Ashley tentait tant bien que mal de suivre sa sœur, Charlie, dans la cohue. Une foule de moldus se pressaient sur le quai de la gare et c'était très difficile de manœuvrer son gros chariot remplis de ses affaires de cours. La jeune fille sentait l'appréhension grandir en elle au rythme de ses pas. Toute sa famille lui avait tant parler de Poudlard que s'en était devenu un mythe, mais maintenant, c'était à son tour d'y aller. Elle avait attendu ce jour avec avidité, se disant qu'enfin elle ne vivrait plus avec ses insupportables parents et qu'elle ne les verrait plus que pour Noël et les vacances d'été ! Mais maintenant que c'était le moment de partir, elle ressentait une appréhension. La jeune fille se demandait si elle serait capable de sociabiliser. Mais elle s'était promis d'oublier ses anciennes peur liées à l'insécurité amicale - comme elle l'avait appelée.

Charlie s'arrêta soudain devant une barrière ce qui la ramena à la réalité. Ashley savait que cette barrière donnait sur le quai 9^3/4 et donc sur le Poudlard Express. Ses craintes revinrent de plus belle ; et si elle était toute seule dans le wagon et que personnes ne lui parlaient ? Et si elle ne parlait à personne ?

- He, bichette, lui murmura sa grande sœur, pas d'inquiétude, tu vas voir, Poudlard c'est super ! Et puis, tu vas être débarrasser de papa et maman.

Elle lui lança un clin d'œil et s'appuya nonchalamment à la barrière. Ashley l'imita avec un temps de retard. Doucement, elles passèrent de l'autre côté. La jeune fille s'attendait à tout, mais pas à ça. Elle avait imaginé toute sorte de choses mais jamais elle n'avait envisagé que une gare sorcière soit tout à fait... ordinaire. A part peut-être le train qui leur faisait face, avec sa locomotive rouge et les fumée noir qui s'en dégageait. Sur le quai, tout le monde s'embrassait, se souhaitait bonne chance et se donnait des conseils de dernières minutes. Ashley sentit son cœur se serrer à la vue de toute ces familles heureuses, de tout ces parents aimants. Beaucoup d'élève de Poudlard se baladait avec des paniers ou des cages à la main et, de ses cages, s'élevaient un concert de couinements, de miaulements et d'hululements. Ashley aima tout de suite l'ambiance qui régnait sur le quai. Les contrôleurs annoncèrent le départ et Charlie fit un dernier câlin à sa sœur.

- Tu vas gérer, d'accord bichette ? Envoie moi des hiboux dès que tu peux, OK ? Je veux savoir tout ce qui se passe, ce que tu fais, tes matières et profs préférés. Tout, dac ? Si t'as la moindre question, tu me demandes, OK ? Je serais toujours là, quoique fassent papa et maman. Allez, file bichette, faudrait pas que tu rates ton train !

Et sur un dernier clin d'œil, Charlie poussa sa grosse malle dans un wagon. Ashley embrassa une dernière fois la joue de sa sœur et respira une dernière fois son odeur avant de monter dans le train.

- Embrasse Erin et Harper de ma part !

La dernière image qu'elle eut, avant que le train ne quitte la gare, fut sa sœur agitant la main, un grand sourire aux lèvres. Ashley ferma vite la fenêtre car le vent froid la glaçait de l'intérieur. Elle passa dans les couloirs, cherchant un compartiment vide. La jeune fille en repéra un. Elle rentra dedans, posa sa grosse malle et s'assit sur la banquette. Ses appréhensions avaient été balayé, elle ne sentait plus que la joie de découvrir un nouveau monde.

