Je me retrouve par terre, mes bras étendus sur le sol, caressant l'herbe qui flotte au gré du vent, au gré de nos âmes… J'ai entendit un bruit en tombant mais j'ai pas entendu, je crois qu'elle a dit quelques chose quand je tombais, après que je lui ai dit que j'aimais sa compagnie, je n'ai pas vraiment entendu ce qu'elle a dit, je n'ai pas entendu, je n'ai pas compris ce qu'elle a dit, devrais-je lui demander de répéter ? Je pense, que ça ne devait pas être quelque chose de très important tout de même ça m'intrigue, que faire ? Que faire… Je ne vais pas lui demander, je sais pas, je suis mon instinct là.
J'ai entendu sa voix quand je tombais puis quand je suis tombé j'ai entendu un bruit comme si elle était tombé après moi, l'aurais-je fais tomber ? Oh non, c'est pas moi qui ai fait ça comme même c'est… C'est… C'est pas impossible mais je ne peux pas y croire, après peut-être qu'elle est encore sur l'arbre, j'en sais rien, ou peut-être que comme moi elle s'est laissée tombé… Peut-être que c'est ça, mais j'en… j'en sais rien… Je dois arrêter de penser comme ça, je dois me concentrer sur le présent, il se passe quoi ?

Ok, je suis allongé sur le sol, mes bras tendus, mes mains caressant l'herbe qui flotte au gré du vent, mes pieds sont un peu écartés, mon ventre est un peu à l'air libre, mon bras gauche aussi, quand je suis tombé je l'ai sorti inconsciemment pour me rattraper mais… Avec cette fille, je me fiche qu'elle voit ma difformité physique, qu'elle voit que mon avant-bras gauche est rouge et que tout mon bras gauche quasiment est écailleux, secs avec des sortes de plis ou de rides, je sais, je sais qu'elle ne me jugeras pas, je pense que c'est une fille bien, je lui fait confiance, après tout ce qui s'est passé dans cette école, je lui accorde ma confiance, tout le monde n'est pas une brute épaisse, prétentieux, narcissique, arrogant et brutal après tout… Oui, je disais, je suis donc comme une étoile de mer sur la terre, j'ai un bandeau sur les yeux pour voir un angle, un point de vue différent que celui que j'ai l'habitude de prendre pour voir la vie… Mes cheveux sont en batailles, mais ça change pas de d'habitude, je souris, et il y'a cette fille, je sais pas où elle est, je l'ai rencontré qu'une seule fois et je lui accorde déjà toute ma confiance, j'ai pas trop de souvenir d'elle, à part qu'elle était jolie je sais pas trop à quoi elle ressemble… J'entend sa voix près de moi, elle doit être à côté de moi, elle est bien tombée finalement, haha…

Elle me demande si je me suis pas fait trop mal, décidemment, cette fille est… Super, sympa, après tout ce qui s'est passé dans cette école, encore une personne sympa avec moi, j'ai plus trop envie de partir du coup, après avoir rencontrer toutes ces merveilleuses personnes, je ne veux plus du tout partit je veux, je veux pas partir maintenant, peut-être dans quelques années mais pas maintenant… Il y'a tant de personnes que je veux apprendre à connaître, tant de personnes que je veux à mes côtés… Tant de personnes que je veux aimer… Ce monde je veux le découvrir… Oh ! J'ai oublié, elle me demande si je ne me suis pas fait trop mal, non, pas trop mal, un peu à mes mains mais c'est tout et puis c'était pas si dangereux… Pourquoi je me mens à moi-même, j'ai encore mal à ma main droite, je crois que je me suis cassé le poignet, j'espère que non mais je s'en sais rien, c'est probablement rien, c'est qu'une petite douleur prolongée, comme si je me coupais avec du papier et que je plongeait mon doigt coupé dans du jus de citron… Haha, ça fait mal à la longue mais c'est pas une douleur importante… C'est gentille de s'en préoccuper, haha, elle m'entend pas, j'avais oublié, quel sot je fais… Je continue à sourire comme un idiot, mais après tout, j'ai le droit, ma journée est refaite, après toutes ces blessures à cause de mon bandeau, ma journée est refaite par cette fille… Je ferais mieux de parler maintenant, j'ai l'impression de créer un malaise…

