1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. 11.

Cléo semblait rassurée par les paroles de la jeune fille. Tant mieux. Eileen n'aimait pas que ses amis s'en fassent, surtout sur des sujets qui ne dépendaient pas d'eux et qui pouvaient les affecter plus que de raison. Son père avait adopté la philosophie selon laquelle quand on n'a pas la main sur quelque chose, il n'y a pas à s'inquiéter... Pour l'irlandaise, c'était plus facile à dire qu'à faire, mais elle tentait de la mettre en place. Elle comprenait bien l'intérêt de laisser aller les choses sur lesquelles elle n'avait pas de prise. Après tout, s'en soucier n'y changerait rien et lui ferait plus de mal qu'autre chose. Elle devait être comme une goutte d'eau dans une rivière et se laisser guider par le courant. Ah ca, son père avait des beaux préceptes... Et elle essayait autant que possible de les diffuser sans pour autant rendre les choses opaques pour ses interlocuteurs. Elle avait des années de pratique avec son père, sa sagesse ne passait pas forcément telle quelle.

- "Oui ! Si tu as une passion, c'est qu'elle te fait du bien ! Il n'y a pas de honte à exercer une activité qui te rend heureuse !"

De son côté, Eileen avait eu beaucoup de difficultés en français même si elle avait fini par s'y faire. Avoir une correspondante avait aidé. Et elle se promettait de commencer la langue des Botrucs l'année suivante ! Comme quoi, l'apprentissage d'autres langues, elle s'y mettait aussi même si ce n'était pas une échelle aussi incroyable que Cléo.

- "Tu as raison ! Après tout, on dit que les animaux de compagnie ressemblent généralement à leurs maitres. Mon futur chat aura probablement des caractéristiques proches de mon caractère... Enfin j'espère !"

Elle prit avec beaucoup d'intérêt les phrases visant à la rassurer concernant les relations qu'elle pourrait se faire :
- "Tu as raison ! Et puis, il y aura plein de nouveaux avec une nouvelle promotion ! On ne sera plus les plus jeunes ! Ca va faire bizarre, tu ne crois pas ?"

356 mots
@Cléonice Von Berg

C'est Marine qui répondit la première à Selma, lui confiant qu'elle habitait à Oxford. La petite n'était pas une professionnelle en géographie mais, Oxford étant une ville connue, elle réussissait à la situer plus ou moins, ce n'était pas très loin de Londres, selon ce que l'on considérait comme loin. Sûrement à une heure de train, pas plus.
Quant à l'autre Gryffone, elle leur dit habiter dans une ville moldue dont le nom n'évoquait rien à Selma avant de lui retourner sa question. Elle lui demanda également quel était son prénom et Selma lui répondit :

J'habite à Londres, mais pas direct au centre, on est un peu à l'écart. J'vois où c'est Oxford Marine, pas très loin de chez moi non ? Par contre Doncaster j'connais pas, c'est vers où ? Moi c'est Selma, toi c'est Dawn c'est ça ?

La Gryffone étant la capitaine de l'équipe de cheerleading de Gryffondor, Selma pouvait déjà mettre un prénom sur sa tête sans avoir forcément à lui demander.
Un gargouillement émanant de son ventre lui rappela qu'elle ne s'était pas encore servi et ses joues se teintèrent de rouge, gênée. La Gryffone observa les plats lui faisant face, dont plusieurs spécialités étrangères qui lui étaient inconnues. Les elfes de maisons avaient vraiment fait du bon travail. Profitant de cette occasion, Selma ne se servit que de ce qu'elle ne connaissait pas et commença à goûter aux plats colorés.
La nourriture était excellente, pleine de saveurs que la Gryffone n'avait jamais experiencé encore. Même si sa nourriture à la maison était aussi bonne, l'ambiance chaleureuse de la Grande Salle allait manquer à la petite pendant les vacances.

