Passer un samedi matin en classe plutôt qu'à s'amuser dans le parc ou à explorer le château ? Quelle idée saugrenue... sûrement pas la meilleure que j'ai eu. Mais bon, un peu d'histoire de la magie ne fait jamais de mal !
C'est donc avec pour l'instant peu de difficultés dans cette matière, mais plutôt une profondeur curiosité, que j'entre dans la salle du club de soutien pour la première fois depuis la réunion de septembre. Ça me rappelle de biens mauvais souvenirs, cette réunion ! En espérant qu'aujourd'hui, il ne sera pas question de différends entre sang-purs et né-moldus...
Le professeur du jour est apparemment connu comme étant le chef du cœur des grenouilles. Personnellement, j'ai jamais entendu parlé de lui. Enfin bon, s'il nous fait un cours, c'est qu'il doit avoir des choses à nous apprendre. Et puis j'estime que tout le monde peut m'apprendre des choses, il suffit d'être ouvert et attentif aux autres, et savoir écouter.

En entrant dans la salle, je salue le professeur. A l'intérieur, je ne reconnais qu'une personne : une serpentard avec qui j'avais joué au pirate, un après-midi de septembre, pendant la journée universelle du parlé pirate. C'était un bon moment ! Je vais vers elle est lui souris. Puis, sur la directive du professeur, je m'installe à une table - tables d'ailleurs étrangement disposées.

Logan entre dans la salle, salue le professeur et @Elena Links puis s'installe prèsde cette dernière

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Il ne faisait pas très chaud ce matin, pressée de rejoindre au plus vite le groupe de révision, Éli foulait rapidement les couloirs de pierre pour se rendre dans la salle prévue pour leur séance d'histoire de la magie. Remontant machinalement l'encolure de sa cape sur son cou, de légers frissons parcouraient la jeune fille lorsqu'elle apercevait par les fenêtres, le temps capricieux.

L'histoire n'était pas l'une de ses matières préférées, loin de la, pourtant elle avançait avec une certaine curiosité aujourd'hui. Même si elle n'aurait pas dit non à un gros plaid en pilou, allongée sur le canapé près de la cheminée de la salle commune, ce cours n'aurait surement rien à voir avec ceux dont elle avait l'habitude, et cette perspective lui plaisait déjà un peu plus.

Lorsqu'elle entra dans la pièce, quelques élèves déjà installés derrière des bureaux rangés de manière inhabituelles, laissés penser qu'il ne serait pas question de travail de groupe aujourd'hui. Éli s'avança, et observa les belles bougies disposées sur la première table près de l'entrée, se retenant d'en toucher la surface colorée, pour aller saluer l'homme qui venait de la recruter quelques jours auparavant.

- Bonjour Maestr... Mister Tripplehorn. Un sourire timide migra sur ses joues. Manquant encore d'assurance devant lui, elle finit par avancer rapidement dans l'allée, cherchant du regard certains visages familiers.

Mary était là, tout comme Erin, Narcisse et... Gideon.
Sa première idée fut d'avancer jusqu'à eux, jusqu'à lui, mais elle savait qu'en présence du Gryffon elle ne contrôlait pas toujours tout, que sa concentration divagué parfois bien trop loin du cours, et il était hors de question pour la jeune fille de faire des vagues cette fois. Elle voulait faire bonne impression, et prouver à son tout récent chef de Chœur qu'elle pouvait être sérieuse, et qu'il avait eu raison de lui offrir sa confiance.

A contre cœur donc, Éli s'avança jusqu' à la place la plus éloignée du garçon et de ses amis. Elle posa son sac au sol et s'installa derrière le petit bureau, lançant malgré tout quelques regards discrets vers le troisième année, en attendant le début de la séance de révision.

Éli arrive en salle de classe, salut son chef de chœur/Prof du jour. Tentée un instant de rejoindre ses amis et Gideon, elle préfère s'isoler loin d'eux pour éviter d'être déconcentrée.