𝙼𝚊𝚛𝚌𝚑𝚊𝚗𝚝 à 𝚐𝚛𝚊𝚗𝚍𝚎 𝚟𝚒𝚝𝚎𝚜𝚜𝚎 𝚍𝚊𝚗𝚜 𝚕𝚊 𝚐𝚊𝚛𝚎 𝙺𝚒𝚗𝚐 𝙲𝚛𝚘𝚜𝚜, 𝚓’𝚊𝚟𝚊𝚗ç𝚊𝚒𝚜, 𝚖𝚎𝚜 𝚙𝚊𝚛𝚎𝚗𝚝𝚜 𝚍𝚎 𝚌𝚑𝚊𝚚𝚞𝚎 𝚌ô𝚝é 𝚍𝚎 𝚖𝚘𝚗 𝚌𝚑𝚊𝚛𝚒𝚘𝚝 𝚛𝚎𝚖𝚙𝚕𝚒 𝚍𝚎 𝚏𝚘𝚞𝚛𝚗𝚒𝚝𝚞𝚛𝚎𝚜 𝚜𝚌𝚘𝚕𝚊𝚒𝚛𝚎 𝚎𝚝 𝚊𝚞𝚝𝚛𝚎𝚜 𝚌𝚑𝚘𝚜𝚎𝚜 𝚍𝚎 𝚝𝚘𝚞𝚝𝚎𝚜 𝚜𝚘𝚛𝚝𝚎𝚜, 𝚖𝚊 𝚌𝚑𝚒𝚎𝚗𝚗𝚎 𝚙𝚘𝚜é𝚎 𝚌𝚘𝚖𝚖𝚎 𝚞𝚗𝚎 𝚛𝚎𝚒𝚗𝚎 𝚊𝚞 𝚍𝚎𝚜𝚜𝚞𝚜. 𝙻𝚎𝚜 𝙼𝚘𝚕𝚍𝚞𝚜 𝚗𝚘𝚞𝚜 𝚛𝚎𝚖𝚊𝚛𝚚𝚞𝚊𝚒𝚎𝚗𝚝 à 𝚙𝚎𝚒𝚗𝚎, 𝚖ê𝚖𝚎 𝚜𝚒 𝚓𝚎 𝚙𝚎𝚛ç𝚞 𝚚𝚞𝚎𝚕𝚚𝚞𝚎𝚜 𝚛𝚎𝚐𝚊𝚛𝚍𝚜 𝚜𝚌𝚎𝚙𝚝𝚒𝚚𝚞𝚎𝚜. 𝙴𝚗𝚏𝚒𝚗 𝚊𝚛𝚛𝚒𝚟é𝚜 𝚍𝚎𝚟𝚊𝚗𝚝 𝚕𝚊 𝚋𝚊𝚛𝚛𝚒è𝚛𝚎, 𝚓𝚎 𝚖’𝚊𝚛𝚛ê𝚝𝚊 𝚗𝚎𝚝. 𝙳𝚎𝚜 𝚍𝚘𝚞𝚝𝚎𝚜 𝚓𝚊𝚒𝚕𝚕𝚒𝚛𝚎𝚗𝚝 𝚍𝚎 𝚖𝚘𝚒, 𝚖’𝚊𝚜𝚜𝚊𝚒𝚕𝚕𝚊𝚗𝚝 𝚍𝚎 𝚝𝚘𝚞𝚝𝚎 𝚙𝚊𝚛𝚝. 𝙿𝚎𝚞𝚝-ê𝚝𝚛𝚎 𝚚𝚞𝚎 𝚏𝚒𝚗𝚊𝚕𝚎𝚖𝚎𝚗𝚝 𝚘𝚗 𝚜’𝚎𝚜𝚝 𝚝𝚛𝚘𝚖𝚙é, 𝚎𝚝 𝚚𝚞𝚎 𝚌’𝚎𝚜𝚝 𝚍𝚎𝚖𝚊𝚒𝚗 𝚕𝚊 𝚛𝚎𝚗𝚝𝚛é𝚎? É𝚝𝚎𝚒𝚗𝚜 𝚟𝚛𝚊𝚒𝚖𝚎𝚗𝚝 𝚜𝚞𝚛 𝚚𝚞𝚎 𝚓𝚎 𝚜𝚞𝚒𝚜 𝚞𝚗𝚎 𝚜𝚘𝚛𝚌𝚒è𝚛𝚎? 𝙲’é𝚝𝚊𝚒𝚝 𝚙𝚎𝚞𝚝-ê𝚝𝚛𝚎 𝚞𝚗𝚎 𝚎𝚛𝚛𝚎𝚞𝚛 𝚍𝚎 𝚕𝚊 𝚙𝚘𝚜𝚝, 𝚘𝚞 𝚒𝚕 𝚊𝚟𝚊𝚒𝚝 𝚙𝚎𝚞𝚝-ê𝚝𝚛𝚎 𝚟𝚘𝚞𝚕𝚞 𝚖𝚎 𝚏𝚊𝚒𝚛𝚎 𝚞𝚗𝚎 𝚋𝚕𝚊𝚐𝚞𝚎?
𝚄𝚗𝚎 𝚖𝚊𝚒𝚗 𝚜𝚎 𝚙𝚘𝚜𝚊 𝚜𝚞𝚛 𝚖𝚘𝚗 é𝚙𝚊𝚞𝚕𝚎 𝚎𝚝 𝚓𝚎 𝚜𝚞𝚛𝚜𝚊𝚞𝚝𝚊. 𝙼𝚊𝚒𝚜 𝚌𝚎 𝚗’é𝚝𝚊𝚒𝚝 𝚚𝚞𝚎 𝚖𝚊 𝚖è𝚛𝚎 𝚊𝚟𝚎𝚌 𝚜𝚘𝚗 𝚛𝚎𝚐𝚊𝚛𝚍 𝚎𝚗𝚌𝚘𝚞𝚛𝚊𝚐𝚎𝚊𝚗𝚝. 𝙴𝚕𝚕𝚎 𝚖’𝚎𝚡𝚙𝚕𝚒𝚚𝚞𝚊 𝚌𝚘𝚖𝚖𝚎𝚗𝚝 𝚝𝚛𝚊𝚟𝚎𝚛𝚜𝚎𝚛, 𝚊𝚟𝚊𝚗𝚝 𝚍𝚎 𝚜𝚎 𝚛𝚎𝚍𝚛𝚎𝚜𝚜𝚎𝚛 𝚎𝚝 𝚍𝚎 𝚍𝚎𝚖𝚊𝚗𝚍𝚎𝚛 𝚏𝚛𝚘𝚒𝚍𝚎𝚖𝚎𝚗𝚝 à 𝚖𝚘𝚗 𝚙è𝚛𝚎 𝚜𝚒 𝚒𝚕 𝚊𝚟𝚊𝚒𝚝 𝚋𝚒𝚎𝚗 é𝚌𝚘𝚞𝚝𝚎𝚛 𝚕𝚎𝚜 𝚒𝚗𝚜𝚝𝚛𝚞𝚌𝚝𝚒𝚘𝚗𝚜. 𝙲𝚎𝚕𝚞𝚒 𝚌𝚒 𝚕𝚎𝚟𝚊 𝚕𝚎𝚜 𝚢𝚎𝚞𝚡 𝚊𝚞 𝚌𝚒𝚎𝚕 𝚊𝚟𝚊𝚗𝚝 𝚍’𝚑𝚘𝚌𝚑𝚎𝚛 𝚕𝚊 𝚝ê𝚝𝚎, 𝚖𝚊𝚒𝚜 𝚓𝚎 𝚛𝚎𝚜𝚜𝚎𝚗𝚝𝚊𝚒𝚜 𝚜𝚊 𝚍é𝚝𝚛𝚎𝚜𝚜𝚎 𝚊𝚞 𝚏𝚘𝚗𝚍 𝚍𝚎 𝚕𝚞𝚒.