-Je vais bien, merci de t'en préoccuper haha Je vais bien grâce à elle, je suis tombé grâce à elle mais je vais encore mieux qu'avant… Sa voix est douce et elle fait du bien, je crois, que c'est son odeur, elle sent bon, une odeur que j'ai du mal à décrire, son esprit protecteur me rappelle... Il me rappelle quelqu'un mais... Qui ? Je m'en souviens plus haha... Mais j'y pense, elle est tomber elle aussi, je m'empresses de lui demander:

-Et toi, t'es aussi sur la terre ferme actuellement, tu vas bien ? C'était pas incroyable comme réplique mais c'est mieux que de se taire, nyehehe, quel rire intérieur insupportable...

Bon, il se fait tard, devrais-je rentrer ? Je sais pas, je comptais garder ce bandeau jusqu'à demain, si je rentres maintenant, je sais pas où je vais finir, peut-être que je vais finir dans la forêt interdite, ou peut-être qu'elle me raccompagnerais bien, j'aimerais en tout cas, j'ai du mal à me dire que mon oncle vivait comme ça... Mon oncle… Je met ma main dans ma poche et j'arrête de sourire, mon compas n'est plus là, j'ai dû le faire tomber en tombant, il est où ? Il est où ? Je panique, j'enlève mon bandeau ou pas, je l'enlève ou pas ? Je panique, je commence à transpirer un peu, non, c'est simplement de la panique, j'essaye de continuer à sourire, mais je sais pas j'ai l'impression que ça se voit que je suis pas confiant et que je panique tout en souriant, mon compas, c'est un objet extrêmement important, il est tout poussiéreux, je ne l'ai jamais ouvert, mais, il est où, je cherche partout dans mes habits et demande et Wendy tout en souriant et en paniquant:

-Euh... Dis Wendy, toi qui as tes yeux, tu ne verrais pas un objet noir, poussiéreux avec un pic par terre, c'est un compas en fait, tu peux m'aider à le trouver ? haha...

Je sais pas, je panique, c'est l'objet qui m'ai le plus précieux, il est pour moi, le centre de mon monde... Je vais rester là toute la nuit s'il le faut ! Je ne peux pas le perdre comme ça...

Hâte de connaître la raison alors !
@Redose Omniak

La panique s'empare de mon corps, de mon esprit, de mon âme, imagine il s'est cassé, non, non, NON ! Je peux pas le casser, si je le casse, c'est comme si je brisais une partie de mon âme, je l'ai jamais ouvert, je ne sais pas s'il s'est déjà cassé ou non, s'il s'était déjà cassé alors il n'y aurait pas de poussière, je ne compte pas l'ouvrir pour vérifier de toute façon, mais si jamais ce compas, si jamais je ne le retrouves pas, je sais pas ce qu'il m'arrivera, ce qu'on me fera, ce que je me ferais…

Elle me dit qu'elle veut bien m'aider à le retrouver, elle est sympa, je me demande comment elle cherche, est-ce qu'elle cherche près de moi, ou bien elle est montée à l'arbre ou peut-être qu'elle est juste debout en train de le chercher du regard, tout mes espoirs se pose sur cette fille, elle a un bout de mon âme entre ces mains, fin, si elle le trouve pas je finirais par craqué et enlever mon bandeau, je panique, je… Je vois, j'ai mon bandeau mais je vois, il fait noir et je vois les contours du compas en blanc, ce compas, si je le perds, je vais… Je vais… Elle dit qu'elle croit l'avoir trouvé… Soudain, elle prend ma main, je sursaute intérieurement, et met le met sur la paume de ma main… DIEU MERCI ! J'ai vraiment paniqué, elle me rend un bout de mon âme, elle me rend mon compas, elle me l'a rendu, je suis soulagé à tel point, une larme coule à travers mon bandeau, je met mon compas sur mon front puis l'embrasse, dieu merci je suis soulagé, je souris doucement, mon cœur a fait du 100 battements par minutes haha, mon dieu, merci. Mon soulagement n'a d'égal que ma joie, nostalgie, j'entends le vent parler, le sol lui répondre, mon âme frémissant et ma douleur partant… Mes poumons se desserrent, mon cerveau ne tremble plus, mon esprit apaisé, détendu, mes pensées se démêlent et mes muscles soulagés, se décontractent au rythme des battements, mes battements de cœur…