@Placido Tripplehorn, @Gideon Atwood, @Mary Bain, @Narcisse Brando, @Erin Fergusson Éli vous voit mais essaye de faire sa fille studieuse aujourd'hui

Aussi frigide qu'un matin d'hiver, Gideon refusa de prendre ses salutations comme le faisait la nature à l'hiver. Oh no ! Il ne la laisserait pas s'en sortir comme ça. Et puis au moins avec elle dans les parages, il aurait quelqu'un qui savait de quoi qu'elle parlait.

— Ta chaleureuse présence me fait chaud au cœur parfaite préfète de la savane Gryffone ! Il fit un grand geste courtois, se prosternant profondément. (@Ennis O'Belt)

Un geste qui fut interrompu en la voyant. @(Élisabeth Willis)Châtaine et jolie. Il s'attendait à ce qu'elle le rejoigne comme Persephone à Hadès une fois le printemps passé, mais hélas ! Elle se prit un siège ailleurs. Depuis le fait que ses lèvres avaient effleuré la soie qu'était sa joue, les choses avaient changés. Parfois par distance, d'autre avec un rapprochement qui semblait un jeu de chat et de souris. Parfois, il était le chat, d'autre, plus minable qu'une souris grise.

À son siège près de la préfète de sa maison, il se sentit isolé. Sa jambe faisait des petits sauts, les hauts et les bas d'un genou pour combler la rapidité de ses pensées et de l'inaction qui l'entourait. Que pouvait-il faire ? Étudier certain, mais ce n'était plus une certitude. Tous les paris étaient ouverts en ce qui concernait ce que ferait le jeune lion, laissé à ses propres machinations.

- "Gideon?" L'interpela Ennis dans un soupir. "Parfois, il faut savoir doser." Poursuivit-elle d'un air fatigué du comportement particulièrement fantasque et... trop du tout jeune adolescent. "Ça t'évitera certainement d'avoir des problèmes un de ces jours." Mieux valait prévenir que guérir, tous les parents et pas mal de médicomages le disaient, pas plus tard que le jour de la rentrée d'ailleurs... Bon sang, si son frère avait des enfants un jour, ils se payeraient un père médicomage - pire! pédiatromage - elle ne les enviait pas par avance, et Annaëlle non plus.

Mais ce genre de question n'était pas à l'ordre du jour, pas à sa connaissance - et elle ne voulait pas spécialement le savoir à l'avance non plus -, il s'agissait plutôt de la question de la Poufsouffle. "Je n'ai pas vraiment de difficulté, enfin, plus maintenant. Mais j'ai des fragilités à consolider. C'est mieux pour mon dossier même si ce n'est pas une matière majeure de l'école où je voudrais aller." Répondit alors la plus âgée de l'ensemble du groupe à la seule fille du petit quatuor. Narcisse était plutôt silencieux jusque là et Gideon... avait les yeux rivés dans une autre direction, celle d'une jaune - décidément, ils étaient venus en nombre - bientôt, un filet de bave allait coulé du bord de ses lèvres. "Gideon?" Questionna Ennis pour attirer son attention. "Parfois il faut aussi se lancer, plutôt que d'attendre." Elle fit un signe du menton vers la sujette de son attention.

Le son de son nom sur les lèvres de sa préfète, sœur de l'infirmier qui lui avait barré une nuit à la belle étoile garda son attention. Ah ce soupir, doux son qu'il venait quasiment à adorer.

— Ennis? Il répondit avec un sourire félin. Se doser ? Je crois que ton frère à clairement dit qu'il ne fallait pas accepter de potions sans savoir ce qu'il y avait dedans.

Gideon ne put s'empêcher un petit rire, s'affairant alors qu'elle parlait de son cheminement éducatif. Ça faisait drôle de la voir là. Il avait de la misère à croire qu'elle avait besoin d'aide dans quelconque matière. Il n'avait aucune idée de ce qu'il voulait faire de sa vie. Le seul prof qui lui avait donné espoir s'en allait et bien qu'il ne voulais que de l'aventure dans la vie, il se trouvait incertain de comment s'y prendre.

Une fois de plus, son nom résonna et il donna un autre gros sourire à la brunette.

