Composer avec le passé sorcier
Alors que le reste des élèves entre en classe et que le chef de choeur explique l’objectif et le déroulement que prendra ce cours, je vais chercher la bougie verte, qui représente la première année à Poudlard, et la place sur ma table. Au passage, je prends l’un des ouvrages que le professeur a mis à notre disposition : Les grandes découvertes magiques. Je n’en n’ai jamais entendu parlé, mais je sens qu’il regorge d’éléments insolites qui ne manqueront pas d’attiser ma curiosité.
Je commence à feuilleter l’ouvrage et me dirige tout naturellement vers les pages concernant l’Amérique latine, et plus particulièrement le Pérou. Cette contrée si mystérieuse à mes yeux doit bien regorger de dizaines de découvertes surprenantes, non ? Joaquín m’en a beaucoup parlé, de son pays natal, mais je sais qu’il me reste énormément de chose à découvrir à son sujet. Les incas, les conquistadors, les champs de bataille et les ruines de ces civilisations déchues, voire oubliées pour certaines. Utilisaient-ils la magie ?
Joaquín m’avait décrit les paysages magnifiques du Pérou, avec ces vallées, ces lacs à une altitude inconcevable, ces montagnes enneigées, ce désert, … C'est avec cette nature merveilleuse que je m’égare dans mes pensées.
Quand je reviens à moi, une agitation s’est répandue dans la salle. Le professeur et des élèves se sont rassemblés, comme s’ils organisaient une réunion. En les écoutant quelques instants, je comprends enfin ce qui se déroule sous mes yeux : une reconstitution d’une réunion au Ministère de la Magie, l’ancêtre du Conseil des Sorciers ! Sans hésiter, je prend un bout de parchemin et y inscrit un département du Ministère qui n’est pas encore utilisé : Département des accidents et catastrophes magiques.
Muni de mon bout de parchemin, je rejoint le petit groupe et m’installe autour de la table. Veuillez excuser mon retard, chers collègues. Une affaire urgente m’a retenue.
Urgente, c’est bien ça. J’ai du oublietter toute une série de moldus.
Je prête maintenant attention aux échanges de mes camarades.
333 mots
Bien vivre, c'est faire une étoile de chaque rêve et de chaque étoile, l'essentiel.
Je commence à feuilleter l’ouvrage et me dirige tout naturellement vers les pages concernant l’Amérique latine, et plus particulièrement le Pérou. Cette contrée si mystérieuse à mes yeux doit bien regorger de dizaines de découvertes surprenantes, non ? Joaquín m’en a beaucoup parlé, de son pays natal, mais je sais qu’il me reste énormément de chose à découvrir à son sujet. Les incas, les conquistadors, les champs de bataille et les ruines de ces civilisations déchues, voire oubliées pour certaines. Utilisaient-ils la magie ?
Joaquín m’avait décrit les paysages magnifiques du Pérou, avec ces vallées, ces lacs à une altitude inconcevable, ces montagnes enneigées, ce désert, … C'est avec cette nature merveilleuse que je m’égare dans mes pensées.
Quand je reviens à moi, une agitation s’est répandue dans la salle. Le professeur et des élèves se sont rassemblés, comme s’ils organisaient une réunion. En les écoutant quelques instants, je comprends enfin ce qui se déroule sous mes yeux : une reconstitution d’une réunion au Ministère de la Magie, l’ancêtre du Conseil des Sorciers ! Sans hésiter, je prend un bout de parchemin et y inscrit un département du Ministère qui n’est pas encore utilisé : Département des accidents et catastrophes magiques.
Muni de mon bout de parchemin, je rejoint le petit groupe et m’installe autour de la table. Veuillez excuser mon retard, chers collègues. Une affaire urgente m’a retenue.
Urgente, c’est bien ça. J’ai du oublietter toute une série de moldus.
Je prête maintenant attention aux échanges de mes camarades.
333 mots
Logan feuillette Les grandes découvertes magiques, puis, sortant de ses pensées, rejoint la réunion du Ministère de la Magie avec le rôle de Ministre du Département des accidents et des catastrophes magiques
Bien vivre, c'est faire une étoile de chaque rêve et de chaque étoile, l'essentiel.
Composer avec le passé sorcier
L'animateur de la séance de révision d'histoire de la magie avait proposé de réaliser une reconstitution d'une réunion au sein du ministère de la magie.
D'un certain côté, ça me fait penser à l'examen de première année, où avec d'autres camarades, nous avions du interpréter le rôle des fondateurs de Poudlard. L'exercice aurait pu être amusant si je n'étais pas tombé sur Salazar Serpentard. Difficile de jouer un personnage qui avait des idées opposées aux miennes. L'école que voulait Serpentard, celle réservait uniquement aux sangs-purs... une école om je n'aurais pas eu ma place, en gros.
