Ce sujet RP entre dans le cadre de l'animation RP des examens de l'année scolaire 2047-2048, pour prendre connaissance des règles de la participation aux examens d'Histoire de la Magie de cette année, c'est par ici. Pour en savoir plus sur cette animation complète, c'est par là.

I. Règles de la participation au RP




II. Rappels des emplois du temps

Cette épreuve est commune à tous, veillez à vous présenter devant votre salle 15 minutes avant le début de l'épreuve. Baguettes magiques interdites.

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Lundi 08 : 09h - 11h Petite Salle

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Baguette, documents et notes interdits, merci de vous présenter sans aucune affaire. Vous passerez individuellement, veillez à vous présenter devant la salle d'Histoire de la Magie 5 minutes avant votre convocation.

Samedi 13 : 10h35 - 11h05 Alyona Farrow

Mardi 16 : 09h25 - 09h55 Aelle Bristyle

III. Les situations RP

Personnage inscrit dans la chronologie Note moyenne demandée : EE

Aisance à l'écrit : 6 Aisance à l'oral : 5

Elle devrait avoir le maximum de point pour les questions.
Et une note un peu inférieure pour la partie réflexion.
Moyenne RP l'année précédente : pour la théorie, Optimal. Elle a sûrement eut une évolution un peu négative car elle s'est concentrée sur d'autres matière, mais c'est léger. Son intérêt a été moindre, légèrement.

Lundi 15 juin 2048, 9h-11h
Petite salle — Poudlard
7^ème année

Lorsque j’ouvre les yeux, le jour commence à peine à se lever. Un voile obscur retrouve le ciel d’Écosse qui me surplombe. Nyakane et Zikomo me semblent confiant, ils m’encouragent, me disent : tu vas y arriver ! Je leur réponds que je le sais, sur ce ton un peu arrogant qui ferait croire à n’importe qui que je n’ai eu aucun épisode d’angoisse ces derniers mois à la perspective des examens — les plus importants de ma vie ! — qui commençaient. J’enfile mon uniforme, j’attrape mon sac, ma cape et quitte le château dès que l’ouverture des portes me le permet. Pas de révision pour moi aujourd’hui. J’ai été la tête dans mes fiches jusque hier soir vingt-deux heures. Pas plus pas moins.

Maintenant, je dois me détendre, même si je ne ressens aucun stress. Je marche longuement dans le parc et m’assieds sur la rive du lac pour observer le soleil se lever. Les couleurs sont magnifiques, un mélange de jaune vif qui transforme peu à peu le ciel en un patchorks de couleurs. Sauf que je ne regarde pas les jolies couleurs : dans ma tête tournent encore et encore les thèmes qui peuvent possiblement tomber pour ma première épreuve. Histoire de la Magie. Une épreuve purement théorique qui va faire appel à mon arme la plus destructrice : l'apprentissage par coeur. Je ne doute pas une seule seconde ne pas avoir un joli Optimal.

Les minutes coulent et s’enfuient. La Grande salle doit être ouverte désormais et commencer à se remplir d’étudiants paniqués. Je me lève et j'époussette ma cape. Je lance un dernier regard confiant à la surface du lac sur laquelle se reflète le lever du soleil. Une vague de bien-être m’envahit, du même genre qui me fait revivre depuis le 12 mai. Je me sens bien, je ne voudrais être nulle part ailleurs. J’ai bien fait de ne pas agir sans réfléchir après ma découverte de cette nuit-là. Le secret derrière l’énigme de ma directrice peut attendre que je passe et que je réussisse avec brio mes examens.

Je rejoins la Grande salle d’une démarche énergique et joyeuse, mes doigts jouant avec ma baguette magique. Comme je m’y attendais, le réfectoire est bourré d’étudiants angoissés mais je ne fais pas attention à eux. Je prends des forces, je mange et cache dans mes poches une pomme, pour la pause.

L'Histoire de la Magie, surtout sa théorie, n'est pas une matière compliqué pour moi. Je suis toujours très attentive en cours, je prends des notes, j'écoute, je participe de temps en temps, je fais des fiches de révisions, les approfondis par des recherches personnelles et révise régulièrement. Je suis moins intéressée que dans toute autre matière utilisant la magie, et cela se ressent sur la qualité de mes fiches et de mes recherches personnelles, mais n'empêche que je travaille sérieusement. Ni les devoirs ni les contrôle ne m'ont jamais angoissé outre mesure puisque j'ai toujours travaillé régulièrement. C'est pour cela qu'en arrivant dans la salle pour l'examen, je suis détendue et sûre de moi. Il n'y a que peu de sujets qui me poseraient problème pour la théorie : ce n'est que du par coeur, après tout.

