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03 nov. 2023, 13:46
 L.S  Jusqu'à ce que la mort nous sépare
Mardi 03 novembre
Après le cours de DCFM
@Lukas Sharp
Au début de l'année Sixtine avait fait le choix de ne plus enseigner la partie pratique de sa matière. Elle avait considéré qu'ils ne méritaient pas son enseignement et que, seul les plus engagés viendraient lui rendre visite pour en apprendre plus. Il y a tout de même un élève à qui elle avait décidé de faire cours. Et, depuis le mois de septembre, il venait dans sa salle de classe tous les mercredis matin pour apprendre la partie pratique des sorts de défense contre les forces du mal.
Si le cœur lui en disait, il pouvait ramener avec lui les élèves volontaires.

Malheureusement, le mercredi 04 novembre, Sixtine ne pourrait pas honorer son rendez-vous. Un rendez-vous qu'elle n'avait pas loupé une seule fois depuis le début de l'année. À la fin du cours, elle demanda à Sharp de ne pas quitter les lieux. Une fois que tous les autres élèves eurent quitté la salle de classe, Sixtine s'avança jusqu'au pupitre de son élève et s'installer sur la chaise à côté de lui.

- Demain, ne venez pas, nous pourrons rattraper ça un autre jour ou ce soir, si vous voulez, mais demain, je ne pourrais pas être présente.

Le lendemain, elle irait voir l'infirmier de l'école et elle avait le sentiment qu'elle resterait avec lui un long moment avant de retrouver le chemin de sa salle de classe et, ne sachant pas si les nouvelles seraient bonnes ou non, elle préférait ne pas prendre le risque de voir un élève, même Sharp.

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03 nov. 2023, 17:01
 L.S  Jusqu'à ce que la mort nous sépare
Je fais tourner les pages du manuel au même rythme que les minutes passent : lentement et silencieusement. Je retiens quelques soupires, efface mes poings qui viennent retenir ma tête qui s’endort et tente de rester concentré sur ces quatre heures de théorie. Quatre. Longues. Heures. C’est ma plume qui doit apprécier d’être plus utilisée que ma baguette. Tout ce qui me fait tenir, c’est la pratique du lendemain matin. Ainsi, lorsque l’heure sonne, j’ai beau apprécier écouter Valerion, je n’en suis pas moins heureux que le calvaire soit fini.

Je secoue ma plume pour déverser les dernières gouttes d’encre qui la feront s’asécher moins violemment et range mes affaires. Je m’apprête à me faire pivoter sur ma chaise pour mieux me lever lorsque Valerion me demande de rester. Je relève la tête, curieux, et l’observe s’approcher jusqu’à moi une fois les élèves sortis. Sa main se pose sur le pupitre. J’ai, durant une seconde, la crainte qu’elle vienne me reprocher mon ennui, mais c’est lorsqu’elle vient s’installer à mes côtés que le doute s’efface. Je n’ai plus l’impression que mon manque de discipline est le sujet de la discussion.

Son annonce me questionne plus qu’elle me déçoit. Pas d’élan d’égoïsme ou d’enfantillage, mais une envie irrésistible de connaitre la raison de son absence. Lors de la fête foraine de l’année dernière, on m’avait reproché ma curiosité. Ainsi, j’essaie au mieux de refreindre mes questions indiscrètes, mais puisqu’aujourd’hui, cela me concerne, je devrais avoir le droit.

Pourquoi ?, demandé-je calmement.

Savoir quand reporter notre cours n’est pas prioritaire. Ma curiosité l’est. L’assouvir l’est.

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05 nov. 2023, 15:24
 L.S  Jusqu'à ce que la mort nous sépare
La professeure s'attendait à plusieurs réactions de la part de son élève, mais, cette réaction-là, elle ne s'y attendait pas. Elle s'était mentalement préparée à devoir calmer sa colère et à la place, elle avait eu le droit à une simple question. Malheureusement, cette situation n'était pas idéale pour la professeure qui ne souhaitait pas parler de son état de santé et de ses inquiétudes à Sharp.

Elle s'installa un peu mieux sur la chaise pour faire totalement face au jeune garçon. Si elle avait pu, elle aurait pu extirper une cigarette de ses poches pour en déguster une, mais là, ce n'était pas le moment. Elle n'avait aucune envie d'enfumer son élève ou de prendre le risque de dégrader sa santé. Elle trouva cependant une alternative en faisant tapoter ses ongles sur le pupitre de l'élève. Elle pinça légèrement ses lèvres avant de se lancer, sans trop de détails, dans une explication.

- Je dois faire quelques examens de santé, une routine pour les sorciers de mon âge.