La pièce que voulait nous faire jouer le chef de chœur avait le mérite d'être bien plus passionnante, une sorte d'enquête suite à des vols à répétitions dans l'une des rue de Pré-au-Lard. Le Ministre s'adressa en premier à Ernest qui m'avait donc suivi. Le jeune Serpentard jouait le rôle du chef de département de la justice magique. Puis, ce fut à mon tour que l'adulte s'adressa, parlant de la possibilité de l'implication d'une créature et il me demanda de quels services du département de contrôle et de régulation des créatures magiques on aurait besoin pour résoudre ce mystère. Puis, c'est vers Eli qu'il poursuivit, parlant d'un artéfact qui aurait été voler à un langue-de-plomb.
Réfléchissons : des vols de bijoux mais aussi de pièces de monnaies... des objets brillants, donc... Oh, un niffleur ? J'avais déjà eu l'occasion d'observer ceux présents dans la zone de soin aux créatures magiques et j'avais lu dans le livre de Dragonneau que ces petites créatures au pelage noir avait une poche ventrale dans laquelle ils rangeaient leur butin. Les niffleurs ne résistent pas à ce qui brille.
Est-ce que ça pourrait être une autre créature ? Il y a bien les démiguises qui sont capables de se rendre invisible, mais il y a peu de change d'en trouver un en Grande-Bretagne, non ? Alors que les niffleurs en sont originaire.
C'est l'arrivée d'un autre élève qui me sort de mes réflexions. Je lui adresse un petit sourire avant de répondre à la question du chef de chœur.
- Je pense qu'il faut faire intervenir le Service des animaux., commençais-je à dire.
Les créatures magiques étaient classées en trois catégories, les esprits, les êtres et les animaux. Et la grande majorité des créatures appartenaient à cette dernière. Les gobelins et les elfes de maisons, tous deux dans la catégorie des êtres avaient un service à part qui leur était consacré.
- En effet, je suspecte un niffleur. Ce sont des petites créatures, donc, elles peuvent facilement se faufiler et de plus, elles sont attirées par ce qui brille, comme les colliers, les bagues ou encore les galions. Et enfin, elles sont présentes en Grande-Bretagne., expliquais-je.
Dès qu'il fallait parler de créatures, j'avais du mal à m'arrêter.
D'un certain côté, ça me fait penser à l'examen de première année, où avec d'autres camarades, nous avions du interpréter le rôle des fondateurs de Poudlard. L'exercice aurait pu être amusant si je n'étais pas tombé sur Salazar Serpentard. Difficile de jouer un personnage qui avait des idées opposées aux miennes. L'école que voulait Serpentard, celle réservait uniquement aux sangs-purs... une école om je n'aurais pas eu ma place, en gros.
La pièce que voulait nous faire jouer le chef de chœur avait le mérite d'être bien plus passionnante, une sorte d'enquête suite à des vols à répétitions dans l'une des rue de Pré-au-Lard. Le Ministre s'adressa en premier à Ernest qui m'avait donc suivi. Le jeune Serpentard jouait le rôle du chef de département de la justice magique. Puis, ce fut à mon tour que l'adulte s'adressa, parlant de la possibilité de l'implication d'une créature et il me demanda de quels services du département de contrôle et de régulation des créatures magiques on aurait besoin pour résoudre ce mystère. Puis, c'est vers Eli qu'il poursuivit, parlant d'un artéfact qui aurait été voler à un langue-de-plomb.
Réfléchissons : des vols de bijoux mais aussi de pièces de monnaies... des objets brillants, donc... Oh, un niffleur ? J'avais déjà eu l'occasion d'observer ceux présents dans la zone de soin aux créatures magiques et j'avais lu dans le livre de Dragonneau que ces petites créatures au pelage noir avait une poche ventrale dans laquelle ils rangeaient leur butin. Les niffleurs ne résistent pas à ce qui brille.
Est-ce que ça pourrait être une autre créature ? Il y a bien les démiguises qui sont capables de se rendre invisible, mais il y a peu de change d'en trouver un en Grande-Bretagne, non ? Alors que les niffleurs en sont originaire.
C'est l'arrivée d'un autre élève qui me sort de mes réflexions. Je lui adresse un petit sourire avant de répondre à la question du chef de chœur.
- Je pense qu'il faut faire intervenir le Service des animaux., commençais-je à dire.
Les créatures magiques étaient classées en trois catégories, les esprits, les êtres et les animaux. Et la grande majorité des créatures appartenaient à cette dernière. Les gobelins et les elfes de maisons, tous deux dans la catégorie des êtres avaient un service à part qui leur était consacré.
- En effet, je suspecte un niffleur. Ce sont des petites créatures, donc, elles peuvent facilement se faufiler et de plus, elles sont attirées par ce qui brille, comme les colliers, les bagues ou encore les galions. Et enfin, elles sont présentes en Grande-Bretagne., expliquais-je.
Dès qu'il fallait parler de créatures, j'avais du mal à m'arrêter.
Composer avec le passé sorcier
Gideon avait tant été surpris par le changement de scène qu'il prit un moment pour ouvrir le bouquin et trouver un département qui un a un se faisait piger par d'autres. Les autres s'avançaient, idées en main, mais Gideon ne savait pas quoi choisir, et puis un seul mot lui sauta aux yeux "catastrophes". Il se mit sur ses pieds pour se rajouter au groupe.