Le fait d'être entourée que par des élèves plus jeunes me convient : la plupart d'entre eux ne me connaissent sûrement pas. Une fois la copie devant moi, je réponds consciencieusement à chaque question en prenant soin de mon écriture, même si celle-ci est et restera toujours petite et irrégulière. Si je n'ai pas la moindre difficulté pour répondre aux questions, la partie réflexion me prend davantage de temps. Je ne termine pas dans les temps et bâcle un peu la conclusion.





Mardi 16 juin 2048
Poudlard
7^ème année

Réponse aux questions (c'était plus facile que de les intégrer au texte, j'espère que ça ira) :

Reducio

1) Quelles habitudes et attitudes avait-il face aux activités en fin de cours (débats, jeux, exposés, etc) pendant l'année ?
Moins attentive pendant les jeux, exposés, débats des autres. Quand c'était à elle de participer, elle était sérieuse, elle avait travaillé, préparé son sujet, n'était pas angoissée outre mesure. Si elle est moins à l'aise à l'oral, elle n'est pourtant pas stressée de faire face à la classe quand c'est pour un exercice scolaire.

2) Dans quel état d'esprit était-il juste avant l'épreuve et pendant son déroulement ? Qu'est-ce qui peut le stresser ou au contraire le détendre ?
Elle n'est pas angoissée. Ce n'est pas une matière pour laquelle elle éprouve des difficultés. Elle est sûre d'elle et confiante. Des questions à répétition de l'examinateur pourraient la tendre et l'agacer mais elle restera toujours concentrée et répondra d'une façon très directe, sans trop en dire, en allant à l'essentiel et sans faire de fioritures.

3) Faites apparaître clairement la manière dont votre personnage réagit au sujet et prépare son oral (maîtrise-t-il le sujet ? Trouve-t-il un plan rapidement, etc)
Elle connait son sujet. Elle prend le temps de la réflexion mais trouve un plan dans un temps relativement correcte. Elle prend des notes, note les grandes lignes, les idées, les pistes de réflexion.

4) Faites apparaître clairement à quel point votre personnage développe sa réponse à la problématique donnée (va-t-il dans les détails, pense-t-il bien à donner des exemples pertinents, sa réponse est-elle bien structurée, etc).
Elle va dans les détails, donne des exemples pertinents, a une réponse structurée, mais elle oubliera certainement un ou deux détails paraissant essentiel pour l'examinateur mais peu utiles pour elle.

5) Faites apparaître aussi clairement que possible les réponses de votre personnage aux deux questions reçues par hibou.
- D'après-vous, un mélange entre les moldus et les sorciers est-il encore possible ?
Elle rappelle le premier décret du Conseil de Novembre 45, elle développe sa réponse et construit une réponse organisée avec deux éléments.
- Quels évènements du XXème siècle ont mis en danger le Secret Magique ?
Elle parle des deux grandes guerres sorcières, elle développe, peut-être trop, donne des dates exactes mais pas toutes, résume ce qu'il s'est passé, va à l'essentiel.

6) (opt) Votre personnage avait-il des difficultés/facilités particulières face aux travaux oraux préparés ou non, quand il était interrogé ou qu'il devait faire preuve de spontanéité ?
Non. Elle a plus de facilité quand c'est préparé car elle peut organiser sa pensée. À l'oral, quand c'est spontané, ses idées sortent un peu brouillon.

Lorsque la porte s'ouvre, je pénètre dans la pièce. Je salue l'examinateur poliment et m'installe devant lui. Si je n'ai pas été stressée jusque là, voilà que mon estomac se noue brièvement. Ce n'est pas une angoisse très marquée, juste quelque chose qui me fait me dire : tu ne peux pas échouer, tu n'as pas le droit d'échouer, alors tu réussiras quoi qu'il arrive ; et cela met un peu la pression. Pression qui s'efface dès que l'homme ouvre la bouche — je peux alors me concentrer sur ce qu'il me dit et mettre le reste de côté.

