cependant le calme lui plaisait et la Serpentard goûtait avec plaisir à la sensation de liberté procurée par cette quasi-solitude... qui n'allait pas tarder. En effet, elle vit une autre étudiante apparaître au détour d'un croisement, et cette dernière n'était pas facile à manquer, dans le passage désert. Les pieds posés déjà sur le porche d'accueil de l’apothicaire, la jeune sorcière hésita, et décida de l'attendre afin de savoir ce qu'elle pouvait bien faire là à cette période.
Attendant que la fillette arrive à son niveau, Phœbe commençait à la discerner de manière de plus en plus distincte et crut y reconnaître une nouvelle de la répartition qui datait de quelques semaines déjà. Sûrement pas une Serpentard, en tout cas, mais elle ferait bien de l'interroger.
« Bonjour, qu'est-ce qui t'amènes ici, ne devrais-tu pas être accompagné de tes parents? »
Cette remarque avait été faite avec un léger froncement de sourcils, l'adolescente étant intriguée par la présence de la première année à cet endroit précisément, et seule.
Dernière modification par Phœbe Swan le 26 déc. 2017, 17:06, modifié 1 fois.
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Me voilà, perdu dans les allées de Londre. Décidément, je n’avais vraiment pas héritée du sens de l’orientation légendaire de mon père. Il avait bien essayé de m’apprendre à m’orienter avec la mousse des arbres qui pousse au sud… Ou bien au nord ? Ainsi qu’avec les étoiles… sans grand succès, j’en étais complètement incapable. Jumelé à ça un petit côté orgueilleux et vous avez le mixte idéal. Vous obtenez une fille incapable de suivre une carte, de retrouver son chemin et trop orgueilleuse pour demander son chemin. Cétait genre un excellent mélange des pires qualités masculine ET féminine en la matière.
[Aurélie] – et cette patate qui me met de l’huile de ricin et non de RAISIN marmonnais-je entre les dents
J’étais un peu en colère envers Elizabeth (amie NPC), car par sa faute, j’avais dû me taper un autre trajet de train jusqu’à Londre afin d’aller récupérer de l’huile de RICIN pour le cours de potion. L’huile de RAISIN, c’est génial pour les cheveux. L’huile de RICIN, pas tellement non. Cette patate m’avait fait un lavage de tête avec de l’huile de Ricin, car madame était trop bête pour lire l’étiquette. Résultat, j’ai dû me faire 3 shampoings pour me débarrasser de cet ingrédient à potion que j’avais sur la tête et maintenant, je devais aller m’en rechercher, car la prochaine potion que je voulais faire (une potion de premiers soins) en avait JUSTEMENT besoin. Résultat, j’étais PERDU, en COLÈRE et plus j’y pensais, plus j’avais l’impression d’avoir ENCORE de l’huile de RICIN dans le fond de la tête. GRRRRRR
Je tournais un peu en rond et fini par retourner sur mes pas. De là je tournai à gauche, puis à droite, puis tout droit, puis encore tout droit, puis à gauche, puis à droite, puis à droite et je fini par me retrouver. Enfin, je croyais me retrouver. Le soulagement lorsque j’aperçu l’enseigne de la boutique que je cherchais. Je soupirai rapidement et me dirigea dans l’entré. Il y avait une fille, clairement plus âgé que moi qui me fixait de l’entrée du magasin. Difficile à manquer, l’allé était complètement déserte et il y avait elle, à me regarder. C’était un peu malaisant.
Fille – « Bonjour, qu'est-ce qui t'amènes ici, ne devrais-tu pas être accompagné de tes parents? » me dit-elle lorsque j’arrivai à un pas du magasin
[Aurélie] – Mon père est mort… enfin c’est ce que ma mère me dit et quant à elle. Elle est sans doute beaucoup mieux sans moi dans son chalet plein d’artiste nue. Et j’ai besoin d’huile de ricin. Je peux entrer ? dis-je énervée
À peine venais-je de terminer ma phrase que je réalisai l’attitude dans laquelle je venais de lui vomir mes mots. DING DING DING ! L’oscar pour la première rencontre la plus horrible était attribué ààààààà AURÉLIE ! Pour son air de bœuf. Je m’arrêta, tapa du pied droit sur le sol en soupirant.
[Aurélie] – Désolé pour mon attitude. Je viens de passer genre 1h (disons plus 15 minutes) complètement perdu et je suis un peu à cran, car cette idiote ma mise de l’huile de ricin dans les cheveux et non de raisin.