@Marine Baylacq @Dawn Wolf Désolé pour le retard

Le Yorkshire ça elle voyait, au Sud ok, mais alors la ville non. En même temps pouvait ont lui reprocher de ne pas connaitre ? Non, d'après le petit commentaire de Dawn qui prédisait déjà que la ville leur serait inconnue. Selma aussi semblait tout aussi perdue sur le sujet ce qui continuait d'installer dans l'esprit de le lionne qu'il devait s'agir des petites villes que l'on trouve entre deux plus grandes villes, le genre de nom que seules les personnes vivants dans les parages connaissent, comme Marine connaissait bien les petites villes qui bordaient le coin d'Oxford qu'elle habitait.

- Euuh bha ça, ça dépend ce, ce que t'appelle proche. C'est sûr que... comparé à là où, où vit Dawn on... on est plus proches, mais je, j'trouve quand, quand même que ça fait un, un peu d'route. Enfin, je, je trouve...
En fonction du côté de Londres où habitait Selma elles devaient bien être à 2h de route si le trafic était favorable, la fillette trouvait que ça faisait du chemin. C'était peut-être le fait qu'elle n'ait pas beaucoup voyagé en dehors du long trajet pour aller à Poudlard qui lui donnait cette vision d'éloignement.

Laissant la plus âgée répondre à la question de Selma, Marine profita du répit qui lui était accordé pour avaler quelque chose, son ventre se détendait peu à peu au rythme de la conversation qui avançait rendant l'instant propice pour commencer le repas. Sa curiosité lui avait fais bien remplir son assiette, elle espérait ne pas avoir eu les yeux plus gros que le ventre. Tout ce qu'elle n'avait jamais eu la chance de goûter auparavant s'y trouvait en petites quantités dans une explosions de couleurs. Écoutant attentivement ses deux camarades pour ne pas se retrouver perdue ensuite, l'anglaise s'attaqua dans le même temps à un coin de son assiette choisi au hasard dont elle savoura les quelques bouchées.

@Dawn Wolf, @Selma Puckle

C.D



Voilà une nouvelle année qui se terminait. Une année presque calme comparée aux précédentes, pas d'attaque, de mages noirs énervés, d'élèves séquestrés, de moldus excités, une année scolaire comme on devrait en avoir plus souvent en somme.

Deryn avait écouté la chorale en se disant que vraiment, ça la tentait de plus en plus cette histoire. Seulement, avec le quidditch, c'était compliqué, mais la musique, c'était cool quand même. Il fallait qu'elle y réfléchisse. Les résultats de la coupe des quatre maisons achevèrent de figer son sourire. Ils avaient gagné ! Les deux coupes de l'année ! Poufsouffle raflait tout en ce mois de juin et l'irlandaise avait applaudi autant que faire ce peu, savourant cet instant précieux avec ses amis tout proche, autour d'elle. Une petite moue était néanmoins apparue sur son visage en apercevant Charlotte, sa meilleure amie totalement absente, concentrée sur son assiette. Poufsouffle certe mais tout de même, ce comportement ne lui ressemblait pas et l'irlandaise attendit que le bruit diminue un peu pour se pencher vers elle.

"Qu'est ce que tu as fait cet après-midi Cha ? Je ne t'ai pas croisé. J'ai fait un saut à la foire de Pré-au-Lard de mon côté. Il y avait un monde fou. J'ai fait le plein de chocolat pour cet été. On a aussi fait un peu de Quidditch, quelques parties de batailles explosives avec Chems et j'ai commencé à préparer mes valises. Les tiennes ne sont pas commencées si ?"

Elle pensait s'arrêter là mais décida d'aller jusqu'au bout finalement ; la franchise était la meilleure solution entre elle deux.

"Tu n'as pas l'air dans ton assiette enfin... si peut-être un peu trop dans ton assiette justement. Ça va ?"