- 𝙿𝚊𝚙𝚊, 𝚝𝚞 𝚗𝚎 𝚙𝚎𝚞𝚡 𝚙𝚊𝚜 𝚟𝚎𝚗𝚒𝚛 𝚜𝚞𝚛 𝚕𝚎 𝚚𝚞𝚊𝚒 𝟿 ¾ 𝚌’𝚎𝚜𝚝 𝚛é𝚜𝚎𝚛𝚟é 𝚊𝚞𝚡 𝚜𝚘𝚛𝚌𝚒𝚎𝚛𝚜.

𝙸𝚕 𝚜𝚎 𝚝𝚘𝚞𝚛𝚗𝚊 𝚟𝚎𝚛𝚜 𝚖𝚘𝚒, 𝚜𝚞𝚛𝚙𝚛𝚒𝚜, 𝚖𝚊𝚒𝚜 𝚗𝚎 𝚙𝚊𝚛𝚞𝚝 𝚙𝚊𝚜 𝚍é𝚜𝚎𝚜𝚙é𝚛é 𝚍𝚎 𝚗𝚎 𝚙𝚊𝚜 𝚙𝚘𝚞𝚟𝚘𝚒𝚛 𝚖’𝚊𝚌𝚌𝚘𝚖𝚙𝚊𝚐𝚗𝚎𝚛. Ç𝚊 𝚗𝚎 𝚕’𝚎𝚗𝚌𝚑𝚊𝚗𝚝𝚊𝚒𝚝 𝚜𝚊𝚗𝚜 𝚍𝚘𝚞𝚝𝚎 𝚙𝚊𝚜 𝚍𝚎 𝚜𝚎 𝚛𝚎𝚝𝚛𝚘𝚞𝚟𝚎𝚛 𝚊𝚞 𝚖𝚒𝚕𝚒𝚎𝚞 𝚍𝚎 𝚜𝚘𝚛𝚌𝚒𝚎𝚛𝚜. 𝙾𝚑 𝚋𝚒𝚎𝚗 𝚜û𝚛, 𝚓𝚎 𝚗𝚎 𝚜𝚊𝚟𝚊𝚒𝚜 𝚙𝚊𝚜 𝚜𝚒 𝚌𝚎 𝚚𝚞𝚎 𝚓’𝚊𝚟𝚊𝚒𝚜 𝚍𝚒𝚝 é𝚝𝚊𝚒𝚝 𝚟𝚛𝚊𝚒 - 𝚖ê𝚖𝚎 𝚖𝚊 𝚖è𝚛𝚎 𝚖’𝚊 𝚓𝚎𝚝é 𝚞𝚗 𝚛𝚎𝚐𝚊𝚛𝚍 𝚌𝚞𝚛𝚒𝚎𝚞𝚡 - 𝚖𝚊𝚒𝚜 𝚓𝚎 𝚙𝚛é𝚏é𝚛𝚊𝚒𝚜 𝚏𝚊𝚒𝚛𝚎 𝚋𝚘𝚗𝚗𝚎 𝚏𝚒𝚐𝚞𝚛𝚎 𝚍𝚎𝚟𝚊𝚗𝚝 𝚕𝚎𝚜 𝚊𝚞𝚝𝚛𝚎𝚜 𝚎𝚝 𝚗𝚎 𝚙𝚊𝚜 𝚖𝚘𝚗𝚝𝚛𝚎𝚛 𝚝𝚘𝚞𝚝 𝚍𝚎 𝚜𝚞𝚒𝚝𝚎 𝚚𝚞𝚎 𝚓’𝚊𝚟𝚊𝚒𝚜 𝚞𝚗 𝚙è𝚛𝚎 𝙼𝚘𝚕𝚍𝚞. 𝙹𝚎 𝚜𝚊𝚒𝚜, 𝚓𝚎 𝚗𝚎 𝚍𝚎𝚟𝚛𝚊𝚒𝚜 𝚙𝚊𝚜 𝚊𝚟𝚘𝚒𝚛 𝚑𝚘𝚗𝚝𝚎 𝚖𝚊𝚒𝚜…𝚌’𝚎𝚜𝚝 𝚙𝚕𝚞𝚜 𝚏𝚘𝚛𝚝 𝚚𝚞𝚎 𝚖𝚘𝚒.