Je soupirai une nouvelle fois. Elle s’en foutais de mon huile de risin dans les cheveux, c’est claire. C’est quoi ses manières d’homme de Neandertal…
[Aurélie] – Euh, encore une fois désolé. Je ne m’emporte pas souvent comme ça, mais quand ça arrive, j’ai tendance à perdre mon filtre. Moi c’est Aurélie en passant. dis-je en lui tendant la main comme tu as sans doute pu le deviner, je suis à la recherche d’huile de ricin et mon professeur de pot… je m’arrêta sec, j’étais à Londre, peut-être n’était-elle pas de Poudlard. Mon professeur de potiron m’a dit que je pourrais en trouver dans cette boutique.
Couleur d'Aurélie : #cc6600
[Aurélie] – et cette patate qui me met de l’huile de ricin et non de RAISIN marmonnais-je entre les dents
J’étais un peu en colère envers Elizabeth (amie NPC), car par sa faute, j’avais dû me taper un autre trajet de train jusqu’à Londre afin d’aller récupérer de l’huile de RICIN pour le cours de potion. L’huile de RAISIN, c’est génial pour les cheveux. L’huile de RICIN, pas tellement non. Cette patate m’avait fait un lavage de tête avec de l’huile de Ricin, car madame était trop bête pour lire l’étiquette. Résultat, j’ai dû me faire 3 shampoings pour me débarrasser de cet ingrédient à potion que j’avais sur la tête et maintenant, je devais aller m’en rechercher, car la prochaine potion que je voulais faire (une potion de premiers soins) en avait JUSTEMENT besoin. Résultat, j’étais PERDU, en COLÈRE et plus j’y pensais, plus j’avais l’impression d’avoir ENCORE de l’huile de RICIN dans le fond de la tête. GRRRRRR
Je tournais un peu en rond et fini par retourner sur mes pas. De là je tournai à gauche, puis à droite, puis tout droit, puis encore tout droit, puis à gauche, puis à droite, puis à droite et je fini par me retrouver. Enfin, je croyais me retrouver. Le soulagement lorsque j’aperçu l’enseigne de la boutique que je cherchais. Je soupirai rapidement et me dirigea dans l’entré. Il y avait une fille, clairement plus âgé que moi qui me fixait de l’entrée du magasin. Difficile à manquer, l’allé était complètement déserte et il y avait elle, à me regarder. C’était un peu malaisant.
Fille – « Bonjour, qu'est-ce qui t'amènes ici, ne devrais-tu pas être accompagné de tes parents? » me dit-elle lorsque j’arrivai à un pas du magasin
[Aurélie] – Mon père est mort… enfin c’est ce que ma mère me dit et quant à elle. Elle est sans doute beaucoup mieux sans moi dans son chalet plein d’artiste nue. Et j’ai besoin d’huile de ricin. Je peux entrer ? dis-je énervée
À peine venais-je de terminer ma phrase que je réalisai l’attitude dans laquelle je venais de lui vomir mes mots. DING DING DING ! L’oscar pour la première rencontre la plus horrible était attribué ààààààà AURÉLIE ! Pour son air de bœuf. Je m’arrêta, tapa du pied droit sur le sol en soupirant.
[Aurélie] – Désolé pour mon attitude. Je viens de passer genre 1h (disons plus 15 minutes) complètement perdu et je suis un peu à cran, car cette idiote ma mise de l’huile de ricin dans les cheveux et non de raisin.
Je soupirai une nouvelle fois. Elle s’en foutais de mon huile de risin dans les cheveux, c’est claire. C’est quoi ses manières d’homme de Neandertal…
[Aurélie] – Euh, encore une fois désolé. Je ne m’emporte pas souvent comme ça, mais quand ça arrive, j’ai tendance à perdre mon filtre. Moi c’est Aurélie en passant. dis-je en lui tendant la main comme tu as sans doute pu le deviner, je suis à la recherche d’huile de ricin et mon professeur de pot… je m’arrêta sec, j’étais à Londre, peut-être n’était-elle pas de Poudlard. Mon professeur de potiron m’a dit que je pourrais en trouver dans cette boutique.
