Membre du groupe B : @Adaline Macbeth, @Oxy Wright & @Léonidas Vance.

Nous sommes le samedi 13 juin, il est environ 11h05 quand les élèves du groupe B se présentent devant la salle de défense contre les forces du mal. La professeure est déjà devant, elle les attend. Elle prend soin de vérifier la convocation des 5 membres de ce groupe avant de leur souhaiter bon courage puis, elle ouvre la porte pour les laisser entrer.

Une fois dans la pièce vous faites face à deux examinateurs qui vous demandent de décliner votre identité. Puis, ils vous expliquent rapidement le déroulement de l'examen.

- Vous avez sur la table 5 objets, choisissez l'objet que vous désirez puis à notre top, touchez l'objet. Vous l'aurez compris, il s'agit de Portoloin. Un conseil : Retenez bien l'objet.

Les examinateurs attendirent que chacun fasse son choix (Livre, Plume, Tasse, Peluche, Chaussette) puis l'examen commença. Tous les 5 vous vous retrouvez alors dans un lieu que vous ne semblez pas connaitre, une légère brume vous empêche de voir au loin. Vous êtes seul et vous n'avez aucune idée de l'endroit ou vous devez vous rendre...

N.B :

• Vous pouvez utiliser tous les sorts (selon votre niveau) que vous trouverez ici.
• Vous pouvez utiliser les dés (les membres du club Prodigium bénéficie d'un bonus de +2 pour chaque jet).
• Il s'agit d'une péripétie vous pouvez donc écrire entre 110 et 220 mots.

E M P L A C E M E N T - D E S - E L E V E S

Adaline :

Reducio

Oxy :

Reducio

Léonidas :

Reducio

D E A D L I N E - R P : 30.07.2023 à 23h59

En entrant dans la pièce, après avoir salué ma professeure, je m'attends à découvrir un examinateur qui nous explique le déroulement de l'examen. J'imagine que la pièce changera d'ambiance et que ce sera probablement un duel qui commencera - et le dernier en lisse aura la meilleure note.

Alors je fais mon possible pour cacher mon étonnement quand je découvre non pas un mais deux examinateurs. Je décline mon identité, comme mes caramades, et je me plonge dans l'examen : autrement dit j'ouvre grand mes oreilles pour capter la moindre information. L'examen de sortilèges m'a prouvé à quel point les détails sont importants... Je hoche la tête pour montrer que j'ai compris.

Je jette un coup d'oeil aux quatre autres sorciers, avant de choisir un objet, par politesse. Au bout de quelques secondes sans qu'ils ne fassent un mouvement, je fais un pas en avant et pose la main sur le livre.

Après un court voyage à travers le Portoloin choisi, je me retrouve seule dans un endroit que je ne connais pas. Je plisse les yeux mais je ne peux pas voir très loin, alors je décide d'avancer précautionneusement, ma baguette brandie devant moi.

C'est d'un pas mal assuré que j'avance dans la pièce. Je me serais bien cachée derrière les autres mais j'ai la trouille de paraître faible et que les monstres ne me prennent pour cible privilégiée.

J'avance donc, certainement pas en tête, mais j'avance. Je me présente d'une voix presque assurée et écoute les autres faire de même. Au moins, je ne me trompe pas sur mon nom, c'est déjà ça.

Les objets m'intriguent puis me découragent. Un portoloin. On ne va donc pas faire de duel mais se retrouver téléportés dans un lieu inconnu. J'aurais préféré les duels. Au moins, je connais mes camarades et avec eux je sais à quoi m'en tenir.

Bon, je ne dois pas partir découragée d'avance. Peut-être aurais-je la chance dont Miss Valerion parlait et tomberais-je sur une situation qui ne me donnera pas envide de faire pipi dans ma culotte !

Akela dans la main droite, je pose la gauche sur la peluche. C'est forcément bon signe une peluche.

Je me retiens de vomir mon dernier repas, je déteste les portoloins, et raffermis mon équilibre sur les pieds. Une respiration, deux. Pas d'attaque. Bien. J'avance doucement jusqu'à la première intersection et observe autour de moi. Si je n'y vois pas assez bien, je lance un lumos.

Adaline : Vous avancez et vous voyez une personne qui semble avoir votre âge s'en prendre à un petit garçon. Il lui jette des sorts et ne semble pas vous avoir repéré. Le petit garçon crie de douleur.

Reducio

Oxy : En avançant vous vous rendez compte que la prochaine intersection est barrée par une dizaine de Chaporouge lorsqu'ils vous voient, ils s'approchent en courant vers vous.

Reducio

Oh, oh, Oh, oh, Oh, oh. Voilà tout ce qui me vient en tête alors que les faux gobelins qui aiment tremper leurs bonnets dans du sang déboulent face à moi. Un rapide coup d’œil derrière moi me confirme qu'il n'y a rien d'autre qu'une peluche abandonnée et aucune issue.