Ce n'était pas réellement un mensonge, mais plutôt une demi-vérité. Elle allait effectivement faire un petit bilan de santé avec l'infirmier, mais cet examen n'avait aucun lien avec son âge du moins, elle n'avait pas encore la raison. Pour la professeure, il s'agissait simplement des effets secondaires de la dépression et elle allait chercher chez l'infirmier un remède ou au moins une solution pour paraître moins cadavérique et tenir le coup jusqu'à la fin de l'année scolaire au moins. Après, elle improviserai.

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05 nov. 2023, 15:54
 L.S  Jusqu'à ce que la mort nous sépare
A force de la voir de près, ses expressions s’inscrivent dans un catalogue mental géant dans lequel je peux piocher quand les mots ne correspondent pas à ce que je lis. Ses ongles tapotent sur mon pupitre, ses lèvres se pincent et même sans le vouloir, voilà que je la catégorise dans le clan de cachotiers. J’imite son pincement de lèvres, car je n’ai pas envie de lui reprocher un mensonge. Je n’ai pas envie de la mettre dans l’embarras si j’ai raison, et je n’ai pas envie de l’être si j’ai tort. Mais je me dis qu’un tel examen de routine, comme elle l’appelle, aurait pu se prendre à un autre moment. Pourquoi pas en fin de journée ? Un samedi ? Ou même l’après-midi ? Pourquoi avait-elle dû placer ce rendez-vous si anodin le jour de nos exercices pratiques ? L’infirmier ne doit pas accueillir trente élèves de l’heure, il doit bien avoir d’autres créneaux de libres.

Pourquoi demain matin alors, si c’est une routine ? Pourquoi vous n’y allez pas maintenant ?

Je repense à son âge et m’interroge : est-ce que les sorciers vivent longtemps ? Est-ce qu’avec des potions magiques tous les jours, ils peuvent vivre éternellement ? Et soudain, l’hypothèse que Valerion ne vive pas éternellement m’angoisse.

Et si vous avez quelque chose… On peut tout soigner dans la magie ?

Ce domaine m’est totalement inconnu. Je ne tombe jamais malade et ma mère m’a toujours gavé de petits flacons magiques, comme elle les appelait. Mais à cinquante ans, est-ce que la santé angoisse assez pour tapoter ses ongles sur un pupitre et prendre son temps avant de parler ?

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05 nov. 2023, 16:16
 L.S  Jusqu'à ce que la mort nous sépare
Il ne se contenta pas de la réponse de la professeure, il voulait en savoir plus, il voulait une raison précise. Il avait besoin d'une explication. Pourquoi avait elle osait le faire passer au second plan alors qu'elle le faisait passer en premier depuis le début de l'année. Lui, qui était devenu une priorité pour la professeure, une priorité bienvenue et bien pratique pour oublier ses propres soucis, devenait le second plan.

Les premières interrogations de l'élève, Sixtine pouvait les gérer, mais, lorsqu'il marqua une pause pour une dernière question, Sixtine ferma longuement les yeux cherchant une réponse à cette question... Elle n'avait aucune envie de lui mentir, elle n'avait aucune raison de lui cacher la vérité si ce n'est le fait de ne pas vouloir l'inquiéter. Elle ouvrit de nouveau les yeux et plongea son regard dans les yeux verts du Poufsouffle.

- Je crains que l'examen demande un peu de temps... Et non, la magie ne peut pas tout soigner, mais ne vous inquiétez pas, ce n'est qu'un examen de routine, j'ai simplement besoin d'un petit traitement pour reprendre du poils de la bête comme le dit l'expression.

La professeure de défense contre les forces du mal se releva, mais un tournis l'empêcha de terminer son action et elle reprit place sur la chaise. Ses pensées se dirigèrent vers l'infirmier, il avait intérêt à trouver un remède rapidement, elle avait besoin de se sentir mieux et vite. Elle passa ses ongles dans ses cheveux pour se masser le crâne tout en priant Merlin de faire passer ce vertige plus vite.

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08 nov. 2023, 16:35
 L.S  Jusqu'à ce que la mort nous sépare
Sa manière d'éviter une de mes questions m'agace. Ses yeux qui se ferment pour réfléchir à une réponse me donne l'impression que je suis un idiot qui ne peut pas comprendre. Et voilà qu'elle utilise des expressions moldues maintenant ? Pourquoi ne me donne-t-elle pas la vraie raison ? Nos cours l'ennuient peut-être ? Je ne progresse plus assez vite et il faut que je travaille sur les sorts de troisième ann...

