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15 févr. 2020, 18:48
 Jeu  Plantoir et Greffoir
Cinquième Session


O_(o)-o-(o)_O

Nom :
Famille :

Description :

Histoire :

Effets magiques :
Consommée en tisane, à faible dose, elle a un effet apaisant. Il est déconseillé d'en donner aux enfants même si ses propriétés calmantes peuvent donner envie de leur en administrer.
Les feuilles de la plante peuvent être séchées et brûlées. Elles auraient des propriétés divinatoires et permettraient de se plonger plus facilement dans la méditation.
Enfin ses fleurs mangées crues sont un puissant hallucinogène, relativement relaxant mais qui trouble fortement les sens. Elles peuvent être utilisées médicalement pour des patients subissant de fortes douleurs mais est fortement déconseillée à usage personnel puisqu'il est aisé d'atteindre rapidement une dose létale. Il faut savoir calculer sa propre dose idéale pour en consommer sans danger.

Entretien :
Une catégorie est déjà en partie remplie, à vous de compléter comme vous le souhaitez !
Vous avez jusqu'au samedi 22 février 18h pour m'envoyer vos participations par hibou.

"Noël célèbre la naissance de Jésus Christ, fils de Dieu, venu sur terre pour effacer les péchés du monde, mais il avait oublié sa gomme." Desproges

22 févr. 2020, 19:10
 Jeu  Plantoir et Greffoir
Cinquième session - Résultats


O_(o)-o-(o)_O

Et voici donc le podium de cette cinquième session.

Premier - Chems Daley - 6 points


Reducio
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Deuxième : Jennifer Coldiron- 4 points


Reducio


Nom : Hobulus Calamus
Famille : Cannabacée (Cannabaceae)

Description : L'Hobulus Calamus est un arbuste très vivace et de type grimpant. Pouvant mesurer jusqu’à cinq à dix mètres à maturité, c’est une plante qui n’aime pas être en pot et qui pousse bien mieux en pleine terre. Elle se développe dans un sol riche, profond et bien drainé, néanmoins elle peut être planté dans un sol neutre, alcalin ou acide. Nous la trouvons dans les climats océanique, semi-océanique et continental. Elle aime l’exposition directe au soleil, si possible toute la journée, mais ne dépérit pas s’il y a une partie d’ombre dans son cycle quotidien.

Cette plante possède une grosse racine charnue, de couleur marronnée, desquelles partent de longues et fines tiges beiges pouvant s’allonger jusqu’à 10 mètres de largeur. Concernant ses feuilles, elles possèdent 3 à 5 lobes et sont de couleur verte ; elles peuvent être pâles ou foncées et tombent à l’automne ayant un feuillage caduc. Quant à ses fleurs elles sont de couleur jaune ou verte. Son inflorescence est de type conique et sa floraison se fait de mai jusqu’à septembre. Chaque arbuste produit par année une moyenne de 150 fleurs permettant une très grosse récolte.

Histoire : Originaire de Chine, l'Hobulus Calamus s’est ensuite dispersé sur la planète. Ce sont les Égyptiens qui l’utilisèrent en premier à des fins médicinales. En effet, c’est dans les années 750 que Aménophis Emsaf trouva cette plante et l’utilisa comme étude centrale dans ses recherches sur les anesthésiants médicaux. Guérisseur à cette époque, il devait trouver un moyen d’aider ses patients contre les douleurs.

Depuis, sa culture s’est développée surtout dans les pays du Nord, les Flandres et dans les pays de l’Est. Ses biens-faits médicaux sont connus par le monde entier, aujourd’hui la plante est exportée dans tous les continents.

Effets magiques : Consommée en tisane, à faible dose, elle a un effet apaisant. Il est déconseillé d'en donner aux enfants même si ses propriétés calmantes peuvent donner envie de leur en administrer.
Les feuilles de la plante peuvent être séchées et brûlées. Elles auraient des propriétés divinatoires et permettraient de se plonger plus facilement dans la méditation.
Enfin ses fleurs mangées crues sont un puissant hallucinogène, relativement relaxant mais qui trouble fortement les sens. Elles peuvent être utilisées médicalement pour des patients subissant de fortes douleurs mais est fortement déconseillée à usage personnel puisqu'il est aisé d'atteindre rapidement une dose létale. Il faut savoir calculer sa propre dose idéale pour en consommer sans danger.

Entretien : L’arbuste n’a pas grand besoin d’entretien, sauf la première année ; où il est nécessaire de l’arroser très régulièrement.

Ensuite, c’est un entretien en fonction des saisons ; en été, il faut paillez le pied pour éviter le dessèchement. En hiver, il faut le protégez du froid en cas de très fortes gelées. Une fois par an, nous déposons du compost au pied. Enfin, la plante ne nécessite pas de taille, cependant si elle devient trop envahissante, privilégiez une intervention au printemps.


Troisième - Rose Willis - 2 points


Reducio
Nom : La Mentina
Famille: Lamiacées 

Description: La Mentina est une plante sauvage vivant dans les forêts de feuillus (surtout celles avec un sol riche en nutriments).  Cette plante a tendance à pousser sous les érables pour une raison qui est encore inconnue à ce jour. La Mentina possède de courtes tiges vertes qui mesurent en moyenne 10 cm de long et 3 cm de rayon à l'âge adulte. Les tiges sont souvent recouvertes de cercles verts foncés, qui attirent l’œil rapidement.  Au bout de celles-ci se trouvent de jolies fleurs roses très semblables aux fleurs de la Lavatère sauvage. Lorsque les fleurs reçoivent suffisamment d'eau, elles sont roses pâles, et lorsqu'elles n'en reçoivent pas assez, elles sont violettes.
Reducio

Fleurs se trouvant au bout des tiges de la Mentina

Histoire: La mentina a été découvert par une jeune médicomage en vacance, Charlie Eddward. Elle travaillait à Saint-Mangouste et avait décidée de faire du camping en forêt. Étant fascinée par les plantes, Charlie observa la flore et découvrit une petite plante qu'elle n'avait jamais vu au paravent. Étant prudente, la sorcière mit des gants et prit une plante qu'elle rapporta à son lieu de travail pour en découvrir les propriétés. Après mainte expérimentations, Charlie pensait avoir découvert tous les bienfaits de la plante et décida de manger quelques fleurs pour s'amuser. Mais elle ne savait pas qu'en prendre une grande quantité allait la faire devenir un légume. Quelques heures plus tard, on découvrit Charlie, couchée par terre, qui ne semblait plus très présente mentalement.

Effets magiques: Consommée en tisane, à faible dose, elle a un effet apaisant. Il est déconseillé d'en donner aux enfants même si ses propriétés calmantes peuvent donner envie de leur en administrer.
Les feuilles de la plante peuvent être séchées et brûlées. Elles auraient des propriétés divinatoires et permettraient de se plonger plus facilement dans la méditation.
Enfin ses fleurs mangées crues sont un puissant hallucinogène, relativement relaxant mais qui trouble fortement les sens. Elles peuvent être utilisées médicalement pour des patients subissant de fortes douleurs mais est fortement déconseillée à usage personnel puisqu'il est aisé d'atteindre rapidement une dose létale. Il faut savoir calculer sa propre dose idéale pour en consommer sans danger.

Entretien: Cette plante ne nécessite pas beaucoup d’entretien étant donné qu'elle pousse dans les forêts et qu'elle a souvent la vie dure à l'extérieur. Mais elle grandit toutefois mieux dans certaines conditions: Elle préfère un sol riche en nutriments pour pouvoir pleinement s'épanouir. Lorsqu'elle reçoit beaucoup d'eau, ses fleurs tourneront au rose et elles seront beaucoup plus efficace côté médical. Certaines personnes ont aussi remarqué qu'elles grandit de façon anormalement rapide quand elle entend le son de l'orage.

autres participants : Anna Peuplier

"Noël célèbre la naissance de Jésus Christ, fils de Dieu, venu sur terre pour effacer les péchés du monde, mais il avait oublié sa gomme." Desproges

22 févr. 2020, 19:21
 Jeu  Plantoir et Greffoir
Sixième Session


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Nom : Veneficus fungus
Famille : champignons lichénisés

Description :

Histoire :

Effets magiques :

Entretien :

Vous avez jusqu'au samedi 29 février 18h pour m'envoyer vos participations par hibou.

"Noël célèbre la naissance de Jésus Christ, fils de Dieu, venu sur terre pour effacer les péchés du monde, mais il avait oublié sa gomme." Desproges

01 mars 2020, 08:38
 Jeu  Plantoir et Greffoir
Sixième session - Résultats


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Premier -Xenos Sperande - 6 points


Reducio
Nom : Veneficus fungus
Famille : champignons lichénisés


Description :
Le Veneficus fungus est un lichen corticole verdâtre qui se développe sur les chênes, les hêtres ou les marronniers. Il est composé d’un mycobiote et d’une cyanobactérie autotrophe. Lorsqu’il atteint l’âge adulte (c’est à dire après à peu près 23 semaines), les Thalles de la plante prennent une forme fractale ressemblant à un amalgame aérien de flocon de neige et le Veneficus se pare alors d’une teinte bleuté assez gracieuse. Les jeunes spécimens sont verdâtres et possèdent des thalles peu fourni et sans schéma. Ce lichen pousse principalement dans les forêts denses, sombres et humides et il craint la lumière directe du soleil. Contrairement à ses cousins moldus c’est un spécimen assez délicat qui ne s’accoutume pas à tous les climats. Il se nourrit comme les autres à partir de l’air (notamment de dioxyde de carbone) et de l’eau de pluie par ruissellement. Le Veneficus est inoffensif tant qu’il est vert mais dès qu’il prend sa forme adulte il devient dangereux et il ne faut surtout pas y toucher sous peine de finir à St Mangouste.