Couleur d'Aurélie : #cc6600
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Comme elle n’aurait absolument pas pu s’y attendre, la jeune sorcière ne réagit pas calmement mais avec un ton peu avenant, presque hargneux. La Serpentard en ressenti presque une onde de choc en l’entendant. La fillette n’avait pas l’air de porter ses parents dans son cœur d’après les propos que Phœbe pu saisir. Qu’elle ait besoin de cet élément de potion à ce stade de sa première année étonna l’adolescente, qui ne fit pour autant aucun commentaire. Après tout, peut-être s’entraînait-elle en faisant plusieurs fois les potions en dehors des cours. La petite Swan avait déjà essayé pour préparer un examen, mais ignorait si cette méthode avait payé.
La nouvelle connaissance de l’étudiante sembla se rendre compte avec un léger retard de son attitude pour le moins…désagréable ? C’est pourquoi elle enchaîna avec des excuses plates que la sorcière verte et argent se résigna à accepter :
[Aurélie] – Désolé pour mon attitude. Je viens de passer genre 1h (disons plus 15 minutes) complètement perdu et je suis un peu à cran, car cette idiote ma mise de l’huile de ricin dans les cheveux et non de raisin.
L’élève de Poudlard ignorait qui était cette fameuse idiote, mais il devait sûrement s’agir d’une connaissance de son interlocutrice qui parlait beaucoup sans se rendre compte que son aînée ne comprenait pas forcément tout ce qu’elle racontait. La première année continua sur sa lancée :
[Aurélie] – Euh, encore une fois désolé. Je ne m’emporte pas souvent comme ça, mais quand ça arrive, j’ai tendance à perdre mon filtre. Moi c’est Aurélie en passant. comme tu as sans doute pu le deviner, je suis à la recherche d’huile de ricin et mon professeur de pot… Mon professeur de potiron m’a dit que je pourrais en trouver dans cette boutique.
Elle répondit à la poignée de main de façon assez molle, n’ayant pas l’habitude de ce genre d’interactions sociales. Son professeur de potiron ? Pas forcément très subtil quand on s’adresse à une autre magicienne. Cette maladresse fit esquisser un sourire aux lèvres de Phœbe. La Serpentard se demandait si elle allait jouer avec la petite ou pas, mais décida d’être honnête, histoire d’avoir un dialogue cohérent avec sa nouvelle connaissance.
« Je suis Phœbe Swan, à Poudlard, comme tu dois l’être aussi. Cette boutique accueille plutôt des sorciers, alors tu n’as pas forcément à cacher que tu suis des cours de potions. Les Moldus ne viennent pas souvent au Chemin de Traverse. Enfin… ta mère aurais pu mais tu as préféré venir par-là seule. Mes parents me laissent un peu de liberté à mon âge et je suis seule aussi. Je consomme un peu trop vite mes ingrédients de potions, et j’ai besoin de me ravitailler. D’ailleurs comment trouves-tu notre enseignante ? C’est ma directrice de maison… »
En réalité, l’étudiante n’en savait rien, mais avec un peu de chances, Aurélie aimait bien les potions. Pas tout le monde n’allait chez l’apothicaire au beau milieu de l’année scolaire.
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La nouvelle connaissance de l’étudiante sembla se rendre compte avec un léger retard de son attitude pour le moins…désagréable ? C’est pourquoi elle enchaîna avec des excuses plates que la sorcière verte et argent se résigna à accepter :
[Aurélie] – Désolé pour mon attitude. Je viens de passer genre 1h (disons plus 15 minutes) complètement perdu et je suis un peu à cran, car cette idiote ma mise de l’huile de ricin dans les cheveux et non de raisin.
L’élève de Poudlard ignorait qui était cette fameuse idiote, mais il devait sûrement s’agir d’une connaissance de son interlocutrice qui parlait beaucoup sans se rendre compte que son aînée ne comprenait pas forcément tout ce qu’elle racontait. La première année continua sur sa lancée :
[Aurélie] – Euh, encore une fois désolé. Je ne m’emporte pas souvent comme ça, mais quand ça arrive, j’ai tendance à perdre mon filtre. Moi c’est Aurélie en passant. comme tu as sans doute pu le deviner, je suis à la recherche d’huile de ricin et mon professeur de pot… Mon professeur de potiron m’a dit que je pourrais en trouver dans cette boutique.
