L'heure des examens à sonner, vous vous présenter à l'heure de votre convocation en salle de défense contre les forces du mal et vous attendez que la professeure vienne vous chercher. C'est enfin votre tour, vous suivez la professeure. Votre regard parcours la pièce, il y a plusieurs atelier, vous sentez que ça va être physique. La professeure s'installe à son bureau, vous restez devant elle et elle commence par vous poser quelques questions avant de vous donner le top départ.

- Récitez moi les 5 étapes.

Une fois cette étape passée, vous pouvez des à présent vous afférer à la partie pratique de cet examen. Vous commencer par le premier atelier sur votre gauche quand vous vous placez devant le mannequin, une musique retentit. Ce n'est pourtant pas le moment de s'enflammer sur la piste à moins que...

Vous passez ensuite au deuxième atelier. Un élève du château ou un cracmol, on ne sait pas trop est réquisitionné tout spécialement pour cette partie. Il vous explique que vous devez le faire rire, un rire franc, grand et qui dure au moins 20 secondes. De toute façon, au delà de 30 secondes, la professeure mettra fin à son rire. Une fois le fou rire passé, le jeune homme se calme et vous pouvez passer à la situation suivante.

Vous faites de nouveau fasse à un mannequin mais cette fois si, il est armé d'une baguette et vous comprenez rapidement le but de l'exercice. Il vous faudra peut être plusieurs tentative avant de parvenir à désarmer notre ami que nous appellerons Jerome.

L'examen se termine, votre professeure vous demande de sortir rapidement parce qu'elle n'a pas que ça à faire.

Conditions : Vous devez être en deuxième année pour répondre à cet examen
Exigences : 220 mots minimum et 1 seul post !
NB : Vous pouvez louper cette examen si votre personnage n'a pas d'affinité avec cette matière, vous pouvez également vous servir des dés pour déterminer vos réussites ou échec ou bien faire le choix de réussir.

C'était l'heure de passer l'épreuve pratique de la matière favorite de Cheryl. Alors qu'elle venait tout juste de sortir de son oral catastrophique d'histoire de la magie, cet examen allait sans doute lui remonter le moral. La rouquine n'avait aucun doute sur ses capacités à réussir la partie pratique de défense contre les forces du mal. C'était donc confiante que la fillette attendait que Miss Valerion vienne la chercher pour commencer l'épreuve.

En entrant dans la pièce, la Serpentard remarqua plusieurs ateliers — qui invitaient sans doute les élèves à lancer des sortilèges différents. Une fois que l'enseignante se posa à sa table, elle lui demanda de réciter les cinq étapes. Sans hésiter une seule seconde, Cheryl fit machinalement :

— Concentration, visualisation, contrôle des émotions, formule et gestuelle.

La deuxième année se dirigea vers le premier atelier. Armée de sa baguette qu'elle tenait fermement dans sa main droite, elle se posta devant le mannequin, prête à lancer un quelconque sortilège. Soudain, une musique retentit. C'était vraiment le moment de mettre de la musique ? Quel sortilège pouvait correspondre à ça ? Mais oui, celui de la danse endiablée ! C'était une situation qui surprit Cheryl — elle ne s'attendait pas à l'usage d'un tel sortilège pour l'examen. Alors, elle se concentra en fermant les yeux et en chassant du mieux qu'elle put la musique de ses oreilles avant de visualiser le mannequin se mettre à danser. Enfin, elle pointa sa baguette vers le mannequin et effectua la gestuelle appropriée et prononça :

— Tarentallegra !

Le mannequin se mit à danser frénétiquement. Fière d'elle, la fillette sourit, s'approchant du second atelier. Un élève se trouvait juste devant elle, lui demandant de la faire rire. Sans perdre une seconde, la jeune Styles lui sourit, le visualisa en train de rire, et forma une jolie plume avec sa baguette avant de prononcer :

— Rictusempra !

Ça y est, l'élève se mit à rire sans pouvoir s'arrêter. Cheryl compta vingt secondes dans sa tête et, au bout de la vingt et unième seconde, elle arrêta son fou rire en récitant :

— Finite Incantatem !

Pauvre de lui, il devait subir ce fou rire à chaque passage d'un élève, c'était un coup à devenir fou. Etait-il payé au moins ? C'était en se posant ces questions que la Serpentard arriva dans le troisième et dernier atelier. Jusque-là, elle se s'en était très bien sortie, elle devait continuer comme ça.
Devant elle, se trouvait un mannequin armé d'une baguette. Avant même qu'il ait eu le temps de bouger, elle se précipita pour lancer le sortilège de désarmement.