Histoire : Gunhilda de Gorsemoor travaillait sur son remède contre la Dragoncelle depuis des années déjà, mais elle n’arrivait à rien. Enfin si, elle avait calculé qu’il lui manquait un ingrédient clé pour rendre son remède fonctionnel : une plante qui stabiliserai assez le système immunitaire pour laisser le temps aux autres ingrédients actifs de sa potion d’agir sur la maladie. C’était son obsession : elle devait trouvé ce remède. Malheureusement il n'existait aucun ingrédient ayant de telles propriétés et elle avait besoin de gallion pour mener ses recherches, elle était donc devenue la guérisseuse du petit village sorcier qu’elle habitait par la force des choses. Un jour elle vit entrer dans sa modeste demeure deux bûcherons qui soulevaient une étrange statue. A cause de son œil borgne elle ne vit pas immédiatement qu’il s’agissait d’un être humain et démentit toute fausse impression que ces idiots pouvaient s’être faite : elle soignait en échange de Gallions seulement, elle ne prenait pas les cadeaux et elle ne faisait pas de troc. L’un des deux hommes lui expliqua calmement que ce n’était pas un cadeau mais son fils et apprenti. Il lui expliqua l’histoire de l’étrange plante qui l'avait pétrifié et Gunhilda fût soudain plus poli. Elle concocta un philtre à la Mandragore pour l’adolescent et dès qu’il fût réveillé, elle lui demanda de la mener avec un ami botaniste jusqu’à la plante qui l’avait affecté. Il les conduisit au pied d’un énorme chêne dont le tronc était couvert de ce qui ressemblait à la plus fine des dentelles. Le botaniste étudia la plante attentivement et Gunhilda qui avait l’intuition que cette plante avait un énorme potentiel testa les propriétés de la plante floconneuse sur quelques cobayes… Les premiers résultats furent... Euh… Déconcertant. Intéressant certes, les poisons étaient réellement fascinant… Mais elle cherchait plutôt à guérir présentement. Lorsqu’elle testa les propriétés de la plante encore verte en revanche elle fût comblé…

Effets magiques : Le Veneficus encore vert est un des ingrédients clés du remède contre la Dragoncelle, il a des propriétés fortifiantes et régénérantes qui renforcent le système immunitaire efficacement. La préparation de la plante nécessite toutefois un traitement spécial et elle n’est généralement commercialisé que sous forme de poudre prête à l’emploi. On recommande aux potionnistes et aux botanistes amateurs d’éviter de préparer des spécimens récoltés dans la nature eux-mêmes. Quand ce lichen a atteint la taille adulte c’est un paralysant très puissant, il suffit d’effleurer la plante des doigts pour être aussitôt pétrifié aussi efficacement que si on avait croisé le reflet du regard d’un Basilic. La Mandragore permet de contrer l’action du Veneficus aussi efficacement qu’elle contre les effets du Basilic. Préparé en infusion le Veneficus adulte donne un poison très lent et extrêmement douloureux qui était notamment utilisé pour les condamnés à mort durant la Renaissance...

Entretien : Le Veneficus ne se cultive pas, aucun botaniste n’a jamais réussi à en faire pousser. En revanche certains botanistes ont effectué des expériences sur des spécimens trouvés dans la nature et il a été montré que le Veneficus bénéficiait d’une meilleure croissance et était moins dangereux pour les être humains lorsqu’il poussait sur un arbre habité par des Botrucs, en effet ces spécimens ne provoque que de léger malaise au lieu de pétrifier ceux qui les touchent. Apparemment les Botrucs auraient des techniques de culture pour améliorer la pousse du Veneficus et le détoxifier mais elles sont inaccessible pour l'instant.


Deuxième : Jennifer Coldiron- 4 points


Reducio
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Nom : Veneficus fungus
Famille : Champignons Lichénisés

Description : C'est une espèce très spectaculaire qui pousse uniquement sur les arbres en position ensoleillée et de préférence en bordure de mer. N’ayant pas de racine, c'est par toutes ses faces qu'il absorbe l'eau mais est capable de s'en passer pendant les périodes de sécheresse. Il entre alors dans une phase de semi-repos jusqu'à la réapparition des pluies.

Elle est facilement reconnaissable, grâce à son allure buissonnante – plus ou moins sphérique de 1 à 5 cm de diamètre – de teintes grises ou encore jaune pâle sur la face inférieure et jaune d’or à orange sur la face supérieure. Les lobes sont plats à légèrement convexes de 1 à 2,5 millimètres de largeur, rayonnant d’un point central et présentent de nombreuses fibrilles marginales. Ses apothécies orange, qui sont très fréquentes, mesurent 2 à 7 mm, elles sont en forme de disques bordés de cils clairs. Ces apothécies valent à cette plante le nom d’« Œil d’or ».

Histoire : Cette espèce thermophile vient des îles de l’océan Atlantique, situées à l’ouest de l’Afrique et de l’Europe, comme les îles Canaries ou bien encore le Cap-Vert. Elle a été vu pour la première fois au XVe siècle, plus précisément en 1462, découvert par le sorcier Mr Yannick Agnan. Il est à l'origine de la découverte de ses bien-faits magiques grâce à multiples expériences réalisées sur ce champignon.

Le Veneficus fungus est issu d'une algue orange et d'un champignon. Il s’est développé dans tous les pays du monde, sans aucune aide humaine, à condition qu’il soit en bordure de mer avec une exposition au soleil.

Aujourd’hui, très sensible à la pollution de l’air, ce champignon est relativement commun sur les côtes européennes jusqu’en Norvège.

Effets magiques : Les Moldus s’en servent principalement dans la parfumerie et pour teindre les tissus. Néanmoins, ils ne connaissent pas ses bienfaits magiques.

En séchant puis en écrasant la totalité de la plante on obtient une poudre que l’on utilise ensuite comme ingrédient dans la pâtisserie ou bien encore en soupe. Cette utilisation est bénéfique pour guérir les crises d’épilepsie ; grâce aux vitamines et minéraux présents dans le Veneficus fungus.

Cette espèce permet également de soigner les infections respiratoires, en effet étant très sensible à la pollution de l’air, on la trouve donc dans des lieux où l’air est sain. Nous pouvons donc en profiter en extrayant de ses lobes, une huile – contenant de l’oxygène – que l’on fait bouillir puis que nous donnons à ingérer au patient.

Quant à ses apothécies, riches en protoxyde d’azote, sont consommées par inhalation de vapeur. Pour cela, nous la faisons chauffer dans l’eau, ainsi une fois que les vapeurs d’eau s’échappent, nous plaçons le contenant en dessous de la tête du patient avec une service au-dessus de celle-ci afin qu’il inhale tous les gaz. Cela le rendra donc euphorique, accompagné de rire permettant d’oublier la douleur. Néanmoins, une fois le gaz n’agissant plus, des effets secondaires sont à déclarer : vomissements, maux de tête, crampes abdominales, diarrhées, somnolence, vertiges et acouphènes. Ces troubles disparaissent en général 15 min après l'arrêt de l'inhalation ou persistent un peu plus longtemps selon la dose consommée.

À forte dose, sa consommation déclenche de la confusion, de la désorientation, des difficultés à parler et à coordonner ses mouvements, une faiblesse musculaire et un ralentissement ou irrégularité du rythme cardiaque. Une fois ces symptômes aperçus, ils sont permanents. Il est donc indispensable de contrôler la dose inhalée.

Entretien : Dans le jardin, il n'a nullement besoin de la main de l'homme pour se développer. Il se développe sur les troncs et branches d'arbres naturellement, surtout quand ceux-ci ont une écorce qui devient assez paresseuse.
Le Veneficus fungus n'a pas besoin d'être arrosé. Il ne nécessite pas d'entretien en particulier. Il trouve ses nutriments dans l'eau qui ruisselle sur les troncs d'arbres.

Lorsqu’il se montre envahissant, il est nécessaire de brosser, avec une brosse en paille ou en poils de plastique dur, chaque tronc d'arbre recouvert. Retirez-le par temps sec, hors période de gel.


Troisième - Chems Dalley - 2 points


Reducio
Veneficus fungus
champignons lichénisés
Description : Le chapeau du Veneficus fungus se présente sous la forme d’une étoile de mer difforme légèrement translucide et gélatineuse. C'est le mycellium de ce champignon qui est sa partie la plus développée, d’une teinte turquin contrairement à la plupart des champignons connus qui possède un mycélium blanc. Veneficus ne prend pas de hauteur mais s’étale sur une surface pour l’instant d'une taille maximal indéterminé. En milieu sauvage cependant, on le retrouve souvent couvrant une aire d’une dizaine de centimètre carré.

