Diana Wood, jeune fille lambda venant d'une famille plutôt aisée, va voir sa vie paisible basculer quant elle va recevoir la marque des ténèbres suite à un arrangement entre ses parents et le Seigneur des Ténèbres.

1 Le malheur des uns fait le bonheur des autres

| Diana Wood | Physique | Blonde, cheveux long et ondulés au yeux verts. Dans la moyenne niveau taille. Mentalité | Solitaire, a peu d'ami, mais peut compter sur ceux qu'elle a. Intelligente, réfléchie, malicieuse et charismatique. Pert vite son sang-froid. Informations complémentaires | Etudie à Serpentard et est en cinquième année. Elle à 15 ans et est fille unique.

Les vacances d'été étaient enfin arriver. Je n'en pouvais plus des cours de quatrième année, surtout en botanique. Je déteste la terre et les plantes c'est pas avec ça qu'on pourra se défendre efficacement si le Seigneur des Ténèbres nous attaque.
Je suis dans le train en direction de King's Cross pour rentrée chez moi, et je suis seule dans le compartiment. Tant mieux, je n'ai pas envie de voir grand monde, même mes amis, mais ils me connaissent et savent que j'ai parfois besoin d'être seule.
Surtout en se moment. Lors du tournoi des trois sorciers, Celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom est revenu d'entre les morts par je ne sais quel moyen, mais ce que je sais, c'est qu'il à tuer Cédric Diggory alors qu'il était innocent. Cédric était loin d'être mon ami, mais c'est un type bien, il ne méritait pas de mourir. Personne ne le méritait.
Depuis que j'avais appris la triste nouvel, j'était un peu plus tendu que d'habitude. Normal, me direz-vous, un psychopathe assoiffer de sang et de pouvoir courent peut être dans les parages en se moment même, mais ce qui m'inquiète le plus, se sont mes parents. Sans être une famille aussi puissante et influente que les Malefoy ou aussi connu et adoré que le nom Potter, les Wood sont assez aisés et se sont toujours éloignés le plus possible des conflits. Lors de la première guerre, le Seigneur des Ténèbres avait essayer de trouver mes parents afin qu'ils rejoignent ses rangs, mais il n'avait jamais réussi à mettre la main sur eux. Mais maintenant qu'il courait de nouveau, qu'allait-il faire ? Mes parents s'étaient fait à l'idée qu'il ne reviendrait plus jamais, et ils ont arrêtés de se cacher, comment vont-ils réagir ? De plus, je ne pense pas que le Seigneur des Ténèbres soit le genre de personne à discuter et trouver un compromis autour d'une tasse de thé, on peut s'attendre au pire.
Le paysage défile à toute vitesse, comme les pensées dans ma tête. Tout se mélange, rien n'est clair, ce n'est qu'un grand tout qui manque complètement d'organisation et où personne ne peu s'y retrouver. Je soupire. Ca ne sert à rien de chercher une solution à des problèmes qui ne se sont même pas avérés vrai.
J'entends quelqu'un essayer d'ouvrir la porte du compartiment, mais je l'ai fermer à clef pour être tranquille, je ne suis pas stupide. Un compartiment où il y à seulement une personne, même si c'est quelqu'un d'asociale est l'idéal pour les groupes d'élèves qui cherche plus de tranquillité. A travers la vitre, je vois un garçon me lancer un regard noir, sans doute car je suis seul dans un compartiment pour 8. Je lui lance un regard blazer avant de lui baisser le store à la figure grâce à ma baguette magique. 2 mois sans voir des têtes comme celle ci, c'est ça la vrai définition du mot vacances.