Elle me demande pourquoi je tenais à ce compas, pourquoi j'étais paniqué quand je le perdit, pourquoi j'avais peur, la raison étais simple, ce compas c'est mon héritage, le dernier objet que mon oncle m'a donné, un objet qui avait de la valeur pour moi, plus que n'importe quoi, ce compas, quand il est avec moi, jamais je ne me sens seul, jamais je ne me sens triste, il est la raison pour laquelle je n'ai pas peur de ce monde, il est la raison pour laquelle, je me sens confiant… Il indiquerait l'endroit où se trouve ce que je veux le plus au monde, je dois le protéger à n'importe quel prix, car sans lui, mon esprit n'est qu'un fardeau à mon corp et mon âme divisée, se perdrait… En gros ce compas est comme un deuxième cœur… Celui de l'homme qui m'a tout appris pour survivre, qui m'a donné des leçons de morales toute ma vie…

Elle me demande pourquoi je restes, ici, pourquoi je ne lui ai pas demandé de partir et qu'elle serait bizarre et chiante, cette question ne me plaît pas, je suis personne pour juger quelqu'un de bizarre, de chiant, de quelque soit le nom, je ne peux pas juger quelqu'un à part moi-même, pour la simple et bonne raison, que l'on ne peut donner que son avis sur quelque chose, notre conception de vérité n'a d'égale que notre conception de la réalité… Sachant que tout le monde a son monde, rien n'est vraie sauf ce qui vraie dans toutes les réalités, c'est mon père qui me l'a appris, il m'a répété ça tellement de fois, je n'ai pas encore tout compris mais au moins je comprends un peu plus de la moitié de cette phrase… Donc je ne peux la juger. Je lui réponds:

-Je ne te trouves ni bizarre ni chiante, je te trouves, sympa et t'as l'air d'une personne de confiance ! Je lâche un timide: Et puis… Je me sens bien en ta compagnie… Je souris sans savoir si elle est devant, derrière, sur le côté, je sais même pas si elle est proche ou si elle est déjà partit...
-Et puis, je ne peux pas et ne dois pas te demander de partir, à la fois parce que je te trouve sympa, parce que j'apprécie ta compagnie, parce que je suis poli, parce qu'on m'a répété tellement de fois une citation qu'elle est encrée dans ma tête maintenant haha, on m'a dit: "Un bien n'est agréable que si on le partage" Cet arbre est le mien, le tien, et il appartient à tout le monde aussi. Je sais pas si elle comprendrait, je suis sûr que oui, je sais pas si elle est intelligente mais n'importe qui comprendrait cette citation haha…

Je continuait:

-Quant à ce compas… Il appartenait à mon oncle, il me l'a donné, grâce à lui, je ne me sens pas seul, c'est l'objet le plus important à mes… "yeux" Hahaha ! Je le gardes toujours sur moi… Ce compas était un objet rond, noir poussiéreux, je ne l'ai jamais ouvert, il avait une pointe sur le dessus et était attaché à une chaîne. J'ai remis mon compas dans mon sweat, je l'ai attaché solidement puis je me suis réalongé sur le sol, l'herbe dans mes mains, le vent sur ma peau, la vie dans mon corps et l'oiseau chantant… Soulagement…

C'est vraiment une raison bête @Wendiga Malfa
D'ailleurs, je compte clôturé ce rp sur ce post, mais je peux en rajouter un pour rentrer au dortoir si tu veux