— Oui, Ennis? II répondit d'un ton mielleux. À ses paroles, il la fixa, son genou se calma. Et parfois, il faut patienter après avoir agi. Ses joues rougirent pensant à la soie que fut la joue d'Éli, et le fait qu'elle s'était enfui. Depuis, il lui donnait son espace quand elle le voulait, jouait leurs jeux à d'autres... Maintenant, il savait qu'il allait faire une bêtise. C'était sans équivoque.

Les jeunes sorciers qui empruntaient le fameux sentier de connaissances avaient l'air tous assez réveillé pour ne pas oublier de le saluer, ce qui accentuait peut-être la verbe théâtrale du Maestro. Il fut toutefois très décontenancé d'entendre son nom - son vrai nom - dans la bouche de la jeune O'Belt : son frère lui avait-il révélé ? Comme déjà trop tard, plusieurs petites sorcières le saluaient de son nom de famille. Il faisait comme si ce n'était rien mais il paraissait tout à fait vulnérable. Il n'avait plus qu'à se concentrer dans son recensement mental, continuant d'accueillir les apprentis sorciers de tous horizons. Sa nouvelle soliste, la petite Élisabeth, faisait honneur au Chœur des Grenouilles de sa présence. C'était en faisant plus que nécessaire que l'on obtenait des résultats excellents. « Bonjour chère enfant. Bonjour cher petit... Comme votre motivation m'emplie d'une joie intarissable ! » L'un d'eux le qualifia de "rigolo". Si le Maestro fit d'abord les gros yeux, il accorda au petit sorcier un sourire amusé. C'était le premier effet qu'il faisait aux enfants lorsqu'ils l'entendaient s'adresser à eux ? Quand la vague fut passée, il traversa l'allée maintenant occupée, distribuant à droite et à gauche des "Asseyez-vous, prenez place, je vous en prie". Il monta sur la petite estrade et se redressa. « Bien ! Le Maestro Piccolo, moi, est très heureux de vous accompagner durant ce petit voyage dans le temps... Vous trouverez sur ce bureau derrière moi quelques-uns de mes ouvrages qui abordent des sujets de vos programmes scolaires. Je vous les prête alors n'hésitez pas à les emporter sur vos tables et à vous les partager durant cette séance ! » Ce n'était pas du tout ses ouvrages, mais plutôt ceux de la bibliothèque du château. La plupart présentait un tampon qui l'attestait. « Vos petits yeux curieux auront sûrement remarqué la présence d'une quantité non négligeable de bougies sur cette petite table. » Il pointa de son doigt squelettique la table à l'entrée de la salle de classe. « Je vais vous demander de choisir une bougie de la couleur de votre année scolaire pour la poser sur votre table de travail. Si vous l'allumez - ne jouez pas avec les allumettes -, je viendrais à vous pour vous faire don de mes précieux conseils. » Certains apprentis sorciers s'étaient déjà relevés pour se servir... C'est qu'il parlait beaucoup, ce sorcier très pompeux. « Pendant ce premier temps de travail, il vous sera possible de me suggérer les sujets que vous aimeriez aborder durant une petite leçon commune improvisée par mes soins à la fin de cette séance. » Les mains jointes, il observa les jeunes sorciers s'activer de façons différentes. « Soyez certains que je ne laisserai personne batailler seul contre un savoir mal acquis. » leur assura-t-il très dramatiquement en posant une main sur son torse. ──────────────────── Bougies de révisions Reducio Première année Deuxième année Troisième année Quatrième année Cinquième année Sixième année Septième année

Elena leva les yeux au ciel en entendant l'homme en charge du cours saluer d'autres arrivants. "Chère enfant" ! Cette fille devait avoir un ou deux ans de plus qu'elle ! Il les prenait vraiment pour des tout petits. L'indignation de la serpentarde fut détourné par un gryffondor qui lui sourit avant de s'installer près d'elle. Elena le scruta un instant, tachant de se souvenir où elle l'avait déjà vu. Elle fouilla un instant dans sa mémoire avant de hocher la tête d'un air approbateur. C'était le mousse qui l'avait suivi le 19 septembre. La deuxième année répondit à son sourire, puis retourna à son dessin.

