Dans la salle de classe, Selah n'a pas toujours l'occasion de faire attention à tout ce qu'il se passe, mais la professeur peut compter sur la tête de cerf magique, qui surveille les élèves.

Afin de donner un peu de matière et de vie aux échanges entre Selah et les élèves, ce sujet vous propose de poster des one-shot de minimum 220 mots concernant le comportement de votre personnage lorsqu'il est en classe. Votre élève peut être en train de bâiller, jouer avec un camarade de classe ou simplement poser une question à propos du cours. Les interactions ne doivent pas forcément être incroyables et surprenantes. Ecrivez simplement comment votre élève se comporte en cours de métamorphose.

Chaque interaction met en jeu 5 PR maximum. Vous pouvez les perdre, si votre personnage est une petite peste, ou les gagner, si Selah estime que vous le méritez. Vous pouvez poster dans ce sujet une fois par mois. Vous n'avez pas besoin de mon autorisation pour poster.

POUR BIEN POSTER DANS CE SUJET :

Assise au fond de la salle pour la petite session révisions pratiques du jour, Astrid fixait avec une moue dépitée la table devant elle. Pourtant, elle le connaissait, ce sort, ils l'avaient étudié l'an passé, alors pourquoi est-ce qu'elle avait toujours autant de mal? Expirant, elle ferma les yeux et reprit sa baguette pour la troisième fois au moins depuis le début de ces petites 20 minutes dédiées. Elle se concentra, et s'efforça de faire le vide dans son esprit. Elle visualisa ensuite l'oiseau qu'elle avait vu avec Louie, le jour de l'anniversaire du garçon. Ce jour n'était pas plus spécial qu'un autre à ses yeux, mais c'était la fois où elle avait vu un volatile de plus près, et donc l'expérience qui lui apportait sans doute la meilleure base. Elle détailla un maximum ses plumes noires, son regard encre mais si intelligent, ses petits sauts pour se déplacer sans la quitter des yeux. Puis, elle regarda le parchemin qu'elle était censée transformer. Elle s'imagina le papier devenir noir, se replier sur lui même pour prendre la forme de la corneille, se déchirer par endroit pour former les plumes...

Elle agita sa baguette, et prononça la formule sans hésitation. La théorie ne lui posait pas de problème, mais pourtant... La feuille s'anima, comme prévu, formant une boule avant de s'étirer pour prendre la forme de l'animal souhaité. En même temps, elle se colora progressivement de noir, jusqu'à se figer dans sa forme finale. D'un mouvement saccadé, "l'oiseau" tourna la tête vers Astrid et ouvrit le bec comme pour croasser, mais aucun son ne sortit. La fillette se pencha sur sa métamorphose, et remarqua qu'en plus de ces deux deux premiers défauts, l'une des pattes était littéralement froissée, et certaines de ses plumes en dessous de la première couche avaient gardé leur teinte beige et leur texture parcheminé. Elle avait fait un magnifique origami presque animé, mais ce n'était clairement pas un vrai oiseau véritable.

Elle soupira et tourna la tête vers son voisin, qui semblait bien plus doué qu'elle.


Elle avait beau maîtriser son cours, ses métamorphoses avaient toujours un problème, à chaque fois. Et elle n'était pas sûre de comprendre ce qu'elle faisait mal. Pourtant, elle voulait s'améliorer, ou du moins ne pas se retrouver en difficulté cette année. Peut-être qu'Ernest pourrait être son Lukas de Métamorphose?

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@Ernest Stevens
Fiche de PR par ici. Merci beaucoup pour ce système m'dame!
Si vous voyez des choses incohérentes n'hésitez pas.
preum's

Ernest s’était réjoui tout l’été de retourner en classe, de pouvoir recommencer à utiliser sa baguette et de reprendre ses expériences là où il les avait laissées. De reprendre le cours d’une vie normale, en somme. Mais depuis son retour à Poudlard, rien ne s’était passé comme il l’avait imaginé. Pourtant, pendant ces deux longs mois de vacances, il avait eu le temps d’inventer toutes sortes de scénarios. Mais la réalité se heurtait sans arrêt à ces illusions d’adolescent.