— Expelliarmus, fit-elle en effectuant la gestuelle adaptée.

Soudain, la baguette que tenait le mannequin se dégagea de son emprise et tomba un peu plus loin. Elle avait réussi — même si elle en était certaine avant d'entrer dans la pièce. Fière de ce qu'elle avait fait, elle salua sa directrice de maison avant de quitter la salle.

Alyssa Wright
Deuxième année RP inscrite dans la chronologie
Première année devoir
Lundi 8 Juin

C'était enfin le jour de l'examen pratique de Défense contre les Forces du Mal. Alyssa prit une inspiration, essayant de ne pas laisser l'inquiétude l'envahir. S'il y avait bien une matière qu'elle ne voulait pas rater, c'était celle-ci... D'autant plus que la Gryffondor se sentait incertaine vis à vis de d'autres examens qu'elle avait déjà du passer, ou plutôt subir, au cours de cette période franchement éprouvante.

Sa main se resserra sur sa baguette alors qu'elle attendait son tour dans le couloir, appelant déjà toute sa concentration. Pas question de se laisser distraire juste avant l'épreuve. Miss Valerion finit par apparaître et Alyssa la suivit, après lui avoir dit bonjour. Alors qu'elle entrait dans la salle, Alyssa remarqua, sans grande surprise, que l'espace n'avait pas le même agencement qu'habituellement. En effet, il y avait des sortes... d'ateliers ? qui étaient disposés.

La professeure s'installa alors à son bureau et demanda à Alyssa de réciter les cinq étapes. La jeune fille esquissa un sourire, elle connaissait la réponse, normalement. C'est ainsi qu'elle répondit :

- En premier il y a la concentration, il faut se concentrer sur soit et sa baguette pour ressentir le lien qui nous unit. Ensuite il y a la visualisation, il faut imaginer dans sa tête l'effet que va produire le sort. Après il y a les émotions, il faut ressentir l'émotion qui est adaptée au sortilège que l'on veut lancer. Pour finir il y a la formule, il faut distinctement la prononcer en accentuant les bonnes syllabes, et la gestuelle il faut faire le bon mouvement avec sa baguette au moment de dire la formule.

La fillette espérait avoir donné une réponse suffisamment claire. Mais pas une minute à perdre, elle devait maintenant passer à tous les ateliers. La baguette serrée dans sa main, Alyssa s'avança vers le premier atelier où se trouvait un mannequin faisant face à elle. Une musique retentit alors à la surprise de la Gryffondor qui s'attendait à tout sauf à ça. Il ne fallait quand même pas danser...?

"Ah mais oui !", se dit alors la jeune fille, son visage s'illuminant. Elle se concentra, fermant son esprit et tendit sa baguette devant elle, ressentant alors le lien qui les unissait. Dans sa tête, réprimant toute envie de rire à cette vision, l'image du mannequin se mettant à danser de manière endiablée apparut. Alyssa ressentit alors l'espoir de voir réussir son sort et une pointe de malice -après tout l'effet attendu était très amusant. Elle prononça alors en accentuant les bonnes syllabes et en faisant le mouvement de baguette attendu :

- Tarentallegra !

Comme Alyssa l'avait imaginé, le mannequin se mit à danser frénétiquement et ce n'était que la perspective d'être en examen qui l'empêcha d'éclater de rire. Elle se retourna quelques secondes pour voir si la professeure allait dire quelque chose puis se concentra sur la deuxième épreuve.

Un élève du château -du moins il lui semblait- lui demanda de le faire rire, d'un rire franc et grand, durant au moins 20 secondes. Alyssa leva les sourcils, elle connaissait des bonnes blagues mais est-ce que Miss Valerion voulait vraiment cela ? Elle réfléchit quelques instants avant de finalement repenser à ce sortilège qu'ils avaient travaillé en fin d'année dernière.

Reprenant rapidement sa concentration, Alyssa ferma son esprit à nouveau. Elle imagina alors sa cible éclater de rire sous des chatouillis inarrêtables. La fillette ressentit de la détermination à voir réussir son sort et à nouveau de la malice. Elle prononça alors en accentuant les bonnes syllabes et en effectuant la bonne gestuelle :

- Rictusempra !