Elena sursauta quand l'homme (ou plutôt le maestro Piccolo... Vous parlez d'un nom ridicule) lança le cours, toujours en leur parlant comme à des enfants. Elle soupira et se laissa tomber sur le dossier de sa chaise. Ils n'auraient pas pu prendre quelqu'un de plus professionnel ? Cet homme était à l'image de l'Histoire de la Magie: pompeux et ennuyeux. A peine leur désigna t'il les bougies (auxquelles elle n'avait pas du tout faite attention), qu'Elena se dressa et alla en chercher une. Au moins, elle se dégourdissait les jambes. La petite fille en profita pour aller faire un tour du coté des livres. Avec un peu de chance, il y aurait des trucs interessant (même si elle en doutait fort... Après tout, c'était un cours d'Histoire de la Magie), mais elle déchanta vite. Histoire de l'Histoire, métaphysique complexifiée ? La Grande Histoire sorcière depuis l'Egypte ancienne ? C'était quoi ces trucs ? Par dépit, Elena finit par prendre Le Londres des sorciers : guide insolite et secret. Peut être qu'il y aurait des endroits qu'elle pourrait visiter à sa prochaine visite dans la capitale moldue.

Elena retourna à sa place et feuilleta le livre rapidement. C'était cool, mais ça manquait de pirates. D'ailleurs, cela la ramenait à la question qu'elle se posait depuis le tout début de ses cours d'Histoire de la Magie. Tout en regrettant en pensée de devoir faire appel au Maestro, Elena alluma sa bougie. Elle attendit qu'il la rejoigne et demanda:

-Je ne sais pas trop si ça a un lien avec le programme, mais je voudrais savoir s'il y avait des sorciers qui étaient pirates.

Depuis sa petite estrade, le sorcier pouvait avoir les yeux partout. Il y avait un peu de mouvement et des bavardages, mais au moins un tableau vivant se dressait devant lui. La bougie jaune d'une petite sorcière l'interpella du coin de l'œil. Glissant presque jusqu'à elle dans une figure spectrale, il apparut derrière son dos : « Me voici pour vous servir, chère enfant. » Le sorcier émacié se pencha un peu pour observer ce qu'elle faisait. Le livre emprunté et ouvert sur sa table lui faisait déjà dire qu'elle devait être un peu curieuse. C'était davantage un ouvrage qui portait sur le programme de Quatrième année mais, à priori, sa question sortait un peu des sentiers battus des sujets étudiés à l'école des sorciers. Sa question ne concernait ni le programme de Deuxième année, ni celui des autres années en Histoire de la magie, mais les yeux du Maestro pétillèrent : au moins, elle avait un intérêt pour le passé. « Oh, en voilà une question intéressante. Il tira une chaise jusqu'à eux pour s'installer à ses côtés. Nous parlons bien de l'âge d'or de la piraterie ? Il y en avait tellement à la fin du dix-huitième siècle qu'il est probable que des sorciers se soient retrouvés à jouer les pirates - de leur plein gré ou non d'ailleurs. D'un ton plus confidentiel, il continua : J'ai joué un être de l'eau qui attaquait un bateau pirate à l'Opéra, vous savez ? Il mourrait rapidement - et hors scène -, cela dit... S'il y avait des sorciers sur ces bateaux, leurs expériences en mer se sont probablement montrées très utiles pour aider le Ministère de la Magie à attribuer un statut aux merrows, aux selkies et aux sirènes. » Le menton sur sa main, à la lumière de la bougie, le Maestro paraissait pensif. Les histoires de pirates faisaient partie des choses qui nourrissaient les fantasmes d'aventures, que l'on soit adulte ou enfant. Ses yeux vrillèrent sur la petite sorcière dont il espérait ne pas avoir éradiqué les rêves par la réalité parfois trop brumeuse des événements passés. « Vous savez ma chère petite, souvent, les sorciers historiens ne peuvent pas affirmer avec certitude et doivent se contenter de naviguer entre les indices pour se rapprocher de la vérité. Ici, on ne peut que spéculer sur la présence de sorciers sur les navires pirates parce que les mœurs de l'époque les forçaient à se montrer extrêmement prudents lorsqu'ils évoquaient le monde magique dans leurs écrits - s'ils savaient écrire. » De nouveau confidentiel, le Maestro Piccolo affirma cependant en souriant à moitié : « Pour ma part, je crois réellement que des sorciers se sont plongés dans la piraterie, rien que pour en éprouver toutes les sensations... Avez-vous déjà parcouru l'histoire de Gwendoline la Fantasque avec le professeur Lydon ? Notre espèce compte des spécimens aussi curieux que fascinants - en tout bien tout honneur... » Le Maestro Piccolo est emporté sur la question de la piraterie @Elena Links chère enfant. ──────────────────── Bougies de révisions Reducio Première année Deuxième année Troisième année Quatrième année Cinquième année Sixième année Septième année

