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28 avr. 2020, 16:28
Partis  libre 
Février 2045
Samedi aux alentour de 7h-7h30 du matin au lever du soleil
Tour d'astronomie


Seule. Encore seule. Elle observait l’horizon en se concentrant sur sa respiration. Pourquoi le monde s’acharnait à faire disparaitre les êtres auxquels la fillette tenait ? A peine elle retrouvait ses parents qu’elle devait partir et en revenant au château, elle se sentait plus seule que jamais. Ce sentiment ne passait pas. Désespérément elle avait cherché sa cousine dans le château, en vain. La liste des gens que la fillette appréciait dans ce château diminuait à vue d’œil, comme si elle les repoussait, qu’elle les faisait disparaitre. Elle se disait que le prochain serait certainement Kévin. Il était étrange-ment encore là, c’était bien le seul. Peut-être qu’elle n’était juste pas faite pour ça, qu’elle ne savait pas garder les gens près d’elle, que c’était impossible, que tous n’étaient qu’éphémères.

Les doigts de la petite Delphillia se crispèrent sur ses genoux alors qu’elle essayait de garder le contrôle de sa respiration. Pourtant toutes les conditions pour se relaxer étaient là, un lever de soleil en haut de la tour d’astronomie. Il faisait froid certes, mais les couleurs de l’aurore réchauffaient doucement l’atmosphère alors qu’elles arrivaient peu à peu sur le visage d’Aliénor. Assise en tailleur en plein milieu, les yeux observant le spectacle se fermant alors que les premiers rayons de soleil l’éblouirent. Elle prit une grande inspiration alors que le visage inquiet de sa cousine lui apparaissait. Elle aurait dû voir les signes. Elle avait arrêté le Quidditch sans raison, elle ne parlait presque plus à Aliénor, Lili était devenue l’ombre d’elle-même, comme Claire. Aliénor aurait dû aller vers elle ! La troisième année serra les dents alors que les larmes lui montaient.

Elle savait qu’elle n’était pas la plus forte, elle ne pourrait pas supporter longtemps de perdre tous ceux qui avaient un peu d’importance pour elle. Lili n’était pas revenue à Poudlard et elle n’avait aucune nouvelle d’elle. Elle lui écrirait bien un hibou, mais avec tout ce qu’il se passait, il valait mieux éviter. Une nouvelle inspiration qui fit se redresser Aliénor avant de recracher tout l’air qui avait pénétré dans ses poumons.

Finalement elle devrait peut-être arrêter. Arrêter de s’attacher à certaines personnes, après tout si elles étaient toutes destinées à s’éloigner… Aliénor soupira et ouvrit les yeux. Être seul, ce n’était pas si mal, et puis elle avait le dessin et son balai. Ça devait être suffisant. Mais malheureusement au fond d’elle, elle savait que c’était loin d’être suffisant. Elle avait besoin des autres comme n’importe qui et malheureusement avec le temps, elle devenait proche de certaines personnes, elle avait envie de les voir, de leur parler, juste passer de temps avec eux.

Pourquoi la vie devait être si compliquée ? Aliénor soupira de plus belle et se leva. Ça ne servait à rien, elle était nulle en méditation, elle n’y arriverait pas aujourd’hui. Elle s’approcha du rebord observant le soleil filtrer au travers du grand arbre elle aurait quelque chose dans la main elle l’aurait jeté par-dessus-bord pour calmer sa frustration. Mais elle n’avait rien. Alors elle laissa ses larmes couler le long de ses joues ex-primant pour la première fois depuis qu’elle était rentrée la tristesse de la perte de Lili et de ceux à qui elle tenait. Ses doigts serraient la rambarde comme si elle était la seule à la retenir en vie. Mais jamais Aliénor ne penserait à un tel acte, elle n’en était pas capable. Elle pleurait juste, le regard perdu sur l’horizon et son cœur une nouvelle fois meurtri.

