Ottilia n'arrivait pas à dormir ce soir et pour cause, la petite n'arrêtait pas de se retourner et reretourner dans le lit qui composait le dortoir des filles, si bien que n'importe qui avec un sommeil très léger aurait pu entendre le son du ballet incessant de ses draps qui n'arrêtait pas de frotter. Voilà trois mois qu'elle était à Poudlard et sa scolarité n'avait déjà pas été de tout repos. Elle n'avait toujours pas fait véritablement ses marques auprès des autres étudiants, se faisant toujours assez discrète ou n'étant pas la plus chaleureuse de ses camarades. Accorder sa confiance à quiconque ici était pour elle difficile, chaque personne étant plus étrangère les unes que les autres pour elle. Au final, ça avait été la goutte de trop ce soir. Elle se sentait comme un animal en cage qu'on ne pouvait contrôler. C'est dans ce genre de moments qu'elle se remémorait les instants passés avec le seul ami moldu de son enfance, à explorer autant que faire se peut les environs de son village natale. Elle avait besoin de sortir, prendre l'air car la nuit lui était bien plus familière et accueillante que le jour. Elle trouvait cela particulièrement débile qu'on ne lui permette pas d'explorer à sa guise le château de nuit, car l'expérience était d'ailleurs bien différente qu'en journée et les nombreux secrets qui y était recélés valaient bien plus que ce qui nous y était présentés en cours. Alors elle devait le faire d'elle-même, quand bien même elle aurait pu être dans de beaux draps si on la découvrait. Elle avait tenté de se rassurer, après tout, personne ne la remarquait déjà en journée, qui pourrait bien la chercher la nuit ? Sa mère la tuerait, mais ce qu'elle ne pouvait pas savoir ne lui ferait pas de mal.

Elle se leva, résignée à cette escapade de nuit. Le ciel était particulièrement étoilé ce soir, et s'il elle croyait aux signes divinatoires, elle aurait pu penser qu'il lui porterait chance. Sa destination était tracée, elle se faufilerait jusqu'à la tour d'astronomie pour pour observer la magie du ciel faire son œuvre. Prenant sa baguette et enfilant deux, trois vêtements chauds qui lui tombaient sous la main, elle prit précaution de faire le moins de bruit possible, afin que personne ne la remarque. Traversant le portrait de la Grosse Dame, elle s'enfonça dans les dédales de couloirs qui la mènerait jusqu'à la tour d'Astronomie. Elle avait déjà fait ce trajet, elle s'en souvenait, il fallait juste qu'elle puisse se repérer dans le noir ambiant. A petits pas, elle avançait à la faveur de la lune qui éclairait son chemin, lâchant, un « Lumos » faible quand le noir obscurcissait sa vue et un « Nox » rapide dès qu'elle sentait un danger potentiel arriver. Ses cours avaient été particulièrement bénéfiques à préparer cette sortie.

Finalement, et après quelques minutes, elle parvint à grimper jusqu'à l'observatoire de la tour d'astronomie, non sans un soulagement. Elle les voyaient, majestueuses, ces fines lumières qui emplissaient le ciel et qui, selon certains, prédisaient à chacun un destin chanceux ou funeste. Il faisait particulièrement froid ce soir, heureusement qu'elle avait tout prévu. Elle s'assit, dans le seul but de se perdre dans l'immensité d'un spectacle qui la revigorait. La voilà la vraie aventure.

Dites moi si ça vous convient

Elentari n'arrivait toujours pas à dormir, elle n'arrivait jamais. Aucun potion, aucun sortilège n'avait jamais rien pu y faire. Elle décida donc, malgré l'interdit, de visiter le château un peu. Dans la journée, les couloirs étaient toujours bondés, elle détestait les foules. Les diriger, oui, mais sy mêler, non. Sortant de son lit, elle enfila ses baskets moldues, une vraie passion pour elle. Elle en avait des tonnes et adorait les changer régulièrement. Essayant de ne pas réveiller ses camarades de maison, elle sortit de la salle commune. Devant la cheminée, un couple s'embrassait. Elle détourne la tête avec une moue de dégoût. Beurk ! Elle sortit de la salle commune et se retrouva dans les cachots. Son but ultime étant la tour d'astronomie, elle devait être très prudente. Elle avait sa fierté et ne voulait pas faire perdre des points à sa maison.