Histoire : Ce champignon a été découvert pour la première fois dans les fonds de l’océan Arctique et à d’abord été identifié comme étant un animal jusqu’à son extraction et étude en 1995 par Auxence Moreau, anciennement élève à Beauxbatons, dans le cadre de son projet d’étude. Elle replace l’espèce dans la catégorie des champignon et le nomme “Veneficus” pour “Venimeuse” lorsqu’elle lui trouve une action toxique envers les polyphylétique (ensemble d’organismes comptant les mammifères marins, les algues ou encore les vautours). Plus tard, en 2002, le vétérinaire allemand Kay Krause, reprend les travaux de Moreau alors qu’il est confronté à la problématique de l’encombrement des espèces magique subaquatique comptant le Kelpy. En effet, l'amassement d’algues autours des corps immergés présente un problème de plus en plus incommodant, surtout lorsque ceux-ci provoquent des mouvements marins “anormaux” lorsqu’ils parviennent à attirer l’attention de la population moldue. Krause a alors l’idée d’ajouter artificiellement le Veneficus à la flore du kelpy pour tester la toxicité du champignon sur les algues entourant l’animal sans avoir à l’immobiliser (jusque là, la seule manière pour retirer l'encombrement de plante marine sur l'animal et qui était souvent des opérations de grande envergure et demandaient beaucoup d’organisation pour être mise en place). En 2005, le Kelpy sur lequel a été greffé le champignon meurt. Les vétérinaires suspectent une action du champignon, le sujet est encore en cours d’étude pour déterminer la cause exacte de la mort de l’animal et si ce projet pourra voir le jour à plus long terme sans mettre en danger l'espèce.

Effets magiques : Il est dit que le champignon produit un venin mortel pour les organismes polyphylétiques mais en réalité, le champignon se divise lui-même en plusieurs petit fragment qui vont “ronger” les parois cellulaires de leur cible (souvent fallacieusement confondu avec des spores). Le champignon mère se régénère lui continuellement. Une fois touché par le venin, les cibles subissent un étonnant changement de conformation, s’effondrant avec autant de consistance qu’un château de sable sec.

Entretien : Je ne parlerais pas d’entretien mais plutôt de condition. Veneficus est inoffensif à très basse température (comme dans les eaux froides de l’océan Arctique là où il a été découvert pour la première fois). En effet, le champignon, bien que vivant, reste figé et incapable de se séparer. Il ne se reproduit pas mais grandit indéfiniment, affirme Auxence Moreau dans ces écrits. 
Photo prise par Auxence Moreau

autres participants : Marie Paulia , Hannah hardhoke , Lexa Queen

"Noël célèbre la naissance de Jésus Christ, fils de Dieu, venu sur terre pour effacer les péchés du monde, mais il avait oublié sa gomme." Desproges

01 mars 2020, 08:49
 Jeu  Plantoir et Greffoir
Septième Session


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Nom :
Famille : Ptéridophytes
Localisation : forêt amazonienne


Description :

Histoire :

Effets magiques :

Entretien :

Comme vous pouvez le voir seul le lieu de localisation et la famille de la plante sont imposés pour cette session. Vous avez jusqu'au samedi 7 Mars 16h30 pour m'envoyer vos participations par hibou.

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07 mars 2020, 16:40
 Jeu  Plantoir et Greffoir
Septième session - Résultats


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Première -Jennifer Coldiron - 6 points


Reducio
Nom : Lycopode Spiritualis
Famille : Ptéridophytes
Localisation : forêt amazonienne

Description : Le Lycopode Spiritualis est un herbacé, une plante vivace toujours verte, aux feuilles persistantes.
Ses tiges, en général couchées et rampantes, mesurent en moyenne cinquante centimètres de long. Régulièrement ramifiées, elles sont couvertes de petites feuilles pointues, épaisses et irrégulières. Celles-ci sont réparties tout autour des tiges et sont finement dentées.
Les spores en forme d’épi positionnés au bout d’une tige dressée, forme un sac de couleur jaune souffre et mesure entre quatre à huit centimètres de hauteur, et entre un et deux centimètres de diamètre.
Ses racines sont généralement dichotomiques, avec une division en forme de « Y ».
Comme avec tous les ptéridophytes, l’endoderme de cette plante ressemble à une couche d’écorce, celle-ci est très boisée.

Histoire : Le Lycopode Spiritualis est présent sur Terre depuis environ 430 millions d’années, ce fut l’une des premières plantes après les algues unicellulaires. C’est à l’Antiquité, que notre plante a été découverte par l’Homme, plus précisément par Antonius Castor. Grand sorcier botanique, il est également à l’origine de la découverte de l’Aconit ainsi que la Sauge. C’est lors de ses nombreux voyages qu’il a pu mettre la main sur le Lycopode Spiritualis dans la forêt amazonienne. C’est grâce à ses recherches poussées et à ses expériences, qu’il a pu découvrir les biens-faits magiques de cette plante. Utilisant des cobayes humains pour obtenir des données sur les effets des plantes qu’il utilise, il n’était pas très bien vu par les autres sorciers de sa région. Néanmoins, son travail était respecté par les guérisseurs, lui permettant de vendre ses découvertes. Sa renommée mondiale a permis de faire voyager le Lycopode, mais pour autant la plante reste localisée dans sa région d’origine, car il est impossible de la faire pousser hors de la forêt amazonienne. Aujourd’hui, la quantité présente sur Terre n’est pas importante dû à son impossibilité de délocalisation. Cependant, de nombreux botanistes de chaque coin du monde se rendent dans cette forêt pour permettre à leur région d’avoir à leur disposition cette plante, notamment pour leurs effets anesthésiant, mais encore pour ses capacités divinatoires. Il existe également des botanistes qui se sont spécialisés dans la culture de cette plante et ainsi ce se donc installés dans la région.

Effets magiques : Selon son mode d’emploi, cette plante a des effets différents pour son consommateur.
Lorsque les spores de celle-ci sont mangées crues, le Lycopode Spiritualis provoque un trip sombre et profond dans lequel le consommateur oublie souvent ce qu’il a consommé. À faible dosage, il anesthésie et à un effet narcotique. Des dosages trop élevés engendrent un état de folie, caractérisé par une grande agitation, confusion et souvent accompagné de nombreuses hallucinations.

Cette plante peut également être brûlée avec de l’encens, utilisée ainsi, elle améliore les capacités psychiques et mentales lors de fatigue, de troubles de la concentration ou d’épuisement. Elle est également utilisée pour favoriser la divination, développant ainsi le subconscient et ouvrant l’esprit des personnes présentes dans la pièce où les fumées sont inhalées.

Entretien : Le Lycopode est très simple d’entretien car il est très rustique. Cette plante a besoin d’un sol retenant bien l’eau, mais souple et drainant et il faut qu’il soit riche en humus. Son exposition doit être mi-ombragée et au Nord. Ces plantes, originaires de sous-bois apprécient les atmosphères confinées et une bonne humidité atmosphérique.

Étant une plante impossible à importer hors de son habitat naturel, son entretien ne se fait que pas les botanistes professionnels, présents en forêt amazonienne, qui cultivent sur place la plante. Son semis est fait à la fin de l’hiver, grâce aux spores présents au revers des feuilles. Ceux-ci donnent naissance, en milieu humide, à une masse verte qui produit par la suite des jeunes plantules à individualiser par repiquage.
Au quotidien, pour avoir de beaux Lycopodes, il est important de pulvériser le feuillage avec de l’eau non-calcaire. Il faut également, entre le printemps et l’automne, leur apporter de l’engrais. Enfin, en hiver, il faut réduire les arrosages, sauf si la plante est dans une pièce surchauffée. Ce qui arrive très rarement, cultivant cette plante à l’extérieur.

Il se peut, qu’une apparition de cochenilles caparaçonnées se déclenche, tant ce cas, il faut tamponner avec du coton imbibé d’une préparation à base d’huile de colza, de savon noir et d’alcool à brûler dilué à 5%.


Deuxième : Xénos Sperande- 4 points


Reducio
Nom : La Bigargère
Famille : Ptéridophytes
Localisation : forêt amazonienne

Description : La Bigargère est une fougère épiphyte de grande taille qui pousse sur les branches des arbres tropicaux de la forêt amazonienne. Comme la plupart des fougères épiphyte, ses frondes ont une forme composée peinée et elle se nourrit d’eau de pluie et en captant certains éléments de l’atmosphère, elle utilise aussi l’humus qui se crée sur les branches qu’elle colonise sans jamais nuire à son hôte. Ce qui distingue la Bigargère de ses cousines moldues ce sont sa couleur : elle est orange comme si la plante était fané et le système de stolons de la plante qui lui permet de se repiquer elle-même sur son support pour se multiplier comme un fraisier. Normalement c’est un cryptogame, elle ne fait jamais de fleurs et se reproduit discrètement à l’aide de stolon ou de spores. Selon la légende très rarement, la Bigargère produirait une fleur magnifique et doté de propriétés extraordinaire. Les arbres fortement colonisés par la Bigargère ont l’air de porter un vêtement décrépit, comme un vieux pull dont la laine s’échappe. La couleur étrange de la plante vient de sa sève dont la couleur rappelle celle de la lave, les jeunes plantes ont une couleur jaune qui donne à leur sève l’apparence de l’or et elles ont des propriétés beaucoup moins puissantes.

Histoire : Miranda Fauconnette n’était plus sûre d’avoir eu l’idée du siècle. Elle avait décidé après le succès de son livre des sorts qu’elle allait maintenant étudier l’herbologie pour constituer un solide manuel scolaire sur le sujet… Mais comme elle ne faisait jamais les choses à moitié quand son ami botaniste l’avait convié à venir avec lui pour ses recherches en pleine forêt amazonienne : elle avait accepté. Après trois jours à crapahuter dans la jungle en faisant attention aux serpents, aux araignées démesurés et au étranges créatures magiques, Miranda en avait marre, elle était de mauvaise humeur et avait décidé la veille que l’herbologie n’était pas faite pour elle et qu’elle rentrerait chez elle dès le soir venu. A cet instant, le groupe étudiait un spécimen de plante qui essayait de faire tomber ses immenses feuilles sur les humains qui passaient trop près d'elle.