Il se passa quelques instant sans que l'élève réagisse, puis il se mit à finalement éclater de rire, au soulagement d'Alyssa. Cette dernière, soulagée que son sortilège ait fait effet, s'empressa de compter les secondes. Lorsque une bonne vingtaine de secondes s'était déroulée le rire ne s'était pas arrêté. Alyssa se souvint du sortilège nécessaire, sortilège qui lui avait bien servi dans le couloir à quelques mètres d'elle 3 mois auparavant lors d'un duel accidentel. Son esprit encore fermé et concentré, la jeune fille visualisa l'élève arrêter de rire et ressentit de la détermination à voir ce sort fonctionner, elle prononça avec l'accent et en exécutant la gestuelle en forme de bouclier :

- Finite INcantatem !

L'élève s'arrêta immédiatement de rire et put donc se calmer, Alyssa esquissa un sourire, normalement tout se passait bien pour le moment. Il était maintenant temps pour Alyssa de passer à la dernière épreuve, et ce en conservant sa concentration.

La dernière épreuve se composait d'un mannequin qui tenait sa baguette. Le sang d'Alyssa ne fit qu'un tour, comprenant (normalement) ce qu'il fallait faire. Bien concentrée, elle imagina la baguette sauter du bras du mannequin. Elle ressentit une profonde détermination à réussir son sort. Finalement, elle prononça en accentuant les bonnes syllabes :

- Expelliarmus !

Elle fit d'un geste rapide et décidé la bonne gestuelle. La baguette sauta instantanément -telle un morceau de savon- de la main du mannequin, à la plus grande joie de la jeune fille. Réprimant son envie de sauter sur place elle se retourna pour faire face à sa professeure. L'examen était terminé et cette dernière lui demanda de sortir. Alyssa espérait vraiment avoir fait convenablement tout ce qui était demandé, elle salua Sixtine Valerion avant de sortir de la salle. Dans tous les cas, c'était fini pour cette année !

Erin Fergusson
2e année RP

Je venais de sortir de deux heures d'épreuve théorique de botanique, une matière que j'aimais énormément et qui ne m'avait pas trop posé de problème. Enfin, je l'espérais.
Sortant de la grande salle, j'avais fait un petit détour vers la cour extérieure pour prendre un bol d'air frais avant de rejoindre le premier étage et la salle de Miss Valerion.

J'attends dans le couloir, ma baguette déjà en main. A l'heure indiquée sur ma convocation, la porte s'ouvre et je suis à l'intérieur Miss Valerion qui s'installe alors à son bureau.
Je salue l'enseignante et j'observe rapidement la nouvelle organisation de la salle de cours, notant la présence de deux mannequins et d'un enfant. Mais déjà la voix de Miss Valerion ne fait entendre. Mais alors que je pensais qu'elle allait expliquer les consignes pour chaque atelier, je suis surprise par la question théorique qu'elle vient de poser.

- Se concentrer sur sa baguette, Visualiser l'effet du sort. Contrôler ses émotions. Prononcer la formule en l'associant à la gestuelle correspondante., répondis-je.

Il est temps à présent de passer aux ateliers.
Je me dirige vers le premier, celui à gauche, et dès que je prends position face au mannequin, de la musique arrive jusqu'à mes oreilles. Sans hésitation, je comprends ce qui est attendu. Je ressers ma main autour de la baguette pour établir le lien avec elle. Ensuite, je visualise le mannequin se mettant à danser, les jambes réalisant des mouvements désordonnés. Enfin avec détermination, je pointe ma baguette en direction des articulations du genou et je prononce "Tarentallegra !" en traçant une sorte de "π" avec ma baguette, à l'image des deux jambes du mannequin.

Satisfaite, je passe à l'atelier suivant, celui où l'enfant est présent. Celui-ci m'explique qu'il veut que je le fasse rire. Bon, c'est toujours mieux que de lui faire cracher des limages, mais je ne suis pas très à l'aise à l'idée de lui lancer directement un sort. Prenant une grande inspiration, comme pour puiser le courage en moi de le faire, je resserre à nouveau ma main autour de ma baguette. La visualisation ne pose pas trop de problème : imaginer l'enfant se tenir les côtes, plier sur lui-même car en proie à un fou rire. Puis, dirigeant ma baguette vers lui, la main légèrement tremblotante, je commence à prononcer "Rictu...", mais la formule reste bloquée au fond de ma gorge. *allez courage, tu peux le faire, c'est lui qui demande...* "Rictusempra !", prononçais-je en traçant une sorte de plume à l'aide de ma baguette.
Je lâche un soupir et commence à compter dans ma tête jusqu'à 20. A la fin de décompte, je dirige à nouveau mon catalyseur vers lui pour le libérer d'un "Finite Incantatem !" prononcé avec détermination tout en associant la gestuelle correspondante.