Le voir si heureux et soulager de retrouver son compas m'a rendu heureuse mais maintenant j'ai tellement peur des mots qui sortiront de sa bouche mais je les attends presque aussi impatiemment qu'une petite fille attendant de voir le traineau du père Noël dans la nuit du 24 décembre. Le manège du temps me joue encore un tour, cette fois il a décidé de s'écouler plus lentement que jamais. Malgré l'angoisse de ces mots, j'ai hâte. Au moins je serais fixée. Ne m'avait-il pas renvoyé par politesse ou parce que je ne le dérangeais pas.
"Je ne te trouves ni bizarre ni chiante, je te trouves, sympa et t'as l'air d'une personne de confiance !"
Je souffle enfin. Ce n'était pas par politesse, ou bien il était acteur? Pourquoi je m'obstine à me dire que c'est pas possible? Pourquoi je ne peux pas le croire, croire ce qu'il me dit? Quelques instants plus tard il lance un timide,
"Et puis… Je me sens bien en ta compagnie…"
Non. Il ne ment pas. Ou plus. J'en suis presque sur. Presque aussi sur que le fait que la vie est éternelle tant qu'on rêve. C'est peut être naïf mais j'en suis persuadée. Ses quelques mots m'ont réchauffé le coeur et ont su m'arraché un léger sourire.
"Et puis, je ne peux pas et ne dois pas te demander de partir, à la fois parce que je te trouve sympa, parce que j'apprécie ta compagnie, parce que je suis poli, parce qu'on m'a répété tellement de fois une citation qu'elle est encrée dans ma tête maintenant haha, on m'a dit: "Un bien n'est agréable que si on le partage" Cet arbre est le mien, le tien, et il appartient à tout le monde aussi"
Il y a donc bien de la politesse mais je comprend ce qu'il voulait dire. Qui lui a dit cette citation pour la première fois? qui l'a répétée pour qu'il ne l'oubli jamais ? La curiosité revient, j'ai envie d'en savoir plus mais je ne veux pas parler, je ne veut pas le gêner. J'aime bien cette phrase. Le partage. Un mot si important et pourtant si souvent oublié. Trop souvent oublié. C'est tout à fait une de ses phrase que j'aurais pu avoir sur un poster ou une pancarte quand j'était plus jeune dans ma chambre.
"Quant à ce compas… Il appartenait à mon oncle, il me l'a donné, grâce à lui, je ne me sens pas seul, c'est l'objet le plus important à mes… "yeux" Hahaha ! Je le gardes toujours sur moi…"
Un héritage, un cadeau, un souvenir? Je comprend mieux sa réaction quand il ne l'a plus trouvé dans sa poche. On a tous un objet ou quelque chose qui nous est cher, pour certain c'était un broche d'autre un livre ou encore un bijou. Dans mon cas c'est la passion de la photographie léguée par ma mère et la passion de la musique que mon père biologique m'a laissé avant de partir je ne sais où. C'est pas des objets mais pour moi c'est mille fois mieux que tout les objets qu'ils m'ont offert. C'est imperdable, et les garder ne tiens qu'à moi. Ca a une saveur d'éternité. Je sais que ma soeur, elle, préfère garder une broche renard offerte par notre père.
Le fait qu'il me l'ait dit est pour moi un signe qu'il me fait confiance. Il ne l'aurait pas dit sinon, il aurait évité la question. Je repenses à tout ces mots, toutes ces syllabe qu'il a déversé si... facilement? Et je me rend compte qu'après ça j'ai envie de lui faire confiance, de croire ce qu'il m'a dit. J'ai envie qu'il ait parlé sincèrement, comme je l'ai fait. Et plus j'y pense, plus j'y crois.
En relevant la tête, j'aperçois le château. Voilà qui me fait perdre mon sourire. Je me rappelle le pourquoi je suis venue. Je serait prête à tout, même à faire de la gymnastique pour ne pas avoir à retourner faire ce foutu devoir. Mais ma fois, on ne décide pas toujours. J'espère sincèrement que la pause que j'ai prise cette après-midi et cette rencontre inattendue me permettra de faire ce devoir rapidement. Au pire j'irai exploiter les ressources de mes camarades, ce n'est pas un crime non?
Je soupire en me relevant, je vais devoir y aller. Une fois de plus mon regard se pose sur Redose. Et mon instinct protecteur revient à la charge. *Je ne peux pas le laisser rentrer seul, il risquerait de se blesser* Alors, alors que je suis à genou, je me retourne vers lui sachant pertinemment que pour lui ça ne fera aucune différence que si je ne m'était pas tournée. Et je rajoute doucement et désolée :
"Il faut que j'y aille, j'ai toujours mon devoir qui attend. Je te raccompagne à ta salle commune? "
Je fixe ses cheveux rouges en souriant doucement et en refaisant ma queue de chevale haute qui s'était un peu défaite.