Miranda qui était pressé de rejoindre ses affaires pour pouvoir re-transplanner chez elle ronchonna et s’éloigna avec agacement des botanistes insouciants, elle marcha en écartant les feuilles devant elle, en se glissant sous les lianes d’un pas furieux et en marmonnant sans discontinuer pour se plaindre. Soudain elle arriva devant un arbre dont les énormes branches s’étendaient horizontalement, sur ces branches, des touffes de fougères d’un orange assez vif s’entassaient et chacune de ces fougères comptaient quelques boutons de fleurs d’un blanc lumineux. Miranda lança une gerbe d'étincelle rouge en l'air avec sa baguette pour appeler les botanistes, elle était sûre que cette plante là n’avait jamais été recensé. Avant qu’ils n’arrivent les fleurs s'ouvrirent doucement et Miranda en resta pantoise tant elles étaient belles, elle ne chercha pas à s’approcher ou à en cueillir. Quand le groupe de botaniste arriva jusqu’à Miranda les fleurs étaient fanés. C’était bien une nouvelle espèce, ils l'appelèrent la Bigagère à cause de sa couleur orange, jamais personne d’autre que Miranda ne pu observer de floraison chez la Bigargère, les mauvaises langues ont dit qu’elle avait inventé l’histoire dans sa biographie par goût pour le sensationnel...

Effets magiques : L’ensemble des propriétés de la plante se concentrent dans sa sève. Elle est toxique et ne se consomme pas, mais elle est très utilisé par les fabricants de baguette lorsqu’ils doivent effectuer des réparation. En effet la sève permet d’obtenir une puissante colle magique qui répare les objets magiques en profondeur et n’empêche pas la conduction de la magie dans l’objet après la réparation contrairement à n’importe quel autre moyen de collage. Cette colle obtenue à partir de Bigargère sert également aux adeptes de Quidditch pour réparer les fissures qui peuvent parfois fragiliser leurs balais. Malheureusement son efficacité est moindre avec les Rappeltout brisés...

Entretien : La Bigargère est une plante tropicale, elle a donc besoin de chaleur et d’humidité, les botanistes qui en cultivent sous nos latitudes sont obligés de planter leurs spécimens dans des serres mais la plante ne prends que si son support est un arbre vivant. Il faut donc avoir de grandes serres pour cultiver la Bigargère car on ne peut la planter que sur les branches d’un arbre adulte. Il suffit de planter un seul spécimen et de maintenir la chaleur et l’humidité assez haute et la fougère se répliquera vite et colonisera l’ensemble de son support. Pour récolter la sève il faut couper une fronde et mettre un récipient en dessous de la coupure, la sève se déversera pendant une heure, le temps que dure la cicatrisation. Il ne faut pas trop récolter de sève sans quoi le plant meurt.

Troisième -Emy Rald - 2 points


Reducio
Nom :


Urticae Venenosus


Famille :


Ptéridophytes


Localisation :


forêt amazonienne


Description :


L'Urticae Venenosus est une plante longiligne, dont la tige est recouverte de longues feuilles aux extrémités pointues, recouvertes d'un duvet fortement urticant imprégné d'un poison pouvant provoquer, au contact de la peau, l'apparition de gros pustules violets enflammés. Ce duvet étant légèrement coloré de violet de par la présence du poison, donne à l'Urticae Venenosus une couleur tirant sur le mauve, ce qui la différencie des autres plantes de la famille des Ptéridophytes.
Préférant l'obscurité et l'humidité, elle pousse principalement entre les racines des grands arbres de la forêt amazonienne.

Histoire :


L'Urticae Venenosus a été importée par les peuples nomades de l'Amazonie en 300 A.J-C, après que ces derniers, persécutés par les colons ayant envahi leur pays d'origine, aient été forcés à le fuir et à entreprendre un long voyage les menant par-delà les mers jusqu'au long fleuve Amazone. L'Urticae Venenosus, symbole de ces peuples qui à l'époque la vénéraient comme la plante des dieux, proliféra particulièrement lors de leur traversée du fleuve Amazone, montrant son attirance pour l'humidité et sa préférence pour l'eau douce plutôt que pour l'eau salée. Les peuples nomades d'Amazonie, prirent cela pour un signe divin, et entreprirent d'installer leurs campements au cœur même de la forêt amazonienne, dans laquelle aujourd'hui vivent encore quelques descendants de ces grands peuples, qui cultivent la plante et la louent pour ses vertus curatives.

Découverte en 1865 par l'éminent explorateur français Jeoffrey De Labuche, la plante fut dévoilée au grand public, et les différentes expériences de Jeoffrey De Labuche lui apportèrent une connaissance de la plante et de ses propriétés plus profonde que tout ce qu'avaient pu lui enseigner les descendants des peuples nomades. Nous noterons que, d'après les écrits de De Labuche à leur sujet, "Ces peuples nomades vivaient en parfaite harmonie, traitant en frères et soeurs tant les individus dotés de pouvoirs magiques que les individus n'en ayant aucun, leur culture étant basée sur l'amour et la vénération de l'Urticae Venenosus". Ainsi donc, la plante aurait aidé à unifier les sorciers et moldus, à une époque lointaine.

Effets magiques :


Le venin de l'Urticae Venenosus, mis à part son effet de provoquer chez quiconque entre en contact avec lui l'apparition de pustules violets et purulents, est également un ingrédient essentiel de la potion d'Ossijeunecavant, une potion permettant, pour les personnes les plus âgées et les plus vulnérables à ce genre de maux, de soulager les douleurs articulaires et la fragilité osseuse, ce qui peut expliquer entre autres pourquoi les peuples nomades d'Amazonie étaient connus pour leur longévité. Par ailleurs, purgée de son venin, la plante possède un goût sucré qui permet de relever le goût de certains philtres d'amour pour les rendre plus agréables en bouche.

Il est à noter que Jeoffrey De Labuche, après de nombreuses expériences scientifiques, est parvenu à prouver que le venin d'Urticae Venenosus, une fois distillé afin de le rendre moins agressif, permet, si ingurgité dans une solution pure par voix orale, d'améliorer la qualité du cheveu et de rendre ces derniers doux et soyeux. Cette solution est d'ailleurs souvent utilisée dans le domaine de la cosmétique, plus connue sous le nom de Boréal (*Pour rendre vos cheveux aussi doux que l'aurore*).

Entretien :


Il est possible de cultiver l'Urticae Venenosus en prenant certaines précautions. En effet, il convient d'enfiler des gants protecteurs avant de s'en approcher, afin de ne pas entrer en contact avec le venin à l'état pur. Par ailleurs, il conviendra, contrairement à la plupart des plantes, de l'enfermer dans un endroit sombre et humide afin de lui rappeler son habitat naturel, bien qu'il lui faille un minimum de lumière solaire afin de survivre, ce qui la rend assez difficile d'entretien.
Il est essentiel de l'arroser très régulièrement, au moins une fois toutes les deux heures, mais modérément: la plante a besoin de se désaltérer, mais supportera mal d'être noyée.
Pour cultiver cette plante et favoriser sa prolifération en vue d'une éventuelle culture, il conviendra d'utiliser un terreau naturel, moins agressif que la bouse de dragon, tel que la bouse de Grapcorne.
Cet engrais étant généralement assez onéreux, les cultures d'Urticae Venenosus restent assez rares, si ce n'est dans son milieu naturel, la forêt Amazonienne, où les descendants des grands peuples nomades vivent notamment grâce à leurs plantations et à l'exportation de produits à base de venin d'Urticae Venenonus dans le monde entier.

autres participants : Marine Hargrove, Elyna Oak

"Noël célèbre la naissance de Jésus Christ, fils de Dieu, venu sur terre pour effacer les péchés du monde, mais il avait oublié sa gomme." Desproges

07 mars 2020, 16:53
 Jeu  Plantoir et Greffoir
Huitième Session


O_(o)-o-(o)_O

Nom :
Famille :

Description :

Histoire :

Effets magiques :

Entretien :

Session sans que rien ne soit prédéfini sur la plante mais qui devra être sur le thème des soins de blessures magiques. Vos participations sont à m'envoyer avant le 14 Mars 16h par hibou. .

"Noël célèbre la naissance de Jésus Christ, fils de Dieu, venu sur terre pour effacer les péchés du monde, mais il avait oublié sa gomme." Desproges

14 mars 2020, 17:16
 Jeu  Plantoir et Greffoir
Huitième session - Résultats


O_(o)-o-(o)_O

Félicitations à nos trois gagnants. Pour cette session le classement était serré c'est pourquoi il sera fait mention d'autres joueurs dont les productions ont été proches du top 3
Première -Jennifer Coldiron - 6 points


Reducio
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Nom : Aubépine Antivenom
Famille : Rosacée
Localisation : Europe, d’Asie et Amérique du Nord

Plante masculine dédiée à Mars et à l’élément du Feu.

Description : L’aubépine est un arbuste qui se présente comme un buisson, pouvant atteindre deux à dix mètres de hauteur. Il est facilement reconnaissable par son aspect épineux, d’ailleurs souvent planté comme clôture étant infranchissable en raison de ces nombreux rameaux couverts d’épines. Ses branches, de couleur grise, sont, en effet, garnies de petites et courtes pointes acérées.
L’aubépine possède de petites feuilles ovales, incisées, dentées et divisées en trois à cinq lobes peu profonds. Ses feuilles sont vertes, luisantes sur le dessus et plus pâles en dessous.