Son corps tente de se lever et sa main semble se rattraper à la chaise sur laquelle elle se rassied presque aussitôt. Sa routine n'est pas une simple routine. On parle d'une vraie maladie si son corps ne peut même plus tenir debout ! Mes yeux s'écarquillent, sous le choc et la peur. Je me redresse d'un coup, montrant que mon corps, lui, tient debout.

- Miss ! Qu'est-ce que vous avez ?! Je plante mes yeux dans les siens. J'exige une réponse maintenant, une vérité qui tienne la route, mais je n'attends finalement pas qu'elle trouve une justification que je me retourne pour contourner la table et partir à la recherche de l'infirmier. Ma tête tente de me raisonner, j'essaie de me dire qu'une sorcière de son niveau pourrait se soigner elle-même, mais une sorcière de son niveau ne tomberait pas sur sa chaise de la sorte. La main plaquée sur le pupitre qui nous sépare, je la fixe à nouveau. Je dois aller chercher M. O'Belt ? Je ne peux pas m'empêcher de lui demander confirmation avant. Impossible d'être autonome, j'ai besoin de son approbation, même maintenant.

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10 nov. 2023, 09:40
 L.S  Jusqu'à ce que la mort nous sépare
La réaction de l'enfant ne s'était pas faite attendre, il s'était redressé, s'était levé et bien sûr, il était agacé par tant de mystère. Pour autant, Sixtine n'avait pas la capacité de lui répondre, elle n'avait pas les moyens de lui dire quel était le réel problème puisqu'elle-même n'en avait aucune idée. Peu à peu, il avait laissé place à la panique et le voir s'agitait ainsi, regarder autour de lui puis se planter devant elle pour lui demander si il devait partir à la recherche de l'infirmier, fit prendre conscience à la professeure de la place qu'elle occupait dans le cœur de ce petit être.

Elle ne détourna pas les yeux, elle continuait de le regarder, mais elle se tourna un peu plus et déposa sa main sur celle de son élève pour le rassurer. Avec sa main libre, elle tapota le siège libre pour lui demander de s'y installer. Elle n'avait aucune certitude qu'il l'écoute surtout dans son état actuel, mais, si il avait choisi de s'y installer, elle le remercierait.

- Justement, il est là le problème, je ne sais pas ce que j'ai et voilà pourquoi demain, je dois voir l'infirmier de l'école. Mais, ne vous inquiétez pas, je suis sûre que je n'ai rien de bien grave, ça doit être un mauvais virus, une potion et je serais vite sur pied, faites moi confiance.

Elle n'en pensait pas un mot.
Elle avait la certitude qu'elle allait bientôt ne plus pouvoir apprécier les yeux verts de ce jeune garçon, la colère de Bristyle, les bêtises de ses élèves. Cependant, elle n'avait aucune envie d'inquiéter plus que nécessaire son élève, elle voulait le préserver de toute anxiété. Et un petit mensonge valait mieux qu'une grande crise qu'elle n'aurait sans doute pas sue ou pu gérer dans son état actuel.

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10 nov. 2023, 10:37
 L.S  Jusqu'à ce que la mort nous sépare
Elle maintient son regard dans le mien et préfère, comme souvent, s’exprimer à travers des gestes en premier. Des gestes que je connais par cœur, des gestes qu’elle sait me rassureront : un regard et une main qui se pose sur la mienne. Son autre main m’invite à reprendre place sur un siège ; je pèse le pour et le contre en prenant une grande inspiration. Un regard rapide vers la porte pour analyser la distance qui me sépare de l’infirmier et de mon pupitre, et accepte de me laisser guider par cette main rassurante. Après tout, j’ai attendu son approbation et je ne l’ai pas obtenue, alors comme lors de nos cours privés, je reste et je suis ses indications.

Je me détache de sa main et tire le siège vers moi en souriant à son remerciement. Les adultes ont le don de se contredire en peu de temps lorsqu’ils tentent de réconforter quelqu’un. Ma mère aussi m’avait déjà lâché un « je ne sais pas ce que j’ai » pour ensuite revenir dessus en disant « je suis sûre que je n’ai rien ». L’incertitude se lit et elle s’entend, mais comme la phrase de Valerion se termine par un « faites-moi confiance », alors je me dois de faire confiance et hoche la tête. Du moins, lui faire confiance à cet instant. Je n’oublie pas que si une simple potion suffisait, Valerion n’annulerait pas notre cours, mais j’en déduis qu’il me faudra trouver la solution autrement et je cesse de jouer à l’enfant colérique en l’interrogeant de la sorte.

Je me redresse, laissant divaguer mes pensées et reviens sur un point qui me taraude depuis le soir d’Halloween et que je pensais lui demander demain matin.

