Sophie arriva, toute joyeuse à la volière. Aujourd'hui, elle allait recevoir la lettre. C'était sa première lettre de sa famille depuis qu'elle était rentrée. C'était toujours à cette heure ci que le hibou de ses parents arrivait. Elle ne savait pas comment cela ce faisait, mais il arrivait toujours à la même heure.
Aujourd'hui, elle ne compris pas pourquoi elle ne trouva pas le hibou, qui aurai dû l'attendre pour lui délivrer sa lettre. La jeune poufsouffle décida d'attendre un peu. Elle regarda dehors. Il faisait encore nuit à cette heure, en hiver. Beaucoup trouvaient cela déprimant, Sophie, elle, adorait la nuit. Elle voyait le ciel qui commençait tout juste à pâlir. Sophie se rendit compte qu'elle ne s'était pas vraiment habillé pour la froideur de dehors. Elle n'avait mis qu'un simple manteau. Le froid mordait sa peau.
-S'il faut encore attendre longtemps, j’irai chercher un manteau avant de revenir. dit-elle tous haut.
La deuxième année vérifia rapidement, il n'y avait personne d'autre qu'elle dans la volière. Sophie se pencha de nouveau vers la fenêtre. Elle distingua au loin la silhouette d'un oiseau. "Il arrive enfin" songea t'elle. Le hibou finit par se poser sur le rebord et lui tandis la patte. Comme d'habitude, plusieurs lettres étaient jointe. Elle détacha les lettres de la serre du hibou. Elle décida de commencer par celle de ses parents, elle garderait la plus joyeuse, c'est à dire celle de sa sœur pour après. La lettre était plus épaisse et plus lourde que d'habitude. Sophie entama sa lecture. C'était l'écriture soigné de sa mère.

Coucou ma Sophie adorée,
Cette lettre risque de te faire beaucoup de peine.
Cela fait un moment que ton père et moi en discutons, et nous avons décider de vous l'annoncer, à ta sœur et toi, après la périodes des fêtes pour ne pas vous gâchez Noël. J'espère que nous avons bien fait.
Nous allons nous séparer. Avec ton père, nous passons notre temps à nous disputer, je n'arrive plus à le supporter, et lui non plus. Nous avons donc pris cette décision d'un accord commun. Nous serons ne officiellement séparé qu'en février, mais en attendant, on s'organise. On aura trouver des solutions à ton retour pour les vacances de février. Tu passera certainement une semaine chez moi, et une semaine chez ton père. On devra certainement vendre la maison à un moment, mais on fera cela en temps voulut. Ta sœur est déjà au courant, et suite à cela, elle à décider de t'écrire sa lettre. Essaye de la rassurer du mieux que tu peux, elle ne veux plus nous écouter, ni nous parler, elle passe ses journées enfermer dans sa chambre

Sophie glissa par terre, incapable de rester debout plus longtemps. Elle n'arrivait pas à finir sa lecture. Ses parents, se qui lui semblait le plus stable, allaient se séparés. Et sa sœur était toute seule, à la maison, sans personne d'autre qu'eux pour la réconforter. Elle leur en voulait tellement. Ils avaient toujours eu l'air de s'aimer pus que tout. Comment pouvaient-ils leurs faire ça ?!


@Izaline Davis dis moi si quelque chose ne te conviens pas.

En se réveillant ce matin la Lizi était impatiente d'aller à la volière. Elle attendait du courrier de sa meilleure amie, elle s'habilla chaudement car il était un peu tôt ,est dehors il devait cailler. Elle mit son bonnet est sortie de la salle commune en direction de la volière. Elle avait bien fait de se couvrir car effectivement il fesait frisquet. Pas qu'elle n'aime pas le froid mais quand y a une légère brise de vent ce n'est jamais agréable. Elle arriva au pied de la volière personne ne semblait être de sortie.


Je dois être la seule folle à être si tôt réveillée.


Elle se dépêcha de monter les escaliers ,trop impatiente d'aller prendre sa lettre. Qu'elle en loupait une marche est tomba direct sur les genoux. Elle s'assit un instant pour regarder si elle ne c'était pas fait mal ,rien à priori juste un peu de saletés soulager aussi de ne pas avoir abîmé son pantalon . Une fois remise elle se releva tant bien que mal ,mais cette fois si elle décide de montait les escaliers sans courir pour ne pas se ramasser encore une fois. Elle arriva enfin en haut de la volière elle dirigea son regard ailleurs puis la , elle aperçut qu'une jeune fille était la assise à même le sol avec le regard pensive . Elle semblait pas bien du tout,Lizi reconnut se visage elle l'avait déjà vu oui c'était une Poufsouffle tout comme elle. Elle alla immédiatement voir ce qui lui arrivait.


Est-ce que tu vas bien je peux t'aider en quoi que ce soit.


Toujours la pour venir en aide à qui que ce soit ,elle regarda la jeune Poufsouffle est attenda que celle-ci lui répond. Et ce rendit compte qu'elle ne c'était même pas présentée.


Elle finit par oublier totalement sa lettre qu'elle attendait avec impatience, mais voyant la jeune fille mal elle ne pouvait l'ignorer , surtout si elle avait un problème.