L’annonce du remplacement de son professeur de Métamorphose faisait partie de ces nouvelles qui sont comme un caillou dans une chaussure. Une légère gêne qui pourrait passer inaperçue si elle ne se rappelait pas à votre souvenir à chaque pas. Ernest n’aimait pas le changement. Et malgré l’air passablement aigri et détaché du professeur Lynch, son ancien professeur avait toujours fait preuve d’une constance exceptionnelle dans son humeur et d’uniformité dans ses cours. Forcément, il avait très vite gagné des points avec le garçon qui une fois qu’il avait su à quoi s’en tenir s’était senti beaucoup plus à l’aise.

À présent, il fallait tout recommencer depuis le début. Nouvelle prof, nouvelles habitudes, nouvelles attentes. Il lui faudrait à nouveau passer par cette phase d’observation contraignante et reprendre confiance en lui-même. Sans surprise, il avait choisi d’occuper une place reculée, contre un mur. Quand le moment fut venu de reprendre un peu la pratique et de se remettre la baguette en main, il se glissa naturellement dans le coin le plus isolé de la classe.

Heureusement, une partie des premières heures de cours était dédiée à la révision des acquis. Sur lesquels Ernest ne se reposait jamais. Malgré cette coupure de magie imposée, la Métamorphose avait peut-être été la seule matière avec laquelle il ne s’était pas senti complètement déconnecté. En dépit de l’absence de pratique, il avait pu continuer à explorer le champ des possibles et réaliser que la seule limite était celle de son imagination.

Sa petite perruche verte perchée sur son épaule, Ernest se tourna vers la petite voix qui l’avait interpellé et s’approcha de la table d’Astrid pour observer son oiseau de plus près.

“Moi j’le trouve bien ton oiseau, c’est ingénieux l’idée de l'origami…”

Il n’en avait pas fallu plus pour lancer la conversation. Ernest avait beau être introverti, parler de magie lui déliait toujours la langue. Les deux adolescents débattirent de l’importance de la visualisation et échangèrent leurs expériences respectives. Il lui montra les notes et les croquis qu’il avait fait pendant les grandes vacances et lui parla des perruches de Hyde Park et de cette journée particulièrement pluvieuse où il s’était retrouvé hagard, une dizaine de spécimens posées dans sa tignasse noire et sur ses épaules frêles. De son k-way détrempé et de son bras maigre au bout duquel les demoiselles se relayaient pour picorer la pomme qu’il tenait. Il lui parla de la sensation de leurs petites serres qui pinçaient sa peau et des pépiements aigus et joyeux qui sifflaient à ses oreilles.

Puis il lui raconta les anciens livres naturalistes qu’il allait feuilleter chez le vieux libraire en face de chez lui et ses visites au Museum d’Histoire Naturelle de Londres dans lequel il s’oubliait en imaginant les gigantesques squelettes reprenant chair et vie sous ses yeux. Enfin plutôt dans ses rêves. Il lui parla surtout de la manière dont il s’appropriait les détails pour en faire sa propre vérité. Il n’y avait pas une métamorphose parfaite, elles étaient toutes à l’image de leur sorcier ce qui les rendait plus extraordinaire les unes que les autres.

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@Astrid Keaty
Fiche de PR par ici. C'est vraiment une très chouette idée ! Merci pour l'opportunité !
Comme Astrid, n'hésitez pas à me hibouter si quelque chose ne va pas.

Un petit lapin... Deux petits lapins... Trois petits lapins...
Alors que certains comptent les moutons pour s'endormir, moi, je commençais à voir des petits lapins partout. Il faut dire que j'avais noirci quelques pages de mon carnet réservé à mes recherches pour mes cours de métamorphose. J'y avais représenté de nombreux dessins et croquis de lapin, des tout blanc, des noir et blanc... des tout petit aussi. Certains avec des oreilles dressées alors que chez d'autres, elles retombaient de chaque côté de la tête.
Et quand j'en aurais fini avec les lapins, ça serait au tour des chats et des chiens. J'allais finir par être une experte en anatomie animalière.