𝚀𝚞𝚎𝚕𝚚𝚞𝚎𝚜 𝚖𝚒𝚗𝚞𝚝𝚎𝚜 𝚙𝚕𝚞𝚜 𝚝𝚊𝚛𝚍, 𝚓’𝚊𝚟𝚊𝚗ç𝚊𝚒𝚜 𝚍𝚘𝚗𝚌 𝚍𝚛𝚘𝚒𝚝 𝚟𝚎𝚛𝚜 𝚕𝚊 𝚋𝚊𝚛𝚛𝚒è𝚛𝚎, 𝚁𝚞𝚋𝚢 𝚍𝚊𝚗𝚜 𝚕𝚎𝚜 𝚋𝚛𝚊𝚜. 𝙹’𝚊𝚟𝚊𝚒𝚜 𝚕𝚎𝚜 𝚖𝚊𝚒𝚗𝚜 𝚖𝚘𝚒𝚝𝚎𝚜 𝚎𝚝 𝚓’𝚎𝚜𝚙é𝚛𝚊𝚒 𝚍𝚎 𝚝𝚘𝚞𝚝 𝚌œ𝚞𝚛 𝚚𝚞𝚎 𝚓𝚎 𝚗𝚎 𝚏𝚘𝚗𝚌𝚎𝚛𝚊𝚒 𝚙𝚊𝚜 𝚍𝚊𝚗𝚜 𝚕𝚎 𝚖𝚞𝚛 𝚎𝚝 𝚖’é𝚌𝚛𝚊𝚜𝚎𝚛𝚊𝚒. 𝙼𝚊𝚒𝚜 𝚌𝚘𝚖𝚖𝚎 𝚙𝚊𝚛 𝚖𝚊𝚐𝚒𝚎 (𝚌’𝚎𝚜𝚝 𝚕𝚎 𝚌𝚊𝚜 𝚍𝚎 𝚕𝚎 𝚍𝚒𝚛𝚎) 𝚓𝚎 𝚝𝚛𝚊𝚟𝚎𝚛𝚜𝚎 𝚕𝚎 𝚖𝚞𝚛 𝚎𝚝 𝚖𝚎 𝚛𝚎𝚝𝚛𝚘𝚞𝚟𝚎 𝚜𝚞𝚛…𝚠𝚘𝚠…𝙹𝚎 𝚖𝚎 𝚛𝚎𝚝𝚛𝚘𝚞𝚟𝚊𝚒 𝚜𝚞𝚛 𝚞𝚗 𝚖𝚊𝚐𝚗𝚒𝚏𝚒𝚚𝚞𝚎 𝚚𝚞𝚊𝚒 𝚋𝚘𝚗𝚍é 𝚍𝚎 𝚜𝚘𝚛𝚌𝚒𝚎𝚛𝚜, 𝚎𝚝 𝚞𝚗 𝚝𝚛𝚊𝚒𝚗 𝚛𝚘𝚞𝚐𝚎 𝚎𝚝 𝚗𝚘𝚒𝚛, 𝚊𝚋𝚘𝚛𝚍𝚊𝚗𝚝 𝚏𝚒è𝚛𝚎𝚖𝚎𝚗𝚝 𝚕𝚎 𝚗𝚘𝚖 𝚍𝚎 𝙿𝚘𝚞𝚍𝚕𝚊𝚛𝚍 𝙴𝚡𝚙𝚛𝚎𝚜𝚜. 𝙼𝚊 𝚖è𝚛𝚎 𝚖𝚎 𝚛𝚎𝚓𝚘𝚒𝚐𝚗𝚒𝚝 𝚚𝚞𝚎𝚕𝚚𝚞𝚎 𝚜𝚎𝚌𝚘𝚗𝚍𝚎𝚜 𝚊𝚙𝚛è𝚜 𝚎𝚝 𝚜𝚘𝚞𝚛𝚒𝚝 𝚎𝚗 𝚖𝚎 𝚟𝚘𝚢𝚊𝚗𝚝 é𝚖𝚎𝚛𝚟𝚎𝚒𝚕𝚕é𝚎 𝚙𝚊𝚛 𝚌𝚎 𝚚𝚞𝚒 𝚖’𝚎𝚗𝚝𝚘𝚞𝚛𝚊𝚒𝚝.