Je plonge la main dans le bocal pour piocher mon sujet (Bâtir une société secrete) et écoute les dernières instructions avant de me pencher sur mon sujet et sur la préparation de mon oral. Puis je me lance dans mon exposé.

Je commence par une introduction plutôt sommaire mais contenant les éléments importants. Je contextualise le sujet, je parle de la chasse aux sorcières, du Code International du Secret Magique, je définis les deux mondes. Je fais à l'essentiel et ne me préoccupe pas de savoir si mes phrases vont bien les unes avec les autres. Je rappelle la problématique : "Comment la société sorcière a-t-elle pu s'émanciper des moldus lors de la séparation des deux mondes ?", j'expose mon plan et passe à la suite.

Je développe mes parties lentement, en prenant le temps d'exposer chaque élément. Je commence par parler d'évoquer le nouveau gouvernement sorcier, qui est ma première partie. Je rappelle que le but de la création du Ministère de la Magie c'est organiser et protéger la communauté sorcière britannique suite à l'adoption du code du secret. Je présente l'organisation globale du ministère. Je fais le lien avec les moldus au travers du Ministre de la Magie et du premier ministre.

Pour la seconde partie, j'évoque la nécessité d'assurer les besoins de la société magique. J'évoque les lieux d'éducation, de soins, de vie. Je parle de l'économie sorcière (Aelle aura bien plus de lacunes dans cette partie là, il manque des informations) et de la justice magique et des prisons.

Enfin, je conclus mon exposé. Je ne fais pas de rappel des arguments donnés car ça ne me vient pas à l'esprit, mais je propose une ouverture au sujet en évoquant des événements récents (le nouveau Conseil des Sorciers).

Note épreuve écrite : O (17,5/20)
Note épreuve orale : E (15,5/20)

Votre légère baisse de niveau s'est surtout fait ressentir sur votre oral, quelques incertitudes et une conclusion non correctement formulée vous ont fait perdre quelques points. Votre professeure est un peu déçue, elle est certaine que vous auriez pu faire mieux. Vous perdez -3 PR, mais obtenez tout de même confortablement votre ASPIC d'Histoire de la Magie, bravo !

Personnage inscrit dans la chronologie Note moyenne demandée : E

Aisance à l'écrit : 5 Aisance à l'oral : 4

Première épreuve des ASPICs. Après toutes ces semaines de révisions, ces heures passées à lire, relire, faire des fiches, apprendre, voilà que tout commence enfin. Je crois que je suis un peu stressée, et aussi, étrangement, excitée. Ce n'est pas tous les jours qu'on passe ses ASPICs. Ce seront aussi mes dernières épreuves à Poudlard. Merlin, c'est si étrange d'y penser.

J'arrive en avance. Je n'ai pas révisé ou relu quoi que ce soit ce matin en rapport avec mes épreuves de la journée. Je préfère ne pas m'inquiéter deux heures avant mon examen. Je souhaite être dans les meilleures conditions possibles pour y faire face. C'est important, je dois réussir. Mon avenir post-Poudlard en dépend.

L'histoire de la magie n'a jamais été une matière qui me passionne, je dois bien l'avouer. Ce que j'apprécie dans ce qu'on m'apprend, ce sont les choses concrètes : s'occuper d'une plante, étudier une créature magique, réaliser des potions, lancer des sorts... L'histoire de la magie, ce n'est de temps en temps pas bien concret. Le passé est si complexe à imaginer ! On ne peut pas le changer, influer dessus. Il est complètement indépendant, terminé, sans contact direct avec ce que nous sommes. C'est parfois compliqué pour moi de m'y plonger réellement, de l'aborder avec entrain et de l'envisager avec réalisme. Je crains qu'il ne m'échappe quelques fois. Bien sûr, il m'arrive de le comprendre, de le voir et de m'y imaginer. Cependant, jamais cette compréhension ne sera sensorielle. Tout est abstrait, lointain. Même quand on me parle de la création de Poudlard, les images ont du mal à apparaître devant mes yeux. Pourtant, n'est-ce pas dans ce château que j'ai grandi ? Les événements plus actuels, par leur proximité plus directe avec ma vie, m'intéressent plus. Ce qui garde une trace aussi. Une trace visible. Cela me fait toujours quelque chose, voir un bout d'une autre vie, celle de quelqu'un d'autre, une vie qui appartient à l'histoire.