@Charlotte Dwight

En voyant les filles avec lesquelles elle discutait commencer à manger, Dawn regarda son assiette qui commençait sans doute à refroidir. Prise dans la conversation, elle avait oublié la nourriture se trouvant devant elle alors qu’elle venait à peine de terminer de se servir. Il était tellement plaisant de faire connaissance autour de la table. Elle saisit sa fourchette et commença elle aussi à déguster son assiette. Celle qui se présenta comme étant Selma répondit à la question que la septième année lui avait retournée. Effectivement, il y avait moins de distance entre les deux troisième année qu’avec elle. En voiture, il fallait presque quatre heures de route pour rejoindre la capitale. Heureusement que les moyens de transport sorciers existaient pour réduire les temps de trajet.

- La plus grande ville qui se trouve pas très loin, c’est Sheffield. Sinon, y’a Manchester à l’Ouest, mais c’est plus loin. Je dirais qu’on est en plein centre de l’Angleterre.

Marine avait marqué son désaccord avec sa camarade de promotion. Dawn avait souvent eu l’impression que toutes les villes étaient assez éloignées les une des autres au Royaume-Uni, rendant les déplacements long. Aussi, elle partagea avec les deux plus jeunes, la pensée qu’elle venait d’avoir.

- Attendez d’avoir appris à transplaner. Plus aucun voyage n’est long après ça.

C’était plutôt l'atterrissage qui était long à encaisser, du moins pour l’instant. Dawn avait obtenu son permis il y a seulement un peu plus d’un mois.

@Selma Puckle et @Marine Baylacq

Bingo ! Après le froncement de sourcils, le sourire. C'était bien mieux comme ça, et Alexander lui adressa un sourire chaleureux lorsque leurs regards se croisèrent à nouveau. En revanche, celui qu'elle lui rendit, doublé d'un hochement de tête, ne lui semblait pas aussi sincère. Il était différent, moins spontané. Puis le lien qui unissait leurs regards fut rompu un court instant. Que cherchait-elle à lui dire ? Que ses camarades étaient la raison de sa soudaine humeur maussade ? La mention de ce fameux Hayden Huggins semblait avoir fait basculer son humeur. Qui était-il ? Quelle était la relation qu'il entretenait avec Britanny, au point que la simple mention de son nom puisse gâcher un dîner qui en apparence, avait tout pour être joyeux ?

L'anglais leva un sourcil, curieux, lorsque sa camarade de maison attrapa le crayon qu'il avait laissé traîner sur la table et qu'elle se mit à griffonner à son tour sur la serviette. L'attente de savoir ce qu'elle pouvait bien avoir écrit ne fut pas longue, puisque Britanny tendait déjà ça main vers lui. Alexander attrapa le crayon puis glissa ses doigts contre la paume de sa coéquipière pour récupérer le papier qui y était caché. Son regard se posa alors aussitôt sur ce dernier, et le Gryffondor le défroissa doucement, pour éviter de le déchirer. Des dragées surprises ? Son expression changea drastiquement, venant afficher un sourire pétillant de malice. En voilà une bonne idée ! Même si, et Britanny en aurait bientôt la preuve, il avait une tolérance plus haute que la moyenne à ces drôles de friandises. La soirée s'annonçait bien plus amusante que ce dîner morose. Alexander chiffonna à nouveau la boule de papier, et leva les yeux en direction de son amie pour lui offrir un hochement de tête approbateur.

Puis, baissant les yeux sur son assiette, le constat vint le frapper. Il n'avait plus vraiment faim. Il reposa à nouveau son regard sur la rousse, et pointa la sortie de la Grande Salle d'un signe de la tête. On se tire ?

Alexander accepte la proposition de @Britanny Huggins et lui suggère de filer, puisque de toute façon, ce repas est définitivement ennuyeux pour eux.

Fin pour moi je suppose, merci pour ce RP.

@Alexander Luben merci

C.D - D.O'C



Charlotte remuait les petits poids dans son assiette. Elle était à deux doigts de tout avaler et de claquer la porte de la grande salle sans se retourner. D'une, elle ne pouvait pas claquer la porte de la grande salle et de deux, elle regretterait certainement après de ne pas être restée suffisamment longtemps pour pouvoir avoir une idée de ce qu'il s'était passé ce soir là. Et les Poufsouffle qui devaient être très heureux aussi... Il fallait qu'elle reste.