Elle s'avança dans un des escaliers de l'école. En espérant qu'il ne bouge pas, elle grimpa les marches deux par deux, ses jambes trop courtes pour en faire plus. Elle réussit à atteindre l'escalier. Elle le monta, sa main appuyée sur les briques millénaires du château. Qu'est-ce qu'elle aimait cet endroit.

Arrivée en haut de l'escalier, elle découvrit la vue. Et quelle vue ! Elle sourit, apaisée. La vue était magnique. Elle pouvait voir très loin et le Lac Noir semblait plus noir que noir et que d'habitude. Elentari s'appuya sur la rambarde qui la séparait du vide. Elle avait rarement ressenti un tel sentiment de paix. Elle sourit à la lune et récita un de ses poèmes préférés.

"Le mensonge menaçant les ruses dures
et glissantes
Des bouches au fond des puits des yeux
au fond des nuits
Et des vertus subites des filets à jeter
au hasard
Les envies d'inventer d'admirables
béquilles
Des patiences massives des impatiences
calculées
Tout ce qui s'impose et qui règne
Entre la liberté d'aimer
Et celle de ne pas aimer
Tout ce que tu ne connais pas"

Un frisson lui parcouru l'échine. La nuit était plutôt chaude, mais très venteuse.
Puis, elle aperçut une jeune fille qui devait déjà se trouvé dans 'observatoire quand elle était arrivé.

- Oh, salut !ça fait longtemps que tu es là ?

La jeune fille était assise dans l'observatoire en train d'observer le ciel.

@Elentari Donada@Ottilia Cho

Il faisait sombre, j'étais plutôt fatiguée de cette journée de cours qui avait été eppuisante. Cependant, alors que je m'étais endormie, un hululement de hibou me fit levée en sursaut. A peine avoir eu le temps de me redressée que j'apperçois une de mes camarades de dortoir tirer les rideaux qui entourait son lit . A peine ais-je eue le temps de clignée des yeux qu'elle étais sortie du dortoir. Je jette un oeuil par la fenêtre, la nuit était noir, il faisait très sombre. D'un geste, j'enfille mes chaussure et une chemise de nuit pour suivre ma camarade dans Poudlard. Lorsque je dessendis dans la salle commune, elle n'y éais pas. Elle va avoir des ennuie si elle se fait prendre en dehors du dortoir aussi tard ais-je pensée. Mais ma curiosité prenant le dessus, je me dirige vers le trou du portrait et sors de chez les Gryffons. Laissant mes pas me guidée, je me dirige sans trop savoir pourquoi, vers la tour d'astronomie.
Je m'arrête dès le seuil; le ciel bleu noir parsemés d'étoiles était un spectacle des plus impressioant. Je reparais plusieurs consetation dont la grande ours et celle du grand chien. Finnalisant le spectable, la lune, ronde et blanche tronait dans ce ciel étoilé. J'avais envie de gravé cette image à jamais dans mon fort interieur.
Je m'avancais pour mieux profiter du spectacle. Puis j'entendis une voix, qui n'étais pas celle de ma camarade de dortoir. Prudement, les poings sérés, je m'approche un peu plus...