- 𝙹𝚎 𝚝𝚎 𝚕’𝚊𝚟𝚊𝚒𝚜 𝚍𝚒𝚝, 𝚌’𝚎𝚜𝚝 𝚖𝚊𝚐𝚗𝚒𝚏𝚒𝚚𝚞𝚎! 𝙱𝚘𝚗 𝚍é𝚙ê𝚌𝚑𝚘𝚗𝚜 𝚗𝚘𝚞𝚜 𝚍𝚎 𝚖𝚘𝚗𝚝𝚎𝚛 𝚝𝚎𝚜 𝚊𝚏𝚏𝚊𝚒𝚛𝚎𝚜 à 𝚋𝚘𝚛𝚍 𝚊𝚟𝚊𝚗𝚝 𝚚𝚞𝚎 𝚕𝚎 𝚝𝚛𝚊𝚒𝚗 𝚙𝚊𝚛𝚝𝚎! 𝚊𝚓𝚘𝚞𝚝𝚊 𝚝 𝚎𝚕𝚕𝚎 𝚊𝚟𝚎𝚌 𝚞𝚗 𝚌𝚕𝚒𝚗 𝚍’œ𝚒𝚕 𝚌𝚑𝚊𝚕𝚎𝚞𝚛𝚎𝚞𝚡