Il allait se rajouter, mais un autre, cette fois de première année, s'était immiscés. Il semblerait qu'il ne se rejoigne pas à ce rythme. Comment le pouvait-il alors que tout ce qui s'y rapportait l'avait détourné de l'étude ?
— Désolé, du retard, il soupira en s'approchant du groupe qui discutait de cambriolage. Comme si le ministre de la coopération internationale pourrait aider. Séries de contrats sur les chaudrons...Rien d'intéressant...
Au moins, il participait. C'était mieux que rien. Il ne voulait pas partir maintenant qu'il avait changé l'air de la classe. Peut-être que cela l'aiderait à donner cours à ses tutorés. Il en avait quelques-unes après tout.
Il écouta autour de lui la discussion. Série de cambriolage à Pré-au-Lard. Des bijoux manquants. Regardant son livre Gideon pensa aux départements avec une utilité.
— Je pourrais...voir l'Organisation internationale du commerce magique, voir si les bijoux se retrouvent à l'étranger souvent... C'était toujours dans les films d'action. Après avoir volé, il fallait s'en débarrasser.
3A RP, tronc commun| #b47b0a
Il allait se rajouter, mais un autre, cette fois de première année, s'était immiscés. Il semblerait qu'il ne se rejoigne pas à ce rythme. Comment le pouvait-il alors que tout ce qui s'y rapportait l'avait détourné de l'étude ?
— Désolé, du retard, il soupira en s'approchant du groupe qui discutait de cambriolage. Comme si le ministre de la coopération internationale pourrait aider. Séries de contrats sur les chaudrons...Rien d'intéressant...
Au moins, il participait. C'était mieux que rien. Il ne voulait pas partir maintenant qu'il avait changé l'air de la classe. Peut-être que cela l'aiderait à donner cours à ses tutorés. Il en avait quelques-unes après tout.
Il écouta autour de lui la discussion. Série de cambriolage à Pré-au-Lard. Des bijoux manquants. Regardant son livre Gideon pensa aux départements avec une utilité.
— Je pourrais...voir l'Organisation internationale du commerce magique, voir si les bijoux se retrouvent à l'étranger souvent... C'était toujours dans les films d'action. Après avoir volé, il fallait s'en débarrasser.
Je choisi la coopération internationale
3A RP, tronc commun| #b47b0a
Composer avec le passé sorcier
Parmi les “grands”, Ernest se sentait alors investi d’une réelle mission. On le laissait participer avec les élèves plus âgés, il fallait qu’il se montre à la hauteur. Alors non, l’Histoire de la magie, ce n’était pas son fort. Mais là, on parlait d’un truc qui n’était pas si vieux. Enfin… un truc que sa mère avait connu. Il était encore jeune quand le conseil avait repris la main sur le Ministère et même s’il n’était pas sûr de comprendre tous les tenants et aboutissants qui avaient mené au système politique actuel, il avait quelques notions sur ce qu’avait été le Ministère de la Magie. Et puis la Brigade de Police magique n’était pas tellement différente. À cette différence qu’il n’y avait plus d’aurors. Plus comme avant en tout cas.
Et puis le Chef de la chorale, il avait l’air de prendre cette leçon hyper à cœur. S’il n’avait pas été entouré que de gamins, l’adolescent aurait presque cru qu’il s’agissait du vrai Ministre Cornelius Fudge. Sauf que lui, s’il était encore en vie, il serait méga vieux. Ernest essayait de visualiser la scène mais n’étant jamais allé à Pré-au-Lard, il ne pouvait qu’imaginer les commerces qui s’y trouvaient grâce aux bribes de conversation qu’il collectait dans sa Salle commune. Mais bon, ça devait être un peu comme le Chemin de Traverse, sur le principe.
“Comme… un pickpocket ?”
Sa mère moldue lui avait lu Oliver Twist et la description lui faisait penser aux méfaits des petits orphelins. Mais ce n’était pas la question. Le petit brun se concentra sur le département de la Justice. Qui arrivait sur les lieux d’un vol ou d’un cambriolage ?
“Bin.. la Brigade de la police magique d’abord… et puis.. selon que les objets volés soient magique ou pas… euh… le service d’usage intempestif de la magie ? Si c’est magique… ou si c’est volé avec de la magie… et puis… le service de détournement des objets moldus ?”
Il tâtonnait et essayait de puiser dans ses souvenirs. Tout ce dont il était sûr, c’est que ce n’était pas le boulot des Aurors. Sa mère son job, c’était de botter le cul aux vrais méchants. Bien sûr, un voleur c’était clairement pas quelqu’un d’honnête. Mais il y avait peut-être des gens qui volaient parce qu'ils avaient pas le choix. Comme Oliver Twist. Ou alors pour redonner aux nécessiteux, comme Robin des Bois. Mais chasser les mages noirs, c’était ça le boulot des Aurors. En tout cas, c’était de cette manière qu’il l’avait toujours imaginé.