Installée à l'une des tables de la salle de métamorphose, mon carnet ouvert en face de moi, je le feuillète pour me remettre en mémoire les différentes particularités de l'animal que je veux faire apparaitre à partir du petit coussin posé sur la surface de bois du meuble.
Une fois mon choix établit, je visualise les différentes transformations à réaliser. Il faut modifier la forme, transformer la matière pour former le squelette, les organes et la fourrure soyeuse de l'animal. Et c'est là tout l'intérêt de mon carnet.
Lapifors !, prononçais-je avec détermination tout en réalisant la gestuelle associée à cette métamorphose.
Un petit lapin gris aux oreilles tombantes est à présent sur la table, ses yeux fixés sur moi.

@Astrid Keaty&@Ernest Stevens

Selah passe près de chaque bureau pour s'assurer que tout le monde s'en sort. Elle comptait aider Astrid quand Ernest décide de l'encourager. Elle note les encouragements bien placés d'Ernest et l'ingéniosité d'Astrid. + 5PR chacun

@Erin Fergusson

Selah félicite Erin pour son Lapifors bien lancé, et jette un oeil sur les recherches. Fière d'avoir des petits artistes en classe, la professeur gratifie la Serdaigle d'un sourire satisfait. +5PR

La métamorphose était le seul cours d'Ennis dans la journée du jeudi. Enfin non, il y avait bien l'astronomie mais c'était le soir, après la ronde préfectorale. Elle profitait donc de sa matinée pour faire des exercices physiques ou magiques, ses devoirs, réviser ou se détendre. Et ce matin, elle avait choisi l'option des révisions puisque le sujet du cours de l'après-midi était particulièrement théorique. La préfète l'avait assez succinctement abordé avec Aelle et leur correspondantes l'année passée, plus pour dire que c'était quelque chose de relativement survolé à Poudlard par rapport à Uagadougou ou Durmstrang. C'était un pan de la magie assez technique aux yeux de l'irlandaise et malgré une bonne prise de note, ce n'était pas très évident à intégrer... parce que très théorique.

Aussi, en cours, elle était attentive, pas que ça soit inhabituel la concernant, mais il s'agissait pour elle d'une écoute active avec une prise de note bien à elle. Son parchemin se remplissait de symboles - ceux liés aux éléments, ça allait de soit - mais aussi les siens. Des runes souvent, mais aussi des petits éléments figuratifs mêlés de mots écrits entièrement ou sous forme d’abréviation, en anglais ou irlandais. Il y avait aussi des éléments en couleur grâce à ses portes-plumes à réservoir, ça permettait de mettre en avant certains éléments. Et en parlant de ça... Ça amena plusieurs questions dans l'esprit de l'irlandaise qui la nota pour la poser à un moment dédié; une période de silence entre deux explications ou bien tout simplement quand Miss Crane leur demanderait si quelqu'un avait une question. "Est-ce qu'il y a des périodes où utiliser l'alchimie est plus propice? Un moment de la journée, du mois ou de l'année? Est-ce qu'on a pu noter une influence de certains phénomènes astronomiques?" Et quand elle aurait obtenu réponse, elle poursuivrait. "Quelle est l'utilité de l'alchimie dans des procédés magiques que nous maîtrisons plus; dans les potions ou bien l'utilisation des runes ou la botanique par exemple? Quelles sont les apports de cette discipline?" Comme souvent il s'agissait de questions précises ou techniques et elle noterait les réponses consciencieusement.