Désolée de mon retard @Redoseur Ohmaniak, se serait volontiers, si tu peux faire un dernier post , hâte que nos deux protégé se re-croisent à nouveau!
Les mots en gras sont pour la CDC/ mots à placer-3pts

La jeune fille dit qu'elle devait y aller, elle proposa au jeune Gryffondor de le raccompagner en salle commune, le jeune Gryffondor hésita... Je me demandes si c'est vraiment bien de partir maintenant, parce que j'aimerais profiter encore plus de cette herbe... De ce vent... De cette ambiance... Mais en même temps y'a le couvre-feu et je peux pas savoir si on est le soir ou non et si je restes là je vais forcément me faire prendre... Je vais accepter, c'est que j'ai pas envie d'avoir encore des problèmes en plus merde ! D'ailleurs je remarque que d'habitude je suis pas comme ça... C'est à cause de ce lieu ou de cette fille ? Franchement j'en ai aucune idée mais, je me sens bien et c'est ce qui compte je crois... Le jeune homme accepta :

"- Oui bien sûr ! C'est sympa de ta part haha..."
Le garçon se relevât et tendit sa main un peu perdu, ne sachant pas au était la fille... La jeune fille prit la main du gryffon et la plaça sur son épaule puis avança... Ouah ! Sa main est si douce, vraiment... Très douce, incroyablement douce, j'aimerais continuer à toucher sa peau.... Non, je dois juste aller en salle commune, et après j'irais me coucher puis j'enlèverais mon bandeau puis je reviendrais ici... En espérant tomber sur elle et pouvoir la contempler... Haha, c'est un bon programme, il me va, j'ai des vagues souvenir de son apparence et j'aimerais vraiment la voir... Il me semble qu'elle était brune, je ne me souviens plus de la couleur de ses yeux, il me semble qu'elle avait une peau plutôt blanche et maintenant je sais qu'elle est douce haha... Je sais que c'est une Poufsoufle, et je crois que c'est à peu près tout... Si, son caractère, elle est très protectrice, trop protectrice, ça en devient même presque drôle, je sais qu'elle me plaît, je crois qu'on est potes ! C'est une de mes rares potes ! Hooray ! Bref... Je suis grave content de l'avoir rencontrer, non seulement j'ai une amie mais en plus c'est une bonne amie contrairement à Kyle... Vraiment énervant celui là, en tout cas ça fait toujours plaisir de voir que je peux garder l'espoir de me faire des potes... Haha... On est encore dehors, on continue à avancer, je pourrais juste, apprécier une dernière fois aujourd'hui, la nature... Décrire ce que je vois sans utiliser mes yeux... Je vois... Le vent dans mes cheveux... Le vent sur ma peau, rentrant dans mes habits, je le sens parcourir mon corps... Ce vent qui souffle, ce vent chaud et agréable, mes pieds... Qui s'enfoncent à chaque pas dans la terre, je vois qu'il y'a quelques cailloux sur lesquelles je marche... Je vois la vie parcourant le monde... Faisant un arrêt à Poudlard... Dans son parc et je vois... Des pierres sur lesquelles je marche, je vois qu'il n'y a plus de vent, qu'il n'y a plus rien... Me revoilà dans ce château... Les deux enfants sont entrés dans le château et se dirige vers la salle commune du garçon.

Ce RP est terminé
Noooooooooooooooon ! C'est si triste !
Mamaaaaaaaan @Wendy Malfa !
Pour lui faire un minimum honneur j'ai terminé sur un post + mais c'est comme même trop triste, je vais verrouiller le sujet... _{Salut mon pote !}