Le club culturel s'agrandit : partagez vos citations préférées !

Puisque la culture c'est avant tout apprendre à connaître et à s'intéresser, nous vous proposons dans ce sujet de nous partager des citations que vous aimez ; elles peuvent être tirées de n'importe quel domaine culturel (littérature, cinéma, jeux vidéos, musique ou que sait-on encore), l'important est qu'elles vous inspirent et que ayez envie de nous les faire découvrir.

ㅤㅤㅤQuelques règles à respecter

• Pensez à toujours préciser d'où vient la citation que vous partagez ; citez l'auteur dans la mesure du possible, et toujours au moins l'œuvre d'où la citation est tirée.

• Merci de ne pas citer de RPG ; pour cela, il existe le mémorial.

• Vous pouvez inclure plusieurs citations dans un seul post. Nous vous demandons cependant d'éviter les citations trop longues, au risque qu'elles encombrent le sujet, ou de bien vouloir les mettre sous reducio.

• Vous pouvez poster autant de fois que vous le voulez mais il est préférable d'éviter les double-posts (si vous voulez partager une nouvelle citation mais que personne n'a rien écrit depuis votre dernier post, éditez simplement votre post).

• Vous pouvez dire en quelques lignes pourquoi la citation que vous nous partagez vous plait mais vous n'y êtes pas du tout obligés.

• Ce sujet n'est pas un flood : un bref commentaire au sujet d'une citation partagée par quelqu'un d'autre sera toléré seulement si vous postez également une citation. Pour de vrais échanges, privilégiez les hiboux ou le flood du Chaudron Baveur.

« La vie, c’est comme une boîte de chocolats. On ne sait jamais sur quoi on va tomber. »

Forrest Gump

Erin Fergusson a écrit : ↑31 janv. 2024, 13:56

« La vie, c’est comme une boîte de chocolats. On ne sait jamais sur quoi on va tomber. »

Forrest Gump

La phrase culte de ce magnifique film !

La nature fait les hommes et femmes semblables, la vie les rend différents.

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Nul besoin d'une potion, le duo d'étain utilise ses poings.

Choco’/PR/Fiche RP
Meli en or, ma chère mentor, aie moi à suivre le droit chemin

« Allez donc le chercher son Barbagny dans la fin d'un monde ! Il aurait fallu qu'on sacrifiât pour le retrouver son Barbagny au moins un escadron tout entier ! Et encore un escadron de braves ! Et moi qui n'étais point brave et qui ne voyais pas du tout pourquoi je l'aurais été brave, j'avais évidemment encore moins envie que personne de retrouver son Barbagny, dont il nous parlait d'ailleurs lui-même absolument au hasard. C'était comme si on avait essayé en m'engueulant très fort de me donner l'envie d'aller me suicider. Ces choses-là on les a ou on ne les a pas. »

« Pour que dans le cerveau d'un couillon la pensée fasse un tour, il faut qu'il lui arrive beaucoup de choses et des bien cruelles. Celui qui m'avait fait penser pour la première fois de ma vie, vraiment penser, des idées pratiques et bien à moi, c'était bien sûrement le commandant Pinçon, cette gueule de torture. »

« Pour bouffer moi je comprends tout ce qu'on veut, ce n'est plus de l'intelligence c'est du caoutchouc. »

« En somme, tant qu'on est à la guerre, on dit que ce sera mieux dans la paix et puis on bouffe cet espoir-là comme du bonbon et puis c'est rien quand même que de la merde. »

« Je retrouvai la terre peu d'instants plus tard et la nuit, plus épaisse encore sous les arbres, et puis derrière la nuit toutes les complicités du silence. »

« C'est peut-être ça qu'on cherche à travers la vie, rien que cela, le plus grand chagrin possible pour devenir soi-même avant de mourir. »

« Philosopher n'est qu'une autre façon d'avoir peur et ne porte guère qu'aux lâches simulacres. »

« J'ai fini par m'endormir sur la question, dans ma nuit à moi, ce cercueil, tellement j'étais fatigué de marcher et de ne trouver rien. »

« On s'était bien compris autrefois avec la fille Henrouille... Pendant longtemps... Mais maintenant, elle était plus assez bas pour moi, elle pouvait plus descendre... Me rejoindre... Elle avait pas l'instruction et la force. On ne monte pas dans la vie, on descend. »

« Je m'en retournai triste quand même du côté de Vigny, en pensant que tous ces gens, ces maisons, ces choses sales et mornes ne me parlaient plus du tout, droit au coeur comme autrefois, et que moi tout mariole que je pouvais paraître, je n'avais peut-être plus assez de force non plus, je le sentais bien, pour aller encore loin, moi, comme ça, tout seul. »