- Est-ce que tu vas bien je peux t'aider en quoi que ce soit dit une voix.
Sophie regarda dans la direction d'où provenait la voix. Une poufsouffle de deuxième année se trouvait elle aussi dans la volière. Sophie ne l'avait pas vu quand elle était entrée, elle était même sûre qu'il n'y avait personne. La jeune fille l'avait déjà vu dans la salle commune. Sophie se souvins de son nom, Izaline. La deuxième année eu un peu honte de pleurer ainsi devant une de ses camarades.
- Non ... Je ... je viens de recevoir une lettre dit Sophie d'une voix tremblante, m’expliquant que mes parents vont se séparer.
Dit comme cela, ça avait l'aire vraiment bête de pleurer, mais Sophie ressentait comme une douleur dans la poitrine. Elle ne pouvait pas croire que les personnes qui lui avaient appris ce qu'était l'amour puissent lui apprendre qu'il ne s'aimaient plus. Et si c'était de sa faute ? Si elle avait été plus présente, peut être cela ne serai jamais arrivé. Ou si elle leurs avait envoyer des hiboux plus souvent, ou si elle n'était tout simplement pas aller à poudlard. Elle l'aurai certainement regretter, mais ses parents seraient toujours ensemble.
-Tout est de ma faute dit elle.
Puis comme si ça ne suffisait pas, elle le répéta encore une fois.
-Tout est de ma faute
Sa sœur subissait déjà beaucoup de conséquence à son départ, mais celle là, c'était celle de trop. Ne réfléchissante plus vraiment, Sophie ouvrit la lettre de Camille. Tous était rédiger d'une écriture soigné. La deuxième année parcourra rapidement la lettre des yeux. De se qu'elle en compris, sa sœur aurait voulut être avec elle pour "traverser ces épreuves, ensemble". La séparation de leurs parents n'avait pas l'aire de l'étonné beaucoup. En même temps, elle devait avoir compris depuis longtemps qu'ils ne s'aimaient plus. Elle les voyaient tous le temps, elle. Ses phrases étaient bien élaboré, pour une fille de son âge. Elle avait déjà bien grandis depuis que Sophie était partis.
Sophie remis la lettre dans l'enveloppe, et se releva. Elle pleurait toujours, faute d'arriver à arrêter.

La voyant pleurer ainsi Lizi ne pouvait rester là s'en rien faire ,elle alla à sa rencontre pour essayer de la consoler comme elle le pouvait, c'est alors que la jeune demoiselle lui répondit d'une voix sanglante et tremblante.

Non ... Je ... je viens de recevoir une lettre m’expliquant que mes parents vont se séparer.


Oh je suis vraiment navrée pour t'es parents, je ne peux pas te dire que je comprenne car se serait te mentir. Cela doit te rendre triste mais si t'es parents ont prie cette décision qui est loin d'être agréable pour eux comme pour toi , il doit y avoir une bonne raison je pense. Si tu as besoin de parler je t'écoute volontiers, je pense que tu ne devrais pas rester seule ainsi. En tout cas moi je ne te laisserais pas dans cette situation. Su tu as besoin de crier où vider ton sac ,je suis là parler à des inconnus sa peut aider parfois .


Elle avait de la peine de la voir ainsi ,si Lizi était dans cette situation elle ne sait pas comment elle réagirait. Ce qui est sur c'est qu'elle ne la laisserait pas seule à la volière. Elle n'arrêtait pas de lui parler, mais la jeune demoiselle elle répétait sans cesse la même chose.


-Tout est de ma faute


Pourquoi tu penses que c'est de ta faute ,moi je penses que tu fait erreurs. T'es parents t'aiment énormément est ils n'aimeraient s'en doute pas que tu pense cela . Oh faite comment tu t'appelle.


Lizi essayait de changer de conversation un peu elle n'arrêtait pas de pleurer ceux qui n'arrangeait pas la situation dans la qu'elle elle se trouvait, elle était comme anéantie . Ce qui chagrinait Lizi elle ne pouvait pas être insensible à la jeune fille qui se trouvait devant elle .

Sophie sent bien que la poufsouffle essayait de l'amener vers un autre sujet. Elle appréciait son effort, mais aucune conversation ne pourrai lui faire oublier sa tristesse.
- Je m'appelle Sophie, et toi ? demanda la jeune fille entre deux sanglots.
Elle continuait de penser que c'était sa faute, si ses parents se séparaient, mais elle ne le montra pas. Elle ne voulais pas avoir à expliquer pourquoi elle pensait cela. Ses raisons étaient certainement stupides aux yeux des autres. Et puis, cela ne regardait qu'elle.
- Tu es en deuxième année ?
Il semblait à Sophie qu'elles étaient dans la même classe. Mais avec les larmes qui brouillaient son champs de vision, sa tête qui tournait, et tous les élèves qu'il y avait à poudlard, Sophie n'en était pas sûre. Timide comme elle était, elle n’osait pas parler aux élèves qu'elle ne connaissait pas, et restait avec son groupe d'amis. Son problème de timidité s'était beaucoup arrangé durant sa première année à poudlard, mais elle commençais à de nouveau ne plus osé aller parler aux personnes autour d'elle. Une pensé traversa soudains la jeune fille, sans aucune raison apparente. Et si la poufsouffle allait raconté à ses amis qu'elle avait trouvé Sophie en train de pleuré, assise par terre dans la volière, à cause d'une lettre ? En plus, elle pleurait surtout parce qu'elle avait l'impression que tous était de sa faute. Sophie aurait tellement honte. On se moquerai certainement d'elle. Elle savait qu'une de ses amie s'était fait embêter comme cela, quand elle était petite. Elle ne voulais pas qu'il lui arrive la même chose. Sophie leva la tête vers la poufsouffle. Elle lui paraissait très grande, vu d'en bas. Elle ne semblait pas avoir envie de se moquer d'elle. Après tout, elles étaient les poufsouffles, les gentils. Sophie avait horreur des élèves des autres maisons qui disaient cela. Mais pour une fois, cela la rassurait un peu.
- Tu ne le dira à personne, que tu m'as vu en train de pleuré à le volière ? demanda doucement Sophie.