Lors de mes premières années à Poudlard, la matière m'intéressait grandement. J'aimais cette idée de garder des traces, d'apprendre de ce qui nous a précédé. Alors, ma moyenne était plutôt d'optimal. Avec les années, j'ai noué des relations fortes avec d'autres matières, passant moins de temps sur l'histoire de la magie, m'y intéressant moins. Ma moyenne s'est stabilisée entre des efforts exceptionnels et des optimaux. J'ai beaucoup révisé pour ces ASPICs, mais je crains ne pas avoir investi autant d'intérêt dans cette matière que lors de mes premières années. Un optimal me surprendrait, je n'ai pas l'impression de m'avoir donné les moyens pour améliorer mon niveau, et je m'en veux pour cela.

Cette septième année, pour l'histoire de la magie, c'était une année comme une autre. J'étais sérieuse, travaillais, révisais régulièrement, apprenais mes notes correctement, étais attentive lors des cours en classe. Certains thèmes m'ont intéressé plus que d'autres. Pour ces thèmes-ci, j'avais tendance à participer, à m'engager de manière plus visible. Cela se voyait dans mes devoirs. Cependant, j'ai conservé une moyenne correcte. Face aux devoirs et aux contrôles qui approchaient, je savais passer du temps dans mes révisions pour garantir des réponses d'un bon niveau. Quelques fois, je ressentais un stress certain face à des devoirs, doutant de moi et de mon niveau, de mes capacités, mais je sais faire en sorte que cela ne se voit pas dans mes copies, et j'arrivais toujours à avoir des notes qui me satisfaisaient.

Quand l'épreuve commence, je suis concentrée, mais pas tellement sereine. Je connais mes méthodes, je sais argumenter, réfléchir, mais possédé-je bien toutes les connaissances nécessaires pour réussir ? Certains détails se mélangent dans mon crâne. Je préfère ne pas les mentionner dans ma copie, par précaution. Cela me fait toujours peur d'écrire et de ne pas savoir si ce que j'écris est bien et si cela correspond à ce qui est attendu. Cependant, je ne m'arrête pas sur ces obstacles que je m'invente. J'écris, je réfléchis, je fais appel à mes connaissances et j'avance.

Je suis plus à l'aise sur les parties de réflexion que sur les questions. Pour les questions, il me faut écrire des des réponses précises et complètes. Or, les détails, ce n'est pas ce que j'ai le plus retenu de mes cours. Cependant, je pense m'en sortir à peu près bien, comme à mon habitude. Pour la réflexion, cela se passe mieux. J'aime faire des liens entre l'histoire passée et celle présente. J'ai l'impression de tracer des ponts entre plusieurs vies que seul le monde relie.

Je relie ma copie jusqu'à la fin, barre, réécris, ajoute des détails qui me reviennent, jusqu'à ce que je ne puisse plus rien dire de plus sur les sujets. Enfin, quand mon épreuve est terminée, je quitte la salle, mitigée. Je ne saurais dire si cela conviendra pour un Optimal. J'espère que mon épreuve orale m'aidera à assurer une bonne note.







Je déteste enchaîner ainsi deux épreuves. A peine sortie de mon examen pratique de métamorphose, je dois déjà courir pour arriver en avance à celui d'histoire de la magie. Entre hier et aujourd'hui, je crois que je n'aurais fait que cela : courir dans les couloirs. Pas le temps de respirer, pas le temps de faire une pause, pas le temps de s'inquiéter sur l'épreuve qu'on vient de terminer. Il faut déjà se reconcentrer sur la suivante. On doit tourner la page comme si celle d'avant ne nous avait pas touché. Ah Merlin, je déteste ça.

J'arrive avec un peu d'angoisse. Pourtant, j'ai toujours aimé les sujets oraux. Je ne suis pas la plus à l'aise à l'oral, mais cela ne me fait pas peur. J'ai toujours apprécié les activités que nous avons faites en cours, que ce soit des débats, des jeux ou des exposés. Ils rendent l'histoire plus vivante, plus réelle, ils permettent de s'en approcher de manière plus personnelle. Quand on est engagé dans quelque chose, on a plus de chance de le comprendre, et cela me plaît bien. J'étais toujours assez enthousiaste et impliquée dans ces exercices oraux.