Perséphone: Batteuse des Hel's, reine des Rumeurs
J'ai plus de virilité dans mon petit doigt que toi dans tout ton corps.
Aliénor Delphillia 7ème année RP, Poufsouffle

02 mai 2020, 18:56
Partis  libre 
Fatiguée. Pourquoi tu réveilles tu aussi tôt ? Tu leva ta tête de ton oreiller entendant cette berceuse, les souffles réguliers de tes camarades de chambres. Pourquoi tu n’es pas resté comme celles ci ? A dormir continuant ton rêve jusqu’au grand soleil ? Tu avais plus envie de dormir, chaque fermement d’œil te faisais mal à la tête, comme ci tu ne pouvais plus dormir.. Tu décocha alors de t’asseoir en tailleur de ton lit et d’ouvrir le rideau rouge de ton lit à baldaquin. Tu avais mal à la tête et des courbatures, pourtant rien de logique pouvait expliquer ça. Alors tu te lèves, les cheveux en broussaille, les yeux plissés et à moitié endormis. Tu étais en pyjama, enfin, seulement un t-shirt blanc et un jogging. Tu attrapes machinalement ton pull vert foncé qui était posé à côté de ton oreiller. Tes mains se fermèrent dessus et tu l’enfila. Tu mis aussi un autre jogging pour sortir.

Tu sors de ton dortoir. Le calme absolu. Rien. Seulement la respiration des dizaines et des dizaines de filles qui dormaient calmement, pendant que tu déambulait dans le couloir des dortoirs. Tes doigt se referment sur la poignée de la porte qui mène jusqu’à ta salle commune, aka la pièce qui sert de sortie. Tu n’y restais jamais longtemps, seulement pour tes devoirs, et encore ! La salle commune était déserte, mais tu ne savais quelle heure il était, ne savant pas si il est trois heure ou sept heure. Mais en sortant de ta salle commune en silence, tu vis quelques petits rayons de soleil, alors tu décides de continuer ton chemin, ne savant pas où aller, mais fuyant ta salle commune comme la peste, cet endroit d’horreur. Peut être la tour d’astronomie serait un bon endroit pour le levé de soleil. Alors tu décides d’y aller, ne savant pas si tu pouvais ou non, tu voulais seulement voir un levé de soleil que tu regardais avec ton frère le matin... avant qu’il ne se passe ce qu’il se passe. Ton moral était bas en plus de ton mal de crâne. Tu montes les marches de la Tour, mais tu n’es pas seule, un autre avait décidé d’être aussi ici, pour voir le soleil j’imagine.. Tu vois une fille, elle parait grande. Mais on dirait qu’elle pleure.. Pourquoi ? A t’elle besoin d’aide ? Qui aurait besoin de ton aide.. Mais dans le doute, tu t’approches d’elle.

Tu.. Tu vas bien ? Je peux partir si.. tu.. tu veux.

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03 mai 2020, 07:51
Partis  libre 
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Février 2045, samedi aux alentour de 7h-7h30 du matin au lever du soleil
Poudlard
Tour d'astronomie


Il était tôt ce matin-là, l’astre solaire étendait son manteau de lumière timidement, sachant les ténèbres de la nuit. Pour qu’un nouveau jour commence. Il était tôt ce matin-là, un matin de février comme beaucoup d’autre froid. Mais beau. Le matin avec le soleil qui se couche était surement la période de la journée qu’Henry préférait. Tout était calme, on entendait depuis sa chambre le gazouillis lointain et matinal des oiseaux. Il n’avait que très peu dormi, pour une raison qu’il ignorait. Mais ses traits étaient tirés, épuisés. À quoi bon rester allonger, il se changea prestement enfilant son uniforme, il devait être quelque chose comme six heures, peut être sept heures du matin. À quoi bon se recoucher, il ne dormirait probablement plus ? Sa nuit avait été agitée. Il avait fait un cauchemar. Le sujet de son trouble nocturne s’était évaporé, mais la sensation oppressante, étouffant quand elle demeurait belle et bien présente.