Au printemps, de nombreuses fleurs de couleur blanche ou rosée apparaissent. Elles se disposent en corymbes, c’est-à-dire en grappes qui forment un dôme sur le dessus d’un même plan. Les fleurs de l’aubépine sont particulièrement parfumées. Leur odeur rappelle celle des amandes amères. À la fin de l’été et durant l’automne, les fleurs se métamorphosent et laissent leur place à des fruits. Se sont de petites drupes dont la taille est similaire à celle d’un gros pois ou d’une baie. Les fruits affichent un rouge vif brillant qui devient sombre et mat au moment de sa maturité. Charnus, les fruits de l’aubépine renferment de nombreuses graines enfermées dans une chair jaune.

Contrairement au Prunellier (Épine noire), les Aubépines ne fleurissent qu’après la sortie de ses feuilles.

Légende : L’Aubépine est l’arbuste sacré des fées. Elle fait partie des trois « arbres féeriques » que révéraient les anciens druides : Chêne, Frêne, Aubépine. On a cru aussi pendant longtemps que les Aubépines étaient des sorcières qui s'était transformées d'elles-mêmes en arbre pour protéger les jardins de leurs congénères.

Histoire : L’Aubépine est connue depuis l’Antiquité, voire par certains peuples de la préhistoire. Elle est réputée pour traiter les effets indésirables du venin de dragon en cas de morsure. Cette plante est aussi efficace pour lutter contre l’anxiété, l’insomnie et les troubles légers du sommeil, mais ce n’est pas son utilisation première.

Au fil des années, cette plante a multiplié les surnoms : bois de mai, épine de mai, épine blanche… Le surnom d’épine blanche reste le plus fréquent. D’ailleurs, le terme aubépine vient du latin alba spina qui signifie « épine blanche ».

Quoi qu’il en soit, l’Aubépine connaît un grand succès depuis la Préhistoire. À cette période, ses fruits étaient utilisés comme denrées alimentaires. Ressemblant à des baies, ils étaient séchés, moulus puis incorporés dans les bouillies et pâtes à pain.

Les fleurs d’Aubépine ont quant à elles acquis plusieurs vertus dès l’Antiquité : d’abord pour lutter contre l’insomnie et toutes autres troubles légers du sommeil, puis enfin pour atténuer l’anxiété. Les fleurs étaient suspendues dans les maisons, notamment au-dessus des lits.

Néanmoins, les biens-faits magiques des feuilles de l’Aubépine n’ont été découverts que tardivement. Ce n’est qu’à la fin du XVIIIème siècle que le potentiel des feuilles de cette plante fut mis en évidence grâce à Giovanna Bonnano, empoisonneuse professionnelle en Italie. En effet, elle concoctait énormément de poison qu’elle vendait aux femmes de son village pour assassiner leurs maris. Néanmoins, elle avait toujours un antidote pour chacun de ses poisons en cas de problèmes. C’est après de nombreuses recherches qu’elle mit la main sur l’Aubépine, et découvrit son efficacité contre le venin de dragons.

Aujourd’hui, l’Aubépine est un arbuste qui se développe dans différents environnements et dans de nombreuses régions du monde. Elle est commune en Asie occidentale, en Amérique du Nord, ainsi qu’en Europe centrale et nordique ; cette dernière région est celle d’origine de l’Aubépine.

Effets magiques : Stockées dans un sachet disposé dans la maison, généralement suspendu au-dessus des lits ou placé dans les oreillers, les fleurs de l’Aubépine, luttent contre les troubles légers du sommeil, l’insomnie et anxiété. Elles peuvent également être utilisées dans l’eau des bains pour agir sur la totalité du corps du plaignant, ou bien encore en infusion juste avant le coucher.

Concernant les feuilles, elles sont réduites en poudre et mélangées à des huiles pour obtenir un onguent. Cette pommade est étalée sur des morsures de dragon dont le venin est néfaste, supprimant ainsi toute trace du poison.
Pour les personnes ayant ingéré du venin par maladresse ou empoisonnement, cet onguent est inefficace. Néanmoins, les feuilles peuvent être infusées pendant neuf à treize minutes dans une eau frémissante, une fois refroidie, l’infusion doit être entièrement avalée pour que les effets du poison se dissipent.

Peu d’effets indésirables sont connus, même en cas de long traitement. Il se peut parfois qu’apparaissent, au bout d’une heure, des allergies cutanées plutôt légères dû à l’onguent appliqué. Cependant, aucunement néfastes pour la peau, ces plaques disparaissent une dizaine de minutes après l’apparition.
Pour que les feuilles d’Aubépine soient efficaces, il faut toujours respecter les doses prescrites. Si les doses sont trop élevées, l’effet de guérison n’aura pas lieu et accéléra les effets du poison.

Entretien : L’Aubépine a une préférence pour les terrains calcaires avec une exposition ensoleillée. À la croissance lente, cette plante peut vivre pendant plusieurs centaines d’années. Sa floraison se déroule d’avril à mai et les fruits apparaissent d’août à octobre. La récolte des fleurs se fait ainsi durant le printemps, et celle des fruits durant l’automne.

La plantation de l’Aubépine a lieu à l’automne ou au printemps, mais, comme pour tous les arbustes, la période idéale est toujours l’automne. Plantée à cette période, l’enracinement est amélioré avant l’hiver et reprend ensuite au printemps.
De plus, un sol bien drainé est à favoriser pour l’emplacement de la plante. En effet, si on observe les endroits où poussent naturellement les Aubépines, on peut se rendre compte qu’elles préfèrent les terres bien drainées. Dans une terre lourde, un bon apport de sable au moment de la plantation est fortement conseillé.

L’entretien de l’Aubépine se limite à une taille de mise en forme en fin d’hiver, surtout pour les sujets composant une haie. La fertilisation et l’arrosage ne sont pas nécessaires.

L’apparition de maladie est à surveiller sur cette plante. Comme la plupart des Rosacées, l’Aubépine est sensible au feu bactérien. Dans ce cas, les feuilles présentent des tâches brunâtres ou couleur rouille. Les boutons floraux se dessèchent et brunissent, et les rameaux se recourbent en crosse et sèchent. Cette maladie progresse rapidement si les conditions climatiques lui sont favorables, ainsi, une branche entière peut mourir en quelques jours.
L’inconvénient majeur avec cette maladie, c’est que nous ne disposons d’aucun traitement réellement efficace. Il faut donc mettre en œuvre des mesures permettant de prévenir l’apparition de la maladie et d’empêcher son extension :
- Supprimer les parties atteintes en coupant plusieurs dizaines de centimètres en dessous des lésions touchées,
- Arracher les sujets les plus gravement atteints,
- Brûler systématiquement les déchets végétaux,
- Désinfecter soigneusement les outils après avoir taillé un arbuste (atteint ou pas)
- Éliminer les floraisons secondaires,
- En mars-avril, pulvériser une solution de cuivre (avec modération, une haute dose de cuivre est toxique pour les écosystèmes !), permettant parfois de freiner la maladie.


Deuxième : Xénos Sperande- 4 points


Reducio
Nom : Anchobra
Famille : Ranunculaceae

Description : L’anchobra est une plante à fleur de la même famille et d’apparence semblable à l’Ancholie moldu. Cette plante vivace vit dans les zones tempérées de l’hémisphère nord, elle est rustique et supporte donc très bien les gelées de l’hiver, elle possède des rhizomes qui lui permettent de se régénérer si elle est coupé et à chaque printemps. L’anchobra fleurit en Mai et produit à ce moment une hampe florale, comptant deux grosses fleurs l’une noire et l’autre rouge. La fleur rouge sert à la pollinisation et permet à l’anchobra de produire des graines, la fleur noire en revanche protège la plante et projette un jet de venin à quiconque s’approche trop près, elle détecte ses cibles grâce à leur chaleur corporelle et vise les yeux. C’est une plante solitaire affectionnant les prairies dégagées et un bon ensoleillement, elle est calcicole et résiste bien à la sécheresse, la hampe florale mesure une quarantaine de centimètre, les feuilles quant à elles, poussent sur un pétiole d’une vingtaine de centimètre, elles sont alternées, pétiolées et caduques.

Histoire : Gunhilda de Gorsemoor était bossue. En soi c’était déjà assez pénible d’être bossue mais en plus on était en 1576 alors les gens était d’une tolérance relative avec ce genre de petite tare physique. Gunhilda passait donc le plus clair de son temps seul à travailler ses potions loin des moqueries de ses contemporains, elle avait certes un physique disgracieux mais elle avait une cervelle et deux yeux, elle au moins. La jeune sorcière allait tous les jours en forêt pour chercher des ingrédients pour ses potions et cet après-midi là, elle ne trouvait pas l’aconit qu’elle cherchait. Décidé à trouver son ingrédient préféré, elle dépassa les limites de la forêt à laquelle elle se cantonnait d’habitude et entra dans une prairie.