Fiche PR

La baguette au devant de la table, alignée dans la longueur, elle patiente. Elle attend d’être intéressée, stimulée, à l’image de son propriétaire qui ne l’est pas. Je tente de maintenir au mieux mes soupires de désespoir, mais transformer une tortue en théière ne m’intéresse pas. Je préfère jouer avec la tortue, lui donner un petit coup d’index sur la tête pour calculer le temps qu’elle met avant de rentrer dans sa carapace, et lui proposer une feuille de parchemin à goûter. Non, visiblement, elle n’est pas intéressée. Mon poing soutenant ma tête depuis dix minutes, je me redresse lorsque je crois que Miss Crane passe dans mon rang et me mets au travail.

Je saisis ma baguette et me concentre sur la tache. Je la retourne sur le dos en ajoutant un petit « désolé » à son attention, et me concentre sur la visualisation. Je commence par sa tête, pensant la transformer en bec de théière, et la bosse de sa carapace comme l'anse de la théière. Les rapports de taille ne sont pas vraiment les mêmes, et la tâche me semble plus complexe. Je ne sais même pas si tout cela est correct, mais je tente.

— Gastropothee !

Bon, de toute évidence, ça ne l’était pas. Déjà découragé par un exercice qui n’a aucune utilité, je repose ma baguette à son endroit initial et retourne la tortue pour la laisser vivre sa petite vie paisible de tortue. Je penche la tête en arrière, pour tenter de choper l’attention de ma professeure.

— Miss… Est-ce que si je réussis cet exercice, ça veut dire que je peux aussi apprendre à transformer la main de quelqu’un ?

Là, au moins, l’exercice serait plus intéressant et plus utile. Là, au moins, mon intérêt et ma détermination seraient au rendez-vous.

Les cours de métamorphose dès le matin ne dérangeaient pas la jeune sorcière tant que ça. À vrai dire, cela lui permettait de rester éveillée, d'autant plus que la concentration était requise dans cette matière. Ce jour-là, elle arriva à l'heure dans la salle de classe, munie de sa baguette et de son manuel puis s'assit à côté d'une amie pour engager la conversation. Dès que la professeure pénétra dans la salle, la rouquine se tut.

Cela lui faisait toujours une sensation étrange en voyant que l'enseignant de métamorphose n'était plus Aydan Lynch mais Miss Crane. En soi, cette dernière n'avait pas l'air méchante et Cheryl l'appréciait déjà. Mais elle s'était habituée aux cours et façons de faire de ce dernier.

Le cours de ce mercredi-là portait sur la métamorphose du chien. Comme quoi, il existait des métamorphoses de tout et n'importe quoi. Légèrement dans la lune durant la partie théorique, dès que ce fut le moment de se lancer à la partie pratique, la Serpentard dégaina sa baguette tel un chevalier dégainant son épée et se leva de sa chaise pour s'entraîner.

Après s'être concentrée plusieurs secondes en fermant les yeux et en agrippant fermement sa baguette, la jeune Styles visualisa le livre qui se trouvait devant elle se transformer en chien. D'abord la tête, puis le corps, et enfin la queue. Dès qu'elle fut prête, elle prononça distinctement :

— Canifors !

Bingo ! Le livre se transforma peu à peu en petit chien. La fillette s'empressa de s'en approcher pour le câliner, fière de son premier lancer.

Lylas avait fini l'année précédente avec une moyenne d'EE. Elle avait travaillé toute l'année pour maintenir cette dernière et ses efforts avaient payé. Elle aurait donc dû arriver à son premier cours de l'année totalement détendue et bien motivée. Néanmoins, une chose la stressait et l'empêchait d'appréhender ce cours de manière sereine : Mister Lynch n'était plus professeur cette année. En effet, entre fin juin et début septembre certains professeurs avaient décidé de ne pas revenir au château. Ainsi Lylas s'apprêtait à entrer dans la salle de métamorphose pour suivre un cours qui lui serait dispensé par une parfaite inconnue. Les seules informations que la gryffone avait réussi à avoir étaient son nom et son apparence, qui soit dit en passant, pouvait potentiellement changer puisqu'elle était professeure de métamorphose...
Ayant énormément travaillée sur sa ponctualité, Lylas arriva à l'heure pour le cours et remarqua que la salle avait, elle aussi, changé. Lylas observa pendant quelques secondes la nouvelle disposition de la salle de classe et finit par esquisser un rapide sourire en guise de validation silencieuse.
Elle choisit de s'asseoir dans la rangée du milieu, du côté où il n'y avait qu'une table de deux et bien entendu vers le mur et non côté allée.
La cinquième année, bien qu'un peu tendue, attendait impatiemment le début du cours. Elle avait déjà eu l'occasion d'apercevoir sa future professeure dans le château et l'avait trouvé au premier abord plutôt sympathique. Est-ce que les apparences seront trompeuses ?