Elle répondit à la poignée de main de façon assez molle, n’ayant pas l’habitude de ce genre d’interactions sociales. Son professeur de potiron ? Pas forcément très subtil quand on s’adresse à une autre magicienne. Cette maladresse fit esquisser un sourire aux lèvres de Phœbe. La Serpentard se demandait si elle allait jouer avec la petite ou pas, mais décida d’être honnête, histoire d’avoir un dialogue cohérent avec sa nouvelle connaissance.
« Je suis Phœbe Swan, à Poudlard, comme tu dois l’être aussi. Cette boutique accueille plutôt des sorciers, alors tu n’as pas forcément à cacher que tu suis des cours de potions. Les Moldus ne viennent pas souvent au Chemin de Traverse. Enfin… ta mère aurais pu mais tu as préféré venir par-là seule. Mes parents me laissent un peu de liberté à mon âge et je suis seule aussi. Je consomme un peu trop vite mes ingrédients de potions, et j’ai besoin de me ravitailler. D’ailleurs comment trouves-tu notre enseignante ? C’est ma directrice de maison… »
En réalité, l’étudiante n’en savait rien, mais avec un peu de chances, Aurélie aimait bien les potions. Pas tout le monde n’allait chez l’apothicaire au beau milieu de l’année scolaire.
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« Je suis Phœbe Swan, à Poudlard, comme tu dois l’être aussi. Cette boutique accueille plutôt des sorciers, alors tu n’as pas forcément à cacher que tu suis des cours de potions. Les Moldus ne viennent pas souvent au Chemin de Traverse. Enfin… ta mère aurais pu mais tu as préféré venir par-là seule. Mes parents me laissent un peu de liberté à mon âge et je suis seule aussi. Je consomme un peu trop vite mes ingrédients de potions, et j’ai besoin de me ravitailler. D’ailleurs comment trouves-tu notre enseignante ? C’est ma directrice de maison… »
Ouf... cette fille était aussi une sorcière. J'avais failli faire une de ses gaffes l'espace d'un instant. Cette fille avait un je-ne-sais quoi. Je ne pouvais pas encore dire si c'était possitif ou bien négatif, mais sa façon de serrer la main était molle et ça en dit souvent long sur quelqu'un. Enfin, c'était ce que mon père disait. Je ne pouvais pas vraiment dire pourquoi ça en disait long. Juste que c'était supposer en dire long.
[Aurélie] – Enchantée Phoebe Swan ! C'est un jolie nom ! Moi c'est Laframboise. Comme le fruit... Et pour ma mère, ce n'est pas tant que je n'ai pas décidée de l'amener avec moi, disons juste que je suis bien heureuse qu'elle ne soit plus dans ma vie et elle est bien contente que je ne sois plus dans ses pattes
Je venais tout juste de réaliser quelque chose. Mon visage se fixe sur une expression de surprice grossièrement déguissée.
[Aurélie] – Attents, tu viens de dire qu'on était au chemin de traverse ?
J'étais pourtant certaine d'avoir descendu ailleurs. En même temps, je venais aussi de trouver la boutique qui, clairement, ne pourrait se trouver qu'au chemin de traverse. J'avais vraiment un sens de l'orientation de caca.
[Aurélie] – Dit moi, si ce n'est pas trop te demander, est-ce que je pourrais te suivre pour retourner, je vais t'avouer avoir un sens de l'orientation horrible... dis-je en soupirant et en baissant les yeux. Je poursuivis sans attendre Et pour le professeur de potion. Elle est sec, mais j'aime beaucoup son cours. C'est sans aucun doute mon préféré.
Je pris une pause afin de respirer
[Aurélie] – Tu es en qu'elle année?
Couleur d'Aurélie : #cc6600
Ouf... cette fille était aussi une sorcière. J'avais failli faire une de ses gaffes l'espace d'un instant. Cette fille avait un je-ne-sais quoi. Je ne pouvais pas encore dire si c'était possitif ou bien négatif, mais sa façon de serrer la main était molle et ça en dit souvent long sur quelqu'un. Enfin, c'était ce que mon père disait. Je ne pouvais pas vraiment dire pourquoi ça en disait long. Juste que c'était supposer en dire long.
[Aurélie] – Enchantée Phoebe Swan ! C'est un jolie nom ! Moi c'est Laframboise. Comme le fruit... Et pour ma mère, ce n'est pas tant que je n'ai pas décidée de l'amener avec moi, disons juste que je suis bien heureuse qu'elle ne soit plus dans ma vie et elle est bien contente que je ne sois plus dans ses pattes
Je venais tout juste de réaliser quelque chose. Mon visage se fixe sur une expression de surprice grossièrement déguissée.
