PV @Sigmund Charleston

La journée s'achevait lentement, pour autant, le soleil de Novembre était déjà couché depuis plus d'une heure. La froidure d'une journée d'automne s'installait tandis que le petit Gryffondor traversait les couloirs menant aux serres de Botanique. Il ne savait pas exactement ce qu'il avait en tête mais ses pas le menaient vers les salles de cours de son directeur de maison, M.Charleston. Frappant du pied pour ne pas se refroidir, le petit poussa la porte de la serre n°4, celle aux plantes européennes.

Malgré un père botaniste et apothicaire, le lionceau n'avait jamais été dégouté de la discipline. Il appréciait voir les plantes grandir et fleurir grâce à ses soins. Particulièrement habile de ses mains, en tout cas avec les plantes, la botanique était pour lui une sorte de loisir apaisant. Le silence des serres lorsque personne ne s'y trouvait faisait disparaitre son stress habituel. Aujourd'hui, il y entrait pourtant pour trouver quelqu'un.

Refermant doucement la porte derrière lui, le Gryffondor chercha des yeux le professeur. Mmh, personne mais il entendait du bruit. Quelqu'un devait bien être là. L'élève se glissa dans l'allée menant aux choux mordeurs de Chine avant de le repérer enfin un peu plus loin. Il s'approcha avant de s'interrompre pour observer ce que fabriquait le géant. Heu...

Hésitant, le garçon se retint de parler. Fallait-il l’interrompre ? Il avait entendu parler des plantes qui poussaient mieux lorsqu'on leur parlait, pourtant il n'avait jamais appliqué cette méthode. Confus, il laissa le professeur terminer son rituel avant de tousser légèrement pour signifier sa présence.

Edit : Si vous souhaitez parler du frère de Lance, il est probable qu'il n'ai jamais été viré de l'école et qu'il y soit encore. L'administration n'a pas voulu validé mon histoire donc pour l'instant j'évite de le mentionner
J'espère que ce premier post vous convient

« Je crois qu'Áine n'a pris qu'une part de gâteau au dernier goûter professoral que j'ai organisé. Je commence à me faire du souci concernant son manque d'appétit. Et si elle était malade ? » se désolait le professeur de botanique. Mylène et Britney, le couple de Moly auquel il confiait ses tracas, savaient toujours trouver les pétales justes pour le réconforter. C'était pourquoi il les affectionnait particulièrement, et passait souvent cinq minutes çà-et-là entre deux cours pour leur confier les dernières nouvelles du château. « Et entre Suileabhan et Sixtine, il se passe définitivement quelque chose. L'atmosphère était très tendue la dernière fois... vous croyez que je devrais me proposer comme médiateur entre eux ? » Le silence lui répondit, ce à quoi Sigmund acquiesça. « Vous avez raison, c'est mieux ainsi. »

Il entendit tousser derrière lui, en provenance de l'entrée de l'allée. « Je vous laisse, on dirait qu'un Chou est enrhumé. » Avec toute la lenteur d'un homme qui a du temps devant lui, Sigmund se redressa avant de se tourner vers la source du bruit.

Ah, un élève. Un première année de sa maison, plus précisément. Qu'avait-il entendu de ses conversations ? Merlin, heureusement que les réponses de Mylène et Britney ne résonnaient que dans sa tête. Il y avait certaines choses que les enfants ne devaient pas entendre.

« Lance. Tu as besoin de quelque chose, mon garçon ? » demanda la directeur de Gryffondor.

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Le jeune garçon, abasourdi, resta un instant la bouche ouverte par l'étonnement. Il ne la referma que lorsque le professeur se décida à lui adresser la parole en retournant vers lui. Décontenancé, le petit piétina un peu avant de se décider à parler. Il était venu, maintenant, il fallait assumer. Ses pensées étaient encore confuses dans sa tête et il n'était toujours pas certain de la raison qui l'avait mené dans la serre. Était-ce la recherche de calme ou bien de conseils ? En attendant, le professeur parlait à des Moly et celles-ci n'étaient pas spécialement connues pour être bavardes voir pour parler tout court !