Soulagée, je passe au dernier atelier. A nouveau, j'ai un mannequin face à moi. Celui-ci tient une baguette. Le message est plutôt clair et sans hésiter, après avoir former une nouvelle fois le lien avec la mienne, je visualise la main du mannequin lâcher celle qu'elle tient. Avec détermination, je prononce la formule "Expelliarmus !" tout en réalisant un mouvement de spirale se terminant par un trait vers le haut.

Assez satisfaite du déroulé de l'épreuve, je sors de la salle à la demande de l'enseignante, lâchant un Merci et au revoir, Miss.

Élisabeth Willis
2ème Année RP ( Inscrite à la chronologie )

C'était parti, le stress au maximum, le cœur battant, Éli attendait depuis quelques minutes que son tour arrive pour passer son examen pratique de défenses contre les forces du mal. On ne pouvait pas vraiment dire qu'elle avait révisé à fond, mais vu son retard de fin d'année, elle avait du faire des choix stratégiques.

Elle n'avait jamais aimé cette matière, peut être un peu parc ce qu'elle faisait bien trop ressortir le coté négatif des gens, ou peut être que la professeur ne lui avait jamais paru très sympathique, quoiqu'il en soit, et même si elle n'était pas à 100% sûr encore de son choix de filière, elle était persuadée d'abandonner la défense et le vol avec plaisir l'année prochaine !!!

Elle abordait donc cette pratique avec le stress de devoir affronter le regard, sûrement réprobateur de Miss Valerion, mais sa réussite en elle-même était plutôt secondaire pour elle.

Lorsqu'elle entendit son nom, ses pas suivirent immédiatement le mouvement pour pénétrer dans la salle.
Après un rapide bonjour à sa professeur, elle observa la pièce attentivement, plus pour voir dans quelle galère elle aller s'infiltrer dans quelques instant.
De nombreuses choses étaient installées et son impasse sur ces révisions lui paru soudainement plus embêtante que prévue. Oups, le travail risquait d'être plus intense que ce qu'elle avait espéré secrètement.
Un rapide coup d'œil à la professeur, droite et sérieuse derrière son bureau, resserra un peu les entrailles de la jeune fille, plus si confiante devant le jugement à venir. Alors qu'elle s'attendait à obtenir des conseils pour la pratique, se sont des questions qui fusèrent plutôt de Miss Valerion.

- Récitez moi les 5 étapes.

Ok, tu sais ça... facile. Tout en se mordant les lèvres, Éli récita machinalement les 5 étapes d'un lancé de sort.
-Heu... La concentration, la visualisation, le sentiment, la gestuelle et...l'incantation.

La partie théorie terminée, l'heure était maintenant de véritablement voir ce quelle avait retenu de son année. Lorsque la jeune fille s'approcha du premier atelier à sa gauche, elle rongea machinalement ses ongles, observant le mannequin en face d'elle.
De la musique ?
Elle se souvenait vaguement d'avoir eu un cours sur de la musique, sur de la danse plutôt, mais de là à se souvenir précisément des étapes. Il fallait pourtant qu'elle fasse quelque chose, manifestement c'est ce que l'on attendait d'elle.
Levant sa baguette, un peu dépitée, observant le mannequin elle lança le premier sort qui lui vint à l'esprit, elle ne voulait pas le faire danser, elle voulait rentrer dans son dortoir, en finir avec cette matière.
- CollOshoo !Tiens tu ne danseras pas toi ! Bon, le mannequin n'avait même pas de chaussures, mince léger problème !


Pour le deuxième atelier, une personne devait subir un rire d'au moins 20 seconde. ça, elle n'avait pas eu besoin de beaucoup le réviser, c'était un des cours qu'elle avait plutôt aimé, elle trouvait ça terriblement marrant le sortilège de chatouillis, qu'il était resté gravé presque directement dans sa tête. Pointant sa baguette sur la cible du jour, dans un sentiment de joie et en visualisant un sourire franc chez l'autre, Éli prononça distinctement :
- Rictusempra ! cette fois, une petite pointe de fierté monta en elle.

Puis vint le tour de passer au troisième et dernier atelier de cet examen. Encore un mannequin, mais celui ci beaucoup plus menaçant avec sa baguette, l'angoisse resurgit de suite dans la gorge de la Poufsouffle.

De suite, la jeune fille pointa sa baguette vers la silhouette d'acier, en position de riposte mais le stress n'aidant pas à la concentration, tout se mélangea un peu dans son esprit. Tu connais, tu connais...
D'instinct elle lança un - Protego ! ce qui forcement n'eut pas du tout l'effet recherché, mais lui fit gagner un peu de temps pour remettre ses idées au clair.