[Aurélie] – Attents, tu viens de dire qu'on était au chemin de traverse ?
J'étais pourtant certaine d'avoir descendu ailleurs. En même temps, je venais aussi de trouver la boutique qui, clairement, ne pourrait se trouver qu'au chemin de traverse. J'avais vraiment un sens de l'orientation de caca.
[Aurélie] – Dit moi, si ce n'est pas trop te demander, est-ce que je pourrais te suivre pour retourner, je vais t'avouer avoir un sens de l'orientation horrible... dis-je en soupirant et en baissant les yeux. Je poursuivis sans attendre Et pour le professeur de potion. Elle est sec, mais j'aime beaucoup son cours. C'est sans aucun doute mon préféré.
Je pris une pause afin de respirer
[Aurélie] – Tu es en qu'elle année?
Couleur d'Aurélie : #cc6600
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La première année semblait soulagée de découvrir qu’elle avait affaire à une sorcière, et Phœbe en vint à se demander à quel point son interlocutrice devait être perdue pour être étonnée de la condition de la Serpentard. La poignée de main de la fillette lui semblait étonnamment ferme, et l’étudiante s’en libéra assez vite. Son nom fut complimenté, ce qui fit esquisser un léger sourire sur les lèvres de l’élève. Elle enregistra celui de la presque inconnue, Laframboise, aux consonnances bien francophones. Sa relation avec sa mère semblait pour le moins tendue ? Difficile à déterminer à partir des simples propos de sa benjamine, mais c’était l’impression véhiculée aux yeux de la sorcière verte et argent.
Miss Laframboise avait effectivement des problèmes pour se repérer dans la capitale, dans la mesure où il ignorait bel et bien être dans le Chemin de Traverse, alors que l’on n’y avait pas forcément accès de manière immédiate. Le plus bizarre dans cette affaire, c’était que la personne qui ne vivait presque jamais sur la terre ferme mais passait presque tout son temps sur un bateau, autrement dit Phœbe, était la celle la plus à même de se retrouver dans la capitale londonienne. L’adolescente écouta le long discours de la première année avant de prendre le temps de répondre.
« J’accepte de te ramener vers la sortie si tu penses être incapable de la trouver par toi-même. Je suis ravie d’entendre que tu apprécies notre enseignante de potions autant que moi, cette discipline bien que délicate et rigoureuse à su gagner mes faveurs bien aisément. J’en suis à ma troisième année, et je ne toujours pas lassée. J’ai des ingrédients à prendre, et toi aussi j’imagine. Nous devrions peut-être entrer, non ? »
La petite Swan avait déjà amorcé un pas vers la porte en disant ses mots, attendant la réaction d’Aurélie. Se retournant, elle demanda, pour s’ôter d’un doute :
« Tu ne m’as dit ta maison je crois ? Tu es à… »
Ce n’était qu’un détail, mais la Serpentard voulait le savoir.
Éternelle nouvelle Lune
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Miss Laframboise avait effectivement des problèmes pour se repérer dans la capitale, dans la mesure où il ignorait bel et bien être dans le Chemin de Traverse, alors que l’on n’y avait pas forcément accès de manière immédiate. Le plus bizarre dans cette affaire, c’était que la personne qui ne vivait presque jamais sur la terre ferme mais passait presque tout son temps sur un bateau, autrement dit Phœbe, était la celle la plus à même de se retrouver dans la capitale londonienne. L’adolescente écouta le long discours de la première année avant de prendre le temps de répondre.
« J’accepte de te ramener vers la sortie si tu penses être incapable de la trouver par toi-même. Je suis ravie d’entendre que tu apprécies notre enseignante de potions autant que moi, cette discipline bien que délicate et rigoureuse à su gagner mes faveurs bien aisément. J’en suis à ma troisième année, et je ne toujours pas lassée. J’ai des ingrédients à prendre, et toi aussi j’imagine. Nous devrions peut-être entrer, non ? »
La petite Swan avait déjà amorcé un pas vers la porte en disant ses mots, attendant la réaction d’Aurélie. Se retournant, elle demanda, pour s’ôter d’un doute :
« Tu ne m’as dit ta maison je crois ? Tu es à… »
Ce n’était qu’un détail, mais la Serpentard voulait le savoir.
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