- Par les fesses de Merlin, elles vous parlent ?! s'exclama t-il en oubliant presque pourquoi il était venu.

Décidément, entre les jurons et les bêtises, le petit avait perdu de son civisme depuis la rentrée. Il se réprimanda intérieurement avant d'enfin se décider à parler. Faire la causette ne le dérangeait pas mais l'heure de fermeture des serres n'était pas si loin et il détestait être en retard. Quarante minutes suffiraient largement pour ses questions pour autant, stressé comme il était, il ne s'en rendait pas vraiment compte.

- Vous... heu, je suis venu pour vous demander un truc. Commençons doucement afin de ne pas le brusquer, En cours d'Astronomie, M.Pearce m'a viré de cours avec euh... d'autres élèves, tous Gryffondor, sauf Logan je crois. Est-ce qu'il déteste les Gryffondor ? Enfin... Je veux dire. Il avait ses raisons mais pourquoi que nous ? C'est pas moi qui ai cogné Logan !

Grand sorcier ! Il s'embrouillait dans ses phrases. Sponsz était son ami alors il n'avait pas voulu le nommer. Sa question ne consistait d'ailleurs pas en qui avait été puni et qui ne l'avait pas été mais consistait plutôt en une demande d'explication. M.Pearce effrayait un peu Lance depuis l’événement en cours d'Astronomie. Un magnifique Troll trônait sur son bulletin depuis, et c'était bien le seul. Il espérait secrètement que l'homme aux plantes lui dise que l'Astronomie ne lui servirait pas voir qu'il n'avait plus besoin d'y aller.
Allez savoir pourquoi il avait décidé de se confier à M.Charleston. Probablement car c'était le professeur le moins effrayant de Poudlard qu'il connaissait. Malgré ses gouts vestimentaires discutables , il semblait toujours être gentil avec les élèves. Lance était prêt à lui faire confiance et peut-être même lui demander de l'aide concernant un sujet, mais ça viendrait plus tard.

Les fesses de Merlin ? Le professeur de botanique haussa un sourcil, interloqué par le langage de l'enfant. La jeunesse, ce n'était plus ce que ça avait été. Il se garda bien de relever ce curieux choix de mots, l'enfant enchaînant de toute façon déjà sur un autre sujet.

Mais qu'est-ce que c'était que cette histoire. Des élèves virés... le professeur Pearce... oui définitivement, l'incident lui disait quelque chose. Si ses souvenirs étaient exacts, l'évènement remontait à la mi-octobre. Le Directeur de Gryffondor avait bien évidemment été informé de tous les petits détails de cette affaire.

Il poussa un long soupir avant de sourire, presque amusé.

« Non, le professeur Pearce ne vous déteste pas, toi et tes camarades. » À vrai dire, il n'en savait rien : ses collègues étaient humains, il était parfaitement normal d'avoir des préférences envers certains élèves. Peut-être bien que Neven ne pouvait pas voir Lance en peinture, mais si c'était le cas, ça ne regardait que lui. « As-tu considéré le fait que sa décision ait pu faire suite à certains comportements inappropriés de votre part ? » demanda tranquillement le directeur de Gryffondor. Il lui cependant échappé que seuls des enfants de sa maison avaient été virés : si le garçon disait vrai, alors il était peut-être temps pour Sigmund de se montrer un peu plus ferme envers ses étudiants. C'était décidé : il leur cuisinerait un petit gâteau le lendemain.

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@Neven Peaerce, tu détestes mes élèves????

Les joues du petit s’empourprèrent brusquement. Le visage du garçon était presque aussi rouge que sa cravate désormais. En effet... Son exclusion était parfaitement justifiée puisqu'il avait été prit en flagrant délit de triche, mais ça, il voulait éviter de le mentionner au professeur.