- euh... Rictusempra !! Elle lança le sort qui etait le plus logique pour elle dans la situation mais sans grande conviction, dans un sentiment de peur de sans vraiment se souvenir de la prononciation.

Une fois l'épreuve enfin finie, elle prononça un rapide au revoir à sa professeur avant de sortir en vitesse de cette salle de cauchemars, non sans un soupir de soulagement.

C'était mon tour. L'examen de première année s'était bien passé, il n'y avait donc aucune raison pour que celui-ci ne se passe pas bien. Plusieurs ateliers semblent installés mais j'essaie de ne pas stresser et de ne pas m'en préoccuper pour le moment. En effet, ma professeur me pose d'abord une question à laquelle je suis obligée de bien répondre. C'est la base.

- Pour lancer un sortilège, il faut tout d'abord se concentrer pour ressentir la magie de sa baguette. Il faut ensuite visualiser l'effet de notre sortilège dans notre tête. C'est alors à cet instant que les émotions jouent un rôle important et qu'elles doivent impérativement être maîtrisées. Viennent ensuite la formulation et la gestuelle : il faut faire des gestes fluides et bien prononcer en accentuant certaines syllabes nécessaires à la bonne exécution du sortilège souhaité.

Nous ne perdons pas plus de temps. Voilà que je dois commencer les ateliers et je me positionne rapidement devant le premier. À peine placée devant le mannequin, j'entendis une musique et compris assez rapidement de quel sortilège il s'agissait. Concentrée, comme à chaque pratique, j'imagine donc ce mannequin se mettre à danser en rythme avec la mélodie jouée. J'effectue la gestuelle adéquat, c'est-à-dire un semblant de croches liées mais avec des circulaires de part et d'autre et au milieu des notes.

- Tarentallegra !

Le spectacle qui suivit fut des plus amusants. Le mannequin, bien qu'assez stoïque en temps normal, se remuait de gauche à droite. Mais pas le temps de m'amuser devant lui, je continue et passe donc au second atelier. Je suis très vite mise au courant de ce que l'on attend désormais de moi et tiens fermement ma baguette dans ma main. Je hoche la tête pour moi même, comme pour me rassurer et me dire que j'en suis capable. Au moins 20 secondes.. Je devrais m'en sortir.

C'est alors que j'imagine mentalement mon camarade en train de rire. Puis, il me faut faire le tri dans mes émotions. Je dois espérer et considérer que le sortilège va se réaliser. Je prononce distinctement la formule apprise tout en appliquant le geste souhaité, ressemblant à une plume, avec ma baguette. Je veille à dessiner cette plume en commençant par sa pointe pour m'assurer un maximum de réussite.

- Rictusempra !

Je vois alors l'élève se tordre de rire et essaie de rester concentrée pour bien arrêter l'effet de mon sortilège à temps. Je suppose que si l'on atteint les 30 secondes et que notre professeure intervient, cela nous fera perdre des points. Et je refuse d'en perdre aussi bêtement. Ainsi, au bout de 25 secondes - si j'ai bien compté - je décide de mettre fin à son supplice. Traçant un bouclier de chevalier avec ma baguette, je prononce distinctement :

- Finite Incantatem !

Troisième et dernier atelier maintenant. Un mannequin ayant une baguette. Très bien, il faut donc que je le désarme. Cela tombe assez bien puisque c'est un sortilège que j'affectionne tout particulièrement. Toujours aussi concentrée qu'au début, je dessine avec ma baguette une petite spirale allant de l'intérieur vers l'extérieur qui se termine ensuite par un long trait droit.

- Expelliarmus !

Mais voilà que c'est le mannequin qui se trouve expulsé plus loin et non pas la baguette. J'ai mal visé. Je me sens soudainement honteuse alors que mon lancé était parfait. Je dois recommencer avant que ma professeure ne me demande de sortir et que je finisse par un échec pour ne pas avoir respecté la consigne. Cette fois, je vise bien la baguette tenue par le mannequin et réitère le lancé.

- Expelliarmus !

J'avais l'impression que celui-ci était moins bien réussi que le précédent et pourtant la baguette s'envola. Je venais donc de finir mon examen pratique de Défense contre les Forces du Mal et me dépêche de quitter les lieux pour ne pas retarder Miss Valerion.