Elle cherchait déjà depuis une dizaine de minutes, concentré, les yeux rivés sur l’herbe haute à la recherche des belles fleurs d’aconit, quand elle s’aperçut qu’elle n’était pas seule... Un jeune homme d’environ son âge semblait lui aussi chercher des plantes, écartant les hautes herbes pour mieux voir et parlant seul pour commenter ses recherches joyeusement. Gunhilda qui avait développé une méfiance apeurée des autres à cause des moqueries qu’elle subissait, décida de reporter courageusement la recherche d’aconit à demain, elle recula de quelques pas discrètement puis se retourna et s’apprêta à s’enfuir vers la forêt... Mais elle n’eût que le temps d’apercevoir deux sublimes fleurs, une rouge et une noire, avant de recevoir un liquide brûlant et affreusement douloureux dans un œil. Gunhilda hurla de douleur et tomba à la renverse dans un bruit d'herbe fauché. Le jeune homme accouru aussitôt et l’éloigna de la plante. Il se présenta il s’appelait Archibald Marjoribanks et il était potionniste et magicozoologiste. Après avoir examiné attentivement l’œil de Gunhilda il lui annonça qu’elle allait devenir borgne… Puis il lui fit un grand sourire et lui apprit joyeusement qu’elle venait de découvrir une nouvelle plante magique qui crachait du venin de cobra !

Effets magiques : Le venin de l’anchobra est très dangereux pour les yeux, le moindre contact provoque la cécité. En revanche le venin est l’ingrédient actif d’une potion de soin créé par Gunhilda Gorsemoor en 1599. Cette potion est bu par la victime, elle permet de contrer les dégâts neurologiques d’un endoloris trop prolongé et évite ainsi, non seulement les complications psychiatriques résultantes, mais aussi la dégénérescence des nerfs qui conduit à la perte de sensation dans le corps (notamment dans les mains et sur le visage). Attention il est très important de respecter les dosages car le venin a une forte incidence sur les nerfs et pris en surdose il peut provoquer une hypersensibilité physique dont le seul remède est… Un endoloris prolongé.

Entretien : L’anchobra est assez simple à cultiver, il suffit de l’installer dans un sol calcaire et d’arroser seulement quand la terre de la plante est sèche, il ne faut pas que la terre soit détrempé. Le plus compliqué avec cette plante c’est l’agressivité de la fleur noire, certaine mesure sont a prendre à ce sujet et un sort a été inventé par un spécialiste de l’anchobra, il suffit de jeter ce sort sur une petite fiole qui restera en suspension près de l’anchobra et qui interceptera le jet de venin avant qu’il n’atteigne sa cible à chaque fois, cela permet de protéger le botaniste et d’assurer une récolte de venin constante et simple.


Troisième -Deryn O'connors - 2 points


Reducio
Nom : Oignon aiguille - Aqualium cepa
Famille : Angiospermes / herbacée


Description :
L'oignon aiguille (l'oignon d'eau, "aqualium cepa", en latin) est une herbacée de la famille des oignons. Comme tout oignon qui se respecte, cette plante est formée d'un bulbe. Il est jaunâtre de forme sphérique avec plusieurs feuilles charnues superposées et une feuille externe plus épaisse imperméable. Les feuilles, de couleur verte clair, qui en sortent sont cylindriques et creuses. La tige florale, verte foncée, qui dépasse au dessus de toutes les feuilles est bien droite et creuse elle aussi. La fleur est violette en ombelle sphérique.

Il pousse dans les cours d'eau douce peu profonds avec un courant faible à moyen. Seul la fleur et l'extrémité des feuilles dépassent de la surface de l'eau. Le sol doit être assez sableux pour permettre à l'oignon de développer des racines suffisantes pour ne pas être emporter par le courant.

Même bien implanté, les couches externes du bulbes sont souvent malmenées par les courants et arrachées. Cet oignon a donc développé une technique de production très rapide de feuilles externes plus épaisses.

Les fleurs ne peuvent être fécondées que par les libellules ce qui rend la reproduction de la plante assez incertaine et uniquement dans des cours d'eau sains ou la reproduction des libellules est possible. Chaque fleur peut produire entre 400 et 500 petites graines noires en forme de pyramide.

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Histoire :
Cet oignon est originaire de l'Ouest de la France. Il pousse dans les cours d'eau froids à très froids se trouvant plutôt dans les terres. Il était utilisé en Bretagne dès le Moyen-Age pour aider à résorber les griffures des hommes travaillant dans les tourbières des Monts d'Arrée. Les travailleurs mâchouillaient les tiges et feuilles d'oignons pendant leur période de travail. La plante a alors été surnommé oignon aiguille. D'abord parce qu'elle aidait à soigner les piqures des "aiguilles" (ronces, ajoncs,...). Mais aussi parce que dans cette région, la libellule est surnommée "Nadoz-aer", c'est à dire "l'aiguille des airs". Ce nom était donné à l'animal afin d'effrayer les enfants et de les écarter des cours d'eau. Hors cet animal était toujours autour des fleurs d'oignons.

Effets magiques :

Les tiges : L'intérieur des tiges creuses contient une molécule particulière qui permet à la plante de reconstruire rapidement l'épiderme du bulbe. Cette molécule sert pour la préparation d'onguents destinés à soigner les plaies liées au désartibulations lors des transplanages ratés. Etalé sur les plaies, en couches régulières, la peau des blessés se régénère très rapidement.

Les graines : Les petites graines noires ont, quand elle (tout comme l'épiderme du bulbe), la capacité à favoriser l'écoulement des larmes. Elles sont utilisées comme ingrédient dans les croquettes miam-miam pour phénix. Grâce à une consommation régulière, les larmes des oiseaux se mettent à couler de façon systématique dans l'heure qui suit l'absorption des biscuits. Ces larmes, bien connu pour leurs propriétés magiques puissantes en cas de blessures graves, peuvent ainsi être récolter et stocker pour une utilisation future.

Entretien :
Cette plante est relativement complexe à cultiver. En effet, il faut reconstituer à la perfection son milieu naturelle : un minimum de courant dans l'eau pour que l'oignon développe sa capacité de régénération très utile pour les soins magiques et la présence de libellules car les graines ne peuvent être obtenues sans la fécondation des fleurs par ces insectes. Il faut donc créer un bassin avec un courant continue de force suffisante pour déstabiliser la plante sans l'arracher et développer en parallèle un élevage de libellules. Une fois ces deux critères réunis, la récolte est assez simple et l'entretien quasiment nul puisque la plante trouve ce dont elle a besoin dans le sol et l'eau qui l'entoure.
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Médaille en chocolat : Emy Rald et Chems Daley


Leurs productions respectives :
Reducio
Nom:


Flosanae.


Famille:


Orchidaceae.


Localisation :


Pourtour méditerranéen.


Description:


D'une hauteur pouvant varier de quarante à cinquante centimètres, et d'un diamètre de vingt centimètres pétales compris, la flosanae, du latin flos (fleur) et sanae (lié à la santé), est une forme rare d'orchidée à deux rangées de cinq pétales possédant une profonde couleur bleu roy, et est avant tout reconnaissable aux petites tâches d'or qui recouvrent ses pétales et sa tige.
La tige de la flosanae est plus longue que celle des orchidées ordinaires d'en moyenne vingt centimètres, et a la particularité de pousser en spirale, s'enroulant souvent autour d'autres plantes mal en point, afin de leur faire profiter des vitamines qui en émanent. Cette tige, à son extrémité la plus haute, est recouverte d'une couronne de feuilles dentelées qui, par l'aspect, rappellent les feuilles de menthe.
La flosanae possède en permanence un aspect suintant, de par la précieuse essence qu'elle produit et sécrète.

Histoire:


En 1890, le grand herbologiste français Robert De Lahaie menait depuis cinq années déjà, au coeur même de son laboratoire de la côte bleue, des expériences magiques sur différentes espèces d'orchidées. S'agissant d'une famille de fleurs résistant à tous les climats sauf les plus extrêmes, il essayait en vain, par hybridation, de créer une nouvelle espèce d'orchidée aux propriétés magiques extraordinaires qu'il pourrait ainsi exporter dans presque toutes les régions du monde afin qu'elle y soit cultivée.
Travaillant en lien avec le domaine de la médecine magique, il avait à cœur de créer une plante capable de guérir les blessures magiques causées par un sortilège, ayant la propriété de ne pas se refermer et d'entraîner de graves infections.
C'est donc durant l'été 1890 que le professeur De Lahaie, après cinq années d'expériences infructueuses, perdit l'esprit au bout d'une énième tentative se soldant par un échec. Furieux contre lui-même et le destin qui n'avait de répit de se liguer contre lui, il détruisit tout le travail qu'il avait effectué jusqu'alors, et réunit tous les résidus dans une grande marmite, avant de se rendre au bord de la falaise, et de jeter le tout à l'eau.

Quelques jours après que son apprenti, qui, terrifié, avait réussi à échapper à la folie destructrice de son maître, ait contacté les autorités compétentes pour faire interner le professeur à Ste Mangouste, où il passa le restant de ses jours, une nouvelle espèce d'orchidée commença à pousser au pied même de la falaise dans laquelle avaient fini tous les résultats des travaux du professeur De Lahaie, au bord d'une petite langue de sable.
L'apprenti de ce dernier, qui s'occupait de vider le reste du laboratoire (de manière plus responsable que son maître) en vue de regagner l'angleterre, son pays natal, et de trouver un autre emploi, la découvrit par hasard lors de l'une de ses habituelles randonnées matinales.

Il investit finalement le laboratoire de son ancien maître, et, en la mémoire de son génie passé, poursuivit ses recherches en se servant de ce que le professeur De Lahaie lui avait enseigné.

Des années plus tard, le corps médical tenterait par tous les moyens de lui attribuer la découverte de la Flosanae, qui était cette étrange orchidée née des méandres des travaux du professeur, mais le jeune apprenti, un homme honnête, insista pour que la création et la découverte de cette plante revienne exclusivement à son ancien maître, malgré la réputation qu'il s'était faite à la suite de son coup d'éclat.