C'est pas incroyable... Dites moi si sa vous va

Ottilia était déjà là depuis un petit moment, assise à contempler les constellations qui se déroulaient devant elle. Même si la beauté de ce paysage la fascinait particulièrement, elle avait un peu de mal avec la discipline qu'était l'astronomie. Elle croyait peu au pouvoir des étoiles et des astres, et c'était peut-être son coté moldu qui reprenait le dessus quelque fois. Malgré tout, le spectacle qu'offrait les étoiles l'intéressait particulièrement. La curiosité l'avait poussé à en apprendre plus sur ce qu'elle observait mais malheureusement, le programme de la première année ne traitait pas du détail des constellations. Elle s'était un jour donné l'objectif de reconnaitre chacun des amas d'étoiles qu'elle regarderait, mais cela devait malheureusement attendre.

Pour l'instant elle se contentait seulement de se perdre dans ses pensées les plus profondes, ses yeux rivées sur le ciel sombre parsemé de tâches illuminés. Elle s'était souvenu de ce genre de moment qu'elle passait en compagnie de Rufus, où les deux n'hésitait pas à se raconter des histoires toutes aussi loufoques dans le jardin de sa mère. Il lui manquait beaucoup même si Ottilia ne voulait pas se l'admettre. Elle fut rapidement tirée de sa rêverie par une voix qui s'éleva de derrière. Elle se redressa aussitôt, alors qu'elle entendit le son d'un poème ou d'une chanson. Son visage chercha directement le la provenance et elle fut surprise de tomber sur une de ses camarades de Poufsouffle, comment se faisait-il qu'elle soit ici, elle l'avait suivi ? Pourtant la salle commune des Gryffondor et des Poufsouffle n'était vraiment pas à coté. Quoi qu'il en était, si elle continuait à parler aussi fort, elle allait rameuter tout le reste de Poudlard, elle était complètement inconsciente. D'un ton sec mais d'une voix bas, Ottilia ramena la Poufsouffle les pieds sur terre.

— Chut. D'un geste vif, elle posa son doigt sur ses lèvres. Tu cherches à nous faire repérer ? On est pas censé être là je te rappelle.

Il fallait être totalement stupide pour se comporter ici à cette heure ci comme si Poudlard nous appartenait et elle appréciait réellement cet endroit pour ne pas se laisser avoir par le gardien ou un des professeurs qui aurait pu entendre leur conversation. Toujours d'une voix basse et chuchotée, elle rajouta.

— Qu'est-ce que tu fais ici ?

Les quelques mots prononcés, elle sentit une autre présence et se retourna rapidement comme pour prévenir d'un danger. Une autre fille était ici, mais cette fois ci, la coréenne la reconnut. C'était une Gryffondor de sa classe. Elle n'avait pourtant croisé personne en sortant de la salle commune. Ca ne pouvait signifier qu'une chose.

— Toi. en la désignant .. tu m'as suivie ?

Elle était désormais dans de beaux draps, deux Gryffondor qui n'étaient pas dans leur lit, ça allait se remarquer et elle espérait qu'aucune ronde n'était organisé dans la chambre de son dortoir pour le vérifier. Qu'est-ce qu'on va faire maintenant.

Elentari sursauta en entendant le ton de la réponse de sa camarade mais ne dit rien. Elle s'arrêta juste de chanter et s'approcha de la jeune fille et s'excusa en chuchotant. Sa camarade avait l'air d'avoir le même âge qu'Elentari et la jeune fille comprit qu'elle venait de la maison des Gryffondors qui était assez loin de la sienne. Elentari voyait bien que sa camarade la jugeai pour ce qu'elle veniat de faire mais, elle n'y pensa pas et regarda le ciel si beau. Puis, la jeune fille lui demanda :

— Qu'est-ce que tu fais ici ?

- Oh, et bien j'ai beaucoup de mal à dormir donc je voulais visiter le château ce que je n'aime pas faire quand il y a plein de monde. L'observatoire était ma destination finale car je voulais voir la paysage. Et ça ma fiat penser à un poème que ma mère me récitait quand j'était plus petite et je n'ai pas pus m'empêcher de le réciter. Au fait je ne me suis pas présenter : Je m'appelle Elentari et je viens de la maison des Poufsouffle. Et toi, tu fais quoi ici ?