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Échec critique
Échec
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ATWOOD, Gideon | Inscrit à la chrono
2ème Année RP
LUNDI 8 JUIN, 15H50

Après deux ans de cours avec Mlle Valerion, Gideon avait ce qu'il considérait comme une bonne connaissance de ce à quoi il pouvait s'attendre de la part de cette femme à la beauté fatale. Lorsqu'il entra dans sa salle de classe pour son examen pratique, il repensa à tous les cours qu'il avait trouvé une salle de classe complètement différente de cours en cours. La séance d'aujourd'hui ne dérogeait pas à la règle. Voyant ce qui l'attendais, il prit un respire et se dit qu'il devait réussir, surtout s'il voulait continuer dans le cours de la professeure la plus redoutable de l'école.

Là devant-lui, elle lui posa un question, et il dut regarder son front pour éviter le poids de son regard. Elle pouvait être intimidante pour dire le moindre, mais il ne voulait pas non-plus la mettre en colère en regardant ses pieds.

— La concentration, la visualisation, la f-ormulation, la gestuelle, et bien sûr, ressentir le sort en question. Il était fier de lui-même. C'était peut-être simple, mais au final, il l'avait tellement vu dans plusieurs cours qu'au moins, c'était resté ancrer dans son crâne.

Le premier atelier avait un mannequin, et une musique qui jouait. Comment pourrait-il oublier ce cours ? Sans hésiter, il sortit sa baguette et fit une paire de jambes avec des genoux bien ronds et des pieds. Comme un bas du corps a veille de sauter - ou dans ce cas-ci, danser. Il savait déjà comment les jambes du mannequin allaient perdre le contrôle avant de prononcer l'incantation.

— Tarantallegra ! Il le ressentit comme la basse d'une chanson entre sa main et sa baguette, et vit sa cible frappée avant que ses jambes entâmes une cadence enflammée. Au moins, ce n'était pas lui.

Au prochain atelier, une personne lui dit qu'il doit le faire rire. Gideon dut se mordre la lèvre pour ne pas faire une connerie. Oh, qu'il voulait déconner.

— Je doute que Miss Valerion veule que je le fasse autrement... il dit avec un soupir. Avec sa baguette il traça une plume en disant clairement Rictumsempra !

C'était mieux que le pipi, caca, f- qu'il voulait utiliser au lieu, mais le résultat était mieux d'une certaine façon. Bien qu'il aurait pu faire rire quelqu'un en tirant une grimace, il ne réussirait pas à les faire tomber au plancher en riant. D'une certaine façon, il était jaloux du sort. L'an prochain...il allait faire bien rire.

Avec le contre-sort de Miss Valerion, Gideon avança au prochain atelier. Un mannequin armé. Il savait ce dont il fallait faire. Mais avec ses pensées sur le dernier sort, il ne réussit pas autant qu'il le voulait. Plutôt que de frapper sa cible, son sort frappe le mur.

— Aller concentre toi... il marmonne. Cette fois, il regarda sa cible, sa baguette vers l'avant, pointant à la baguette du mannequin. EXPELLIARMUS ! Il mord dans le mot, et la baguette sort de la main du mannequin et tombe quelques pas devant ses pieds.

Une fois terminé, il replace sa baguette dans son étui à ses côtés et s'incline devant Miss Valerion avant de partir.

Onyx Willard
2ème année RP, inscrite à la chronologie

Alors que venait de se terminer l’épreuve théorique de botanique, Onyx attendait désormais devant la salle de Défense Contre les Forces du Mal qu’Erin, qui passait juste avant elle, finisse son examen pratique. La Gryffondor était toute confiante, ne doutant aucunement de la réussite de cette épreuve : entre son investissement en cours, ses entraînements solitaires et également en groupe avec Louna et Alexander, mais aussi le duel contre ce dernier pour l’événement AMICO - duel lors duquel leur performance avait été brillante -, Onyx était rodée. Et c’est avec sa baguette, sa détermination et son orgueil que la jeune fille pénétra dans la pièce. Elle salua tout d’abord poliment la professeure avant d’écouter sagement ses questions. Les 5 étapes.

- Concentration. Visualisation. Contrôle des émotions. Formule. Gestuelle.

Très concise, Onyx ne comptait pas épiloguer. Elle n’avait pas l’impression que c’était ce qui était demandé et, de toute façon, ce n’était pas là l’épreuve théorique. La fillette voulait passer aux ateliers et c’était bien heureusement ce qui suivait. Se plaçant devant le premier mannequin, de la musique se fit entendre. Évidemment. Par élimination, seul un sort pouvait convenir. Plus appliquée qu’à l’accoutumée, peut-être moins dans l’urgence que devant un partenaire, un adversaire, ou une bestiole, la brune prit le temps de concentrer sa magie, de visualiser sa cible danser, et de faire le tri dans ses émotions, avant de lancer :

- Tarentallegra, en dessinant avec sa baguette la gestuelle appropriée.

