Bonjour,

Je recherche quelques élèves qui pourraient m'aider à réorganiser les serres. Une bonne maîtrise des sortilèges de déménagement (sortilège de Lévitation et du Repoustout) seront d'une grand aide. Merci d'avance!

Archibald Featherstone.

/!\ Pour participer, vos fiches doivent être mises à jour pour l'année 2045-46 avant inscription, merci.

Bonjour ! J'aimerais participer si c'est possible !

Bonjour. J’aimerais participer !

Bonjour,
J'aimerais aussi participer monsieur

Bonjour ! Je souhaiterais également participer s'il vous plait !

J'accepte votre aide avec plaisir, merci
@Jacob Tramontane, @Adaline Macbeth, @Lili Cooper, @Taylor Bagholmes

Peu après son cours de botanique, le professeur Featherstone a demandé à ses élèves s'ils voulaient bien l'aider à réorganiser les serres. Lili a accepté sans aucune hésitation : elle était ici et n'avait rien d'autres à faire, autant se rendre utile, surtout qu'elle aime rendre service. Une fois que d'autres élèves se sont rapprochés du professeur de botanique pour les mêmes raisons qu'elle, celui-ci leur explique de quelle manière ils allaient procéder. La troisième année écoute attentivement pour faire les choses correctement par la suite. Une fois que le professeur les laisse s'activer, Lili ne se fait pas prier et se concentre le mieux possible pour réaliser la tâche comme demandé, armée de sa baguette. Elle espère ne pas faire de gaffes car le but n'est pas de donner plus de travail, mais bien de l'alléger.

Jacob s’était porté volontaire pour aider à réorganiser les serres. Il n’était ni le plus adroit, ni le plus astucieux mais il avait une conscience aiguë de ses limites et il ferait tout pour que sa grande motivation ne déclenche pas d’acte de maladresse de sa part. Il le voulait, de tout coeur.

Il avait décidé pour cela de procéder méthodiquement.

D’abord, se protéger lui-même en mettant son cache-oreilles autour de son cou, à portée de main pour le placer vite sur ses oreilles de sa main libre de baguette au cas où il verrait une mandragore.

S’il avait adressé un sourire aux autres élèves -à quatre, ils pourraient bien avancer, il l’espérait-, il ne leur dit rien, de peur qu’un geste ou une parole de trop n’ait un effet néfaste sur les plantes. Après s'être protégé, c'était aussi de ce qui l'entourait qu'il voulait prendre soin. Il ne projetait de dire que les incantations des sortilèges, fermement, une fois qu'il se serait bien concentré et aurait visualisé précisément.

Finalement, il tenta de ne rien toucher par mégarde avec son corps, ses vêtements ou sa baguette. Il ne voulait pas faire de mal aux plantes, plein d'empathie qu'il était naturellement ni casser par mégarde du matériel quelconque qui se serait trouvé là.

Rendre service. C'était une bonne expression. Alors même si sa première réponse lors de cette demande fut de s'exprimer avec un simple hochement de tête, elle était prête à rendre service ; cela ne la dérangeait pas, et puis cela l'empêchait de se mourir d'ennui dans le parc ; la serre était un endroit qu'elle avait toujours apprécié à sa juste valeur, il fallait dire que la dangerosité de certaine plantes la faisait se mettre dans une attitude plus vigilante et concentrée.
Cependant, son silence disparut dès lors que la tâche put être commencée. Comme elle l'eut appris jusqu'à ce jour, il fallait rester concentrée sur cinq points importants et ne pas se faire distraire par les personnes ou les objets l'entourant et lançait leurs sorts. Elle fixait chaque objet qu'elle devait déplacer et lançait d'une voix posée — et clair — les formulations nécessaires pour la tâche à effectuer.

Le cours de botanique se termine et je me glisse entre les autres élèves pour approcher du professeur : j'ai une idée derrière la tête mais j'ai surtout quelque chose à lui demander... ça me démange de le faire. Mais quelque part dans mes tripes, une boule d'anxiété. Je ne connais pas bien le nouveau professeur et c'est ce qui me stresse autant. C'est d'ailleurs pour ça que, à quelques pas du professeur, je me convaincs de faire demi-tour. Mais finalement, j'entend qu'il a besoin d'aide pour réorganiser les serres, et je fais volte-face à nouveau.

Je me suis portée volontaire avec un sourire nouveau sur le visage : mon angoisse m'abandonne parce que désormais je sais ce que je dois faire. Puisqu'il s'agit d'utiliser la magie autant que mon discernement, la teneur de l'exercice ne me paraît pas angoissante. Je sais lancer le sortilège de Lévitation et je n'ai plus qu'à me concentrer. J'aime ça, me concentrer, alors c'est sans que mon sourire ne me quitte que je brandis ma baguette pour m'exécuter. Et puis, du coin de l’œil, je peux apprendre de ce nouveau professeur (pour espérer le voir à la fin d'un autre cours).