Il s'avéra assez rapidement que, contrairement aux attentes du professeur De Lahaie, la Flosanae avait besoin pour proliférer d'un sel marin provenant exclusivement de la mer méditerranée, aussi cette fleur ne peut-elle être trouvée que sur le pourtour méditerranéen.

Entretien:


La flosanae est une plante très délicate d'entretien, étant donné qu'elle a besoin, pour prospérer, d'un sel marin se trouvatn exclusivement dans la mer méditerranée. Elle est donc très difficile d'exportation, et est par conséquent très rare à la vente à son état pur, et très onéreuse.

Des cultures de flosanae ont éclos sur tout le pourtour méditerranéen. Il s'agit d'une orchidée qui a besoin de beaucoup d'eau et de lumière, et qui résiste fort bien aux vents les plus violents.

Il convient, pour les particuliers qui en possèderaient une chez eux, de se procurer un terreau spécial à base de sable méditerranéen, et de la laisser à l'air libre afin qu'elle puisse extraire des bienfaits des éléments qui l'entourent. Cette plante ne convient qu'aux régions extrêmement peu polluées, et peut éventuellement prospérer dans un milieu montagnard, ayant développé une résistance au froid qui ne passera cependant pas l'hiver.
La flosanae doit être arrosée quatre fois par jour, et protégée de la pluie, qui a de forts risques de l'abîmer.

Effets magiques:


La flosanae sécrète un élixir qui, une fois distillé, est très efficace comme lotion à appliquer sur les blessures magiques causées par un sortilège qui les empêchent de se refermer naturellement.
Ses pétales, une fois broyés et mélangés à de la poudre d'os de serpent, peuvent servir de masque cosmétique contre l'acnée (à ce jour le plus efficace jamais créé pharmaceutiquement).
Quant aux feuilles couronnant sa tige, une fois dissoutes, elles forment un remède très efficace contre l'angine, bien qu'extrêmement amer et désagréable en goût. Ce remède ayant pour effet secondaire de provoquer nausées et vomissements pendant un à deux jours, il est uniquement prescrit sous ordonnance médicale, pour les cas d'angine les plus graves et préoccupants.

Reducio
Nom : Sver qutun
Famille : Malvaceae

Description :  La Sver qutun (de l’indo-européen Sver pour “résonner, siffler” & de l’arabe Qutun pour "coton") est une plante de la même famille que le chocolat, dont la fleur à la qualité du coton. Sa corolle est bacciforme mais creuse, renfermant une carpelle vert céladon contenant le matériel génétique de la fleur. La qutun se différencie du coton de part sa transparence et sa couleur légèrement orangé. La fleur ressemble ainsi à une bulle de savon une fois détaché de sa tige. Celle dernière comporte strictement deux feuilles palmatiséqué au pétiole étrangement enflé de part la circulation d’eau quasi constante dans la plante afin de répondre à ses effets. Elle est également tomenteuse ce qui fait de la Sver qutun une fleur extrêmement douce au touché. La fleur peut faire entre 3 et 7 cm de diamètre dépendant de l’activation des effets de la plante et sa tige 15 cm.

Histoire : La plante a été aperçu pour la première fois dans la tourbière de Altwarmbüchener Moor en Allemagne. En 2034, du fait du drainage des sols, la minéralisation de cette tourbière a entraîné la disparition de près de 34 000 espèces végétales.

La Sver qutun faisait parti de ces espèces et fut importé à Lokolama, en  république du Congo, avant l’assèchement complet d’Altwarmbüchener Moor. Les capacités magique de la qutun furent ainsi découvertes en Afrique, lorsqu’elle rejoint une espèce animale relativement dangereuse : le Focifère.
On le sait aujourd’hui, l’homme peut très mal, voir pas du tout, supporté les ondes produites par le Focifère, au point d’induire chez certains cas, une démence suite à une écoute prolongé du chant de cet oiseau haut en couleur. Les autres effets du chant du vocifère incluent notamment la crevaison du tympan engendrant la déstabilisation de l’oreille interne (et donc de l’ouïe et de l’équilibre) ainsi que, dans les cas les plus grave, une infection. Le niveau de dangerosité de cet animal n’est pas élevé puisqu’il est facilement maîtrisable pour un sorcier. En revanche, cet oiseau n’est malheureusement pas tenu au secret magique et on note aujourd’hui que la plus grande majorité des victimes sont moldus, ces derniers n'étant pas sensibilisé et plus facilement appâté par la beauté du chant, ils finissent également par subir les effets, cela couplé au fait que la population du focifère est en constante croissance en Afrique.

Les bienfaits de la qutun furent observés par un sorcier congolais dans l’incapacité de performer un sortilège de mutisme après avoir engagé une discussion avec un moldu alors qu’un groupe de focifère commençaient à chanter. Le sorcier congolais dira avoir tenté d’éloigner les personnes présente sur les lieux mais : « Même en courant, on n’aurait pas traversé la moitié de la tourbière, dit-il, on aurait tous sombré dans la folie normalement ». Et demander à un groupe de moldu de courir sans raison apparente n’était pas une mince affaire non plus. Heureusement, les personnes présentes ressortent indemne mais, dans l’incompréhension, le sorcier fait en sorte de reporter son étrange aventure. 

On pense d’abord que la réaction anormale vient de l’animal, et suite à cette hypothèse, plusieurs oiseaux sont transférés dans un centre spécialisé en réponse à l'alerte du sorcier congolais afin de comprendre les raisons de l’absence d’effet négatif sur un si grand groupe. Mais s’enchaîne les tests et aucune explication tangible n’explique ce qui a miraculeusement sauvé les personnes présentes dans la tourbière le jour du chant. Il faudra la perte de raison d’un des vétérinaires en charge des observations pour comprendre que ces raisons ne se cachaient, non pas chez les focifères de Lokolama, mais dans la tourbière.

De grandes mesures ont été déployés afin que les tests puissent être effectué sans mettre à mal le secret magique jusqu’à ce que les scientifiques parviennent à remonter jusqu’à la qutun.  

Effets magiques : La qutun va libérer sa matière cotonneuse par une réverbération sonore. La fibre se décroche de sa base dès que l’onde touche la plante. De manière plus visuel, on pourrait comparer ce dispositif à celui d’un aibarg moldu se déployant suite à un brusque choc. Le coton de la plante se gonfle d’eau via sa tige relié au sol  humide de la tourbière, en même temps que sa feuille se charge de l’onde sonore puisque la texture cotonneuse est perméable au son. Ainsi, si la plante est confronté à la puissance d’une voix soprano ou n'importe qu'elle autre son de cette hauteur, on observera pareillement un détachement de la partie cotonneuse de la plante.  La partie de la qutun qui se détache reste en suspension dans les airs, devenant de plus en plus sensible plus elle reste éloigné de sa tige, gagnant en taille à mesure qu’elle se gorge des sons environnants (sans excéder un diamètre maximum de 7 cm) ce qui empêche les ondes sonores comme celles du focifère de s'étendre. C'est en faite, familièrement, une éponge à onde. 

Lorsque la plante ne détecte plus aucun son, elle s’échoue au sol et alimente son sol afin de produire une nouvelle fleur via sa tige toujours debout, grâce à son carpelle toujours présent dans la fleur une fois celle-ci décroché de sa tige, ainsi va le cycle de reproduction de cette fleur.

Entretien : La plante ne se développe que sur un sol contenant de la tourbe, soit une matière organique fossile recueillit sur plusieurs milliers d’années.

Merci aux autres participants : Alyona Farrrow, Geneva King, Noah Jonhson, Octavia Still, Anna Bronw, Rose Willis,Anna Peuplier

"Noël célèbre la naissance de Jésus Christ, fils de Dieu, venu sur terre pour effacer les péchés du monde, mais il avait oublié sa gomme." Desproges

14 mars 2020, 17:28
 Jeu  Plantoir et Greffoir
Neuvième Session


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Nom : Arbre de vie
Famille :

Description :

Histoire :

Effets magiques :

Entretien :

Comme vous le voyez, il vous suffit d'imaginer tout d'une plante à partir de son nom. Vos participations sont à m'envoyer avant le 21 Mars 16h par hibou. .

"Noël célèbre la naissance de Jésus Christ, fils de Dieu, venu sur terre pour effacer les péchés du monde, mais il avait oublié sa gomme." Desproges

21 mars 2020, 19:04
 Jeu  Plantoir et Greffoir
Neuvième session - Résultats


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Premier -Xénos Sperande - 6 points


Reducio
Nom : Arbre de vie
Famille : Bombacaceae

Description : L’Arbre de vie est le plus grand arbre vivant sur terre, il fait 99 mètres de haut et son tronc a une circonférence de 53 mètre, c’est aussi sans doute le plus vieil arbre vivant, bien qu’aucun botaniste n’ait réussi à évaluer l’âge réel de ce spécimen on estime qu’il aurait près de 8000 ans. L’Arbre de vie se trouve en Afrique et appartient a la même famille que les Baobabs bien que ses propriétés magiques lui confèrent certaines caractéristiques botanique spéciales, sa démesure notamment serait du à la puissance magique qui circule dans sa sève. Il possède des feuilles digitées et ses branches noueuses sont aussi épaisse que le tronc de certains arbres adultes. Le tronc de l’Arbre de vie est très larges car comme les baobabs moldus, il est creux. L’arbre emplie cette réserve d’eau durant la saison des pluies pour pouvoir endurer les arides sécheresses de l’été Africain. Le bois des baobabs est assez poreux et fragile normalement certains animaux sont même capable d’y faire des trous pour puiser directement dans les réserves de l’arbre, ce n’est pas le cas de l’Arbre de vie. Son tronc est plus solide que celui de ses cousins moldus et l’Arbre se défend en détournant l’attention de ses agresseurs si on l’attaque, il sécréte avec ses feuilles une poudre extrêmement volatile et psychotrope qui amoindrie la volonté de la victime et lui fait oublier ses intentions agressives. L’arbre de vie n’utilise cette arme que pour se défendre et est plutôt pacifiste et bienveillant en temps normal.