Et le sortilège de danse endiablée atteint le mannequin, qui exécuta à la lettre l’intitulé du sort. Voilà qui était chose faite. La gamine délaissa sa victime pour passer à l’épreuve suivante. Un garçon - l’avait-elle déjà vu au château ? - s’y trouvait et lui donna les consignes à suivre. Sans doute Onyx aurait préféré qu’il sorte sa baguette pour ajouter un peu de challenge, mais à priori son rôle se limitait à servir de papegai. Bon… très bien. Restant néanmoins alerte - on pouvait s’attendre à tout de la part de Miss Valerion -, l’enfant entama de nouveau les étapes nécessaires. Faisant le vide pour ressentir le lien magique avec baguette, elle imagina ensuite ce fameux garçon rire aux éclats, puis tria ses sentiments, cherchant en elle l’émotion la plus adaptée. Et ce ne fut que lorsqu’elle fut trouvée que la gamine traça une plume avec son catalyseur tout en formulant :

- Rictusempra.

Le jeune homme se mit à rire franchement, tandis que la rouge se mit quant à elle à compter mentalement. 18, 19, 20… les vingt secondes passées, elle refit les trois premières étapes, puis traça la gestuelle de l’antisort en articulant avec détermination :

- Finite Incantatem.

S’en suivit un autre, et dernier, atelier. Un mannequin encore, mais cette fois-ci tenant une baguette : il ne fallait pas être Merlin pour comprendre ce qui était implicitement demandé. Le sortilège de désarmement. Autant dire qu’il s’agissait d’un sort sur lequel la deuxième année s’était particulièrement acharnée, au vu de la faible puissance que celui-ci avait démontré lors des sélections pour le Club Prodigium. Et comble, alors qu’elle pensait le maîtriser - bien qu'ils ne l'avaient pas encore vu en cours. Peu importe, l’avoir ensuite joliment exécuté lors des duels AMICO ne suffisait pas : elle aurait aujourd’hui le point final de sa revanche. La londonienne se para d’un sourire arrogant avant de l’effacer de son visage pour inspirer et expirer, concentration exige. Pas question de le rater, celui-ci : la baguette de Jerome allait être éjectée, et Onyx n’avait aucun mal à déjà le voir. La jeune fille exerça le contrôle sur ses sentiments avant de terminer sur :

- Expelliarmus, en faisant un escargot suivi d'un trait vers le haut avec sa baguette.

Jaillit une lumière rouge, et le sort fit parfaitement ce à quoi à était destiné : la Gryffondor regarda avec satisfaction la baguette de sa cible tomber.

L'examen à présent terminé, Onyx fut rapidement congédiée. La gamine remercia poliment Miss Valerion avant de quitter la pièce, ravie. Elle avait de toute évidence réussi ; en même temps, entre ces deux mannequins et ce garçon qui ne servait pas à grand chose, cela avait été facile.

LYAM MURPHY
Deuxième année RP, inscrit à la chronologie.

Cela allait bientôt être à son tour et Lyam sentait déjà le stress monter et former une petite boule dans son ventre. L'élève qui était avant lui était rentré dans la salle depuis un moment, il allait en sortir d'une seconde à l'autre. L'examen de Défense contre les forces du Mal n'était pas celui qu'il redoutait le plus. Néanmoins, il ne figurait pas non plus parmi ceux qui lui avaient demandé peu de révisions, comme le Vol ou la Botanique.

Lorsque se fut son tour, Lyam sortit sa baguette de sa poche et franchit le seuil de la porte, résolu à tout donner dans cette partie pratique. D'un ton aimable, le garçon salua la professeure et prêta attention à la première question. Les cinq étapes, il les connaissait par cœur.


Il n'avait pas hésité, c'était déjà une bonne chose. Mais l'épreuve pratique ne semblait pas avoir commencé, ce devait sans doute être une question théorique pour s'échauffer. Lyam alla ensuite devant le mannequin et entendit la musique emplir la salle. Il y eut deux secondes où la mélodie flotta dans l'air, qui lui parurent une éternité, avant que le déclic ne s'opère. Comme il l'avait fait tout au long de l'année, Lyam prit deux grandes respirations afin de se concentrer, visualisa le mannequin danser et contrôla ses émotions avant de faire la gestuelle ressemblant à la partie inférieure d'une personne.