- Ari, elle a été envoyée en retenue alors qu'elle était en train d'expliquer ce qu'il s'était passé au professeur ! dit le garçon, l'air assuré. Aleyna Rankins, elle a ... M.Pearce lui a jeté un Silencio ! continua t-il l'air outré

C'était sûr, le professeur d'Astronomie les détestait. Aucun doute n'était permis dans l'esprit du rouge-et-or. Il avait fait de cet enseignant son Némésis. Pin pin piiiin... L'air résolu, Lance était prêt à rétablir la justice face à cette tyrannie professorale ! Avec M.Charleston à leur côté, rien ne pourrait les arrêter.

Sortant brutalement de sa rêverie, le petit reporta son attention sur le professeur de botanique. Scrutant sa réaction, il attendait beaucoup de la part du géant auquel il mesurait actuellement le degré de confiance qu'il pouvait lui accorder. Des petits gâteaux ne suffirait pas. Seule une guerre comme dans les livres d'Histoire de la magie pouvait mettre fin à cette dictature des étoiles !

Décidément, les fréquentations du lionceau lui créaient une personnalité insoumise qui ne collait pas à la bouille enfantine du garçon. Et pour le service, on repassera. Le petit était peut-être téméraire mais pas courageux pour une mornille. Il n'allait pas demander de l'aide à l'adulte alors même que celui-ci semblait prêt à le réprimander pour son comportement.

Sigmund voulait bien continuer à écouter l'enfant, mais il ne faisait que répéter - de manière déformée - ce que lui avait déjà rapporté Neven. Il était normal que le garçonnet n'ait pas le même point de vue sur l'histoire que son professeur, mais le directeur de Gryffondor commençait à se demander si son plaidoyer était des explications ou... des plaintes.

Mais Sigmund se refusait à considérer la chose. Pour lui, c'était très simple : la vérité sortait toujours de la bouche des enfants. Et les Gryffondor étaient sous sa protection : leur bien-être, non ! leur bonheur était sa responsabilité, à lui Sigmund Charleston. Il ne pouvait cependant rien faire pour aider le garçon. Si Neven Pearce avait choisi de leur mettre à tous une retenue, c'était que la punition était méritée. Il n'y avait à l'heure actuelle rien qui l'encourageait à remettre en question les décisions d'un collègue.

Mais le pauvre, pauvre petit... Lance semblait déboussolé, comme frappé par un terrible mal. L'incident remontait déjà à quelques semaines et pourtant, l'enfant y pensait encore. Depuis quand ça lui trottait dans la tête ? Est-ce que ça lui causait des troubles du sommeil ? Mangeait-il bien, au moins ? Le professeur de botanique ajusta ses lunettes sur son nez et se pencha vers le garçonnet avant de l'observer longuement à travers ses fins carreaux. Lance ne semblait pas avoir maigri, mais la prudence était de mise.

« Écoute mon garçon, si votre professeur d'astronomie vous a puni, c'était qu'il y avait motif pour. Ça vaut également pour les mesures qu'il a dû prendre. Il est dans son droit de rétablir l'ordre dans sa classe et de faire respecter son autorité. Il ne vous déteste pas, ça aurait été pareil avec n'importe quelle autre maison en tort. » lui dit-il avant de reprendre d'une voix douce, bercée par l'inquiétude. « Tu n'arrives pas à passer à autre chose, hein ? C'était si dur que ça, mon garçon ? Dis-moi tout, qu'est-ce qui pourrait te changer les idées pour apaiser ton petit cœur ? » Il ajouta, plein de sagesse : « Il faut digérer pour pouvoir manger à nouveau. »

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La situation le mettait mal à l'aise, et il savait enfin pourquoi. L'enfant passait d'un pied à l'autre en observant la réaction du professeur. Il avaient enfin trouvé ce qui l'avait mené ici. La bienveillance du professeur l'avait leurré dans la serre et maintenant, entre les rangées de plantes, il savait ce qui le tracassait. Ça n'avait peu ou pas à voir avec cette histoire d'Astronomie. Sa faible carapace avait été brisée par la commisération de l'adulte et maintenant, il n'avait pas le choix de lui dire.
C'était le moment, aucun autre adulte ne semblait pouvoir l'écouter ainsi.

