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On était quelques jours avant la fin des vacances d’été, le temps était particulièrement agréable et les futurs sorciers accouraient dans les rues du chemin de traverse se dépêchant d'acheter leurs fournitures scolaires avant le retour à Poudlard. Le chaudron baveur, lieu de passage obligé pour les sorciers souhaitant se rendre sur le Chemin de Traverse, était lui aussi plein à craquer.

Assis dans un coin du bar, deux personnes, un jeune homme d’une vingtaine d’année et un autre garçon bien plus jeune discutent tranquillement.

“ On a tout ce qu’il te faut pour demain, maman sera contente “ Énonça le plus vieux en portant sa bière à ses lèvres.

Grands, les yeux vairons et des boucles brunes Morgan Laurent avait beaucoup de succès auprès de la gente féminine. Vêtu d'un élégant veston noir, qui épouse parfaitement sa silhouette. Le tissu semble être de qualité, doux et légèrement brillant. Les boutons sont discrets et de couleur assortie, et la veste est dotée d'une poche de poitrine ainsi que de poches latérales. Les manches du veston s'arrêtent au niveau des poignets, où elles se terminent par des boutons assortis. Sous le veston, il porte une chemise blanche impeccablement repassée, ainsi qu'une cravate noire qui se marie bien avec le reste de sa tenue.

“ Bon je vais aller régler une affaire à la librairie juste à côté, reste ici je n'en ai pas pour longtemps “ continua Morgan en se levant.

Toujours silencieux, Fundral Laurent le jeune frère de Morgan se tenait droit sur sa chaise en regardant son frère se redresser. Cheveux noirs, les yeux noisette et portant une robe noire de travail fraichement acheté le jeune garçon fit un simple geste de tête à son grand frère qui se rendit vers la sortie du bar. D’un naturel assez calme, Fundral ne craignait pas forcément de rester seul quelques instants. Il sortit un des nouveaux livres qu’il avait acheté et commença à le feuilleter.

Mais rapidement Fundral en eut marre et décida d'arrêter de lire. Il se leva pour découvrir un peu le Chaudron Baveur, et veilla à ne rien laisser de précieux à sa table. Il remarque que de nombreux enfants de son âge semblaient aussi faire une halte dans le bar avec leurs familles, sûrement des premières années, se dit-il.

Voilà, y a pas mal que j'ai pas détaillé (comme l'ambiance du bar) mais si tu veux le faire n'hésite pas

Ta mère avait décidé de t'emmener avec elle pour faire sa course à Londres, c'était donc la deuxième fois du mois que tu passais au chaudron baveur. La première fois du mois c'était pendant tes courses pour acheter tes fournitures pour Poudlard. D'ailleurs la rentrée était dans deux jours. Deux jours. Tu ne réalisais d'ailleurs toujours pas, genre dans deux jours tu allais être repartie dans ta maison, rencontrer tout le monde. Tu étais aussi impatiente que stressée pour ce grand jour.

Blair chérie, je m'éclipse un petit moment le temps que j'aille récupérer quelques gallions chez Gringotts. Tu m'attends la? Et puis regarde il y d'autres enfants qui sont la à attendre leurs parents sans doute. Allez je te commande un verre et j'y vais.

Mais maman? Je ne peux pas plutôt venir avec toi? Au lieu d'attendre ici comme ça seule? Tu sais à quel point j'aime être seule.

Oh allez, ne t'inquiète pas! Personne ne vas te manger ma chérie.

Tu soufflas dépitée de ne pas pouvoir accompagnée ta mère à Gringotts. Tu aimais être seule mais parfois non et ce jour la était un jour ou tu n'aimais pas être seule. C'était ces jours que tu regrettais de ne pas avoir de frère ou de soeur avec qui partager ses moments, pas que tu ne sois pas heureuse de vivre uniquement avec ta mère alias la meilleure maman. Tu reportas ton attention sur le bar qui était relativement bruyant, rien de bien inquiétant pour un bar. Malheureusement cela eu le chic de te stressée encore plus que tu ne l'étais à l'idée d'être seule. Ta mère n'avait pas menti, en effet il y avait bel et bien des enfants et heureusement des enfants de ton âge. Tu vis un garçon qui semblait avoir plus ou moins ton âge. Tu t'approchas et arrivée devant lui tu hésitas à repartir en courant et tu te maudis de t'être approchée de lui.