𝚄𝚗𝚎 𝚏𝚘𝚒𝚜 𝚖𝚎𝚜 𝚋𝚊𝚐𝚊𝚐𝚎𝚜 𝚛𝚊𝚗𝚐é𝚎𝚜 𝚍𝚊𝚗𝚜 𝚕𝚎 𝚝𝚛𝚊𝚒𝚗, 𝚓𝚎 𝚛𝚎𝚜𝚜𝚘𝚛𝚝𝚒𝚝 𝚜𝚞𝚛 𝚕𝚎 𝚚𝚞𝚊𝚒 𝚎𝚝 𝚜𝚎𝚛𝚛𝚊 𝚏𝚘𝚛𝚝 𝚖𝚊 𝚖è𝚛𝚎 𝚍𝚊𝚗𝚜 𝚖𝚎𝚜 𝚋𝚛𝚊𝚜. 𝙼𝚊𝚕𝚐𝚛é 𝚚𝚞𝚎 𝚓𝚎 𝚜𝚘𝚒𝚜 𝚎𝚗𝚌𝚑𝚊𝚗𝚝é𝚎 𝚍𝚎 𝚙𝚊𝚛𝚝𝚒𝚎 𝚍é𝚌𝚘𝚞𝚟𝚛𝚒𝚛 𝚞𝚗 𝚗𝚘𝚞𝚟𝚎𝚊𝚞 𝚖𝚘𝚗𝚍𝚎, 𝚖𝚘𝚗 𝚖𝚘𝚗𝚍𝚎, 𝚓’é𝚝𝚊𝚒𝚜 𝚊𝚗𝚡𝚒𝚎𝚞𝚜𝚎 à 𝚕’𝚒𝚍é𝚎 𝚍𝚎 𝚕𝚊𝚒𝚜𝚜𝚎𝚛 𝚖𝚊 𝚖è𝚛𝚎 𝚜𝚎𝚞𝚕𝚎, 𝚎𝚝 𝚖𝚊 𝚙𝚎𝚝𝚒𝚝𝚎 𝚌𝚑𝚒𝚎𝚗𝚗𝚎 𝚁𝚞𝚋𝚢. 𝙰𝚙𝚛è𝚜 𝚙𝚕𝚞𝚜𝚒𝚎𝚞𝚛𝚜 𝚌𝚊𝚛𝚎𝚜𝚜𝚎𝚜, 𝚙𝚊𝚙𝚘𝚞𝚒𝚕𝚕𝚎𝚜 𝚎𝚝 𝚋𝚒𝚜𝚘𝚞𝚜 à 𝚌𝚎𝚕𝚕𝚎 𝚌𝚒, 𝚓𝚎 𝚖𝚘𝚗𝚝𝚎 𝚍𝚊𝚗𝚜 𝚕𝚎 𝚝𝚛𝚊𝚒𝚗 𝚎𝚝 𝚎𝚗𝚟𝚘𝚒𝚎 𝚞𝚗 𝚋𝚊𝚒𝚜𝚎𝚛 𝚍𝚎 𝚕𝚘𝚒𝚗.