« De loin, le remorqueur a sifflé ; son appel a passé le pont, encore une arche, une autre, l'écluse, un autre pont, loin, plus loin... Il appelait vers lui toutes les péniches du fleuve toutes, et la ville entière, et le ciel et la campagne, et nous, tout qu'il emmenait, la Seine aussi, tout, qu'on n'en parle plus. »

L-F. Céline, Voyage au bout de la nuit (1932)

« Je savais pas quoi penser moi toujours. J’étais pas dans l’état de réfléchir trop fort. Tout de même, en dépit de l'horreur où je me trouvais, ça me tracassait salement, en plus du bruit de tempête que je promenais. Il avait plus l'air de rester que moi en fin de compte dans cette saloperie d'aventure. Le canon de loin, j’étais pas très sûr de l'entendre non plus. Ça se confondait. Dans l’alentour j’ai vu des petits groupes à cheval, à pied, qui s’éloignaient. J'aurais bien aimé que ça aurait été les Allemands, mais ils n'approchaient pas. Ils avaient autre chose à branler sans doute dans d'autres directions. Ils devaient avoir des ordres. Ici le terrain devait être épuisé en fait de bataille. C’était à moi tout seul en somme à le retrouver le régiment ! Où qu'il pouvait être celui-là ? De penser, même un bout, fallait que je m'y reprenne à plusieurs fois comme quand on se parle sur le quai d'une gare quand un train passe. Un bout de pensée très fort à la fois, l'un après l’autre.

C'est un exercice je vous assure qui fatigue. A présent je suis entraîné. Vingt ans, on apprend. J'ai l’âme plus dure, comme un biceps. Je crois plus aux facilités. J'ai appris à faire de la musique, du sommeil, du pardon et, vous le voyez, de la belle littérature aussi, avec des petits morceaux d'horreur arrachés au bruit qui n'en finira jamais. Passons. »

L-F. Céline, Guerre (2022)

Je suis fatigué patron, fatigué de devoir courir les routes et d'être seul comme un moineau sous la pluie. Fatigué d'avoir jamais un ami pour parler, pour me dire où on va, d'où on vient et pourquoi. Mais surtout je suis fatigué de voir les hommes se battre les uns les autres, je suis fatigué de toute la peine et la souffrance que je sens dans le monde.

Mon mari dit qu'il veut passer ses vacances dans un endroit où il n'est jamais allé. J'ai répondu : '' Et pourquoi pas la cuisine '' ?

N'oublie jamais que tout est éphémère : alors tu ne seras jamais trop joyeux dans le bonheur, ni trop triste dans le chagrin.

Les émotions que nous n'exprimons pas ne meurent pas. Elles sont enterrées vivantes et reviennent nous hanter plus tard sous une autre apparence.

De nos jours, les gens connaissent le prix de tout mais ils ne savent la valeur de rien.

L'intelligence, ce n'est pas avoir de bon résultats, mais se poser des questions.

Il faut voir les choses en grand pour arriver à quoi que ce soit

Lucas Calme a écrit : ↑31 janv. 2024, 15:07 Et voici pour moi :

Je suis fatigué patron, fatigué de devoir courir les routes et d'être seul comme un moineau sous la pluie. Fatigué d'avoir jamais un ami pour parler, pour me dire où on va, d'où on vient et pourquoi. Mais surtout je suis fatigué de voir les hommes se battre les uns les autres, je suis fatigué de toute la peine et la souffrance que je sens dans le monde.

John Coffey, La ligne verte

Une belle rencontre, c'est comme une étoile : on ne sait pas vraiment comment ni pourquoi elle apparait mais elle illumine toujours nos vies.

Eva Mazur

N'essaie pas d'être utile, essaie d'être toi. Cela suffit et cela fait toute la différence.

Paulo Coelho

Tu fais quoi dans la vie ? Je fais de mon mieux.

Catherine Testa

"Un jour la jour, un jour la tristesse, tous les jours le sourire." Sébastien Fauvel

"Paix et tranquillité, voilà le bonheur." Proverbe chinois

"C'est le malheur qui met en pleine lumière la véritable amitié, et la vertu se fait aimer, toujours, par son seul prestige." Euripide

"On ne vieillit pas, on devit meilleur." Shirley Bassey

"N'emprunter rien de votre ami, si vous souhaitez que son amitié continue." Proverbe oriental