Soudain, Elentari vis sa camarade se retourner et aperçut une jeune fille que la Gryffondors avait l'air de connaitre. Elle la salua gentiment et fur surprise par la réaction de sa camarade. Elle la regarda avec curiosité on aurait dit qu'elle avait peur de se faire prendre. Elentari, qui avait déjà parcourus le château plusieurs fois de nuits était exciter à l'idée de pouvoir partager ce moments avec d'autres filles de son âge. Puis, elle lança un sourire chaleureux à la nouvelle venue et sortit un paquet de Bertie crochu de sa poche et en mangea un. Il était au citron. La jeune fille avait toujours eu beaucoup de chance avec les bonbon comme ça.

Voilà, j'espère que ça vous plais

Je regardais mes deux camarades d'un air génée. Ottilia était un peu brusque, et Elentari avait eu une veritable raison de sortir de son dortoir. Comment dire que moi et ma curiositée, nous n'avions pas vraiment notre place dans l'histoire. La manière dont Ottilia s'adressa a moi ne me plus pas du tout. De toutes mes camarades de dortoir, c'était celle avec qui j'avais le moin parlé. Comment lui dire que, en effet, je l'avais partielement suivie sans savoir ou elle allais ?
Je regardais la Poufsouffle manger un Dragés Surprise lorsque je répond.
- A vrai dire, j'ai entendue du bruit dans le dortoir, tu m'as reveillée. Après sa, j'ai simplement vue une silhouette se dirigée vers la sortie. Je t'avais perdue de vue lorsque je me suis dirigée ici, je ne pensais pas que je te trouverais dans la tour d'asronomie, et je savais même pas laquelle d'entre les filles du dortoir étais sortie...
J'avais un peu peur de la réaction qu'aurait Ottilia. En revanche, Elentari avait l'air plus gentille. Curieuse, je lui demande
- Il étais a quelle gout ton Dragés ?
A peine ais-je prononcée ces mots qu'une vague de stresse m'envahit. Que m'arriverais t-il si on me surprenait ? Et qu'arriverais t-il a Ottilia et Elentari ?
Ottilia n'était peut être pas des plus agréable et elle ne connaissait peut être pas vraiment Elentari, mais je n'avais pas envie qu'il leurs arrive quelque chose. Je sais que je me sentirais coupable, c'est plus fort que moi. Pour essayée de detressée, je lève de nouveau la tête vers le ciel, de nouveau emerveillée par le décors.
- C'est magnifique n'est ce pas, laisais-je echappé à mi-voix, perdue dans ma contenplation.

Dites moi si c'est bon pour vous

Ottilia était donc entouré d'une de ses camarades et d'une Poufsouffle et le moins qu'elle pensait, c'était que ni l'une ni l'autre n'était des lumières. Les deux papotaient comme si elles étaient au milieu de la grande salle en plein déjeuner. Elles ne devaient pas être là et la Gryffondor avait encore moins envie d'avoir dans les pattes deux boulets qu'elle devait trainé. Elle était simplement venu observer les étoiles, découvrir le ciel sauvage de Poudlard en pleine nuit mais certainement pas pour faire la parlotte. Elle se contenta de répondre à la Poufsouffle d'une voix basse. « Ottilia. Et j'étais venue regarder le ciel. Seule. » On pouvait sentir la coréenne passablement agacée qu'on lui aie gâché ce petit moment. Si la rousse comptait tomber sur un de ses compagnons Poufsouffle aimable et sociable, c'était pas mal raté pour elle.