Patienter après avoir agi? "Fais juste attention que ça ne s'étire pas en longueur..." Lui répondit-elle alors juste avant que le chef de chœur donne plus d'informations sur la séance du jour. Chacun travaillerait de son côté, demandant de l'aide avec une bougie de couleur. Soit. Ennis récupéra dans sa baguette dans l'étui qu'elle portait sur elle et lança un sortilège d'attraction sur une bougie noire qu'elle déposa sur sa table avant d'aller sur le bureau en quête d'un livre qui pourrait l'aider. Et elle en trouva effectivement un sur l'histoire récente, celle du siècle dernier. La préfète s'en empara et rejoignit sa place où elle le déposa avant de s'installer.

- "Vous savez sur quoi vous voulez vous avancer?" Demanda-t-elle à Mary et Gideon avant de sortir de quoi prendre des notes, un grand parchemins où elle pourrait relier les différentes idées et personnalités du premier thème de l'année la concernant; la première guerre des sorciers. Elle inscrivit d'ailleurs ce sujet au centre de son vélin avant d'ajouter les dates en dessous. Le travail de décorticage pouvait commencer, si possible uniquement ce qui avait déjà été abordé avec le professeur Lydon. Autant dans les autres matières elle cherchait à prendre de l'avance, autant là il s'agissait surtout de conforter pour ne pas finir en retard comme l'année précédente. Et puis maintenant elle avait cette méthode offerte par l'enseignante, quoique pas mal remaniée, qui lui permettait de maintenir le cap.

Ennis répond à Gideon puis écoute Placido. Elle lance un sortilège d'attraction sur une bougie noire puis va chercher Les Grands Évènements de la sorcellerie au XXe siècle. Une fois à sa table elle s'adresse à @Mary Bain et @Gideon Atwood avant de se mettre au travail, pour le moment sans demander d'aide.

— J'ai posé mes lèvres sur sa joue dans un moment...intime et elle a courru, c'est quoi le temps approprié pour foncer dit ? Sa voix était basse, juste assez pour que seul Ennis entende. Il ne pouvait pas dire baiser. C'était à peine ça. Mais elle était au féminin. C'était déjà mieux que son entourage masculin pour ce genre de question.

Gideon retourna la tête en entendant parler de Gwendoline la Fantasque. Non il doit garder son esprit sur le cours.

— Pour mon examen finale je me suis habillé comme Mia, sorcière chez les moldus et donné ma version de sa vie comme un monologue. Il répondit au chef de choeur. Dites ont pourrait faire une reproduction d'une part d'histoire que plusieurs veulent aborder ? Puisque vous avez des talents en spectacle, et que certains d'entre nous sommes kinesthésique dans nos apprentissage...

Que voulait-il apprendre ? Il savait qu'en ce moment les cours parlaient de la noirceur de Durmstrang. De l'élégance de Beauxbatons. Et puis le Ministère de la Magie. Il voulait savoir plus sur son gouvernement. Le comprendre, mais la bureaucratie elle-même lui donnait le mal de mer, pour ne pas tirer de la conversations sur les pirates qui était nettement plus intéressantes à avoir. Mais le sujet avait déjà passé.

— M'sieur Tripplehorn vous pouvez nous parler de l'organisation du ministère, mais genre, de manière ou je peux rester éveillé ?

Mentions:
@Ennis O'Belt @Placido Tripplehorn