Une fois correctement toilette, Henry sortie de sa salle commune, seuls quelques élèves s'y trouvaient. Ils étaient endormis sur leurs livres provoquant des petits ronflements qu’Henry aurait surement trouvé amusants si aujourd’hui n’auraient pas été aujourd’hui, mais en ce jour il les trouvait particulièrement dérangeants. Il fit en sorte de sortir, le plus silencieusement possible, essayant de ne pas réveiller ses congénères. Il n’avait pas envie de se prendre un soufflé dans les bronches. Tout le monde n’était pas aussi matinal que lui. Son hypothèse fut confirmée, il n’était que 6 h 45. Il sortit alors de la salle commune, toisant l’aigle de la porte d’un regard mauvais. Il l’avait fait poireauté une heure durant devant la porte, ne comprenant pas l’énigme. C’était usant à la longue de devoir toujours répondre à une énigme. Un de ses camarades cependant avait trouvé la réponse avant lui, et Henry en avait profité pour s’engouffrer dans la chaleur bienveillante de cette dernière, le feu de cheminée lui permettant de se réchauffer.

Que pouvait-il faire ? La grande salle n’était probablement pas ouverte et il lui restait environ 1 h 30 deux heures avant de descendre. Il se décida à vouloir observer le lever de soleil depuis un point en hauteur. La tour d’astronomie ? Ça pourrait être sympa ? Il ne savait pas s’il avait le droit de s’y rendre en dehors des cours. Qui ne tente rien n’a rien. Alors ses pas le guidèrent vers l’escalier et il commença à le gravir. Son ascension fut épuisante, les escaliers qui tournent lui donnaient le tournis. Une fois arrivé en haut, il prit le temps de reprendre sa respiration. Grimpez ses marches en colimaçon l’ayant particulièrement épuisé. Le soleil pointait timidement le bout de son nez à l’horizon, il devait être aux alentours de sept heures, sept heures et demie tout au plus.

Il pouvait admirer l’astre stellaire pointez le bout de son museau au niveau de l’horizon lointain, par-delà les cimes des arbres de la forêt interdite. Le lever de soleil était magnifique et Henry se plaisait à l’observer. C’était quelque chose d’unique, la fin d’un cycle et le début d’un nouveau. Pour beaucoup, c’était très peu de chose. Mais pour Henry chaque événement apportait sa dose d’unicité. Alors, il se contentait d’observer ce lever de soleil, le ciel prenant une teinte orangée, comme pour saluer la naissance de l’astre stellaire. Lui qui ne vivrait que le temps d’une journée avant de s’en aller mourir à l’ouest. Et alors un autre cycle commencerait. C’était la chose qu’il trouvait fascinante avec le soleil, et les étoiles en général. C’est que peu importe ce qu’il se passait, les étoiles et l’astre solaire nous contemplaient de leur hauteur, presque indifférents aux événements qui se déroulaient ici-bas. Qu’était-ce qu’un siècle pour une étoile, quelque chose de semblable à un battement de cil pour une étoile ? C’est en ça qu’il les trouvait fascinants, remarquables. Il s’émerveillait devant le lever du soleil, si bien qu’il ne faisait pas attention à son environnement. Peut-être n’avait-il pas le droit d’être ici et alors se ferait-il chasser manu militari par un professeur ou un elfe ménager furax de le voir ici. Visiblement, il était seul, dans ses pensées, dans une discussion silencieuse, sans mots. Il parlait avec des mots invisibles, écrivait dans ses pensées avec des mots inaudibles, écoutant des bruits illisibles.

Le lever de soleil avait quelque chose de magique, vraiment, on le disait causé par des chevaux ailés tirant un char, ou toute autre légende qui aurait pu paraître loufoque ou insolite à quiconque, mais pas à Henry. Celui-ci se délectait des histoires, des légendes anciennes qui racontaient la naissance de toute chose, de chaque être. Dans son infime complexité. Il trouvait cela fascinant et se demandait souvent sur quoi reposaient ces légendes. Ils les avaient cru vrais pendant un temps, mais maintenant il savait qu’il n’en était nullement le cas, mais alors quoi. Ce n’était que des légendes, pour faire rêver les enfants, s’échapper les esprits. Et Henry était un enfant dont l’esprit voulait s’échapper.

