Ce RP est semi-libre dans le sens ou seulement les deuxième année et Áine Lydon peuvent y participer. Pas besoin de me faire un message, postez juste à la suite et si vous pouvez faire un résumé de vos actions en fin de post cela serait génial.

Gloria avait reçu un jour en sortant d'un cours un parchemin où dessus il y avait la clef pour le code que la promo de 47/48 avait choisi. La deuxième année avait bien entendu appris ce code par cœur car cela pourrait être pratique pour s'envoyer des messages pendant un cours. Si un professeur le remarquait, il ne comprendrai rien de tout façon. Aujourd'hui pendant que la Gryffondor assistait à un cours d'HDLM, qui était fort intéressant soit, elle avait envie de faire autre chose car, il ne faut pas croire quatre heures d'affiler c'est long. De temps à autre pendant qu'elle écoutait le cours et qu'elle prenait des notes, quand elle décrochait la rouge et or chercha ce qu'elle pourrait écrire sur son parchemin et trouva enfin l'idée. La jeune fille pris un parchemin vierge et en découpa un bout et écrivit ensuite ce qui suit:

Ce message voulait dire que'elle demandait aux deuxième année s'il voulait bien venir un samedi pour embêtant une autre promo. Et la deuxième année l'a signé par son prénom.
La signification de se message n'est normalement su que par les deuxième année qui on reçu aussi, bien évidemment, la fameuse clef qui permettrait de codé ou décodé tout type de message codé à la manière qu'utilise les deuxième année maintenant.
Maintenant que la jeune fille eu terminé d'écrire son message, elle se pencha vers sa camarade de droite pour lui dire en chuchotant le plus bas possible, mais de manière quand-même audible par quelqu'un proche d'elle:
" Si ça t'intéresse tu peux le lire. Après que tu l'auras au non lu pourrais-tu le faire passer à ta camarade à côté de toi? Merci."
283 mots.

Gloria à écrit un message et elle se penche vers sa camarade de droite pour lui faire passer ce qu'elle a écrit.

Elena dormait profondément ce vendredi là. L'Histoire de la Magie était la chose la plus ennuyeuse de la galaxie entière aux yeux de la petite fille, et elle refusait de gacher sa matinée inutilement. Donc depuis le début de l'année scolaire, la petite sorcière n'écoutait pas miss Lydon. Elena dormait, dessinait, faisait ses devoirs en retard et, parfois, quand elle avait vraiment la flemme d'y aller, elle séchait. Mais pas ce jour là, et dès qu'elle reçu le message de Gloria, Elena s'en félicita. Préparer une blague aux premières années, c'était LA chose à faire pour la motiver à e creuser les méninges en cours théoriques. Pas en lien avec la matière, mais c'était déjà un progrès.

La serpentarde ajouta d'une écriture rapide: V'XU MNCM XQXUK, pour signaler sa présence à elle, et passa le papier à la personne derrière elle dès qu'elle fut sure que miss Lydon ne regardait pas.

-C'est à déchiffrer avec le code de l'autre jour chuchota la petite Links à la personne en question.

Elena avait reçue avec joie ce bout de papier qui lui permettait de discuter allègrement avec toute sa promo sans que personne ne comprenne. Les pirates avaient des codes de communication entre eux. Les deuxième années en faisaient autant. Il faudrait aussi qu'ils se trouvent un QG, comme l'ile de la tortue, songea-t-elle. Peut être dans les souterrains ou dans la salle sur demande. Tout à fait réveillée, Elena entreprit de dessiner cet endroit, mélange rêve entre cabane dans les arbres et château.