- C'est que ... Le choixpeau m'a envoyé a Gryffondor mais je pense qu'il s'est trompé... C'est la maison des courageux et moi je ne suis pas du tout courageux. Ari et Aleyna et même mes amis à Serpentard Augustin et Strawberry, ils sont tous courageux mais moi, ils disent que je suis un froussard. lança t-il, tout en bloc
Et c'est vrai ! Ils ont raison, j'ai toujours peur de tout. Je ne sais pas ce que je fais là... termina t-il en se retenant de pleurer

S'il avait su que ça terminerai comme ça, le petit ne serait probablement descendu dans les serres. C'était certes, un froussard mais pleurer devant un adulte le gênait. A ce niveau-là, il était prêt à rendre sa cravate au professeur lorsque celui-ci lui dirait qu'il avait raison et que sa place n'était pas chez les lions. L'histoire du professeur Pearce n'était qu'un prétexte, en réalité, il cachait un éléphant sous le tapis.

L'éléphant, en l’occurrence, était son angoisse de ne pas avoir sa place parmi les autres à Poudlard. Il était tombé dans la maison des courageux alors que lui-même n'était qu'un couard. On lui avait donné une baguette alors qu'il n'arrivait même pas à lancer des sorts corrects. Même Logan le né-moldu était plus courageux et plus doué que lui.


Ouah, ça part presque en consultation de psychomagie. Vous me dites si on doit recarder, hein !

Pas sa place à Gryffondor ? Mais par les fes... par la barbe de Merlin, que lui racontait ce marmot ? Son discours faisait plus de sens pour le professeur quand il tournait autour des punitions données par le professeur Pearce. C'était absurde d'imaginer que le Choixpeau ait pu faire une erreur en emmenant Lance Blacksword à Gryffondor. C'était même la chose la plus stupide que lui ait dite le garçon cejourd'hui.

« Approche, garçon, » lui dit l'enseignant avec un soupir désolé. Il se décala pour laisser passer l'étudiant, puis lui présenta les deux Moly à qui il parlait quelques instants plus tôt. « C'est Britney et Mylène. Tu peux leur faire un câlin, n'aie pas peur. Fais juste attention, les Moly sont des plantes très fragiles, » l'encouragea Sigmund.

D'une certaine façon, il pouvait comprendre le sentiment de non-appartenance à une maison. S'il ne s'était jamais questionné quand enfant, il avait été réparti à Poufsouffle, Sigmund avait eu beaucoup de mal à accepter l'idée de diriger Gryffondor. Le grand sorcier fit pensivement tourner autour de son doigt la Chevalière frappée du blason de Gryffondor. Depuis qu'elle était entrée en sa possession, il ne la quittait que rarement, et dormait parfois avec la nuit. Il avait l'étrange et irraisonnée impression qu'elle éloignait ses cauchemars de lui.