420 mots
Et puis le Chef de la chorale, il avait l’air de prendre cette leçon hyper à cœur. S’il n’avait pas été entouré que de gamins, l’adolescent aurait presque cru qu’il s’agissait du vrai Ministre Cornelius Fudge. Sauf que lui, s’il était encore en vie, il serait méga vieux. Ernest essayait de visualiser la scène mais n’étant jamais allé à Pré-au-Lard, il ne pouvait qu’imaginer les commerces qui s’y trouvaient grâce aux bribes de conversation qu’il collectait dans sa Salle commune. Mais bon, ça devait être un peu comme le Chemin de Traverse, sur le principe.
“Comme… un pickpocket ?”
Sa mère moldue lui avait lu Oliver Twist et la description lui faisait penser aux méfaits des petits orphelins. Mais ce n’était pas la question. Le petit brun se concentra sur le département de la Justice. Qui arrivait sur les lieux d’un vol ou d’un cambriolage ?
“Bin.. la Brigade de la police magique d’abord… et puis.. selon que les objets volés soient magique ou pas… euh… le service d’usage intempestif de la magie ? Si c’est magique… ou si c’est volé avec de la magie… et puis… le service de détournement des objets moldus ?”
Il tâtonnait et essayait de puiser dans ses souvenirs. Tout ce dont il était sûr, c’est que ce n’était pas le boulot des Aurors. Sa mère son job, c’était de botter le cul aux vrais méchants. Bien sûr, un voleur c’était clairement pas quelqu’un d’honnête. Mais il y avait peut-être des gens qui volaient parce qu'ils avaient pas le choix. Comme Oliver Twist. Ou alors pour redonner aux nécessiteux, comme Robin des Bois. Mais chasser les mages noirs, c’était ça le boulot des Aurors. En tout cas, c’était de cette manière qu’il l’avait toujours imaginé.
420 mots
2ème année RP 48-49 / 13 ans / FICHE PR / Discord : erneststevens
"Vous êtes monstrueux. Des Serpentard monstrueux. Des basilics." Lavinia W. Campbell
"Vous êtes monstrueux. Des Serpentard monstrueux. Des basilics." Lavinia W. Campbell
Composer avec le passé sorcier
S'efforçant de dissimuler son sourire devant les initiatives de ces drôles de chefs de Départements, le Maestro Piccolo semblait tout à fait charmé par l'envie de bien faire des petits apprentis sorciers. « Ah comme votre Département de la Justice est tellement utile Monsieur Stevens..! joua-t-il dans l'exagération. Vous avez bien raison de mettre à notre disposition tous ces services... Mettez donc aussi l'un de vos Aurors sur l'affaire pour mettre fin aux spéculations : ces derniers temps, les partisans de Vous-savez-qui sont dans la bouche de tous nos bons concitoyens... » Le Maestro se focalisa sur la voix de la petite directrice du Département du contrôle et de régulation des créatures magiques. « Le Service des animaux, voilà ! Mais quelle merveilleuse idée ! s'émerveilla le sorcier. A vrai dire, elle avait même déjà une hypothèse sur l'auteur de cette affaire. C'est vraiment très ingénieux d'avoir pensé au Niffleur. Les sorciers qui travaillent dans votre Département sont capables d'identifier les meilleurs suspects très facilement dans ce genre d'affaires grâce aux connaissances pointues qu'ils possèdent sur les comportements de toutes les créatures magiques présentes sur notre territoire. » Pris au jeu, absorbé par l'activité, il avait du mal à se repositionner en tant que tuteur et à se souvenir de bien vérifier si les bougies s'étaient allumées. Tout de même, sporadiquement, ses yeux balayèrent les tables : personne n'avait besoin de lui pour le moment, il pouvait accompagner encore un peu la mission de ce Ministère de la Magie improvisé. Un livre se rangea soudain dans sa pile personnelle, tout près de lui. Le sorcier le suivit du regard, lut son intitulé et redressa la tête en direction de la jeune O'Belt qui paraissait sur le départ : elle lui confirma qu'elle désirait trouver un meilleur endroit pour réviser. Trop de... Trop de bruit ? L'air peu assuré, les mains jointes, triturant ses ongles, il quitta son estrade et gagna la table de la sorcière en restant dans son sillage. « Oh ne vous excusez pas, c'est bien normal de ne pas supporter le bruit, vous savez j'y suis moi-même très sensible. Vous avez sûrement besoin de beaucoup de silence pour étudier les sujets complexes de votre ASPIC... A mon époque, je révisais souvent affublé d'un vulgaire cache-oreilles sur la tête. » C'était un peu étrange, on aurait dit qu'il lui faisait mille courbettes. « On peut parler moins fort... Ou je peux vous lancer un magnifique maléfice d'Assurdiato ! » Drôle de proposition, de remplacer la ferveur d'un conciliabule par un bourdonnement continu. Vous savez, j'ai très à cœur la tranquillité d'apprentissage de tout le monde. Ah ça oui, n'en doutez jamais. » En réalité, le sorcier affichait des yeux implorants : dans sa tête, si la jeune sorcière n'était pas satisfaite de cette séance et qu'elle le faisait remonter à Mademoiselle Vermillon, cette dernière ne l'autoriserait plus à jouer aux historiens. Sans compter qu'il passerait pour un incompétent non seulement aux yeux de sa collègue, mais aussi aux yeux du grand frère Diarmuid O'Belt - deux des sorciers du château qu'il côtoyait plus que les autres et qu'il estimait grandement en leur qualité de Soigneurs. Rapidement à court de propositions, il tourna les talons pour retrouver le bureau sur l'estrade, un peu la mort dans l'âme, avant de récupérer son entrain de la scène dans un revirement émotionnel fulgurant. Il posa un doigt sur sa bouche et fit signe aux chefs de Départements de baisser d'un ton. « Ebruitons le moins possible nos affaires aux employés... joua-t-il avec eux. Oh, mais nous voilà accompagnés du chef du Département des accidents et des catastrophes magiques, bienvenue mon bon Monsieur Erskine », remarqua-t-il en lisant le nouvel écriteau en parchemin. Le petit sorcier à qui l'on devait cette reconstitution pointa le bout de son museau. Il avait une aura de comédien, à entrer dans son rôle de cette façon. « Ah ne m'en parlez pas, ces contrats semblent s'entasser sur tous les bureaux en ce moment... » Il tourna derrière lui pour lire son écriteau, curieux de connaitre son choix, quand le petit eut l'initiative de trouver l'utilité de son Département à leur affaire de lui-même. « Bravo ! Si notre malfrat est un sorcier, il aura rapidement eu pour objectif de revendre son butin à l'étranger. Heureusement, nos liens avec les gouvernements sorciers étrangers sont au beau fixe, ils pourront nous renseigner très facilement sur leurs affaires de recels. » Ce n'était plus réellement le cas aujourd'hui. « D'ailleurs, nous disposons d'un autre Département au Ministère qui pourrait tout à fait nous porter assistance dans cette affaire. Le sorcier posa sa main squelettique sur l'épaule de la petite Fergusson. Nous ne pourrions pas tracer l'itinéraire d'un Niffleur avec son intervention, cela dit... Ah, je ne suis toujours pas en mesure de retrouver tous mes moyens... De quel Département suis-je en train de parler, déjà ? »
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Maestro Piccolo inRP
En poste depuis le 5 janvier 2048 à Poudlard
Avatar : picmitsuba
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Les échanges vont bon train entre les apprentis membres du Ministère. Les hypothèses fusent et vont rapidement dessiner un large point de vue de la situation. Un sorcier malveillant ? Un niffleur ? Je pencherais plus sur cette dernière idée. C'est alors que notre cher Ministre de la Magie nous pose une question. A-t-il trop fait la fête hier soir pour se rappeler d'une chose si évidente ? Même moi, nouvellement arrivé au Ministère, le sait. Apres bien sûr, récemment arrivé ne veut pas dire incompétent, bien au contraire !
Eh bien, mon bon Cornelius, que vous est-il arrivé ? Une belle sorcière vous a lancé un oubliettes ?
En tant normal, je n'aurais pas osé appeler le Ministre de la Magie par son simple prénom, mais il se trouve que nous nous sommes lié d'amitié en très peu de temps, depuis que j'ai déposé ma malle au Ministère.
Cela relève du Département des transports magiques, bien sûr. Ils seront en capacité de tracer notre suspect, qu'il ait pris le réseau de cheminettes, un portoloin, ou même qu'il ait transplané.
J'observe le Ministre.
Bien sûr, recourir à leurs services ne portera ses fruits que si notre mystérieux malfaiteur est un sorcier. Si c'est un niffleur, ça sera une toute autre histoire... Au moins, si leurs recherches ne donnent rien, nous pourrons être sûr qu'il ne s'agit pas d'un sorcier.
230 mots
Bien vivre, c'est faire une étoile de chaque rêve et de chaque étoile, l'essentiel.
Eh bien, mon bon Cornelius, que vous est-il arrivé ? Une belle sorcière vous a lancé un oubliettes ?
En tant normal, je n'aurais pas osé appeler le Ministre de la Magie par son simple prénom, mais il se trouve que nous nous sommes lié d'amitié en très peu de temps, depuis que j'ai déposé ma malle au Ministère.
Cela relève du Département des transports magiques, bien sûr. Ils seront en capacité de tracer notre suspect, qu'il ait pris le réseau de cheminettes, un portoloin, ou même qu'il ait transplané.
J'observe le Ministre.
Bien sûr, recourir à leurs services ne portera ses fruits que si notre mystérieux malfaiteur est un sorcier. Si c'est un niffleur, ça sera une toute autre histoire... Au moins, si leurs recherches ne donnent rien, nous pourrons être sûr qu'il ne s'agit pas d'un sorcier.
230 mots
Bien vivre, c'est faire une étoile de chaque rêve et de chaque étoile, l'essentiel.