Elle sentit le regard de Deryn peser sur elle et elle tourna un peu la tête vers son amie en faisant des allers retours entre son assiette et les yeux de la Poufsouffle.

- T'as... Rien vu du tout à Pré-Au-Lard ? On a peut-être fait une bêtise avec Eliza et j'm'en veux un peu... On a fait un tour à le fête foraine en début d'aprem. Après fallait que j'aille à la chorale alors il fallait pas que je traine trop.

Pour la deuxième fois, elle allait devoir expliquer ce qu'il s'était passé.

- Ça s'est pas très bien passé parce qu'on a vu un monsieur voler les sourire des gens avec une attraction... J'sais pas si t'as vu des gens rentrer en étant malades ?

Elle soupira, d'une toute petite voix elle murmura.

- On m'a dit qu'y avait un faut détraqueur et Eliza elle s'est fait voler son sourire parce qu'on a voulu savoir ce qu'il trafiquait.

Elle regrettait de ne pas avoir eu le temps de la voir à nouveau. Depuis qu'elle l'avait déposée à l'infirmerie, elle n'avait pas vraiment de nouvelles et si elle avait confiance dans l'infirmier, elle n'était pas certaine d'avoir la possibilité de pouvoir l'aider là. Surtout que son amie ne s'était pas montrée au banquet.

- Il parait que ça va aller mieux pour elle... Mais j'ai vraiment eu peur Deryn, elle parlait plus du tout. On aurait dit qu'elle avait perdu son âme comme avec des vrais détraqueurs.

Elle serra sa main autour de sa fourchette. Ça avait été un beau bazar. Elle se sentait toute barbouillée.
@Deryn O'Connors

C.D - D.O'C - C.D.



La Poufsouffle n'attendait pas forcément une réponse très franche de son amie. Charlotte n'avait peut-être pas envie de partager ses soucis, mais au moins, elle saurait que sa voisine était là, si besoin. L'irlandaise attrapa son verre et après l'avoir levé une énième fois en direction de ses autres voisins pour trinquer en l'honneur de Poufsouffle elle but une bonne rasade de jus de citrouille. C'est à ce moment précis que Charlotte reprit la parole. Les paroles de la blonde se tortillèrent dans le cerveau de la châtain et soudain, le lumos se fit, forçant Deryn a recracher une partie de son jus de fruits, toussant tant et tant qu'elle mit un petit moment avant de reprendre la parole.

"Par Merlin ! La police magique, c'était pour vous ?"

Tout en parlant, elle avait sorti sa baguette et elle fit une petite pause pour nettoyer la table autour d'elle. Les rires autour avaient cessé et l'incident geyser orangé semblait clos. Deryn reprit donc sa discussion, en veillant à ne pas réattirer trop l'attention cette fois-ci.

"On se demandait ce qui se passait. On les a vu embarquer un des sorciers forains. Il... volait les sourires ? Genre... la bonne humeur des gens ? Mais... pourquoi il faisait ça ? Normalement quand tu tiens un manège, c'est pour voir les gens sourirent non ? Enfin... c'était le gars du train fantôme non ? P'être que lui son truc c'est l'inverse."

Elle posa sa main sur les épaules de sa voisine pour la rapprocher d'elle dans un étrange calin.

"Allez, je suis sûre que ça va aller pour Elizabeth. Seuls les vrais détraqueurs peuvent faire des trucs aussi terribles."