Mon épreuve débute. Je tire le sujet au sort et écoute la problématique : "Les innovations magiques sont-elles toujours des bénédictions ?". Ce n'est pas si mal comme sujet. Il me plaît bien, j'ai plusieurs idées qui me viennent directement. Je suis assez rassurée, je dois l'avouer ; je m'attendais à pire.

Je profite des minutes que j'ai pour réfléchir, décortiquer la problématique, rassembler mes cours et tenter de préparer un plan. Cela ne me fait pas trop peur : je me suis bien entraînée à cette partie. Les cours concernant mon sujet sont aussi parmi ceux qui je maîtrise le mieux. Alors, mon plan est fait assez rapidement, le temps que je trouve ce dont je veux parler. Je suis concentrée, attentive pour ne rien oublier, déterminée à montrer que je vaux plus que ce que ma copie de l'épreuve écrite pourrait montrer.

Mon temps de réflexion est terminé et l'oral débute. Plutôt à l'aise grâce au sujet, j'essaye de développer ma réponse au maximum. Parfois, je sais bien que je pourrai ajouter des détails que j'ai oubliés. Quand je m'en souviens et qu'ils me semblent importants, je les ajoute, mais sinon, j'essaye de garder une cohérence dans mon discours et de suivre mon plan.

Je commence par l'introduction. Rapide, efficace, complète. Ensuite, la première partie : les évolutions qui ont fait avancer la société. Je développe en trois parties plutôt complètes, avec des exemples et des points du cours. J'évoque Sainte-Mangouste, le Conseil, les sortilèges mineurs. A certains moments, j'ai l'impression de me répéter. Alors, je passe plus de temps à parler des innovations dans le domaine de l'Astronomie. En même temps, je ne peux pas m'empêcher de penser à mes parents. Combien de fois ont-ils discuté à table à propos des innovations en Astronomie, de ce qui a fonctionné et de ce qui n'a pas été très utile ? C'est grâce à cette sous-partie que j'effectue une petite transition pour passer à ma deuxième partie : les innovations qui n'ont pas été bénéfiques. Là, je parle des sortilèges et de leurs dangers, leurs risques, mais aussi de ce qui a été créé avec la Magie et qui s'est révélé néfaste. Je sais manquer d'exemples, alors j'essaye de rester structurée et de bien développer mes idées. Je termine en concluant.

Globalement, je pense m'en sortir assez bien. Je ne montre pas de doute, ma réflexion évolue bien avec mes parties, et cela garde une certaine cohérence.

Viennent ensuite les questions. Face à celles de mon examinateur, je ne cille pas. Le Secret Magique. Quelle drôle de coïncidence que ma question porte sur cela alors que ma mère est Secrétaire d'état au Secret Magique. Je donne les dates et les circonstances de la création du Code International du Secret Magique. Ensuite, je défends plutôt l'idée que ce Code s'est montré bénéfique à notre société. Je nuance un peu, rappelle les problèmes que ce Code peut poser, mais mets surtout en avant ses avantages, la sécurité qu'il garantit. J'ai l'impression d'entendre ma mère parler, mais dans la situation où je suis, cela m'importe peu. Je veux juste garantir une note correcte à mon examen.

La deuxième question ne me pose pas davantage de problème. Je pense directement aux Conseils, tous ceux que la société sorcière a connu. J'en donne les dates de création et de fin (pour ceux qui n'existent plus), explique brièvement les idées qu'ils défendaient, les changements qu'ils ont apporté, en mentionne les principaux personnages. Je fais un lien avec le Conseil actuel, le compare un peu avec celui qui a précédé le Ministère de la Magie. Ma présentation se concentre sur l'essentiel, mais ma comparaison est plus détaillée. Je ne le connais que trop bien, le Conseil actuel. J'en connais les membres, les idées, le fonctionnement, et même quelques histoires qu'on y raconte. Mais je sélectionne bien les informations que je donne. Je dois rester dans ce que tout le monde peut savoir.

Enfin, l'examen se termine. Je suis soulagée. Je vais pouvoir souffler un peu, me changer les idées. Je n'ai plus rien avant demain. De nouvelles révisions m'attendent.

Note épreuve écrite : E (16/20)
Note épreuve orale : E (16,5/20)

Vos épreuves se passent globalement bien et votre professeure ne vous ayant connue que sur ces deux dernières années, est plutôt fière de vous : vous frôlez l'Optimal. Vous gagnez +3 PR et obtenez trrè confortablement votre ASPIC d'Histoire de la Magie, bravo !