Est-ce que je peux vous demander quelque chose sur l’atelier qu’il y a eu à Halloween ? Je guette son regard, à la recherche d’une lueur, voir si elle sait déjà de quoi je veux parler, et surtout, s’il a déjà parlé. Ce que je veux aussi, c’est apporter ma version des faits avant qu’elle ne soit bafouée. Le concierge avait construit un autel, avec des bougies, et il a parlé de morts… Mais… il a dit que je faisais honte à tout le château parce que je voulais pas rester. Bon, j’ai dit que je trouvais ça glauque, j’aurais p’tete pas dû. Mais pourquoi il fait ça ? Quand on pense aux morts, leurs âmes viennent, non ? Parce qu’on les appelle et… Je hausse les épaules, sans terminer ma phrase, car j’ai besoin d’entendre sa version avant de continuer. Comme une permission de continuer cette idée si elle la juge pertinente, ou de l’arrêter si elle n’y voit aucun intérêt, aucune logique. Je tente au mieux de cacher mon aversion pour cet homme et d’avouer à celle qui ne jugera pas mes pensées ce que cet atelier signifiait pour moi.

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13 nov. 2023, 14:36
 L.S  Jusqu'à ce que la mort nous sépare
La chance était peut être de son côté, car il n'avait pas insisté et c'était tant mieux pour la professeure qui n'avait aucune idée de se lancer dans des explications qui n'auraient aucun sens. Elle ne comptait de toute façon pas lui dire à quel point la tristesse pouvait avoir un impact sur son physique, car elle devrait également expliquer l'origine de cette tristesse et là, c'était trop lui demander.

Le changement de sujet était le bienvenu bien qu'il mentionne le concierge. Elle avait bien évidemment été mise au courant de ce petit autel que Kohler avait mis en place, mais entendre ce petit Poufsouffle lui retranscrire les mots du concierge l'agacer franchement. De quel droit ce maudit mage noir se permettait il de dire qu'il faisait honte à tout le château. Elle n'avait aucune envie de lui parler, mais là, elle avait simplement envie de le voir pour lui remettre les idées en place, il était hors de question qu'il parle de Sharp de cette manière. Et lui, ne faisait il pas honte à toute sa famille en étant devenu un mage noir ? Ne faisait il pas honte à Sixtine ? Quel culot.

- Il fait ça pour rendre hommage aux morts et aux dieux, mais ce n'est pas une honte de ne pas vouloir participer. C'est plutôt lui devrait avoir honte de vous avoir dit ça. Non, ne vous inquiétez pas les morts ne reviendront pas vous hanter. Il s'agit simplement d'adresser des prières à un dieu ou à ceux qui nous ont quitté.

Puis, elle attendit que le Poufsouffle reprenne le cours de sa phrase qu'il avait interrompu. En attendant qu'il reprenne le fil de la conversation, Sixtine envisageait déjà plusieurs façons de faire comprendre à Kohler qu'il y avait des choses à ne pas dire.

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13 nov. 2023, 15:57
 L.S  Jusqu'à ce que la mort nous sépare
Impossible de retenir le sourire qui nait sur mon visage lorsqu'elle retourne la honte dont j'ai été accusé, sur lui. Bien sûr que la honte l'habille mieux lui que moi. M'humilier ne sert à rien, car il perdra tous les matchs qu'il tentera de lancer. Je ne sais pas ce qui sépare les deux, mais hors de question de les laisser se rapprocher.

- Je le trouve un peu bizarre, moi, ce concierge, avoué-je sans penser qu'elle puisse être blessée.

Et sans transition aucune, parce que les pensées s'entrechoquent dans ma tête, je questionne comme un enfant jaloux questionnerait. Je compare comme ceux qui n'ont pas confiance en eux le feraient. Je me raccroche à ce qui me rassure.

- Est-ce que vous me direz si vous avez quelque chose demain ? Et à lui, vous lui direz ?

Je remets les pions à leur place et m'assurer de la différence d'attention qu'il y a entre lui et moi est primordial. Je n'attends qu'un oui, suivi d'un non. Je sais que ce n'est pas ma place, qu'elle pourrait me mentir, nous mentir, mais après tout, si mon cours doit être annulé, la question est légitime. En fait, toute question me paraitrait légitime.

Je la fixe elle et son corps qui a tangué l'espace d'un instant et le plan commence à s'élaborer tout seul dans ma tête : visiter l'infirmerie demain matin, écouter aux portes, fouiller dans les notes de l'infirmier, chercher un compte-rendu, n'importe quoi qui m'offrira la réponse si la réponse ne vient pas d'elle.

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