La gryffone avait bien entendu révisé la partie théorique de la métamorphose pendant les grandes vacances. De son plein gré ? Oui, et non. Sa mère ne lui laissait pas le choix de continuer à étudier et surtout si elle n'avait pas obtenu O à l'examen final... Néanmoins même sans cette stupide obligation, Lylas aurait révisé un petit peu. Ainsi, Lylas était au point sur toute la théorie.
Premier cours est synonyme de revoir les notions de l'année précédente. Au moins la dessus, la gryffone ne se sentait pas dépaysée. Comme à son habitude, elle ne répondit pas aux premières questions posées par sa professeure, mais elle leva la main et donna des bonnes réponses vers le milieu du cours. Elle resta attentive et pris quelques notes de ce qu'elle avait tendance à oublier l'année passée.

Puis ce fut l'heure de la partie pratique, celle que Lylas redoutait. La raison de cela : aucune pratique depuis 2 mois. Il allait falloir se concentrer un maximum. Lylas observa autour d'elle pour se détendre avant de se lancer. Elle entendait diverses formules de métamorphose autour d'elle, certaines atteignaient leur objectif, d'autres non. Mais la plupart des élèves persévéraient et l'ambiance était plutôt bonne. Cela encouragea Lylas à tenter à son tour. Elle n'avait aucune idée de métamorphose à lancer, elle entendit un "Colovaria" et choisit de tenter cela à son tour...
Lylas attrapa un livre, ferma les yeux et se concentra sur sa respiration pour se détendre. Une fois prête, elle dit :

" Colovaria !"

Réussi. Lylas était contente. Néanmoins, elle se promit de revenir s'entraîner un peu chaque week-end jusqu'à avoir réussi à relancer toutes les métamorphoses apprises jusqu'ici.

Ce premier trimestre s'annonçait palpitant. Nous allions étudier plusieurs sorts de métamorphose trans-substantielle, et notamment ceux permettant de transformer un objet en êtres vivants.
Je devais avouer que c'était les sorts qui m'intéressaient le plus, car ils annonçaient l'études des sorts inter-espèces, d'un être vivant en un autre, voir en humain. Le prémisse des aminagus.

Après avoir étudié les lapins sous toutes les coutures et sous toutes ses formes, c'était au tour des félins et des canidés : Felifors, la métamorphose du chat et Canifors, la métamorphose du chien. Cela avait été l'occasion d'enrichir mon carnet de nombreux dessins et descriptions sur certaines races.
Pour les chats, pas trop de soucis lors du passage à la pratique. Certes, les différentes races avaient lors propres caractéristiques, comme la longueur et la couleur du pelage, mais ils avaient tous à peu près le même gabarit. Mais pour les chiens, c'était une autre histoire. Entre la vingtaine de cm d'un Chihuahua et les 90 d'un Saint-Bernard ou d'un Dogue Allemand, ce n'était pas la même chose.
C'est pour cela que j'avais concentré mes recherches sur les races de petits chiens. Et puis, il faut dire qu'ils sont vraiment craquant. On dirait presque des peluches.

Mon préféré du moment, le Loulou de Poméranie, plus connu sous le nom de Spitz nain.
- Canifors !, lançais-je après avoir pris le temps nécessaire à la préparation du sort.
Avec émerveillement, je vois la boite en bois se métamorphoser en un adorable petit chien.