En attendant, elle devait gérer l'histoire de sa camarade. Elle l'avait carrément suivi depuis son dortoir ? Mais pour quelle raison ? Ottilia était particulièrement méfiante envers elle. Son regard la toisa et sa mine devint plus sombre. Gardant une voix basse, elle lui demanda directement sans attendre. « Tu me veux quoi ? » Elle avait risqué une punition pour simplement la suivre ? Soit elle était inconsciente, soit elle lui cherchait quelque chose. Une chose était sûre, vu le boucan qu'elles faisaient, quelqu'un allait pas tarder à se ramener. Elle se retourna s'adressant aux deux ne prenant même pas la peine de relever la remarque de sa camarade de Gryffondor, l'heure n'était plus à la contemplation. « Faut dire que vous êtes pas très discrètes, on devrait pas rester ici. Vu le bruit que vous faites, quelqu'un nous a sûrement entendu. ». Et si elle pouvait elle pouvait éviter une punition, ça lui en ferait le plus grand bien.

Elentari suivait la discussion de ses amie. Mais quand elle entendit une personne leur demander leur nom et leur maison, la jeune fille se tendis en comprenant qu'elles allaient de faire punir pour leur petite excursion. Elle baissa la tête en regardant ses chaussure en répondant à la personne qui était en fait la préfère de ma maison. La voix un peu tremblante.

-"Moi... C'est Elentari dans la maison des Poufsouffle".

En sortant de son dortoir, Elentari ne pensait pas au conséquences possible de ses actes mais maintenant qu'elle s'était fait prendre elle se sentait super mal de l'avoir fait. Elle observa ses camarade voulant savoir si elles avaient la même réaction qu'elle. La jeune Poufsouffle devait être toutes rouge tellement elle se sentait mal. Elentari était d'autant plus mal qu'elle était surement la seul personne du groupe à être dans la même maison que la préfète ce qui allait surement la décevoir.
La jeune Sorcière se souvenant qu'elle avait son paquet de Bertie crochu dans la main, le referma délicatement et le rangea dans la poche de façon maladroite.

Réfléchissant à ce qu'elle ressentait à ce moment face à la Préfète, Elentari pris la bonne résolution de ne plus jamais enfreindre une règle de Poudlard et de devenir l'élève la plus sage qu'elle puisse être.

La jeune fille releva la tête vers la préfète et s'excusa timidement même si elle savait que ça ne changerai rien.
"Je suis vraiment désolé ! je comprend maintenant que ce que j'ai fait n'était pas bien et je promet que je ne recommencerai plus."
Elentari décidait parler pour elle et de laisser les autres répondre.

Oh non non non non non pensais je de toute mes forces. Pourquoi la SEULE et UNIQUE fois où je sors de mon dortoir la nuit, je me fais lamentablement prendre. J'avais envie de pleurer lamentablement. Les seules choses qui m'en empêchait étaient ma dignité personnelle et le regard que Ottilia porterais sur moi qui une quelconque larmes s'échappait de mes paupières. Elentari fut la première a parler. Personnellement, je ne voulais pas répondre à la préfète de Poufsouffle. Je ne suis pas sortie de mon dortoir pour mon bon plaisir... J'étais juste curieuse, et la curiosité n'est pas un vilain défaut, simplement une chose à manier avec prudence. J'ai essayé d'être prudente... Je ne voulais pas avoir une retenue. En plus j'ai entendue dire que les parents étaient prévenus... Que dirai ma mère ? M'obligerait- elle a quitté Poudlard et allé dans un collège moldu ? Résignée, je dit a voie basse
- Je m'appelle Léna Benatsou, en première année a Gryffondor...
Officiel, je vais avoir une retenue, et la préfète préviendra mon directeur de maison. Je vais passée un sale quart d'heure. Si seulement je pouvais remonter le temps.
- Moi aussi je suis vraiment désolée, je savais que c'était interdit de sortir la nuit, je ne le re ferai plus...
Bon, j'imagine qu'il ne me reste plus qu'à voir comment les choses vont s'ensuivrent ais je pensée. Je baisse mon regard sur le sol, ayant soudain un intérêt tous particulier a la contemplation de mes chaussures.