« On t'a probablement déjà dit que le Choixpeau ne se trompait jamais, mais c'est certainement une réponse qui ne te satisfait pas, hein ? » tenta-t-il avec douceur. « Lance Blacksword, première année à Gryffondor. Ne sois pas trop dure avec toi-même, garçon. Le courage peut se présenter de bien des façons différentes. Tu n'as peut-être juste pas encore trouvé la tienne. Et puis, » ajouta-t-il, « ce n'est pas l'unique chose qui définit une personne de Gryffondor. C'est simplement une vertu qu'on aime à prêter à ses étudiants. Tu es un jeune garçon exceptionnel, Lance. N'en doute pas. Et tu as évidemment toute ta place au sein de la maison qui a été choisie pour toi. »

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Lorsqu'il termina sa phrase, le petit sentit instantanément s’alléger le poids qu'il portait sur son cœur depuis la rentrée. Ça n'avait pas fait disparaitre le problème mais l'avoir partagé lui avait permit de mettre des mots sur ce qu'il ressentait. De plus, le professeur mania habilement ses paroles et orienta le lionceau vers la raison plus que l'émotion. C'était malin et ça permit au petit de ravaler ses larmes en analysant sa situation.

Inspectant un instant les Moly, le garçon refusa finalement de les toucher. Qui sait ce que le professeur pouvait avoir fait avec ! Il se promit plutôt d'aller méditer avec la plante qu'il avait reçu pour son anniversaire et qu'il avait déposé à la serre quelques jours plus tôt. Il nota aussi mentalement d'observer les Moly du professeur en secret pour voir si elles savaient réellement parler. Il apprendrait peut-être quelques secrets sur Poudlard grâce à elles.

On lui avait en effet rabâché un bon nombre de fois que le Choixpeau ne se trompait jamais et ça ne l'avait jamais satisfait. Oh, il y avait cru jusqu'à ce qu'il soit réparti chez les rouges et il y avait une première fois à tout. Peut-être que le Choixpeau se faisait vieux et s'était véritablement trompé. L'agitation des Gryffondor l'avait effrayé et il ne s'était fait que peu d'amis parmi eux. Depuis la rentrée, il n'avait en effet pas encore trouver sa place. Sa cravate rouge le serrait et tous ses camarades qui avait audace d'ouvrir la bouche dès que quelque chose les contrariaient, ça le tendait.
Après tout, peut-être que M.Charleston avait raison et qu'il allait trouver son courage prochainement. Peut-être même qu'il finira par s'y sentir bien dans les semaines suivantes. Pour l'instant, il venait de se trouver un ami, ou du moins, un confident en M.Charleston et ça, ça lui remontait le moral.

Il répondit, gêné :
- Hum... Je peux rester un peu dans la serre ? Au moins, c'est tranquille ici...



Désolé pour le changement de couleur de dialogue, le rouge commençait à me piquer les yeux.

Mylène et Britney furent privées du petit câlin, mais le professeur ne manqua pas de remarquer que le cœur de son étudiant semblait plus serein. Si les mots seuls avaient suffi à lui apporter une quelconque forme de réconfort, alors c'était tant mieux. Le grand sorcier maladroit n'était pas toujours très doué pour trouver les bons mots, alors quand ils faisaient mouche, ça lui faisait très plaisir. Il avait la rancune légère, les torts que lui avaient attribués Neven avaient été bien entendus et notés, mais il ne prenait pas vraiment partie et se montrait toujours au pire, totalement impartial, au mieux profondément et exagérément optimiste. Et puis, de ce qu'il avait entendu, Lance n'avait pas été le marmot le plus méchant du groupe. Il se méfiait davantage du petit Sponsz qu'il gardait à l'œil depuis.

« Tu peux rester encore une petite demi-heure si tu veux, oui. Après, les serres ferment, et on arrivera de toute façon assez vite sur l'heure du dîner » indiqua Sigmund après un bref regard à sa montre. « N'hésite pas à me dire si tu t'ennuies et que tu souhaites que je te confie une petite activité. Il y a toujours quelque chose à faire dans les serres. » Et pourtant, ça ne l'empêchait pas de s'asseoir et de juste discuter avec les plantes. C'était, d'après Sigmund, un élément presque essentiel à leur bonne santé. Tout être vivant devait recevoir de l'amour et de l'affection, c'était ainsi qu'on s'épanouissait et grandissait sain de corps et d'esprit.

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