Le train arriva bientôt en gare, me tirant de mes pensées. Je prend mes affaires et descend en cherchant mes parents du regard. Je les trouve facilement, ils sont près de la sortie. Plus je m'approche d'eux et plus je me rends compte que leurs traits sont tirés et qu'ils sont d'énormes cernes en dessous les yeux. Ca m'inquiète, je dois bien l'avouer. J'aime mes parents, ils ont toujours pris soin de moi et je les chérirais jusqu'à mon dernier souffle.
Lors de la première guerre, ils m'avaient raconter que le Seigneur des Ténèbres les voulaient dans ses rangs en temp que Mangemort, ces créatures ignobles qui ont choisit la facilité au lieu de se battre contre le mal. Des faibles, des lâches. Ca m'a toujours dégouté. Celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom avait donc essayer à plusieurs reprises, mais mes parents avaient toujours résister, et le mage noir n'avait aucun moyen de pression sur eux. Mes parents n'avaient à l'époque aucune famille proche, aucun enfant, du moins il le pensait. Ma mère était enceinte de moi. Bref, il n'avait aucun moyen de les faire plier, et comme ils changeaient d'abri toutes les 24h, il était dur pour lui de savoir où les trouver, et avec cette histoire prophétie ou je ne sais quoi, il est vite passer à autre chose, ayant plus important à faire.
Ma mère ouvre ses bras comme pour me serrer, mais je lui lance un regard pour lui faire comprendre que je ne voulais pas en public. Je ne veux pas que tout le monde pense que Diana Wood, la fille snob est une fifille à sa maman. Elle baisse ses bras, légèrement déçu, mais n'en dit rien et garde la tête haute. Mon père prend ma valise et nous sortons tous ensemble de la gare en direction d'un portoloin. Nous n'utilisons jamais la voiture moldu, nous sommes de sang pur et pour mes parents, il faut être fière de ses origines et les respecter. En plus, d'après la mère, prendre la voiture revient à passer du temps enfermer dans une boîte de conserve sur roue et elle est claustrophobe, alors ce n'est même pas envisageable.
Nous arrivons bientôt devant une boîte de conserve justement, et nous nous mettons tous autour, attendant que la charme opère. Quand le monde semble s'évanouir autour de moi et que ma maison apparait devant moi, je me sens enfin bien, bien que le trajet eut été un peu secouer. Mais avec le temps, j'ai pris l'habitude.
Je me précipite le sourire aux lèvres dans la maison et je vois le regard nostalgique de mes parents quand je me retourne. J'ouvre la porte et monte dans ma chambre, un des seuls lieu au monde ou je pourrais rester des heures entière. J'ai un peu héritée de la claustrophobie de ma mère, même beaucoup.
Alors que je suis en train de ranger mes affaires, on toque à ma porte.
-Entrez !
Je vis la silhouette de mon père, suivit de près par ma mère apparaitre dans l'encadrement de la porte. Bizarre, ils ne viennent jamais à deux dans ma chambre comme cela, sauf pour me communiquer une information importante. Je les laisse entrer et s'installer. Ma mère à le regard vague, comme si elle n'était pas vraiment là et mon père joue nerveusement avec un bouton de manchette. Je vais vraiment finir par m'inquiété pour eux deux, si ça continue.
-Ce soir, nous allons dîner quelque part, nous sommes invité par des amis chez eux. Fait toi belle, il faut faire bonne impression. me dit mon père.
Je le regardais bizarrement. Nous ne sortions peu, voir pas du tout, mes parents étant très solitaire. J'avais hérité de leur coté solitaire, presque asociale. Je ne posai pas pour autant de question, et hochai la tête.
Mon père se leva avant d'ajouter :
-Bien, ta mère va t'aider à te préparer. Nous partirons d'ici à 21 heures.
Il sortie ensuite de la pièce, me laissant seul avec ma mère. Cette dernière c'était déjà lever et commençait à fouiller dans mon armoire, à la recherche de vêtement que je pourrais mettre. Au bout de quelques minutes, elle avait déjà étaler trois tenu différente sur mon lit, fière d'elle. Elle me dit de choisir celle que j'aimais le plus et sortie se préparer à son tour.
Je n'eus pas besoin de réfléchir trois heures sur la tenu que j'allais choisir. Je pris ma tenu préféré, que je m'étais tout le temps pour les grandes occasions. C'était une jupe plissée verte et longue, accompagner d'une chemise blanche longue décoré d'un nœud vert tombant, d'un petit gilet noir et de gants blanc. Je mis également mes boucles d'oreilles vertes et attacha un nœud vert dans mes cheveux blond après les avoir coiffée.
Je descends l'escalier pour rejoindre mes parents qui se sont mis sur leur 31 pour l'occasion même si je ne sais pas vraiment où nous allons et avec qui. Mais bon, si c'est important pour mes parents, je peux bien le faire. Nous nous préparons tous pour attraper le portoloin, le moyen de transport préféré de mes parents.
Quand il s'active, je vois les formes autour de moi se déformer et réapparaitre mais à des endroits différents. Après quelques secondes pour me remettre du voyage, je regarde devant moi et vois de dresser un immense manoir aux hautes tourelles et aux façades ternes. Je déglutis, me sentant minuscule devant ce bâtiment peu accueillant. Mes parents, eux, ne semblent pas remarquer ce détaille et commence déjà à avancer dans l'allée principal et je me dépêche de les rattraper. Nous arrivons bientôt devant la porte et mon père toqua.
-Chez qui sommes nous au juste ? ne pus-je m'empêcher de demander.
Ma mère n'eut même pas le temps de me répondre, je n'en avait pas besoin. La porte s'ouvrit sur une tête familière. Des cheveux blond, presque blanc et au yeux gris comme une tempête nous ouvre. Quand il me remarque, il s'étonna mais se ressaisi vite. J'étais tout aussi surpris que lui. Si j'avais su que j'allais aller chez les Malefoy !
Drago et moi nous connaissons, nous sommes dans la même maison et dans la même année mais ce n'est pas pour cela que nous sommes amis. Non, Drago est juste un élève comme les autres pour moi, bien que je le trouve horripilant quand il part dans ses délires. Tout le monde sait que Lucius Malefoy est un mangemort, alors Drago ne m'inspire absolument pas confiance. En plus, il est lâche, un défaut que je ne peux pas supporter.
[...]