C'était un cours d'Histoire de la Magie totalement dépourvu d'activité. Ni débats, ni rien d'autre que Miss Lydon en train de parler. Merinda écoutait d'une oreille tout en griffonnant sur son parchemin des idées de bêtises qu'elle n'avait pas encore faites. A ses côtés, Orlaith dormait profondément, comme Elena devant elles d'ailleurs.
Soudain, cette dernière sembla relever la tête, intéressée par quelque chose. Sûrement pas le cours, il n'avait pas changé, et Miss Lydon parlait toujours de manière aussi endormante. Pourtant, Elena sembla se mettre à prendre des notes ? Merinda se concentra mieux sur ce que disait la Professeure, mais elle trouvait cela toujours aussi ennuyeux. C'est alors que sa camarade de maison se retourna pour lui passer un bout de papier, tout en lui chuchotant que c'était à déchiffrer avec le code de l'autre jour.
L'intérêt de la galloise se décupla en un instant. Il s'agissait sûrement du langage codé de promo mis en place par Noah et Nico ! La jeune fille aux cheveux courts l'avait appris par cœur ! Elle déchiffra le message en un instant, et eut un grand sourire. Elle réveilla Orlaith avec quelques coups de coudes amicaux dans les côtes, et lui murmura à l'oreille, un ourire coquin au coin des lèvres :
"Une réunion samedi vers 14h pour préparer une blague aux premières années, ça t'intéresse ?"
Elle écrivit de son côté : SXYCUX HYXMXUFX, et passa le bout de papier à son amie.

@Orlaith Ó Súilleabháin

Assise au premier rang, bien évidemment, la petite Serdaigle était bien loin de l'état d'esprit de ses camarades du fond. Pour elle, il n'était pas question de sieste, de divertissements futiles ou autres activités risquant de la détourner du cours. Hors de question de manquer la moindre petite miette de ce que pourrait dire son enseignante préférée. Surtout quand elle abordait de façon aussi passionnante les terribles chasses aux sorcières qui avait sévi jadis partout en Europe. Probablement pas un des thèmes qu'elle attendait avec le plus d'impatience, mais un sujet qui, du fait de son existence dans le monde de ses parents, lui permettait de se prêter à son petit jeu de comparaison.

Et pendant que d'autres préféraient bavarder discrètement entre eux, Astrid ne se gênait pas pour lever la main et questionner directement l'adulte de "pourquoi les moldus continuaient d'essayer de brûler les vrais sorciers alors qu'en vrai ils pouvaient pas les tuer comme ça?" et autres "pourquoi on dit juste "aux sorcières" alors que y'a autant de sorciers que de sorcières?". Sûrement de quoi donner des démangeaisons aux plus récalcitrants de la classe qui n'auraient sans doute pas hésité à la traiter de fayote, ou à juger ses questions stupides, s'ils les écoutaient. Bien sûr, il restait LA question principale que se posait la petite Keaty: est-ce que ces chasses aux sorcières, c'est quelque chose qui aurait pu arriver en 2045, ou après. Bien que n'ayant vécu ces évènements que de loin, depuis son Irlande natale dans une famille d'Irlandais convaincus que ce n'étaient que des inventions anglaises, elle avait commencé à se questionner après coup. Après avoir su qu'elle était une de ces "inventions de Londres", elle aussi. Et à entendre ces histoires de chasse aux sorcières, elle ne pouvait s'empêcher de se demander si, un jour, ce ne serait pas elle qui finirait sur un bûcher. Mais cette question ci attendrait qu'elle soit seule avec Miss Lydon, un jour. Pour le moment, elle ne comptait pas se laisser gâcher sa matinée préférée par des pensées obscures, ni par d'hypothétiques interventions malavisées de ses camarades les plus dissipés.

Il était de toute façon peu probable qu'un mot clandestin parvienne à rejoindre le premier rang, juste sous le nez de l'historienne. Peu probable d'ailleurs que des élèves se risquent à le transmettre jusqu'à ces élèves qui suivaient le cours, et seraient potentiellement susceptibles de laisser l'adulte prendre possession de l'arme de ce crime d’inattention honteuse envers la meilleure des matières. N'est-ce pas?

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Contenu du programme vu avec la madame, marchi (j'espère que tu n'as pas cédé, j'ai laissé les cœurs!) Si les questions ne collent pas avec le contenu théorique du moment, je peux changer sans soucis