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On était à présent cinq à participer à cette reconstitution de réunion au sein du ministère de la magie. Eli et Gideon, deux camarades de promo, interprétaient respectivement le département des mystères et celui de la coopération magique internationale, alors que j'avais choisi celui de contrôle et de régulation des créatures magiques. Rien de bien surprenant, vu mon intérêt pour celles-ci. Ernest et Logan étaient plus jeunes et représentaient le département de la justice magique et celui des accidents et des catastrophes magiques. De mémoire, il ne restait plus que deux départements qui n'étaient pas présents à cette réunion, celui des jeux et sports magiques et celui des transports magiques.
Je souris en réponse au compliment lancé par l'adulte. Je ne commençais peut-être que cette année les cours de soin aux créatures magiques, mais c'était un domaine qui m'intéressait depuis quelques années. J'avais lu pas mal de choses à leur propos, que ce soit dans le livre de Dragonneau, mais aussi suite aux cours de langues magiques, puisque j'avais commencé à l'apprendre l'année dernière.
- M'sieur, il y a quand même peu de chance qu'un niffleur agisse seul. Je veux dire, il doit y avoir un sorcier derrière, qui se sert de cette petite créature pour voler les bijoux et l'argent des clients., repris-je la parole. Est-ce qu'il y a des registres de propriétaires de créatures ou des élevages ? Peut-être qu'il faudrait voir, si c'est le cas, si il n'y a pas eu une disparition d'un niffleur ? Et si jamais c'était un sorcier étranger, est-ce qu'il y a un contrôle à leur arrivée sur le territoire pour savoir si ils ont des créatures avec eux ?, demandais-je, sortant de mon rôle imposé par la reconstitution pour redevenir une simple élève.
Je souris en réponse au compliment lancé par l'adulte. Je ne commençais peut-être que cette année les cours de soin aux créatures magiques, mais c'était un domaine qui m'intéressait depuis quelques années. J'avais lu pas mal de choses à leur propos, que ce soit dans le livre de Dragonneau, mais aussi suite aux cours de langues magiques, puisque j'avais commencé à l'apprendre l'année dernière.
- M'sieur, il y a quand même peu de chance qu'un niffleur agisse seul. Je veux dire, il doit y avoir un sorcier derrière, qui se sert de cette petite créature pour voler les bijoux et l'argent des clients., repris-je la parole. Est-ce qu'il y a des registres de propriétaires de créatures ou des élevages ? Peut-être qu'il faudrait voir, si c'est le cas, si il n'y a pas eu une disparition d'un niffleur ? Et si jamais c'était un sorcier étranger, est-ce qu'il y a un contrôle à leur arrivée sur le territoire pour savoir si ils ont des créatures avec eux ?, demandais-je, sortant de mon rôle imposé par la reconstitution pour redevenir une simple élève.
Composer avec le passé sorcier
La simulation de réunion au sommet commença, et la jauge d'intérêt de la jeune fille pour cette séance venait soudainement de monter en flèche. Cette petite enquête dans laquelle le Ministre/Maestro les embarqué avait tout d'une vraie, et Éli se sentit directement plongé dans le vif du sujet. Les sourcils froncés, essayant de trouver des solutions aux problématiques fictives, la Poufsouffle cherchait dans ses souvenirs de cour ce qui pouvait les aider présentement.
Lorsque son chef de Chœur s'adressa directement à elle, en tant que chef du département des mystères, elle resta attentive et concentrée, prête à répondre. Les Langues-de-plomb... Qu'est ce qu'elle se souvenait de ça ? Difficile de répondre puisque tout ce qui les concernés était... secret. Forcement !!!
- Je suis vraiment désolé cher ministre, malheureusement vous savait aussi bien que moi que je ne peux répondre à cela. Éli mima une clef fermant sa bouche. Je suis liée par le secret malheureusement, mais les personnes compétentes seront misent au courant, soyez en sûr.
Chacun des participants essayaient comme il pouvait de mettre à contribution son service pour faire la lumière sur l'affaire en cours, tout en donnant des petites informations sur leurs ministère respectifs. Éli s'amusait beaucoup, c'est sûr que la méthode était très originale, mais elle fonctionner plutôt bien. Elle savait déjà que tout ce qu'elle entendait lui resterait bien plus longtemps en tête que ses leçons habituelle.
L'affaire avancée, et discrètement le Maestro les emmener la ou il voulait, leur permettant d'apprendre toujours un peu plus. Éli plutôt discrète ce soir, se contenter d'écouter les questions de ses camarades/ chefs de département, passionnée par l'engouement général, ne manquant pas au passage de lancer quelques regards discrets vers Gideon.
Lorsque son chef de Chœur s'adressa directement à elle, en tant que chef du département des mystères, elle resta attentive et concentrée, prête à répondre. Les Langues-de-plomb... Qu'est ce qu'elle se souvenait de ça ? Difficile de répondre puisque tout ce qui les concernés était... secret. Forcement !!!
- Je suis vraiment désolé cher ministre, malheureusement vous savait aussi bien que moi que je ne peux répondre à cela. Éli mima une clef fermant sa bouche. Je suis liée par le secret malheureusement, mais les personnes compétentes seront misent au courant, soyez en sûr.