@Charlotte Dwight

Mia et Diarmuid semblaient entretenir de bonnes relations avec leurs parents, il était fort agréable pour Tripplehorn d'en faire le constat : selon ses principes, on ne pouvait accorder entièrement sa confiance à quelqu'un qui négligeait les personnes à l'origine de son existence. Pourtant, il n'était pas le plus vertueux à ce sujet. Ses parents - qui l'autorisaient gracieusement à vivre encore parmi eux -, en avaient sûrement des choses à redire sur ce colocataire aux habitudes bien trop princières pour le sorcier qu'il était réellement. Les deux collègues avec qui il partageait un dernier repas quelque peu exotique avaient bel et bien grandi à la campagne, ce qui lui paraissait être un fait assez étonnant - un étonnement dont il s'efforça de ne pas afficher outre mesure. Il fallait dire qu'il conservait quelques aprioris sur les sorciers qui n'avaient pas grandi dans des zones très peuplées, les considérant souvent comme moins civilisés, voire très sauvages. Ces préconceptions n'avaient aucun lien avec le degré de richesse car lui-même venait d'une large famille modeste mais plutôt de la localisation : il associait le fait de grandir dans la campagne anglaise à devoir continuellement être confronté à toute sorte d'espèces magiques invasives et plus ou moins subversives. Au moins, quand on grandissait à Londres, on ne bataillait qu'avec la pollution auditive - problème réglé lorsque l'on maîtrisait assez la magie. Il y avait peut-être aussi des jugements de valeur sur la toilette des sorciers de la campagne, le domaine humide de Poudlard ne lui donnait pas de l'urticaire pour rien. Au moins, ses jeunes collègues ne semblaient pas avoir hérité d'une quelconque sauvagerie campagnarde : Mia avait eu la chance de grandir dans un village côtier et Diarmuid n'avait pas eu le droit d'explorer à l'extérieur du domaine familial. Vivre dans de tels environnements redoutables - pour lui du moins - avait peut-être développé en eux la rage d'atteindre un certain niveau d'expertise dans leurs domaines, cela dit. Avant de répondre à l'infirmier, Tripplehorn sirota son verre de thé frais pompeusement, comme s'il ravalait une certaine vexation que l'on puisse se poser la question à son sujet : bien entendu, qu'il était un sorcier de la ville. « Mon cher, vous parlez à un fier londonien, s'amusa-t-il pour ne pas s'agacer. Ses yeux clairs semblèrent scanner furtivement les deux soignants. Tinworth... Letterkenny... Je n'aurais pas misé sur ces berceaux en vous voyant. » On pouvait seulement sentir que cette information le divertissait au-delà de sa médisance déjà dépassée : Tripplehorn adorait le fait d'être attablé parmi tous ces sorciers qui s'étaient illustrés d'une façon ou d'une autre dans leurs parcours si différents. Il se sentit assez mis en confiance pour leur en faire la remarque : « C'est charmant de travailler avec de si grands esprits... Demain nous prendrons le thé dans ma cabine, en fin de matinée. Vos parcours m'intriguent plus que de raison, et je sens que le mien vous interroge et vous intrigue en retour... Le Maestro se tenait droit, une main sur le torse. Je me ferai une joie de contenter votre curiosité. » S'il n'avait pas l'intention de raconter toutes les péripéties - parfois horribles - qui l'avaient mené à la tête de l'émérite Chœur des Grenouilles, il avait pour idée de leur montrer qu'en quelque sorte, il était honorable de leur sympathie. Tripplehorn avait toujours cet air précieux mais il paraissait surtout très enthousiaste à l'idée d'avoir créé une brèche vers l'accointance de ses deux collègues - bien qu'il n'en était pas du tout à l'origine en réalité : d'autres sorciers que Diarmuid et Mia l'auraient déjà ignoré durant ce dîner, face à toutes ces manières tout à fait inutiles. Peut-être avaient-ils déjà compris à travers leurs expériences différentes avec lui qu'il ne devait pas arriver à s'entendre facilement avec autrui. Si sa proposition de prendre le thé en sa compagnie avait des airs de "J'aime m'écouter parler", elle dissimulait surtout son envie de partager quelque chose de plus sincère avec eux, après les avoir quelque peu malmené durant ces derniers mois - il en était sûrement lui-même conscient quelque part.

@Diarmuid O'Belt : 1 - 3 - 5 - 8 - 10 - 13 - 16
@Mia Vermillon : 2 - 6 - 9 - 12 - 15
Placido Tripplehorn : 4 - 7 - 11 - 14 - 17