- 𝙴𝚖𝚋𝚛𝚊𝚜𝚜𝚎 𝚙𝚊𝚙𝚊 𝚍𝚎 𝚖𝚊 𝚙𝚊𝚛𝚝! 𝚕𝚞𝚒 𝚕𝚊𝚗ç𝚊𝚒𝚜-𝚓𝚎 𝚎𝚗 𝚛𝚒𝚐𝚘𝚕𝚊𝚗𝚝. 𝙲𝚎𝚜 𝚍𝚎𝚞𝚡 𝚕à é𝚝𝚊𝚒𝚎𝚗𝚝 𝚙𝚒𝚛𝚎 𝚚𝚞𝚎 𝚍𝚎𝚜 𝚎𝚗𝚏𝚊𝚗𝚝𝚜 𝚍𝚎 𝚌𝚒𝚗𝚚 𝚊𝚗𝚜, 𝚎𝚝 𝚙𝚘𝚞𝚛𝚝𝚊𝚗𝚝 𝚌’é𝚝𝚊𝚒𝚝 𝚖𝚎𝚜 𝚙𝚊𝚛𝚎𝚗𝚝𝚜.

𝚃𝚊𝚗𝚍𝚒𝚜 𝚚𝚞𝚎 𝚕𝚎 𝙿𝚘𝚞𝚍𝚕𝚊𝚛𝚍 𝙴𝚡𝚙𝚛𝚎𝚜𝚜 𝚜𝚎 𝚖𝚎𝚝𝚝𝚊𝚒𝚝 𝚎𝚗 𝚖𝚊𝚛𝚌𝚑𝚎, 𝚓𝚎 𝚓𝚎𝚝𝚊 𝚞𝚗 𝚍𝚎𝚛𝚗𝚒𝚎𝚛 𝚌𝚘𝚞𝚙 𝚍’œ𝚒𝚕 𝚍𝚎𝚑𝚘𝚛𝚜, 𝚟𝚎𝚛𝚜 𝚗𝚊𝚟𝚒𝚐𝚞𝚊 𝚍𝚊𝚗𝚜 𝚕𝚎𝚜 𝚌𝚘𝚞𝚕𝚘𝚒𝚛𝚜 𝚍𝚞 𝚝𝚛𝚊𝚒𝚗 à 𝚕𝚊 𝚛𝚎𝚌𝚑𝚎𝚛𝚌𝚑𝚎 𝚍’𝚞𝚗 𝚌𝚘𝚖𝚙𝚊𝚛𝚝𝚒𝚖𝚎𝚗𝚝 𝚟𝚒𝚍𝚎. 𝙽’𝚎𝚗 𝚝𝚛𝚘𝚞𝚟𝚊𝚗𝚝 𝚊𝚞𝚌𝚞𝚗, 𝚓’𝚎𝚗 𝚌𝚑𝚘𝚒𝚜𝚒𝚜 𝚞𝚗 𝚘ù 𝚒𝚕 𝚢 𝚊𝚟𝚊𝚒𝚝 𝚜𝚎𝚞𝚕𝚎𝚖𝚎𝚗𝚝 𝚞𝚗𝚎 𝚓𝚎𝚞𝚗𝚎 𝚏𝚒𝚕𝚕𝚎 𝚍𝚎 𝚖𝚘𝚗 â𝚐𝚎, 𝚚𝚞𝚒 𝚜𝚎𝚖𝚋𝚕𝚊𝚒𝚝 𝚞𝚗 𝚙𝚎𝚞 𝚜𝚝𝚛𝚎𝚜𝚜é𝚎 𝚎𝚕𝚕𝚎 𝚊𝚞𝚜𝚜𝚒. 𝙹’𝚘𝚞𝚟𝚛𝚒𝚜 𝚕𝚊 𝚙𝚘𝚛𝚝𝚎 𝚎𝚝 𝚍’𝚞𝚗𝚎 𝚙𝚎𝚝𝚒𝚝𝚎 𝚟𝚘𝚒𝚡, 𝚕𝚞𝚒 𝚍𝚎𝚖𝚊𝚗𝚍𝚊 𝚜𝚒 𝚓𝚎 𝚙𝚘𝚞𝚟𝚊𝚒𝚜 𝚖’𝚒𝚗𝚜𝚝𝚊𝚕𝚕𝚎𝚛 𝚒𝚌𝚒.

547 ; @Ashley McCarty me voilà enfin! J’espère que ça te va ce que j’ai écrit