Écoute, non m'offrir les fleurs de mon jardin n'est pas romantique, sais-tu combien de temps j'y ai passé. Non m'imposer tes programmes à la télévision ne me séduit pas.... bref de toute façon, tu n'es pas à la hauteur de mon chat.... Adieu !

C'est bien beau, que tu te plaignes de la mort de ton amante, mais je devrais aussi me plaindre, pour avoir tenu la chandelle tout ce temps. Je suis désolée, voire pas, je préfère rester avec un hypogriffe qu'avec toi.

Je n'en peux plus de tes fautes de goût vestimentaire, je sais que chacun à son style mais arriver en tong à Noël alors que ma robe m'a coûté plus de 200 balles c'est abusé ! Je ne supporte plus cette honte, les gens vont croire que je manque de blé. Je veux pas passer pour une pauvre. Adieu.

Mon aimé, le dernier pétale de la rose qu'était notre relation vient de tomber. Il s'arracha le jour où ta gourmandise créative, me confronta à l'affreux, le terrible chausson à la raclette...

J'en ai pour 6 mois à perdre les calories que tu m'as fait gagner... Je te hais...

Tu as toujours été un garnement, mais la malice de tes débuts est devenue une cruauté odieuse. Je dois fuir. Si je reste, je sens que notre histoire se finira dans le sang, et j'ai bien trop peur que mes derniers mots soient un gargouillis inintelligible de regret, ou pire, d'amour. Car je refuse de t'aimer encore, que Merlin m'en garde.

C'est l'hiver dernier, dans la neige que j'ai commis une énorme erreur, sortir avec toi ! Je ne sais pas comment t'expliquer ce qui s'est passé... C'est comme si notre amour était euh... De l'eau dans une passoire. Au début il y a de l'eau, à la fin il n'y en a plus. Eh bien là c'est pareil, au début il y avait de l'amour, maintenant il n'y en a plus. En plus, tu as vidé ma cagnotte et ça je ne te le pardonnerai pas, jamais !

Et c'est moi la peau de vache ?  C'est bien toi que j'ai surpris  à jouer à saute mouton avec Mike Table ! 
Tu sais quoi ? Vous pouvez bien aller vous faire une soupe d’esques tous les deux ! Je te quitte !

Tu t'es toujours cru aussi rusé qu'un renard, mais quand j'ai découvert que tu avais envoyé un emoji abricot à ma propre sœur, ça a été la goutte d'eau... Je prends mon chapeau et je me casse !

Parfois je regarde par la fenêtre et j’imagine ma vie sans toi... Je crois qu’il est temps de sauter le pas ! Je croyais t’aimer, tu pensais que ton épargne suffirait à me faire rester... On s’est tous les deux trompés. Si la vie est une boîte de chocolat, tu es celui avec la liqueur dedans, tu n’es pas à mon goût. Au revoir.

Toutes les nuits, des insomnies me rendent visite dans mon lit.
Je pense à toi chaque fois que je te vois.
Mais quoi qu'en dise Shakespeare et la littérature, je vais devoir envisager la rupture.
Je sais que tu n'es pas radine, mais il fallait que je te le dise, je déteste ta cuisine.
Adieu.