L’Arbre de vie fleuri en Juin, après que la saison des pluies ait rempli ses réserves d’eau. Il produit alors de sublimes fleurs blanches pendantes dont les minuscules sépales forment uns sorte de pompon soyeux, le pistil de la fleur est assez imposant et large, à l’instar du tronc de l’Arbre de vie pour pouvoir stocker, non pas des réserves d’eau ici mais du nectar. Les fruits résultant de la pollinisation sont des cabosses assez semblables à celles des cacaotiers, elles renferment une chair très nourricière et sucrée dont le parfum est indescriptiblement délicieux.

Histoire : Merlin laissa son esprit s'accrocher à la rune de localisation qu'il avait gravé sur le livre de nécromancie rudimentaire que cette maudite Morgane avait volé, puis il transplana. Heureusement qu'elle était prévisible il avait pu anticiper au moins... Le tourbillon de couleurs et le silence épais du transplannage se dissipèrent dans un craquement sonore et Merlin apparu dans une immense prairie d'herbe jaune poussiéreuse.

Il balaya le paysage des yeux et grimaça, il avait lu beaucoup de livres, ça devait être l’Égypte dont parlé certains vieux grimoires que... Le vieux sorcier interrompit sa réflexion quand ses yeux accrochèrent un arbre majestueux orné de grosses fleurs blanches. Il avança vers l'Arbre avec un émerveillement puéril et l'examina sous toutes les coutures... Il avait quelques notions de botaniques depuis le temps... Il fallait bien avec le nombre d'empoisonneurs qui tournaient autours d'Arthur ! Bon d'accord... Il avait un peu débordé lors de ses recherches comme à son habitude et il avait maintenant des connaissances assez globales sur la botanique, il savait reconnaître de nombreux spécimens végétaux... Celui là ressemblait à ses arbres "bouteilles" dont parlaient certains récits romains. Mais... Il agita sa baguette en essayant d'apercevoir le sommet de l'arbre, aussitôt des chiffre brumeux apparurent devant lui et il écarquilla les yeux. Cet arbre était gigantesque. Il fit le tour de l'arbre avec concentration en faisant des grands pas qu'il comptait à voix haute, quand il revint à son point d'origine il mit les poings sur les hanches. Non de non ! Cet arbre était gigantesque. Son visage se figea et il regarda nerveusement autours de lui, zut il en avait oublié Morgane et le livre de nécromancie qu'elle avait volé !
Merlin s'approcha du tronc à pas vif, il fallait qu'il puisse retrouver l'Arbre pour y ramener un ami botaniste, il était sûr que cet arbre était particulier... Il se racla la gorge et grava une rune de localisation sur le tronc en utilisant flambios. Aussitôt que sa rune fût gravé une pluie poussiéreuse lui tomba dessus, Merlin leva les yeux et aperçu la poudre émaner des feuilles vertes de l'arbre, il eut à peine le temps de s'interroger qu'un profond sentiment de paix l'envahissait... Et lui faisait oublier Morgane et son livre de nécromancie.

Grâce à la rune il parvint tout de même à retrouver l'arbre. Son collègue botaniste l'appela Arbre de vie pour souligner la singularité et la puissance de l'arbre. Il y eut quelques problèmes inattendu d'inferi en Grande-Bretagne l'année suivante...

Effets magiques : En cas d'attaque les feuilles de l'arbre de vie produisent une substance magique qui anihile la volonté de l'attaquant, la poudre produit aussi un profond état de relaxation et de paix qui permet à l'Arbre de détourner l'attaquant de ses projets agressifs. Cette poudre est très recherché car ses propriétés sont beaucoup plus puissantes qu'une potion de paix et qu'elle ne produit aucun effet secondaire, elle provoque même chez certains individus des révélations qui changent leur vie. Cette poudre est difficile à obtenir car l'Arbre est capable de différencier un réel attaquant d'un sorcier avide venu l'embêter pour récupérer sa poudre défensive, et il refuse de s'en servir face à ce genre de personne. Le nectar que contient la fleur entre dans la composition d'une potion de régénérescence qui permet de recouvrir sa vitalité et son énergie, elle est parfois utilisé sur des victimes de maléfices de magie noire avec succès. Le fruit de l'Arbre de vie est délicieux et nourricier, il est souvent utilisé par les magicozoologistes pour nourrir des animaux de grandes tailles en captivité car il est très nourricier et riches en vitamines. Il est aussi très utilisé pour la domestication des Demi-guises qui sont extrêmement friand de ce fruit.

Entretien : L’Arbre de vie n’a pas besoin d’entretien et malgré les nombreuses tentatives effectuées pour le répliquer par semis ou par bouture, aucun botaniste sorcier ou moldu n’est parvenu à ce jour à faire pousser un deuxième spécimen. Certains sorciers-chercheur ont émis l’hypothèse que cet arbre était la source et le gardien de la vie sur terre et qu’il était bien plus un être magique qu’un arbre. Certaines légendes prête d’ailleurs à l’arbre de vie la capacité d’être immortel et attestent que sa mort serait la fin de la vie elle-même.



Deuxième : Bad Eaven- 4 points


Reducio
Nom : Agennmathô, l'Arbre de vie (unique, disparu)
Famille : Rosacées
Localisation : Angola (Afrique australe)

Description : 
L'Arbre de vie, appelé aussi Agennmathô, est un arbre unique situé dans une région désertique à l'Ouest de l'Angola. C'est le seul arbre présent sur une zone de 3 km2.
Il mesure 12,3 m de haut (hors tronc) pour une largeur égale exactement au double soit 24,6 m. Les scientifiques estiment la naissance de l'Arbre de vie aux alentours de 8 500 av. J-C.
Ce qui en a fait sa renommée, c'est sa symétrie parfaite lorsqu'on le regarde dans un axe Nord-Sud avec le Nord de dos.
L'Arbre de vie est un arbre fruitier dont les fruits ressemblent à des pommes (d'où leurs noms de Pomme de Vie) et sont d'un blanc pur et légèrement translucide. Elles contiennent un liquide argenté légèrement plus clair que du sang de licorne ainsi que des pépins ressemblant à des cœurs. Ces fruits naissent, mûrissent et meurent en une seule journée et cela une fois tous les 3413 jours (environ 9 ans et 126 jours).
Ses feuilles sont simples, entières et la base du limbe est obtuse. L'apex de la feuille est quant à lui aigu. La nervation des feuilles est pennée opposée et celles-ci sont placées de manières opposées sur la tige.

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Histoire :
Les premières références à Agennmathô, l'Arbre de vie se trouvent non pas dans les livres mais dans la culture orale angolaise. On y racontait que sa symétrie parfaite symbolisait l'égalité entre les hommes et les femmes, miroirs l'un de l'autre.
D'après d'autres sources plus tardives, Dieu aurait partagé la Terre en deux parties identiques et aurait placé Agennmathô en son centre d'où sa symétrie parfaite. Pour certains historiens théologistes, ses pommes seraient fortement liées au récit de la Pomme d'Adam et Ève.
Malheureusement, en 1974, le pays est en pleine guerilla contre l'empire colonial portuguais d'António de Oliveira Salazar. Ce dernier ordonne à ces hommes d'abattre l'Arbre de vie et de détruire tous les villages alentours.
La photo ci-dessous, prises en 1971 et représentant Agennmathô, à longtemps fait débat. En effet, on observe en son centre (entouré en rouge), une forme faisant penser à un démon. Aujourd'hui encore, personne n'arrive à l'expliquer.

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Effets magiques :
Les feuilles de l'Arbre de vie n'ont aucune vertu magique particulière mais ses fruits renferment deux ingrédients très utilisé dans la concoction de potion : son jus et ses pépins.
Le jus, mélangé tant-pour-tant avec du sang de Boutefeu chinois, permet de créer l'onguent Vive-Peau. En appliquant ce dernier sur une partie de la peau, elle devient écailleuse et ignifuge telle celle d'un dragon. Elle était souvent utilisée par les sorciers en charge d'éteindre les incendies afin de se protéger des flammes.
Les pépins, broyés à l'aide d'un mortier et pilon, est un mets très réputé utilisé comme épice dans divers recettes. Elle a des vertus dans la prévention des maladies du cœur.
Avec la disparition d'Agennmathô, les réserves de jus et pépins sont presque épuisées mais certains sorciers travaillent actuellement sur des méthodes prometteuses de synthétisation.

Entretien :
De part son unicité et son auto-suffisance, Agennmathô ne nécessitait aucun entretien particulier.

Troisième -Alyona Farrow - 2 points


Reducio
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Merci aux autres participants : Deryn O'Connors, Emy Rald, Rose Evans, Hannah Hardhoke et Hans Aston.

"Noël célèbre la naissance de Jésus Christ, fils de Dieu, venu sur terre pour effacer les péchés du monde, mais il avait oublié sa gomme." Desproges