Il se pensait seul dans la plus haute tour de Poudlard, jusqu’à ce qu’un reniflement persistant sur sa droite attire son attention. Visiblement un autre visiteur était venu admiré le soleil étendre son manteau de lumière parmi les Hommes. Ce reniflement fut suivi d’une autre voix un peu hésitante, dont il ne comprit pas bien les mots, des mots à moitié mâchouillés, comme si prononcé avec honte. Sa curiosité fut piquée au vif, et il s’arracha à sa contemplation matinale afin d’en trouver l’origine, la source, l’alpha. Il se déplaça alors quelque peu dans la tour jusqu’à tomber sur deux filles… Une qui semblait de son âge, blonde, il ne pouvait pas tellement la voir, elle était dos à lui. Quant à l’autre fille elle était plus vieille, une ou deux années de plus, accoudé à la rambarde, semblant réfléchir à un passée envolé. Visiblement, l’autre fille s’était approchée et s’occupait déjà d’elle, il hésita à franchir lui aussi le pas, mais il n’était pas assuré. Alors il laissa faire l’autre fille se contentant de regarder les deux, dissimulé dans l’Ombre pour observer.

Voilà mon modeste bourgeon, je serais ravi de composer un bouquet avec vous deux :)

2e année RP/ Code coleur : #3d85c6

03 mai 2020, 11:09
Partis  libre 
Et pourtant, les larmes qui courraient sur ses joues, le cœur frappant régulièrement en son sein, cette boule dans la gorge, tout cela ne lui importait que peu. Elle n’avait jamais été aussi calme. Tout comme le soleil qui se levait doucement, le voile de tristesse qui pesait sur son cœur se retirait avec ses larmes. Debout accrochée à la rambarde, le parc et le lac à ses pieds, rien ne pouvait l’atteindre. Elle se sentait étrangement libre enfermée dans ce château. Mais aujourd’hui, si elle sautait de la tour et qu’elle s’envolait, elle était libre, c’était exactement ce qu’elle ressentait. Et pourtant, et pourtant, sa colère était bien présente, la tristesse du départ de Lili, de sa mère comme elle la connaissait avant, même celui de Rey qui lui avait fait tant de mal, tout cela coulait en elle comme un torrent qui atteint une étendue d’eau. Il se calme brusquement. Avait-elle réussi l’exercice de Miss Field ? Elle n’en savait rien, en soi elle ressentait trop de tristesse aujourd’hui pour ce rentre compte de tout ce qu’il y avait en elle. Elle renifla de manière peu gracieuse avant que ses lèvres ne laissent échapper un mot : Lili. Celle qu’elle avait perdue, celle qu’elle c’était jurée de protéger, sa cousine qui était maintenant bien trop loin pour qu’elle puisse faire quoi que ce soit pour elle.

Mais alors qu’elle scrutait l’horizon qui se parait de milles couleurs rougeoyantes, comme un feu qui embraserait l’océan, une voix la ramena sur terre et sur sa solitude. Ils étaient partis et elle n’avait pu rien faire pour les retenir. Elle était faible et c’était parce qu’elle tenait à eux. Ses mains serrèrent un peu plus la barrière avant qu’elle ne tourne son visage, encore barré de larmes vers celui de l’inconnue qui se présentait à elle. Elle fronça les sourcils presque imperceptiblement pourquoi donc cette fille venait à elle en cette heure matinale ? Mais sa fierté repris le dessus, elle essuya ses larmes d’un revers de manche tournant de nouveau ses yeux vers le ciel et la terre qui s’étendait au loin.

-Ça va aller, comme toujours.

Le coin de ses lèvres s’étira très légèrement. Tout passait avec le temps, elle savait ce qu’elle devait faire pour grandir, gérer sa colère et ses sentiments et apprendre à ne pas trop s’attacher. Mais sans rester seule, parce qu’elle en était tout bonnement incapable. Elle la fille qui connaissait au moins la moitié du château et l’autre moitié avait entendu son nom sans la connaitre. Elle se sentait seule, qu’elle ironie.

-Et toi, Qu’est-ce que tu fais là si tôt ?