Pas de panique. Respire. Mais fais vite ! Métamorphoser mon portoloin en dragon pour leur faire peur ? Mais auraient-ils peur ? Ce sont de drôles de créatures...

Un bouclier ? Et après, je me retrouve bloquée. Les coller au sol un par un va me prendre une éternité, il me faut un sortilège plus global.

"Immobulus" je lance avec la gestuelle qui va avec, visualisant tout mon petit groupe s'arrêter. Si nécessaire, je le lance une deuxième fois, ils sont nombreux quand même.

En avançant, je tombe sur un garçon. Non en fait ils sont deux. Je m'arrête net au moment où je comprends ce qui est en train de se passer. Ce garçon, qui a l'air d'avoir mon âge, est en train de lancer des sorts à un plus petit garçon. De là où je suis, incapable de comprendre les sortilèges qu'il jette à un adversaire visiblement trop faible ou trop jeune pour répliquer. Et cet adversaire a l'air de souffrir, je ne sais pas encore de quoi.

Alors je ne fais pas un autre pas, et je pointe ma baguette sur le garçon en train de lancer des sorts. La priorité, c'est de l'arrêter, avant de secourir la victime. Alors je visualise l'agresseur complètement immobilisé, les bras bloqués le long du corps.

Sûre de moi, je lance : « Petrificus Totalus ! » en agitant ma baguette.

Léonidas observe rapidement les quelques camarades se trouvant devant la pièce de Défense contre les forces du Mal, il retrouve Oxy qu'il salue rapidement. Il n'a pas le temps d'engager la discussion puisque Miss Valerion les attend déjà.

Léonidas entre à la suite des autres dans la salle, faisant face à deux examinateurs, chose assez inhabituel, il ne dit rien et écoute silencieusement les instructions, un portoloin. Léonidas déglutit, il détestait les voyages en Portoloin qui lui donnait toujours envie de vomir. Il devait toutefois ne pas se laisser déstabiliser, n'ayant aucune idée de la situation dans laquelle il allait se retrouver.

Il s'avança alors et prit un objet au hasard, il sentit le monde tourner autour de lui avant de se retrouver dans un endroit qui n'avait rien d'accueillant et qui ne lui disait absolument rien. Il avait beau essayer de plisser les yeux, il n'arrivait pas à voir bien loin, peu rassuré le jeune Serpentard dégaina sa baguette et avança prudemment, scrutant les alentours.

Oxy : Les Chaporouges ne sont pas difficiles à maitriser et vos deux lancers permettent de les immobiliser. Vous pouvez passer tranquillement. En avançant vous vous rendez compte que deux choix s'offrent à vous prendre à droite en direction d'une flaque de sang... Ou prendre à gauche en direction d'un Epouvantard.

Reducio

Adaline : Vous lancez Petrificus Totalus sur l'adolescent qui ne parvient pas à se défendre et se retrouve totalement pétrifié. Le petit garçon est tremblant et n'ose plus bouger. Vous n'êtes pas à proximité et pourtant vous pouvez presque entendre ses dents claquer.

Léonidas : Vous avancez avec prudence et arrivez à une intersection sur votre gauche il fait très sombre et un vampire semble vous attendre tandis que sur votre droite il ne semble rien y avoir de particulier.

Reducio

Bon, les créatures amatrices de sang, c'est fait. Je passe à côté en rasant les murs, je ne voudrais pas les toucher par inadvertance et je continue mon chemin.

Intersection. A droite une flaque d'un liquide rouge que je refuse d'analyser. Je fais un pas sur le gauche quand une horreur sans nom me parvient. Mon cerveau met du temps à braver la poussée de terreur et d'adrénaline qui semblent tout occulter pour m'expliquer qu'il s'agit là d'un épouvantard. Et que je sais comment m'en débarrasser. En théorie.

En pratique je pars à droite, je préfère encore aller voir côté flaque de sang !

Mon sortilège fait mouche, l'assaillant cesse de bouger brusquement. Je profite du calme pour me rapprocher à pas feutrés de la victime, gardant ma baguette à la main prête à me défendre. Mon regard reste braqué sur le garçon que je viens d'immobiliser alors que je me rapproche du petit garçon qui est resté au sol. Ma baguette aussi est braquée sur le lui, pour parer plus rapidement un coup à l'aide d'un Protego, si jamais mon sortilège ne l'immobilise pas assez longtemps.

J'avance délicatement mais je ne traîne pas et je ne tarde pas à rejoindre le petit garçon. Je me penche sur lui, en tentant de garder l'autre garçon dans mon champ de vision pour pouvoir réagir.

« Je ne vais pas te faire de mal, je suis là pour t'aider. Dis moi où tu as mal. »