Chacun des participants essayaient comme il pouvait de mettre à contribution son service pour faire la lumière sur l'affaire en cours, tout en donnant des petites informations sur leurs ministère respectifs. Éli s'amusait beaucoup, c'est sûr que la méthode était très originale, mais elle fonctionner plutôt bien. Elle savait déjà que tout ce qu'elle entendait lui resterait bien plus longtemps en tête que ses leçons habituelle.
L'affaire avancée, et discrètement le Maestro les emmener la ou il voulait, leur permettant d'apprendre toujours un peu plus. Éli plutôt discrète ce soir, se contenter d'écouter les questions de ses camarades/ chefs de département, passionnée par l'engouement général, ne manquant pas au passage de lancer quelques regards discrets vers Gideon.
@Gideon AtwoodÉli répond au Maestro lorsqu'il s'adresse à elle, puis écoute très concentrée la scène, retenant bien toutes les infos. La Poufsouffle ne peut s'empêcher de chercher malgré tout le Gryffon du regard.
RDD - 𝄞 ♫ Soliste du Chœur des grenouilles et p'ti pot d'glu machiavélique du club46
❧ 3ème année RP 🢣Fiche réputation ☙ - Hacheuse de Limaces à mes heures
❧ 3ème année RP 🢣Fiche réputation ☙ - Hacheuse de Limaces à mes heures
Composer avec le passé sorcier
J'avais pris le temps d'écouter la réponse que m'apportait Ennis à ma précédente question. Je m'étais cependant contenté d'acquiescer avant de la laisser travailler. Je devais moi aussi me mettre au travail de toute façon. Je pris alors une plume, un parchemin et commença à lire le livre emprunté plus tôt pour en relever un maximum d'informations - ou du moins des informations qui me paraissaient importantes. Je dois d'ailleurs bien avouer que ce livre est des plus intéressants et que sa lecture ne me pose aucun souci.
J'avais même la sensation d'avancer relativement vite et bien, du moins jusqu'à ce qu'un évènement bien inattendu ne me dérange. Mais qu'est-ce qu'ils font ? Je me retourne pour apercevoir un début de représentation historique. Je me suis laissée absorber par leurs gestes et leurs mots de le temps d'un instant mais la réaction d'Ennis me fit revenir sur la terre ferme. Je la regarde donc s'agacer de ce bruit et pour le coup, je suis bien d'accord avec elle. C'est loin d'être évident que de travailler dans un brouhaha pareil.
Bien que déçue de la voir ranger ses affaires, je la soutenais. En fait, je crois même qu'Ennis est tout bonnement une élève que je prends pour modèle depuis cette rentrée. La voir si franche et si décidée m'émerveillait autant que cela m'impressionnait. J'en venais à espérer pouvoir être comme elle lorsque j'aurais son âge. Elle paraissait si mature et si forte. J'ignore comment l'expliquer davantage, mais il est évident qu'elle possède un fluide des plus attirants pour une élève comme moi. Malgré tout, je ne peux la suivre et essaie alors de me reconcentre sur mon livre pour le temps qu'il nous reste.
J'avais même la sensation d'avancer relativement vite et bien, du moins jusqu'à ce qu'un évènement bien inattendu ne me dérange. Mais qu'est-ce qu'ils font ? Je me retourne pour apercevoir un début de représentation historique. Je me suis laissée absorber par leurs gestes et leurs mots de le temps d'un instant mais la réaction d'Ennis me fit revenir sur la terre ferme. Je la regarde donc s'agacer de ce bruit et pour le coup, je suis bien d'accord avec elle. C'est loin d'être évident que de travailler dans un brouhaha pareil.
Bien que déçue de la voir ranger ses affaires, je la soutenais. En fait, je crois même qu'Ennis est tout bonnement une élève que je prends pour modèle depuis cette rentrée. La voir si franche et si décidée m'émerveillait autant que cela m'impressionnait. J'en venais à espérer pouvoir être comme elle lorsque j'aurais son âge. Elle paraissait si mature et si forte. J'ignore comment l'expliquer davantage, mais il est évident qu'elle possède un fluide des plus attirants pour une élève comme moi. Malgré tout, je ne peux la suivre et essaie alors de me reconcentre sur mon livre pour le temps qu'il nous reste.
Mary écoute @Ennis O'Belt avant de travailler sérieusement sur le livre qu'elle a emprunté. Elle est cependant gênée par la représentation historique mise en place et est impressionnée en voyant Ennis dire ouvertement ce qu'elle pense de cela. Elle essaie ensuite de se reconcentrer sur le temps restant.