La cible se mit alors à danser frénétiquement, mûe par ce sortilège de danse endiablée. Sans perdre de temps, le Gryffondor passa à la suite des festivités. Le garçon qui lui parla voulait rire et seul un sortilège convenait. De nouveau, Lyam fit redescendre la pression en inspirant profondément. Il imagina le garçon se tordre de rire et s'appuya sur l'émotion adéquate. Du bout de la baguette, il dessina une plume dans les airs, puis prononça l'incantation.


Encore une fois, le sortilège atteint sa cible et le garçon se mit à exploser de rire. Lyam commença directement à compter les secondes. Mais une fois les vingt secondes dépassées, le blondinet perdit ses moyens. Trop occupé à compter, il avait oublié de réfléchir au sort qu'il fallait lancer. Les trente secondes arrivèrent et le garçon se calma. Lyam sentir le rouge lui monter aux joues mais s'apaisa directement. Même si c'était bête de rater cela, il fallait se reprendre, et vite.

Lyam passa à ce qui semblait être la dernière épreuve de cet examen pratique. Un autre mannequin était devant lui. Cette fois-ci, pas de musique, mais une baguette dans sa main. Ce n'était pas sorcier, il suffisait de lui lancer le sortilège de désarmement. Encore une fois, l'anglais prit deux inspirations pour se concentrer et visualisa la baguette du mannequin tomber au sol, derrière lui. Il se mit ensuite à contrôler ses émotions. Enfin, il traça une spirale terminant par un trait vertical et déclama la bonne formule.


Un sourire s'afficha sur le visage de Lyam lorsque le mannequin fut désarmé. Il avait réussi à se reconcentrer et à surmonter le stress ! L'examen était visiblement finit. Le garçon souhaita une bonne journée à la professeure et quitta la pièce. Si il avait raté un des sorts, Lyam avait réussi sa partie pratique dans la globalité.

Steven Thorne - N° de participant :12
Inscrit à la chronologie en 2ème année RP

Il était temps de passer l’examen pratique de défense contre les formes du mal. A l’heure indiquée, je me trouve devant la salle de cours et attend patiemment mon tour. Normalement cette épreuve devrait bien se passer, c’est une matière qui m’intéresse et tout au long de l’année j’avais plutôt bien réussi. Je n’étais pas stressé et il me tardait de pouvoir commencer cet examen.

Quelques instants plus tard, Miss Valerion arriva pour me chercher, je la salue avant de la suivre dans la salle. Plusieurs postes étaient en place et j’observe un court instant chacun d’entre eux. Une fois arriver au bureau, j’écoute la première consigne qui concerne les cinq étapes. Je réponds sans hésiter :

Les cinq étapes sont la concentration, la visualisation, le contrôle des émotions, la formulation et la gestuelle.

Une fois fait, mon enseignante m’envoie vers les ateliers. Je me dirige vers le premier et me place devant le mannequin avant qu’une musique entrainante retentisse. Tiens, on n’est pas au bal pourtant pensais-je avant de me concentrer. Je ferme les yeux faisant le vide tout en ignorant la musique puis je visualise le mannequin se mettre à danser une danse rythmée. En rouvrant ceux-ci, je prononce la formule tout en effectuant la bonne gestuelle :

Tarentallegra !

Le résultat ne peut m’empêcher de sourire, j’observe un instant le mannequin entrer dans la danse avant de passer au second atelier. Je me place de nouveau face à la personne devant moi qui m’indique que je dois le faire rire d’un rire franc et grand et d’au moins vingt secondes. Mais pourquoi lui lancer un sort alors qu’il est si jeune, mais bon s’il le demande et puisqu’il est là autant le faire. Je repars dans une bonne concentration, l’imaginant partir dans un fou rire puis pointe ma baguette vers lui en prononçant :

Rictusempra !

Le rire s’enclencha, il ne restait plus qu’à compter mentalement les vingt secondes avant de prononcer en le visant et avec la bonne gestuelle :

Finite Incantatem !

Le fou rire s’arrêta, je prends un instant pour lui demander si ça va avant de passer à l’ultime atelier de cet examen. De nouveau un mannequin mais cette fois-ci, il était armé d’une baguette. Je repasse les cinq étapes et prononce clairement et déterminé :

Expelliarmus !

La baguette s’envole de la main du mannequin et atterrit plus loin. Cela c’était très bien passé et j’étais satisfait de mon examen. Je souhaite une bonne journée à l’enseignante avant de sortir rapidement à sa demande de la salle.