De nouveau son regard tomba sur sa camarade, l’analysant un peu plus cette fois-ci. Un pull vert ? Serpentard ? Aliénor priait pour que ce ne soit pas le cas. Sa réputation auprès de la maison verte était bien encrée. La folle qui agressait les premières années, la batteuse vengeresse, tout ce que vous voulait qui qualifie cet acte de colère envers la joueuse des Crochets. Aliénor laissa échapper un soupir avant de laisser tomber ses coudes sur la barrière, plaçant son menton au creux de sa main gauche, elle laissa ses yeux se diriger là où ils le souhaitaient sur le par cet ses environs, priant pour que cette fille ne la fatigue pas de remarques dès le petit matin.

Perséphone: Batteuse des Hel's, reine des Rumeurs
J'ai plus de virilité dans mon petit doigt que toi dans tout ton corps.
Aliénor Delphillia 7ème année RP, Poufsouffle

01 juin 2020, 16:28
Partis  libre 
Comme toujours. Toujours. Non, ça ne va pas. On ne peux se cacher derrière une fausse phrase quand nos joues ruissellent de larmes. Elle était là, agrippée à la rembarre, qui l’a séparait, elle, du monde des bons au monde des lâches. Oui, arête de t’en prendre à elle Maxine, toi tu voulais le rejoindre ce monde. Voler comme un petit oiseau, mais toi tu n’aurais pas d’aile, tu irais vers ce monde en paix, en volant dans tes esprits, flottait dans l’air purifiée par le calme qui l’ambiançait, c’était bien mieux que de voler, tu volais à ta façon.

Ta façon.


Tu parles comme ci ta façon était la bonne. Écoute ta mère petite, souviens toi, au lieu de faire de la merde comme Elle, il était tôt, le matin, a l’aube. Le ciel bleu, orné d’une petite touche de rose, d’orange. Tu aimais quitter ton lit inconfortable, pour aller rejoindre ton jardin dans ta campagne, oui mais non, comme une idiote à ta façon, tu allais courir dans la marre, réveillant cette folle, elle criait, mais c’était l’habitude du matin. Comme a-t-elle pu rester aussi calme face à toi, Maxine, une fille plus stupide que n’importe quoi. Tu osais lui répondre, tu te croyais au dessus d’elle, et là c’est pareil. Ne juge pas alors que tu es pire, Maxine.

-Tu te caches dans le mensonge, je ne suis pas méchantew

Qu’est ce que tu fais là ?


Toui ? Le calme du matin berçait ta journée, pour essayer qu’elle soit plus calme. Ne pas être violente, méchante ou hautaine. Cette ambiance te faisais réfléchir. Tu t’approches de la jeune fille devant toi, posant tes bras entrecroisés sur la rembarre. Le vent soufflait sur tes longs cheveux blonds. Ce froid était si reposant. Dommage qu’il ne dure pas. C’est aussi pour ça que tu viens, le froid. Tu aimes le froid. Le froid qui t’accompagne dans les moments tristes d’une vie d’un bon. Tu souris gentiment en regardant le Lac qui bordait cette Prison. C’était bien beau.

-Je fuis ce monde de brutes, mais sans être lâche, alors je regarde les jolis paysages et le froid me berce.

Tu marques un petit temps de pose, pour respirer doucement. Tu regardes la fille, puis tu détournes le regard, te concentrant pour savoir, qu’est ce que tu vas dire, tu ne vas rester silencieuse, encore.

-Si mon étiquette d’inconnue te dérange, je répond au nom de Max.

Attirée par une présence derrière toi, tu te retournes doucement, laissant apparaître une silhouette masculine. Tu le fixes, laissant se dessiner un sourire sur ton visage. Que fait il ici, il est là depuis combien de temps, et pourquoi ne c'est il pas manifesté avant que tu le découvre, tapit dans l’ombre. Tu gardes ta tête posée sur sa silhouette, que dire.. tu veux lui parler mais.. Pourquoi. S’il réagissait mal. Et puis tu t’en fiche. Tu veux lui parler alors tu te tournes et gomme se sourire de ta tête. Tu penches la tête sur la droite puis la remet droite, signe de stresse pour toi. Tu ne t’approches pas, restant aux côtés de la fille.

-Bonjour, tu es là depuis longtemps ?

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