¤ Matriarcat Marla viendra à bout des fiers-à-bras ! ¤ | 3ème année RP (48-49)
Gossip Girl en Chef de Poudlard | Hel's Angels | Membre du Club de Bavboules et du Club de soutien scolaire
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Composer avec le passé sorcier
Les révisions collectives appelaient à un peu d'effervescence, et il était très agréable pour le Maestro de pouvoir animer cette petite entracte historique. C'était un peu comme il l'avait imaginé : jouer le rôle du professeur Lydon, se perdre un instant dans une autre âme que la sienne... Le chef du Département des accidents et des catastrophes magiques, Monsieur Erskine, avait heureusement apporté une réponse au désarroi joué par son Ministre. Le petit sorcier se prêtait bien au jeu comme tous ses camarades. Un peu comme lorsqu'il jouait à la dinette avec ses nièces : bien qu'il s'agissait d'un jeu, c'était du sérieux - peut-être un peu trop sérieux pour lui. Un faux pas et on sortait de l'immersion de cette petite bulle créative. « Voilà c'est tout à fait ça, "le Départements des Transports", merci beaucoup ça me revient..! Ses pupilles pétillantes fixèrent le petit sorcier : il avait déjà des connaissances sur les services que ce département était censé apporter et il les mettait en application dans une situation inventée. Effectivement, avec eux nous serons très vite fixés... » approuva-t-il. Toujours posté derrière la jeune chef du Département de contrôle et de régulation des créatures magiques, Mademoiselle Fergusson, le Ministre de la magie se pencha pour écouter ce qu'elle avançait : rien que de brillantes hypothèses. « Vous devriez peut-être travailler de chorale avec notre chef du département de la Justice, Monsieur Stevens, car vos qualités de déductions nous sont très utiles. La possession de certaines créatures est en effet bien régulée par notre merveilleux Ministère, un tel registre existe pour les Niffleurs ! Ces pauvres chéris sont classés de telle façon que seuls les sorciers compétents peuvent en posséder. Bien sûr, il y a toujours des êtres malfaisants qui ne respectent pas nos règles... Nous devons faire confiance au Magenmagot pour leur réserver les plus belles sentences. » Le sorcier tournait toujours lentement autour de la table, continuant par instant d'apprendre mentalement les différents noms écrits sur les faux écriteaux. « Un Niffleur seul aurait créé beaucoup de dégâts, ils sont agiles mais peu discrets lorsqu'ils sont obnubilés par leurs butins. Or, nos témoins qui sont pourtant en grand nombre n'ont pas déterminé la présence d'un tel individu ou alors ne font que la soupçonner. La discrétion du coupable mène en effet à penser qu'il s'agit d'un crime organisé de nature sorcière avec utilisation interdite d'une créature classée XXX. » Le Maestro s'arrêta derrière sa petite Élisabeth qui avait su éviter le piège de sa question au début de la réunion. Il fit mine d'attraper quelque chose au vent et de le parcourir du regard, tout en concluant ce qu'il avait commencé comme si de rien n'était : « Hélas Mademoiselle Fergusson, vous le savez bien, les contrôleurs de votre Département ne peuvent souvent que suivre les délations-... Le sorcier se reprit immédiatement : Les témoignages, je voulais dire, de nos chers citoyens pour tracer les activités suspectes liées aux créatures. Il releva la tête, pensif : Si un sorcier étranger n'a pas emprunté les transports magiques et s'est montré extrêmement prudent dans ses apparitions publiques, la coordination du Service des usages abusifs de la magie, des Contrôleurs des créatures magiques et du Département de la coopération magique internationale sera cruciale pour arriver à le coincer. » Sa main émaciée secoua la note invisible. « Mes chers amis, il semblerait que j'ai reçu une note de service. J'apprécie grandement ces petites choses volantes, elles nous facilitent bien la vie ! s'égaya-t-il. En tout cas, je suis appelé ailleurs : la Gazette du Sorcier doit me faire répéter pour la dixième fois que Vous-savez-qui n'est jamais réapparu. Après avoir rangé la note invisible dans une poche intérieure, il tapota les épaules d'Élisabeth avec un sourire. Gardez bien le contenu de cette réunion dans vos rangs comme notre chère Langue-de-plomb. Le Maestro écarta les bras comme l'on saluerait une audience : Nous devons tous travailler ensemble pour obtenir le fin mot de cette histoire, comme c'est souvent le cas au sein de notre bienaimé Ministère de la Magie. » Le sorcier avait essayé de leur faire comprendre que le fonctionnement de ce Ministère avait surtout fait la part belle à la coordination de nombreux cerveaux différents dédiés à chaque pan de la société sorcière. Dans ce système, tous les Départements apportaient un élément de réponse à un problème donné et, surtout, les personnalités et les expériences des sorciers pouvaient aussi influer sur la qualité d'une enquête. Le fonctionnement du Conseil des Sorciers était plus nébuleux, en ce sens, car restreint à certains types de pensées précis. On ne donnait pas la parole à n'importe qui. En deux claquements de mains, toujours perché sur son estrade, le Maestro essaya d'attirer l'attention de toute son audience. « Chers enfants, dans une dizaine de minutes nous allons doucement retourner à la vie au dur goût du présent... J'espère que vos jolies matières grises se sont nourries des leçons du passé. Terminez vos lectures et prises de notes, soufflez vos bougies. Surtout, rendez-moi mes livres... Il avait paru beaucoup plus méchant d'un seul coup avec cet ordre, avant qu'il ne reprenne pompeusement : ...Et voguez libres, êtres nouvellement élevés par les grandes histoires de nos ancêtres ! »
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Maestro Piccolo inRP
En poste depuis le 5 janvier 2048 à Poudlard
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